Vues: 472 Created: 2016.05.05 Mis à jour: 2018.12.07

Confidences sur le Canapé

Confidences Ep. 9

Nos épouses ont d'autres désirs en commun, à part ceux liés au sexe, celui de bien manger, surtout le plus de produits naturels en connaissant les apports bénéfiques dont ils sont porteurs, pour la santé et le corps, par le fait, attentives entre autres à la qualité de nos éjaculations, elles font rentrer depuis quelques temps dans notre alimentation, des légumes et épices favorisant la fertilité et l'augmentation de la quantité de sperme émise lors des éjaculations, même si mon épouse, au contraire de Margo, n'aime pas trop déguster le divin nectar, elle n'en aime pas moins se faire éclabousser le visage et le corps, sans parler du rectum…

Tient donc…?! le rectum…?! me dirons celles et ceux qui ont suivit l'histoire depuis le début… A ces personnes, je répondrai que la Femme est cérébrale, mais parfois incernable et souvent incomprise, on l'aime comme elle est, sinon on serai gay(pardon), ou eunuques… Donc, pour ceux qui suivent, je peux redire que Oui… la mienne n'aime pas les lavements mais qu'elle aime recevoir une forte éjaculation pendant la sodomie et n'a pas refusée plusieurs fois que je lui fasse pipi dans le conduis rectal après ou avant un coït anal, excuses aux personnes choquées par une telle pratique, mais la chair est faible quand l'excitation est forte…

Margo par contre, ne cache pas son attirance gourmande pour les quantités importantes de semence qu'elle aime à recevoir et déguster goulument, et parfois, avec l'accord de mon épouse, après avoir fais un peu d'abstinence en mangeant toute la semaine des recettes stimulantes et fertilisantes, j'accompagne Paul lors d'une fellation en binôme faite par son épouse, elle nous a même racontée comment, étudiante à l'époque, à la recherche d'expériences gustatives de forts volumes, elle avait attirée cinq garçons dans les toilettes afin de les pomper et récolter toutes les éjaculations en sa bouche, sans les avaler de suite, pour les déguster disait-elle..

Pendant que les vulvettes finissent de se faire rincer le rectum par nos épouses, Paul et moi nous sustentons à la cuisine de quelques restes, filets de harengs marinés à l'huile de noix, gingembre et curry, accompagnés d'une salade d'haricots "al dente" et d'une purée de pois cassés, tout en buvant un thé vert, nous finissons la dinette par un fruits accompagné d'un carré de chocolat noir, que des bonnes choses pour le liquide séminal, allez voir sur le net, et comme aimait à dire un Grand Chef de renom, - Même pour un plaisir aussi simple, il faut savoir soigner sa purée… Et bon appétit bien sûr…

Après avoir fait la vaisselle, nous remontons à la salle de bain, nous demandant où nos femmes peuvent en être avec leurs jeunes filles, plus personne à la salle de bain, entendant des voix dans la chambre, nous toquons à la porte en demandant l'autorisation d'entrer, un oui feutré nous est répondu, de ce genre de oui feutré dont on ne sait s'il veut dire ouiii…encore, ou ouiii…comme ça, nous poussons doucement la porte et découvrons le plaisant spectacle de nos épouses occupées à se faire brouter assises en soixante neuf sur le visage des jeunettes, les jouets ont été sortis et déjà j'aperçois les boules d'un chapelet émerger d'un anus…

C'est celui de Marie que mon épouse fait pondre, pendant que la gamine lui lèche le minou en lui fourrant un gode dans son petit trou, Margo aussi se fait manger la motte, un plug dans les fesses, agitant son bassin de l'avant vers l'arrière sur la bouche et la langue de la petite Cécile, qui manque d'étouffer tant la vulve fait ventouse, je contourne le lit pour voir ce que Margo fait à la jeunette, me voyant curieux, elle me fait un clin d'œil et me montre qu'elle prépare la petite à être sodomisée, retirant de ses fesses quatre doigts vaselinés, l'orifice reste béant un instant puis se referme doucement, elle est prête pour la saillie dit Margo satisfaite.

Dans un dernier rituel, nos femmes les font mettre en levrette sur le lit, chacune s'harnachant de son gode ceinture, annonçant le moment où notre tour viendra de les prendre comme l'on souhaite, elles leur prennent la chatte pour quelque coups de reins puis enfin les encules, en leur claquant les fesses pour bien leur faire comprendre qui commande à présent, les deux gamines gémissent en se faisant fourrer, ce n'est pas de douleur car elle sont préparées, c'est parce qu'elles aussi aiment recevoir derrière, et peut-être également d'être prise comme des chiennes, sachant qu'après nos femmes, nous leur passerons dessus en leur baisant le cul…

Nos épouses, en maîtresses femmes, leur demandent si elle sont prêtes à nous recevoir et à se laisser faire, les gamines soupirent oui… dans un murmure, ce n'est pas suffisant pour nos dames, elles veulent que les vulvettes nous y invitent, qu'elles réclament nos queues, qu'elles offrent leurs orifices avec les mots qu'il faut, alors elles leur retire leur gode des fesses et attrapent les martinets, les culs sont fouettés vivement, la blancheur est cinglée de zébrures, les branleuses demandent pardon en pleurnichant, Marie me regarde en gémissant, - Monsieur…Baisez-moi s'il vous plait… Cécile surenchérie avec, - Monsieur Paul… Enculez-moi…

Margo et Bri n'en peuvent plus d'excitation, elles grimpent sur le lit et viennent leur faire pipi au visage pendant que Paul et moi leur enfilons nos dard, vaginalement d'abord, ce que je conseille à Paul si nous voulons les goutter entièrement, Marie la rousse est bouillante et étroite, son anus au duvet brun orange me fait de l'œil, mais je résiste à l'envie le temps de jouer dans son ventre, nos femmes se sont allongées devant les petites, écartant largement les cuisses pour se faire gougnotter, que la vie est belle, chairs fraîches soumise et orifices à disposition, j'ai d'autres envies pour après, si elles restent quelques temps avec nous…

Je suis bien en son antre, et en lui passant quelques doigt sur la fente, je constate qu'elle se sent bien aussi, son sexe est ruisselant et se lèvres gonflées, j'effleure son petit bouton, elle s'agite sur ma queue, c'est d'un regard complice que Paul et moi choisissons le même moment pour leur prendre l'anus, moment tant attendu que nos femmes reconnaissent en voyant leur visage changer soudain d'expression, à leurs gémissement aussi qui passent aux vagissements, chacune est différente dans le râle exprimé, concert de vocalises de jeunettes sodomisées, la vision du bourrelet avalant mon gland mauve en ayant résisté est comme une œuvre d'art…

Tout en lui enfilant la longueur de ma queue lubrifiée, je reste concentré aux effets du sphincter, pousse-t-elle pour que ça rentre ou serre-t-elle les fesses pour mieux sentir la chose, l'étroitesse de l'endroit me laisse dubitatif, il est vrai qu'une jeunette qui a peu pratiquée, tente quelques instants d'encore résister, ou est-elle de ces femmes qui aiment sentir l'engin leur déchirer le cul, j'avance doucement, regardant disparaître mon membre dans son derrière, sa rondelle duveteuse me caresse la tige, Bri et Margo leur roule une pelle, demandant si elle aiment être enculées par un homme et si c'est mieux que le gode qu'elles se mettent parfois…

Les gamines soupirent que c'est gros dans leurs fesses mais que ça rentre bien sans leur faire du mal, nos épouses se glissent entre leurs cuisses ouvertes, couvrant leur vulve mouillée de léchouilles apaisantes, je connais nos cochonnes et sait par expérience, qu'elles attendent les jets jaillissant des fontaines, Paul me fait un signe et nous changeons de fille, il encule Marie et moi la brune Cécile, elle se cambre vers moi, demandant de l'extase, je lui burine le cul en l'enfilant d'une traite, ce qui la fait meugler quelques mots pleins d'amour, la maintenant aux hanches, je lui met ce qu'elle veut, un puissant ramonage qui nous comble tous deux…

Mais j'aime bien Marie et fais comprendre à Paul, que je veux terminer en jouissant dans ses fesses, nous échangeons encore et pour une dernière fois, avant de la grimper, j'aperçois que Marie fait pipi sur ma femme et celle-ci, bouche ouverte, avale tout ce qu'elle peut, j'encule la petite Marie d'un coup de rein profond, elle me dit - "défonce-moi…" alors je la besogne, tel un hussard sans cœur, ne cherchant qu'à avoir le plaisir que je prend, je lâche ma purée dans son conduis brûlant, en lui plantant mes ongles dans la chair de ses fesses, elle a plusieurs hoquets quand elle jouit à son tour, puis s'écroule sur ma femme finissant de gicler…