Vues: 737 Created: 2015.11.21 Mis à jour: 2015.11.21

La partie de Monopoly

Épisode 1

Cécile, Nadia, Martin, et moi-même étions tous quatre à la maison de Cécile, chez ses parents. Pour passer un peu de temps l'après-midi, on décida de faire une partie de monopoly. Nous jouions souvent à ce jeu, car c'était souvent un prétexte pour donner un gage au perdant.

-On fait quoi au perdant, cette fois-ci ? Demandai-je.

Cette fois, ce fut Cécile qui proposa une idée, assez surprenante.

-J'ai un gage parfait, commença-t-elle. On fait une partie, et le gagnant met un suppositoire au perdant ! Ok ?

-Quoi ? Demanda Martin.

Cécile s'expliqua :

-Mon petit frère était constipé, la semaine dernière. Du coup, ma mère a ramené des suppositoires à la glycérine. La boîte est rangée dans le frigo. Alors j'ai pensé que ça ferait un gage sympa, pour une de nos parties de monopoly.

-Euh, c'est un peu dégueu quand même, comme gage, fit remarquer Nadia.

Pour ma part, je m'abstins de tout commentaire. En fait, je trouvais l'idée de Cécile assez excitante. Pas juste sexuellement, mais aussi pour le côté "jeu" de la chose.

-Allez, Nadia, l'encouragea Cécile. C'est juste un suppo, et on est entre nous. Personne d'autre ne le saura.

-Pour moi, c'est ok, fit Martin. Du moment que ça reste entre nous quatre.

-Ca me va aussi, répondis-je à mon tour.

On regarda alors tous les trois Nadia.

-Alors ? Demanda Martin. Tu es d'accord ?

Elle soupira.

-Bon, d'accord, fit-elle, mais ça doit rester un secret !

-Promis.

On démarra la partie de monopoly autour de la table. Une chose qui était intéressante avec ce jeu, c'est qu'on pouvait facilement prévoir le perdant ou la perdante à l'avance, même pour des parties relativement longues. Les tours s'enchaînaient alors généralement lentement, jusqu'à la défaite de cette personne.

Aujourd'hui, c'est Nadia qui se retrouva dans cette situation peu avantageuse. Elle compris alors rapidement qu'elle allait certainement recevoir le fameux suppositoire ! A l'inverse, le gagnant n'était pas évident à deviner à ce stade de la partie, car nous étions à peu près à égalité avec Martin et Cécile. Ce fut ainsi une compétition entre nous trois pour savoir qui allait avoir le privilège de mettre le suppositoire à Nadia !

-Gagné ! Lançai-je joyeusement une petite demi-heure plus tard.

La chance avait tournée en ma faveur. Tandis qu'on se remettait de cette partie éprouvante, je jetai un coup d'oeil vers Nadia qui n'avait depuis longtemps plus aucun billet devant elle.

Martin nous regarda et se frotta les mains d'excitation.

-Allez ! Le suppo ! Fit-il comme pour rappeler l'enjeu qu'on avait fixé pour cette partie.

Nadia qui avait levé les yeux vers moi les baissa aussitôt, et rougit en entendant cette phrase.

Cécile, elle, se leva.

-Je vais en chercher un, fit-elle en se dirigeant vers la cuisine.

Elle revint, trente secondes plus tard, avec la fameuse petite fusée jaunâtre entre ses doigts. Elle me tendit le médicament.

-Allez, à toi de lui mettre, me dit-elle. On veut voir, avec Martin !

Finalement, moi qui avait été content de gagner cette partie, je me sentis soudain un peu mal à l'aise une fois le médicament entre mes doigts. Nadia, elle, devait être encore plus mal à l'aise que moi. Elle n'osait plus me regarder.

-C'était sûr que ça allait tomber sur moi, râla-t-elle.

Contrairement à nous, Martin et Cécile semblaient tout excités d'assister à ce spectacle.

-Allez ! Fais-nous voir tes fesses ! Lança Cécile à son amie sur un ton légèrement provocateur. N'essayes pas de te défiler !

Nadia hésita, puis finalement obtempéra et décida de se relever et de se retourner dos à nous.

-Allez-y, lança-t-elle de sa voix timide.

Alors, sous les regards attentifs de Martin et Cécile, je m'avançai vers Nadia, et m'accroupis derrière elle. J'attrapai son pantalon et sa culotte par le haut, et les baissai au niveau de ses cuisses pour faire apparaître ses fesses grassouillettes. Je me rendis alors compte que, n'ayant jamais fait ce geste, je ne savais pas vraiment comment m'y prendre. Au départ, je ne m'étais pas posé la question, mais maintenant que j'avais les fesses de Nadia devant moi, et le suppositoire en main, je me sentais comme paralysé, ne sachant pas par quoi commencer. Heureusement, les deux plaisantins avec nous s'impatientèrent et nous encouragèrent pour nous presser.

-Vas-y, écartes-lui les fesses ! Me fit Martin. On veut voir son trou de balle, nous !

-Ouais ! On veut le voir ! Surenchérit Cécile.

Je pris alors mon courage à deux mains, et écartai les fesses de mon amie. En faisant ce geste, une boule se forma dans mon estomac. Le petit trou de Nadia apparut devant moi, à quelques dizaines de centimètres de mon visage ! Son orifice formait juste une petite ligne verticale d'un centimètre.

-Ca y est ! Je vois son trou'd cul ! Lança Martin.

-Allez, maintenant, le suppo ! Enchaîna Cécile.

J'écartai un peu plus ses fesses, et posai le médicament sur son trou du cul, pointe en premier. Mon index resta tendu, posé sur l'arrière de cette petite fusée.

-Ooooh ! Il va lui mettre, fit Martin. Il va le faire...

Prenant une nouvelle fois mon courage à deux mains, je fis un dernier effort, et poussai mon doigt vers son trou de balle.

Le suppositoire rentra sans trop de problème, puis mon doigt vint le loger un peu plus profondément, de quelques centimètres, dans son cul. Je sentis aussitôt la tièdeur de son corps, et aussi son muscle se resserrer sur mon doigt. Voyant que le travail était fait, je ressortis mon doigt. Le suppositoire, lui, ne ressortit pas.

-Voilà, il est mis, annonçai-je à Nadia.

Celle-ci s'empressa alors d'attraper sa culotte et son pantalon pour les remonter, et fila juste après directement aux toilettes. Pour ma part, je partis simplement à la cuisine pour me laver les mains, laissant les deux autres rigoler de ce qui venait de se passer. En chemin, une fois seul, je ne pu m'empêcher de porter mon index sous mon nez, pour renifler, l'espace d'un instant, l'odeur du derrière de Nadia.