Vues: 691 Created: 2015.11.21 Mis à jour: 2015.11.21

La partie de Monopoly

Épisode 2

Voici le deuxième épisode. J'en profite pour dire que contrairement à ce que je vous ai annoncé au début du sujet, l'histoire comportera au moins un troisième épisode, qui est déjà pratiquement fini.

Une semaine plus tard...

La dernière partie de monopoly nous avait tous marqué, d'une manière ou d'une autre. Bien que chacun ait assisté à la scène qui avait suivi la partie de son propre point de vue, on avait tous trouvé l'expérience suffisamment intéressante pour la renouveler. Même Nadia, à notre grande surprise, ne s'y opposa pas. On s'est donc rapidement installer autour d'une table.

-Allez, on commence, lança Cécile en lançant les dés en premier.

Comme d'habitude avec ce jeu, on détermina assez rapidement le probable perdant de la partie. Ce rôle peu enviable tomba cette fois sur Cécile, qui trouva soudainement le jeu moins amusant en voyant ses billets s'envoler de sa réserve. Elle devint alors beaucoup plus silencieuse. Quant au vainqueur, on dû jouer encore une bonne vingtaine de minutes, avant que ça ne tombe, comme la dernière fois, sur moi !

-Encore toi ! Commenta Martin. Bon, ben après Nadia, tu vas devoir aussi t'occuper de Cécile, on dirait.

Je perçus un peu de déception dans sa voix. Probablement aurait-il voulu lui aussi essayer de mettre un suppositoire à une de nos amies.

Nadia, l'ancienne perdante, haussa simplement les épaules et me lança un regard comme pour me dire "ben vas-y, occupes-toi d'elle, maintenant."

Cécile partit à contrecoeur dans la cuisine pour aller chercher un suppositoire à la glycérine, et me l'apporta directement. Contrairement à Nadia, elle semblait beaucoup moins mal à l'aise face à cette situation : elle commença, de sa propre initiative, à baisser son pantalon et sa culotte. Puis elle resta dos à moi, silencieuse. Nadia et Martin vinrent se placer également derrière elle pour ne rien louper du spectacle.

Mais alors que je m'avançais vers Cécile, le suppositoire à la main, celle-ci changea subitement de comportement : elle se retourna, et s'assit précipitamment les fesses sur le sol en repliant ses genoux sur sa poitrine comme pour se protéger.

-Désolée, fit-elle. Je ne peux pas, j'ai trop peur.

De son allure plutôt détendue, elle semblait à présent complètement mal à l'aise. Elle n'avait même pas pris la peine de se rhabiller, dans la précipitation.

-Allez, Cécile, l'encouragea Martin. C'est toi qui a lancé l'idée, au départ.

-S'il-vous-plaît, supplia-t-elle. Je veux pas de suppo.

Cette fois, Nadia intervint.

-Personne n'a envie de recevoir le suppositoire, fit-elle, mais c'est la règle du jeu : le perdant en reçoit un. La dernière fois, je me suis laissée faire. Maintenant, c'est à toi !

-On ne peut pas changer de gage ? Tenta-t-elle. Tout ce que vous voulez, mais pas ça, s'il-vous-plaît.

-Non, trancha Martin. Nous on veut le suppo ! Allez montres-nous ton popotin, maintenant !

Cécile, mal à l'aise, nous regarda tour à tour comme pour trouver un peu d'aide ou de soutien, mais personne ne semblait vouloir changer d'avis. Voyant qu'elle n'avait pas le choix, elle commença à se redresser, à contrecoeur.

-Ne t'inquiètes pas, la rassurai-je, je faire ça vite. Après tu iras aux toilettes.

Elle chercha ses mots, mais ne trouva rien d'autre à dire pour nous convaincre de changer d'avis. Alors, une fois redressée, elle pivota sur elle-même, pour nous tourner à nouveau le dos.

-Bon, allez-y, alors, lança-t-elle.

Comme je l'avais fait pour Nadia, je m'avançai pour m'approcher de ses fesses, et posai mes mains dessus pour les écarter suffisament afin de voir son petit trou. Je remarquai au passage que les fesses de Cécile étaient beaucoup plus fermes que celles de Nadia. Son anus apparut : un petit orifice rose tout serré.

Comme je l'avais fait la dernière fois, je posai d'abord la pointe du suppositoire sur son trou du cul, et poussa sur sa base pour commencer à le faire rentrer. Ce fut un peu plus compliqué qu'avec Nadia car elle se crispait, mais je parvins finalement à faire rentrer la pointe d'un petit centimètre.

-Allez, j'y vais, prévins-je.

Cette fois, Nadia et Martin étaient restés silencieux, mais ne loupaient pas une miette du spectacle.

Je poussai mon doigt, et l'enfonçai de deux ou trois centimètres dans le cul de Cécile, accompagnant le suppositoire. Là aussi, l'espace d'un instant, je sentis la tièdeur du corps de mon amie, avant de ressortir mon doigt.

-Voilà, c'est fait, annonçai-je.

Soulagée, Cécile se dégagea, et fila précipitamment aux toilettes. Moi, je partis de mon côté me laver les mains dans la cuisine, en profitant cette fois encore d'être seul pour renifler mon doigt.