Vues: 662 Created: 2012.02.09 Mis à jour: 2012.02.09

Histoire inventée

Histoire inventée

Ca fait trois jours que ma secrétaire est absente. Je suis obligé de frapper moi-même mon courrier, répodnre au téléphone, prendre ses appels personnels.

A son retour, si elle revient, je vais sévir !

Le lundi matin, elle se retrouve à son poste de travail. Comme tous les lundis matins, j'organise un briefing pour tout le personnel : c'est un moment priviligié où chacun peut faire passer une info, un message, annoncer un évènement...

A la fin du briefing, je congédie l'équipe, sauf ma secrétaire.

- Michèle, ne partez pas, je dois vous parler.

Michèle tremble de peur quand elle se retrouve face à moi.

- Suivez-moi dans mon bureau.

Michèle me suit, et je referme la porte sur nous deux, après avoir accroché sur la poignée, le pannonceau écrit en trois langues : NE PAS DERANGER.

Je dévisage Michèle de mon regard. Elle sait où je veux en venir. Elle n'a pas de mots pour s'excuser, elle n'était pas malade, elle n'a pas envoyé d'arrêt de travail pour cette absence.

- Ecoutez, Monsieur, commence Michèle, je peux tout expliquer.

- Non, lui dis-je. Vos absences sont trop fréquentes et trop nombreuses,depuis un moment. Tout le personnel se plaint. Vous êtes quand même secrétaire de direction !

- Mais monsieur...

- Il n'y a pas de mais monsieur. Je vais devoir prendre des sanctions sévères à votre égard, envisager une mise à pied conservatoire... Je ne sais pas encore...

Et voilà que Michèle se lève, et me dit :

- Même comme ça, je n'aurai pas droit à votre indulgence ?

Et Michèle ouvre son corsage, me laissant voir son soutien-gorge blanc bordé de dentelles et qui abritait une jolie paire de seins. Elle jette à bas son vêtement et passe langoureusement, sa main le long de sa jambe droite, puis de sa jambe gauche.

Je ne dis rien, je suis étourdi par ce que je vois.

D'un geste rapide, Michèle se débarasse de son jean, qui épousait si bien son corps. Sa petite culotte en dentelle assortie à son soutien-gorge, a suivi le mouvement du pantalon quand ce dernier s'est retrouvé à ses chevilles.

Balançant dans ma direction ses jambes l'une après l'autre, elle a fait tomber sur la moquette du bureau, son jean. Elle n'avait plus sur elle que ses sous-vêtements.

- Ca aussi, je suis prète à l'enlever pour me faire pardonner !

Je n'ai pas répondu, tant j'étais subjugué par le geste et la scène qui se déroulait devant mes yeux.

Michèle ayant compris qu'il m'en fallait plus, se retourna pour dégrafer son soutien-gorge, l'ôter et le jeter à mes pieds.

Me faisant à nouveau face, ses mains croisées sur ses seins, elle baissait la tête, l'air soumise. Je n'ai pas réagi, pas répondu.

Michèle a cru comprendre qu'elle devait aller plus loin. Se retournant à nouveau, elle retira lascivement, sa culotte en dentelle en s'accroupissant jusqu'à terre. Et, soudainement, entièrement nue, elle vint se blottir contre moi.

Je n'ai pas résister à l'envie de la serrer très fort contre moi, de couvrir aussi sa nudité (je n'avais rien demandé, mais j'en ai profité quand même). Je lui ai dit :

- C'est bon pour cette fois. Que je ne vous y reprenne plus. Rhabillez vous.

Je me suis détourné vers la fenètre pour ne pas la voir se revêtir et je l'ai congédié.

Quelques mois plus tard, la société dans laquelle je travaillais, fit scission. Une partie de l'équipe fut licencié, l'autre partie scindée en deux.

Michèle fut nommée directrice générale d'une des deux sociétés, et je me suis retrouvé sous ses ordres. Des problèmes familiaux ayant perturbé mon travail, j'ai été reclassé lors de la reprise de la société à un poste moins important que celui que j'avais.

Michèle un matin, me convoque dans son bureau. Elle me dit :

- Vous vous rappelez la fois où j'ai du m'exhiber devant vous pour que vous me gardiez ? Vos résultats ne sont pas très probants, mon cher. Nous allons devoir vous séparer de vous... A moins que...

- A moins que quoi ? insistais-je lourdement. J'avais compris, bien sûr.

- Vous le savez bien, mon cher ami. Vous m'aviez humilié en ce temps-là. Maintenant, c'est à moi de me venger. Je veux vous voir à poil. Sinon, c'est la porte. Et tout de suite : la porte ou le strip !

J'avais tellement besoin de bosser que je me suis plié à la volonté de Michèle. Après tout, pourquoi pas !

Et j'ai commencé le strip, lentement, langoureusement... Je me suis mis nu en 5 minutes, mains sur les hanches pour que Michèle m'admire. J'ai tournoyé sur moi-même pour qu'elle m'observe par devant et par derrière... J'avoue avoir pris un certain plaisir à ce jeu.

Je suis resté nu, face à elle. Je la voyais qui trépignait... On aurait dit qu'elle mouillait tant elle était exitée...

Puis, je me suis rhabillé, sans attendre son autorisation. Elle a vu ce qu'elle voulait voir, sa vengeance était assouvie !

Depuis, nous sommes les meilleurs amis du monde.

Comments

MYF Il ya 11 ans  
clyso Il ya 12 ans