3 members like this


Vues: 2025 Created: 2013.04.03 Mis à jour: 2013.04.03

Une fessée pour une fille qui a de mauvaise notes

Une fessée pour une fille qui a de mauvaise notes

Une fessée pour une fille qui a de mauvaise notes

Caroline ne réussissait pas ses études dans l’école publique où elle était jusqu’à présent. Ses parents décident, pour son année du Bac, de l’inscrire dans une école privée très bien réputée, mais très stricte.

Caroline a déjà deux ans de retard, cette école lui change complètement ses habitudes, les filles de sa classe sont très studieuses, et très bonnes élèves. Elle a du mal à rattrapper le retard qu’elle a cumulé ses dernières années. Ses années où elle pensait plus à être avec ses copains ou faire la fête. Elle perd vite le rythme, et travaille de moins en moins. Les profs s’en plaignent beaucoups, surtout Melle T., une jeune prof de Maths, très timide qui n’arrive pas à canaliser Caroline qui en profite et perturbe toute la classe à chaque cours.

Jusqu’au jour ou Caroline a été surprise en train de tricher pendant un devoir. Melle T. s’est mise en colère comme jamais. Toute la classe était surprise, même Caroline. Melle T. veut l’emmener chez le directeur pour qu’elle lui explique ce qu’elle a fait. Caroline refuse mais la prof la tire par le bras. Caroline se débat et lui lance enervée : « lache-moi pauvre conne ! ». Elle regrette aussitôt ce qu’elle vient de dire, mais c’est trop tard, elle reçoit une petite claque de la prof, visiblement à bout de nerfs. PLus vexante que douloureuse cette claque a le mérite de calmer d’un coup Caroline. La prof l’attrappe par l’oreille et la fait sortir de la classe. Caroline ne veut pas aggraver son cas et suit en s’excusant et en demandant poliment à Melle T. de la lâcher. Elle lui répond que c’est trop tard pour s’excuser et continue sans lui lâcher l’oreille vers le batiment des garçons.

Caroline n’ose pas lui demander où elle va, dans cette école, les garçons et les filles sont séparés, mais les deux établissements sont collés. Arrivées devant la porte d’une salle, Melle T. dit à Caroline : « Je ne veux plus vous voir, vous allez faire un stage chez M. S., vous verrez cela vous changera, de plus je vous préviens tout de suite que je ferai part à M. le directeur de votre insolence ! » Caroline avait déjà entendu parler de M. S. qui était réputé très sévère. Melle T. ouvre la porte et pousse Caroline dans la classe en la mintenant toujours par l’oreille. Caroline se retrouve punie devant une classe d’une trentaine de garçons, rouge de honte elle baisse la tête.

M. S. surpris de la voir ici, et de la colère de Melle T., demande ce qu’elle a fait. Melle T. lui explique avant de quitter la salle. Caroline n’ose pas relever la tête, encore plus honteuse d’être la seule fille, dans cette salle d’homme, où tous les yeux convergent vers elle. « Bon, puisque c’est ainsi, vous allez assister à mon cours. Venez ici Mademoiselle ! » Caroline se dirige d’un pas hésitant là ou lui dit le prof, dans une allée au premier rang. Elle voit toutes les places occupées et demande timidement où elle peut s’assoir. « Ici, les élèves punis ne s’assoit pas, ils restent debout et mettent les mains sur leurs têtes. Et ce sera pareille pour vous ! » Caroline pose péniblement ses mains sur sa tête ce qui déclenche l’hilarité des garçons. Rouge comme une pivoine, elle essaye de contenir ses larmes de honte. M. S. d’un geste, calme l’excitation des garçons et le cours peut reprendre presque normalement. Sauf que les garçons n’arrivent pas vraiment à être attentifs, leurs regards se détournent souvent du tableau vers Caroline. Et plus particulièrement vers ses jolies fesses moulées dans une jupe droite qui lui arrive en haut des mollets. Elle porte un chemisier blanc, qui remonte à cause de ses bras au dessus de sa tête et qui laisse entrevoir une petite partie du bas de son dos.

Le prof l’ignore complètement et continue son cours, puis donne un exercice à faire. Caroline doit restée dans la même position pendant ce temps. Les garçons s’applique à leur exercice en silence. Jusqu’au moment où l’on entend des pas rapides dans le couloir venir vers la classe, puis la porte s’ouvre brusquement.

Caroline palit quand elle voit entrer le directeur, elle se doute que c’est pour elle qu’il s’est déplacé jusqu’ici. Elle a déjà entendu parler que le directeur donne des fessées dans son bureau pour les fautes très graves et a peur qu’il vienne la chercher pour ça. Le directeur entre et se met devant Caroline : « Je ne supporte pas les insolentes, encore moins les tricheuses et surtout les impolies au sein de mon établissement !!! Melle T. m’a informer de ce qui s’est passé ! Elle a eu raison de vous emmener ici. Cette classe est parfaite pour être punie, et la punition devant tous ces jeunes hommes n’en sera que plus bénéfique ! »

Caroline avait peur de comprendre, le directeur lui ordonne de monter sur l’estrade. Le regard de Caroline est rempli de crainte melé d’interrogations. « Retournez-vous ! Face au tableau… Et courbez-vous en avant ! Les mains sur vos cheville… » Il n’y avait plus de doute, la punition de Caroline allait être une fessée. L’excitation monte chez les garçons de la classe, aussi vite que la panique de Caroline. Elle semble dépitée et supplie le directeur de la punir ailleurs. « Je ne vous le redirez pas une autre fois ! Retournez-vous et faite ce que je dis ! Et tans pis, malgré vos 19 ans, remontez votre jupe au dessus de vos fesses ! » La bruyante réaction des garçons fait frémir Caroline. Aux bord des larmes, elle tombe à genoux et implore le directeur de lui épargner ça. Le directeur monte sur l’estrade à côté d’elle et la relève, puis lui fait faire un demi-tour. « Il fallait y penser avant d’être insolente Mademoiselle ! Remontez cette jupe avant que je vous l’enlève définitivement ! Caroline n’ayant d’autre choix, attrape le bas de sa jupe et la remonte jusqu’au bas de son dos et dégage bien ses fesses. La honte qu’elle éprouve lui est insupportable, elle fond en larmes. Les élèves découvrent une culotte blanche très sage sous un collant clair. Alors que tout le monde croyait qu’il allait débuter la fessée, il s’arrête : « Mademoiselle, si vous n’aviez été qu’insolente, je vous aurais fessé comme ça, mais puisque en plus vous avez triché à cet examen, la punition devra être plus dur, non ? » Caroline demande une nouvelle fois des excuses, mais elle est obligée de dire qu’elle mérite une punition plus sévère. « Très bien puisque vous êtes d’accord, abaissez vous-même votre culotte ! »

Des chuchotements s’élèvent dans la classe, Caroline laisse retomber sa jupe et se retourne d’un coup vers le directeur, aucun mot n’arrive à sortir de sa bouche. Le directeur profite de son désaroi, pour retirer le bouton et descendre la fermeture de sa jupe qui tombe aussitôt à ses pieds.

Caroline voudrait se rebeller mais elle est bloquée, elle ne sait pas quoi faire. Elle ramasse sa jupe et la pose sur une chaise à côté d’elle, comme lui dit le directeur. » Mademoiselle, je ne supporte pas qu’on me désobéisse, et vu votre situation, ne cherchez pas à me mettre encore plus en colère ! »

Caroline baisse la tête, elle se sent encore plus ridicule, en collant face à la classe de garçons qui ne se gênent pas pour se moquer d’elle. » Les mains sur la tête ! » Caroline sursaute et obéit aussitôt. » Faite le tour de la classe en passant dans tous les rangs, avant votre fessée ! » Rouge de honte, Caroline descend de l’estrade, et marche en silence dans les rangs, sans lever les yeux. Les garçons ne loupe pas une seconde du spectacle que leur offre bien malgré elle Caroline. Elle est au fond de la classe quand le diecteur l’appelle : « Maintenant, revenez sur l’estrade pour la fessée, vous allez enlever votre culotte pour ça ! » Caroline traverse la classe doucement, elle ne peut pas s’empêcher d’éclater en sanglot avant de monter sur l’estrade, mais elle n’a pas d’autre choix. Face au tableau elle enlève ses chaussures, car le directeur lui précise une fois de plus que sa culotte doit être enlevée complètement. Puis descend son collant et le pose en boule sur la chaise. Ses pleurs redoublent lorsqu’elle tire sur sa culotte de chaque côté, elle la laisse tomber sur ses chevilles puis la dégage ses pieds et la laisse sur l’estrade. Après cette étape, Caroline se calme et sèche ses larme d’un revers de la main, tandis que les garçons ont tous les yeux rivés sur cette magnifique paire de fesses, visiblement impatients de les voir rougir.

Caroline pose ses mains à plat sur le tableau et cambre son dos, les fesses ressorties vers l’assistance comme lui ordonne le directeur. Il lui ordonne d’écarter un peu plus ses jambes, soi-disant pour avoir plus de stabilité. Caroline desserre ses cuisses au minimum, mais c’est déjà trop pour cacher ce qu’elle a de plus intime. Personne ne se gêne pour contempler et tout le monde constate que ses jambes la soutiennent à peine, elle tremble de tout son corps en attendant la première claque.

Elle ne tarde pas à arriver, le directeur prend beaucoup d’élan et vient écraser sa main au milieu de ses fesses en y laissant les marques de ses cinq doigts. Caroline pousse un cri de douleur et s’accroupie tout en portant ses mains à ses fesses. Le directeur l’attrappe par le chemisier et la relève tout en lui donnant une seconde claque. Puis il fait tomber les affaires de Caroline de la chaise, et la met face à la classe pour s’assoir dessus. Caroline le regarde faire en se frottant les fesses, puis elle est tirée par le bras et se fait basculer sur les genoux du directeur sans ménagement. Ses mains lui sont emprisonnées dans le dos et une véritable fessée arrive su son postérieur, sans la moindre protection. Les garçons se contortionnent pour mieux voir la scène. Ses fesses rougissent à mesure que ses cris augmentent. Lorsque ses fesses sont uniformément rouge, le directeur s’attaque à ses cuisses. Caroline ne supporte plus, et supplie au directeur d’arrêter. Il ne lui prête pas attention et s’arrête juste un instant pour la replacer sur ses genoux. Puis la fessée reprend de plus belle, pendant encore quelques secondes. Caroline reprend ses esprits et frottent ses fesses sans penser à se relever. » Levez-vous, et passez dans les rangs pour faire voir vos fesses bien rougies à vos camarades ! » Caroline se relève en grimaçant, la douleur de la fessée lui a fait oublier qu’elle est à moitiée nue, mais elle en reprend conscience lorqu’elle voit tous les yeux des garçons rivés sur elle. Ses deux mains viennent précipitement se plaquer sur son sexe. Certains garçons sont au bord de la juissance quand Caroline passe à côté d’eux. Elle fait rapidement de tour de la classe et remonte timidement sur l’estrade en appréhendant la suite. » Puisque que vous avez perturbé votre classe, vous allez recevoir une autre fessée dans la salle de Melle T.. Mais pour le moment, vous êtes très bien ici, je viendrais vous chercher à la fin de cours. Allez vous mettre à genoux, face au tableau, au milieu de l’estrade ! » Sans protester, Caroline se met à genoux et pose ses machinalement ses mains sur sa tête. Le directeur ramasse ses vêtements et demande à Caroline de lui donner aussi son chemisier et son soutien-gorge. Caroline refuse, mais la menace d’une nouvelle fessée la fait céder. Elle est maintenant complètement nue, à genoux, tandis que le directeur quitte la salle avec toute ses affaires. Des rires et des chuchottements s’élèvent, Caroline est de nouveau en larmes. Les garçons auraient préféré, pouvoir l’admirer de face, mais ils profitent pleinement de cette vue de dos, et de ces deux globes complètement rouge. Les plus chanceux sur les côtés, peuvent voir une partie de son sein.

La fin du cours dure une éternité pour Caroline qui pense déjà à sa prochaine fessée devant les filles de sa classe. Elle se dit que le plus dur est passé, devant les garçons, mais cela ne la conforte pas complètement. De temps en temps la rêgle s’abat sur ses fesses quand celles-ci viennent presque ses coller à ses talons. Elle se relève alors d’un coups pour reprendre sa position, ce qui fait rire les garçons.

Quelques secondes avant la fin du cours, quelqu’un frappe à la porte, Caroline sent son coeur s’accélérer quand elle reconnait la voix du directeur. Il s’approche de l’estrade et elle s’apperçoit aussitot qu’il n’a pas ses vêtements. Caroline se lève pour atténuer la douleur de ses genoux. Et demande, avec une vois tremblante, mélée d’impatience et d’inquiétude où sont ses vêtements. « Mais vous n’en avez pas besoin, Mademoiselle, croyez-vous que je vais vous fesser autrement que sur les fesses nues ! Après votre fessée, vous viendrez les remettre dans mon bureau, pour le moment, ils ne vous sont pas utiles ! » La mine de Caroline est déconfite. « Suivez moi, pour la suite de votre punition ! »

Caroline croit s’évanouir, elle fond en larmes, tout en suppliant le directeur, celui-ci reste de marbre et lui dit de se dépêcher. Elle se décide de se retourner, et choisit de cacher son sexe avec ses deux mains laissant les yeux de tous les garçons se diriger vers sa poitrine. Avant de descendre de l’estrade le directeur l’arrête : « Vos mains sur votre tête, jusqu’à ce qu’on arrive dans votre classe, autrement, c’est la fessée sur le champs ! » Caroline en larmes refuse, aussitôt le directeur la courbe sous son bras et lui met une dizaine de fortes claques sur ses fesses. Caroline ne peut résisiter et lorsqu’il la relâche, elle met ses mains sur sa tête, et offre la vue de son sexe presque intégralement épilé aux garçons. Des sifflets se font entendre tandis que le directeur suivit de près par Caroline quitte la salle rapidement. Dans le couloir, le directeur fait passer Caroline devant, la cloche retentit, Caroline espère que personne ne va sortir des classe et se dépêche, elle coure presque. Mais c’est trop tard une porte s’ouvre, un prof fait sortir ses élèves, des adolescents qui ne se gênent pas pour contempler et se moquer du passage de Caroline nue.

Ils arrivent dans la partie de l’établissement réservée aux filles, heureusement personne n’est encore sorti, et la classe de Caroline est la première, le directeur frappe et fait entrer Caroline. Un ooh, de stupéfaction s’élève de la bouche des filles, Le directeur annonce que Caroline à déjà réçu une fessée chez les garçons et qu’elle en mérite une deuzième ici. Le regard des filles est compatissant envers Caroline, beaucoup d’entres elles ressentent un frisson leur traverser le corps en s’imaginant nue en train de recevoir la fessée devant les garçons. Mais elles sont aussi impatientes que celle qui les pertube depuis un moment soit enfin punie.

Le directeur décide de la fesser sur ses genoux, il s’assoit sur une chaise et la fait basculer sur ses genoux. Les claques sonores de la fessée résonnent dans la classe, Caroline ne tarde pas à gémir, ses fesses lui chauffent dès le début de la fessée, à cause de sa première punition. La fessée ne dure pas longtemps, le directeur relève Caroline qui se frotte les fesses. « Maintenant, venez avec moi dans mon bureau ! »

Le directeur la tire par le bras, Caroline quitte sa classe sous les colibets. Ils traversent le couloir vide, tout le monde est en récréation, le directeur passe dans l’établissement des garçons. Caroline n’est pas rassurée, mais pour le moment il n’y a personne. Le directeur se dirige vers une porte en trainant Caroline derrière lui. Elle ne connait pas l’endroit, le directeur ouvre la porte, et Caroline s’apperçoit avec stupeur que celle-ci donne sur la cours de récréation. Caroline panique et veut se libérer de la main qui lui emprisonne le poignet, mais le directeur ne la lâche pas et continue son chemin en lui disant qu’il faut traverser la cour pour atteindre son bureau ? Tous le garçons sont sortis et ne tarde pas à remarquer Caroline. Elle se met à pleurer tandis que les garçons s’approchent, elle cache maladroitement d’une main sa poitrine. Les garçons qui avaient déjà été mis au caurant de la fessée déculottée d’une terminale, sont ravis de voir la punie traverser la cour complètement nue. Le directeur lui lâche enfin le poignet, elle met aussitôt sa main entre ses jambes pour préserver un peu de dignité, ce qui provoque un éclat de rire des élèves.

Le cauchemard de Caroline est boientôt terminé, il entrent dans une pièce, Caroline remarque aussitôt ses vêtements sur le bureau du directeur, et espère pouvoir les remettre rapidement car les grandes fenêtres donnent sur la cours et tous les élèves sont réunis autours pour profiter encore un peu de Caroline nue. Le directeur lui enlève cet espoir : » A la fin de la récréation, vous viendrez remettre vos vêtements et vous irez rejoindre votre classe. J’espère ne plus jamais avoir à vous punir comme ça, mais si c’est nécessaire je recommencerai ! Et autant vous prévenir tout de suite, s’il le faut, je n’hésiterai pas à vous emmener nue le midi dans le réfectoire des garçons, pour vous y fesser sévèrement » Caroline s’imagine déjà dans le refectoire devant tout le monde, ce qui la fait frissonner. Le directeur approche une chaise de la fenêtre : « Mettez-vous à genoux sur cette chaise et restez-y jusqu’à la fin de la récréation, les mains sur la tête ! Si je vous vois bouger, c’est à une autre fessée dans la cour, devant tous les garçons, que vous aurez le droit ! » Caroline va s’agenouiller en pleurs, face à la fenêtre. Son corps nu, séparé du regard des garçons que une vitre, elle baisse les yeux et doit supporter pendant une vingtaine de minutes, les moqueries des garçons.

Dès la fin de la récréation, elle se relève et s’habille rapidement, elle attend que la cour soit vide pour sortir et va rejoindre l’établissement des filles. En entrant dans sa classe, elle va s’assoir comme un automate à sa place et éclate en sanglots. La prof ne lui prête pas attention et continue son cours normalement.

Son comportement s’est ensuite nettement amélioré, et ses résultats scolaires aussi. Cette unique punition lui a été utile, ainsi qu’à ses camarades car aucune ne voulait être punie comme Caroline…

Comments

Charly75 Il ya 11 mois  
n/a Il ya 8 ans  
mondoi Il ya 8 ans  
clyso Il ya 8 ans  
Alan75 Il ya 8 ans  
en français Il ya 10 ans  
simoncamden Il ya 10 ans  
clyso Il ya 11 ans