Voici une nouvelle histoire que j'ai écrite en suivant une trame fournie par Maec. J'espère qu'elle plaira aux lecteurs

Je passais une soirée tranquille à la maison. Avec moi, il y avait Dimitri, un ami d'enfance qui avait comme moi vingt-deux ans, et Sophie, ma petite sœur de dix-neuf ans.

Un moment dans la soirée, Dimitri nous proposa pour nous divertir une petite séance d'hypnose.

-Tu sais faire ça ? Demanda Sophie, immédiatement intéressée.

-Oui, j'ai appris il y a quelques années, je commence à savoir y faire.

Il me regarda pour avoir aussi mon avis :

-Et toi, Lucas, que'est-ce que tu en dis ?

Je ne croyais pas vraiment à l'hypnose. Pour moi, c'était juste un truc bon pour les films. Mais après tout, pourquoi ne pas essayer, peut-être que je changerai d'avis.

-Ok, ça me va, répondis-je, tant que la séance reste raisonnable.

-T'inquiète pas, me rassura-t-il, on est entre nous, on se connait. Par qui je commence ?

Sophie, intriguée, se proposa immédiatement.

-Très bien. Viens par ici, alors, fit-il

Il installa ma sœur sur le canapé du salon, et la fit s'allonger complètement.

-Ok, maintenant détends-toi en respirant profondément, le temps que je trouve mon matériel.

Sophie joua tout de suite le jeu, et fit ce qu'il disait.

Pendant ce temps, il trouva dans son sac un petit pendule qu'il attrapa avant de revenir se placer à côté d'elle. Assis dans un des fauteuils, j'observai la scène attentivement. Dimitri commença alors à faire balancer le pendule devant le visage de Sophie.

-Fixes-le bien, demanda-t-il. Ne détournes pas les yeux.

Il lui parla pendant quelques minutes, puis s'arrêta et laissa Sophie qui était comme endormie. Elle avait à présent les yeux fermés.

-Maintenant, Sophie, rouvres les yeux ! Fit-il après avoir mis son pendule de côté.

Ses yeux se rouvrirent, mais elle avait le regard dans le vide, comme si son esprit était absent.

-Tu vas te lever doucement, maintenant, continua-t-il.

Il l'aida à se redresser en la tenant par la taille, puis une fois qu'elle était stable, la lâcha. Il commença alors la séance par des exercices simples : la faire sauter sur place, lui faire tirer la langue, chanter, etc.

-Elle est très réceptive à l'hypnose, ta sœur, commenta-t-il.

Bien que c'était impressionnant, je n'étais qu'à moitié convaincu.

-Bof, c'est peut-être du trucage, tentai-je. Vous vous êtes mis tout les deux d'accord au début.

Dimitri me regarda d'un air surpris.

-Tu veux que je lui fasse faire des trucs plus impressionnant, pour te le prouver ?

L'idée était intéressante.

-Que veux-tu lui demander ? Reprit-il. Ah, attends, je sais.

Il la regarda, puis lui dit :

-Sophie, enlèves ton pantalon et ta culotte !

Là, il y allait un peu fort, quand même. J'allais lui demander d'arrêter cette mauvaise blague tout de suite, mais je fus interrompu en voyant Sophie qui venait de commencer à se déshabiller devant nous. Quelques secondes plus tard, elle se retrouva l'entre-jambes à l'air. Son expression neutre toujours sur le visage.

Connaissant ma sœur, je savais que jamais elle n'aurait fait une chose pareille. Elle était plutôt du genre pudique. Dimitri afficha un air satisfait.

-Tu me crois, maintenant ?

-Oui, mais tu aurais pu éviter de foutre ma sœur à poil devant moi !

J'étais embarrassé de me trouver dans la même pièce que ma soeur qui était nue, enfin, plutôt les fesses et la chatte à l'air, car elle avait gardé sa chemise. Elle en revanche était hypnotisée et n'avait pas du tout l'air gênée par sa situation ridicule.

Lorsque je me retournai vers Dimitri pour lui demander de la faire se rhabiller, je fus comme pris de vertiges. L'espace d'un instant, je crus tomber dans les pommes. Je repris un peu près mes esprits, et vis Dimitri face à mon visage, ou plutôt au-dessus de mon visage, car j'étais à présent couché.

-Qu'est-ce qui m'arrive, Dimitri ? Demandai-je. Je me sens bizarre.

Il me regarda d'un air un peu surpris.

-Tiens, tu as l'air de mieux résister à l'hypnose que ta soeur. Tu sembles encore à moitié conscient.

Je voulus me relever, mais malgré mes efforts, mon corps resta inerte. Je vis alors du coin de l'oeil ma soeur Sophie qui s'était rapprochée : elle se tenait toujours debout, le popotin à l'air, à côté de Dimitri.

-Qu'est-ce que tu m'as fait ? Demandai-je. Je ne peux plus bouger.

Dimitri me posa sa main sur mon front.

-Ne t'inquiètes pas, on va réaliser une petite expérience, entre amis.

Il se redressa, puis regarda à tour de rôle moi et ma soeur. Il s'adressa à elle.

-Dis-moi, Sophie, j'ai crus voir une boîte de suppositoires, dans le frigo tout à l'heure, lorsqu'on s'est servi à boire. Tu pourrais aller me les chercher ?

Je voulus réagir, mais mon corps ne répondit pas cette fois non plus et les mots ne sortirent pas de ma bouche.

Je vis Sophie aller directement vers la porte de la cuisine, qui était visible de ma position. Elle revint avec une petite boîte dans les mains.

Il s'en suivi alors une petite conversation entre Dimitri et ma soeur.

-Très bien, Sophie, fit-il en voyant la boîte. Sais-tu à quoi servent ces suppositoires ?

Elle regarda la boîte qu'elle tenait.

-Non, répondit-elle.

-Et toi, Lucas ?

-Ils aident à dormir.

Je n'avais pas eu le temps de penser, que j'avais répondu à sa question. Il eut l'air satisfait de ma réponse.

-Sophie, reprit-il. Tu sais où est-ce qu'on met les suppositoires ?

-Oui. Dans le cul.

-C'est exact, dans le cul ! Tu pourrais en déballer un, je crois que ton grand frère à besoin de dormir un peu.

Délicatement, je vis que ma soeur ouvrait la boîte. Elle sortit une plaquette de suppositoires, et sépara un emballage qu'elle ouvrit lentement. Elle attrapa ensuite la petite pointe blanche entre ses doigts.

Dimitri me regarda.

-Désolé, Lucas, tu vas devoir faire un petit somme. Après je finirai la séance d'hypnose avec Sophie. Elle aura probablement droit à un petit suppo, elle aussi !

-Allez, Sophie, commence par installer ton frère sur le ventre, demanda Dimitri.

Ma soeur s'approcha de moi avec le médicament toujours entre ses doigts.

-Sophie, s'il-te-plaît, ne fais pas ça, demandai-je.

-Désolé, répondit-elle d'un ton neutre. Tu en as besoin, il faut que tu dormes un peu.

Elle me prit par la taille et l'épaule, et commença à me renverser sur le côté. En quelques secondes, je retombais sur le ventre. Ma tête était à présent tournée de l'autre côté, m'empêchant de voir ce qui se passait.

C'est alors que des doigts agiles aggripèrent mon pantalon et mon caleçon pour les tirer en arrière. Sophie me déculotta complètement.

-Allez, parfait, maintenant mets-lui dans son cul, fit Dimitri qui devait regarder toute la scène attentivement.

-Arrêtez, s'il-vous-plaît, demandai-je une dernière fois.

Mais ma soeur m'écarta un peu mes fesses, et je sentis le suppositoire froid se poser sur mon anus. Elle poussa alors son doigt avec un peu de force, et logea le médicament dans mon derrière. Elle retira ensuite son doigt, en prenant soin de me serrer mes fesses de l'autre main pour m'empêcher d'expulser le suppo. L'opération avait durer quelques secondes, et je n'avais rien pu faire.

-Parfait, fit Dimitri dans mon dos, le petit bébé va dormir, il ne se souviendra plus de grand chose demain matin en se réveillant.