Vues: 1550 Created: 2017.03.25 Mis à jour: 2017.03.25

Domination médicale en couple

Épisode 3

Marc retira le récipient placé entre ses jambes et chercha alors dans son sac une boîte de suppositoires à la glycérine. Quand Sarah vit les médicaments, elle comprit qu'il était sérieux et se débattit à nouveau pour se libérer.

-Pas question que tu me mettes ça dans le cul ! Fit-elle d'un ton sec.

-Oh, mais tu n'as pas le choix, fit-il, je te rappelle que tu es attachée. Et puis, il faut écouter le docteur !

Sarah connaissait la force de son partenaire, et au vu de la situation elle savait qu'elle était en mauvaise posture pour se défendre.

Marc s'approchait lentement d'elle avec le suppositoire qu'il avait l'intention de lui mettre.

-Si tu essaies, je crie, menaça-t-elle.

-Tu peux crier, répondit-il. De toute façon, la plupart des voisins sont partis à cette heure-ci. Et puis, ils ont l'habitude de t'entendre crier, avec tous nos délires.

-Tu n'es pas sérieux ? Fit-elle.

-Oh que si ! Allez, maintenant, fais-moi voir gentiment tes petites fesses, que je te mette la petite fusée.

Marc considéra qu'il avait assez discuté avec elle. Maintenant, il voulait passer à l'action. Il plaça ses mains au niveau de la taille de Sarah, et entreprit de la retourner pour la mettre sur le côté.

-Voilà, comme ça, fit-il. Maintenant détends-toi et laisse-moi faire, ça ne va prendre que quelques secondes.

Sarah, qui n'avait pas l'intention de se laisser faire aussi facilement, serra les fesses autant qu'elle le pouvait.

Marc essaya de les écarter pour dégager son anus, en vain : Sarah les serrait trop fort.

-Allez, fit-il, arrête de te crisper, c'est juste un suppositoire. Je n'ai pas envie de te l'introduire de force.

Sarah maintint sa position.

-Pas question, lâcha-t-elle.

-Allons, fit-il comme pour la raisonner, d'habitude, tu ne fais pas autant d'histoires pour écarter tes fesses et me montrer ton petit trou du cul.

Sarah ne répondit pas. Elle se concentrait pour contracter ses fesses au maximum et empêcher Marc de lui mettre le suppositoire.

-Si tu refuses d'être gentille, l'avertit Marc, je vais devoir m'y prendre autrement. Je compte jusqu'à trois. Attention : un... deux...

Il attendit quelques secondes, mais les fesses de Sarah restaient définitivement crispées.

-Trois ! Fit-il finalement. Très bien. Comme tu refuses de prendre ton suppositoire, tu auras un lavement à la place : ce sera plus facile de t'introduire la canule dans le cul !

-Non, s'il-te-plaît, supplia-t-elle.

-Tu veux bien te laisser mettre ton suppositoire, alors ? Lui demanda-t-il pour lui laisser une dernière chance.

-Non. S'il-te-plaît, Marc, j'ai pas envie !

-Bon, et bien alors, ce sera un lavement ! Trancha-t-il.

Marc mit de côté le suppositoire qu'il tenait, et attrapa dans son sac un flacon à lavement à usage unique : c'était un petit flacon de 200mL pré-rempli avec une solution saline. La canule de cinq centimètres, une fois le bouchon ôté, était déjà lubrifiée.

-Et voilà, fit Marc. Voyons ce que tu dis de ça.

Il revint sur elle, la remit de côté, et la stabilisa à l'aide de ses jambes et ses bras. La canule en main, il se pencha vers ses fesses toujours crispées, visa vers son petit trou, puis inséra doucement la canule entre ses fesses, à l'aveuglette.

La canule glissa sans problème. Marc avait visé juste et l'embout continua de s'enfoncer dans le cul de Sarah. Celle-ci poussa un gémissement en sentant qu'il avait réussi son coup.

-Voilà, c'est dedans, fit Marc. Maintenant, j'envoie le liquide !

Il pressa le flacon dans sa main, et expulsa le contenu dans le rectum de Sarah qui ne pouvait plus rien faire. Elle avait d'ailleurs déserré les fesses à présent.

-Avec ça, dans cinq minutes tu seras soulagée, commenta-t-il.

-Je te déteste d'avoir fait ça, lança-t-elle. Tu me payeras ça un jour ou l'autre !

-Comme tu veux, princesse, se moqua-t-il. Mais aujourd'hui, c'est moi qui dirige les opérations !

Il pressa le flacon pour terminer de vider son contenu dans le rectum de Sarah, puis le retira doucement et partit le jeter à la poubelle.