Sarah avait toujours l'anustoscope métallique enfoncé dans son cul. Malgré son comportement à présent consentant, Marc avait décidé de la laisser menottée au lit. Il la retourna cette fois sur le dos, en prenant soin de ne pas la blesser avec l'anustoscope, et lui demanda de rester dans cette position.

Il apporta alors sur le lit toute une panoplie d'instruments médicaux : stéthoscope, tensiomètre, bâtonnets en bois, thermomètre, spéculum, et même des seringues munies d'aiguilles, ce qui inquiétait un peu Sarah. Marc disposa également plusieurs accessoires non médicaux, destinés à s'amuser éventuellement un peu plus : quelques sextoys, et un tube de chantilly !

Sarah se laissa faire et eut droit à une bonne partie de contrôles médicaux classiques : prise de son pouls, de sa tension, examination de la bouche, de ses oreilles, etc. Puis Marc descendit un peu plus bas, au niveau de sa poitrine, en posant la sonde de stéthoscope sur ses seins pour écouter son cœur et sa respiration. Durant tout ce temps, l'anus de Sarah s'habituait progressivement à la présence de l'anustocope.

Vint ensuite le moment pour Marc de vérifier la température de sa partenaire, et celle-ci ne cacha pas son étonnement en le voyant lui placer le thermomètre sous le bras.

-Tu ne me le mets pas dans le cul ? Demanda-t-elle.

-Pas pour le moment, répondit-il. Mais ne t'inquiète pas, ce thermomètre passera aussi faire un tour dans ton cu-cul, tout à l'heure !

Après avoir attendu un peu et vérifié qu'elle n'avait pas de température, il prit le spéculum et continua la progression de l'examen plus bas sur le corps de Sarah. Il lui espaça tout d'abord les jambes, et vérifia que l'anustoscope était toujours en place, en profitant du moment pour le ré-enfoncer de quelques centimètres supplémentaires.

-Allez, maintenant, petite inspection de l'entre-jambes, fit-il en tenant le spéculum. Mais pas du trou du cul cette fois-ci !

Marc mit une bonne dose de lubrifiant sur l'instrument, puis l'inséra délicatement dans le vagin de sa partenaire avant de l'écarter à l'aide d'une petite molette. Il reprit alors sa petite lampe et examina le sexe de Sarah pendant un moment sous tout les angles. Sarah se plaisait à présent à se faire examinée de la sorte. Malheureusement, ce plaisir ne dura qu'un temps, lorsqu'elle vit Marc attraper une seringue munie d'une aiguille. Elle reprit alors conscience de sa situation et le stress revint.

-Qu'est-ce que tu veux faire avec ça ? Demanda-t-elle d'une voix peu assurée.

Marc commença par retirer doucement le spéculum de son vagin, ainsi que l'anustoscope de son rectum. Puis il revint à sa seringue, qu'il remplit d'une petite quantité d'un liquide transparent.

-Je vais t'injecter un sédatif léger, lui expliqua-t-il en expulsant les bulles d'air de la seringue. Tu vas être un peu dans les vappes, mais ne t'inquiètes pas : j'ai mis une faible quantité, pour que tu restes consciente. Et au fait, l'injection se fait dans la fesse !

Sarah allait protester, mais Marc était déjà sur elle, tel un prédateur, en train de la coucher sur le ventre.