-Je n'aime pas les piqûres, lâcha Sarah.

Elle n'aimait en effet pas ça. Elle n'était pas non plus très enchantée à l'idée de recevoir un sédatif, même léger.

-Oh, j'imagine bien, répondit-il. Mais tu n'as pas vraiment le choix !

Marc pinça une de ses fesses, et en désinfecta la peau à l'aide d'un peu de coton et de désinfectant. Il reprit ensuite la seringue, et n'hésita pas pour la suite : il planta l'aiguille dans la fesse de Sarah à l'endroit où il avait mit le désinfectant, et injecta doucement le contenu de la seringue.

-Et voilà, c'est fait, lança-t-il en retirant l'aiguille.

Il prit un autre morceau de coton et s'en servit pour essuyer la goutte de sang qui perlait sur sa fesse à l'endroit de la piqûre.

Sarah avait bien encaisser la piqûre, et se concentrait à présent sur les effets du sédatif.

-Je ne ressens rien, constata-t-elle.

-Il faut patienter, lui expliqua Marc, ça va prendre quelques minutes pour agir. Tu vas te sentir fatiguée, petit à petit.

Marc décida alors de quitter la chambre un moment, le temps que les choses se fassent.

-Je reviens dans quelques minutes, quand le sédatif aura agit, dit-il.

Il laissa Sarah, nue, allongée sur le ventre sur le lit, les poignets et les chevilles toujours menottés. Il se dirigea alors dans la cuisine et se servit un café pour passer le temps et aussi se changer un peu les idées avant de revenir à Sarah.

Lorsqu'il regagna la chambre plusieurs minutes plus tard, il retrouva Sarah nue, endormie sur le lit. La dose de sédatif avait dû être un peu plus forte que prévu !

Après avoir vérifié que sa respiration était normale, Marc décida d'en profiter pour prendre sa température rectale. Il récupéra le thermomètre utilisé plus tôt sous son bras, et vint se placer à cheval sur Sarah, au-dessus de ses fesses. Il les écarta pour faire apparaître son anus, et y planta la tige de verre. Sarah, endormie, ne bougea pas durant l'opération. Quelques instants plus tard, Marc constatait que sa température était toujours normale. Sarah se réveilla doucement à ce moment-là. Elle semblait toutefois être encore bien dans les vappes, et se laissait manipuler facilement. Marc prit alors la décision de lui enlever les menottes, sachant que de toute façon elle n'aurait pas la force de se débattre.

Il profita de l'état de Sarah pour la soulever et la coucher en avant sur ses genoux, les fesses tournées vers lui. Elle avait conscience de sa situation, mais était dans un état second et restait silencieuse.

-Tu aimes la chantilly, princesse ? Lança alors Marc en secouant le tube en question pour augmenter la pression.

-Il écarta légèrement les fesses de Sarah et constata que l'anustoscope avait bien fait son travail : l'orifice était bien détendu à présent.

Il fixa alors une grosse canule au bout du tube de chantilly et plongea son extrémité dans le cul de sa partenaire.

-Tu vas la consommer d'une façon un peu particulière, aujourd'hui, commenta-t-il.

Et il appuya sur la gachette pour envoyer la chantilly, qui vient s'introduire dans le rectum et l'intestin de Sarah assez rapidement.

Malgré les gémissements de cette dernière, il réussi à vider entièrement le tube. En le retirant, une partie de la chantilly sortit automatiquement de son anus. Marc avait prévu ça et posa la pointe d'un plug de bonne taille sur l'orifice de Sarah.

-Hop hop hop ! On ne recrache pas la chantilly, fit-il.

Il dû forcer un peu, mais enfonça entièrement le plug dans les fesses de Sarah pour bloquer tout autre expulsion volontaire ou involontaire.