Vues: 1373 Created: 2016.05.30 Mis à jour: 2016.05.30

Traitement parental

Chapitre 1

Voici une nouvelle histoire que je viens de compléter. J'y aborde un sujet de base, à savoir les traitements donnés par les parents.

J'étais constipée. Pas moyen d'aller faire caca depuis deux jours. Voyant que je n'allais pas y arriver toute seule, j'avais fait part de mon problème à mes parents durant le repas. Mon père me répondit simplement d'aller essayer de pousser une nouvelle fois après avoir mangé. Je connaissais d'avance le résultat.

Après être passée aux toilettes une nouvelle fois, sans succès, je revins dans la salle à manger où mes parents avaient fini de débarrasser la table.

-Non, je n'y arrive toujours pas, fis-je.

Mon père leva les yeux vers moi.

-Bon, et bien je vais devoir te donner un suppositoire, fit-il, comme quand tu étais petite.

"Quoi !? Pensai-je."

Cela faisait des années que je n'avais pas reçu de suppositoire ! Je ne me souvenais même plus du dernier tellement ça faisait longtemps !

Le temps que je réalise ce qui se passait, mon père n'avait pas perdu de temps, et s'était levé pour se diriger dans le couloir. S'apercevant que je restais plantée là, il m'appela.

-Tu viens, Pauline ? Je vais te le donner dans la salle de bain.

Sans rien dire, je suivis timidement mon père dans le couloir. J'avais du mal à réaliser ce qui se préparait. Il comptait vraiment me donner un suppositoire !!!? Pour ça, il allait devoir mettre son doigt dans ... Ohhh, je ne préférai même pas y penser !

Je m'attendais plutôt à un comprimé ou n'importe quoi d'autre à avaler, mais sûrement pas à un suppositoire, surtout à dix-sept ans ! Pourtant, mon comportement peu caractériel fit que je n'émis aucune contestation, et que je suivis simplement mon père jusque dans la salle de bain, sans rien dire. J'avais toujours été de nature à me soumettre à l'autorité de mes parents.

Une fois dans la salle de bain, il ne ferma pas la porte, et commença immédiatement à ouvrir un placard où se trouvaient les différentes boîtes à pharmacie.

-Bon, où sont-ils ? Fit-il en commençant à fouiller dedans.

Je vis dans le miroir que j'étais toute pâle. L'idée d'être sur le point de recevoir un suppositoire me terrorisait. Pourtant, je me souvenais vaguement en avoir reçu ici même, dans cette pièce, lorsque j'étais petite, sans avoir fait d'histoire.

"Il faut absolument que je trouve une excuse pour lui faire changer d'avis, pensai-je."

Je réfléchis à toute vitesse, mais sans trouver la moindre excuse crédible. Soudain, mon père m'obligea à couper court à mes pensées, en m'interpellant.

-Tu peux déjà baisser ton pantalon et ta culotte, Pauline. J'arrive dans une seconde, le temps que je trouve la boîte de suppo.

Je fus incapable de bouger pendant un instant, mais rapidement, mes mains agrippèrent automatiquement le haut de mon pantalon pour le baisser. Puis, lentement, je fis descendre ma culotte aussi, me retrouvant les fesses à l'air. En guise de position, je me penchais légèrement en avant au-dessus de l'évier, face au miroir. Mon teint était toujours aussi pâle qu'en entrant dans la pièce.

"Maintenant, ça va être dur de faire marche arrière, pensai-je."

Je me voyais mal tout faire arrêter à ce stade, en effet.

Comme pour me le confirmer, mon père lâcha :

-Ah ! Les voilà enfin !

Il sortit une petite boîte, l'ouvrit, et en retira un suppositoire qu'il déballa tranquillement. En voyant la petite ogive blanche qu'il tenait entre ses doigts, je détournai le regard, et baissai les yeux. Puis, comme si ça allait changer quelque chose, je resserrai mes jambes pour éviter que mes fesses ne s'écartent naturellement.

-Bon allez, on y va, fit mon père.

Il vint se placer derrière moi et, comme je m'y attendais, m'écarta les fesses. J'en fus toute bouleversée, surtout lorsque je sentis la pointe du suppo se poser contre mon anus. A ce moment-là, je voulus resserrer mes fesses, ou me dégager, mais sachant que ça n'allait rien changer, je préférais m'abstenir de tenter quoi que ce soit. Maintenant, plus vite se serait fini, et mieux ce serait !

Justement, mon père commença à pousser son doigt, et je sentis le suppositoire me rentrer dans le cul. J'allais m'avancer, instinctivement, quand soudain, mon père termina l'opération en une fraction de seconde : après les deux premiers centimètres en douceur, il enfonça d'une poussée ferme et rapide son doigt dans mon cul, puis le retira. Je n'eus pas le temps de réagir que c'était fini !

-Et voilà ! Fit-il en me lâchant les fesses et en se relevant.

Je me mis de côté tandis qu'il ouvrait le robinet pour se laver les mains, et je remontais ma culotte et mon pantalon. Mon anus me faisait tout bizarre, à présent. J'avais l'impression d'encore sentir le doigt s'enfoncer en moi, puis se retirer.

Avant de quitter la salle de bain, me mon père me fit :

-Bon, tu n'as plus qu'à attendre une vingtaine de minutes, et tu iras refaire un tour aux toilettes.

Comments

clyso Il ya 8 ans  
Maec Il ya 8 ans  
thermophil Il ya 8 ans  
Nassau Il ya 8 ans  
clyso Il ya 8 ans  
patou39 Il ya 8 ans