Sur ces mots, je sent qu'elle présente l'embout de la canule sur mon orifice en attente, un embout rond et tiède que je trouve agréable dès qu'elle commence à l'introduire, je pousse un peu…

La chose me pénètre doucement et toute la longueur suit, anneau par anneau, m'élargissant l'anus à chaque passage, malgré moi, je pousse un soupir d'aise et mon Infirmière l'entend…

- Mais c'est qu'il aime ça on dirait…!? me dit-elle d'une voix malicieuse.

- Et comme cela aussi…? m'interroge-t-elle, en donnant quelques mouvement de vas et viens à sa main.

- Hummm…!!!, est ma seule réponse.

Cette petite sodomie annelée et chaude me ravie, d'autant plus que ma lavementeuse a commencée à m'arroser le rectum par petites giclées, à chaque poussées sur la poire, elle l'a presse en même temps…

En plus de rendre un lavement plaisant, voilà que ma voisine passe une paume caressante sur mes testicules, allant même jusqu'à me masturber quelque peu, ma verge se redresse…

Le liquide m'envahit langoureusement, je n'ai pas vus le temps passer quand elle me dit que la poire est déjà vide, heureusement, j'ai le droit à un deuxième service…

Pendant la seconde poire, mon Infirmière augmente la vitesses des vas et viens de la canule dans mes fesses, sa main tripoteuse m'a décalottée et elle me caresse le gland de ses doigts lubrifiés…

Le résultat ne se fait pas attendre, le plaisir prostatique allié à celui de son branle me font me déverser entre ses doigts, attentive, elle a anticipée en m'enfonçant la poire à fond, pour éviter que je ne me déverse aussi par derrière…

- Voila…Voila… c'est bien… dit-elle tout simplement en se léchant les doigts…

Au retrait de la canule, comme je serre les fesses pour éviter tout accident, mon anus contracté sur l'embout émet un bruit de succion, cela fait rire ma voisine qui me traite de cochon…

- Maintenant… vous allez gardez ça pour au moins dix minutes…!

- Si je vois une seule fuite, je vous met un tampon périodique…! me dit-elle autoritaire.

Mon ventre gargouille honteusement et les premières crampes commencent à me secouer les tripes, mon Infirmière lave son matériel et le range, jetant de temps en temps un regard vers moi…

Je la regarde aussi, belle quinqua en blouse blanche, dont je devine les formes, et selon l'éclairage, aperçoit par instant au travers du tissu, ses jolis sous vêtements…

Une crampe plus forte m'oblige à me lever, je vais rapidement pour m'assoir aux wc, mais elle m'en empêche et agite devant moi le tampon en menace, je me plie et je râle, mais je lui obéis…

Enfin elle me libère, je n'en peux plus de me retenir, elle quitte la pièce et me laisse me vider, bruyante cataractes, Niagara du rectum, on se sent seul au monde mais ça fait tellement de bien…