Quelques jours après la première séance avec Patricia, ma voisine, je la croisais au courrier, et après un bonjour rapide sans s'arrêter, elle se retourne vers moi en me montrant sa montre et me dit juste, "- à 13h30...", puis elle tourne les talons pour prendre l'ascenseur...

Je comprend que c'est un rendez-vous, sa façon de faire est surprenante, mais se veut discrète, je bégaye un "Oui…", me souvenant de ses paroles quand j'avais voulus la toucher… "Pas maintenant… une autre fois… nous aurons l'occasion de nous connaître mieux…"… je me dis que c'est aujourd'hui…

A l'heure dite, je sonne chez elle avec déjà une certaine raideur dans le slip, mon Infirmière m'ouvre mais pas en tenue professionnelle cette fois, non, elle a revêtue une charlotte et une blouse opératoire jetable de patient, fermée dans le dos, la transparence me permet de voir qu'elle ne porte qu'une culotte blanche en dessous…

Elle me fait vite entrer, me sert la main et m'offre un café, voyant ma mine désappointée quand à sa tenue, elle sourie et vient s'asseoir à côté de moi, me posant une main sur les cuisses, elle se laisse aller aux confidences sur ses désirs et fantasmes…

- J'ai beaucoup pensé à vous…Comme je vous l'ai dis, vous me rappelez mon "feu" mari… Pardon encore pour mon refus de l'autre jour…me dit-elle en me caressant les cuisses.

- Pas d'excuses entre nous Pat… Je peux vous appeler Pat…? moi c'est Francis…

- Autour d'un café je veux bien, oui… Mais pour une séance médicale plus poussée, je préfère Madame, ou Mme l'Infirmière…Justement…heu…Je voudrais vous demander quelque chose…

- Dites Pat…?! Demandez…! Que puis-je pour vous…? dis-je un peu intrigué.

- Et bien… je peux paraître un peu sévère parfois, mais je n'en reste pas moins une femme Francis… avec ses besoins, ses désirs et ses fantasmes…

- Une très belle femme d'ailleurs… lui dis-je, les yeux dans les yeux…

- Flatteur… me dit-elle en remontant les caresses de sa main sur ma braguette, me faisant bander encore plus.

- Mais non… je le pense… avec ce que je vois de vous au travers de votre blouse… lui dis-je en posant une main sur ses seins…

- Hummm… Mais vous bandez Francis…! me dit-elle en ouvrant ma braguette pour me sortir la queue…

Je n'ai pas le temps de poser ma tasse à café que déjà elle me suce d'une très agréable façon, tout en me baissant pantalon et culotte, je savoure l'instant, elle sait y faire la gueuse, une fellatrice experte à la bouche gourmande, à la langue virevoltante et aux lèvres exquises, elle avale mon sexe jusqu'au fond de sa gorge, puis revient me parler…

- Qu'elle est belle et bien dure… Elle serai bien dans mes fesses… Voulez-vous m'enculer Francis…? me demande-t-elle droit dans les yeux…

Je reste scotché quelques secondes en entendant sa demande, Elle, si sûre d'elle, si autoritaire quand elle est dans son rôle d'Infirmière, la voila qui demande à être prise par derrière…

- Heu…! Oui… bien sur…

- Venez alors…me dit-elle en me prenant par la main pour se diriger vers la salle de bain…

- J'ai besoin d'un bon lavement avant… Vous allez me le donner… Je vous montre comment j'aime qu'on me le fasse… Je suis un peu constipée en ce moment…

Et la voila partie dans des explications en remplissant son bock, température de l'eau et l'huile qu'elle ajoute, il lui faut un bon litre, pour bien faire les choses, elle me donne une tunique et des gants en latex, me voila Infirmier…

Nu et en érection sous le tissu de ma tunique, je la regarde faire, elle suspend le bock d'eau au crochet du trépied qui est près de la table, et monte s'installer en se troussant la blouse, elle se met à quatre pattes appuyée sur les coudes, et me tend son derrière en écartant les cuisses…

Je découvre sa vulve à la toison soignée, ses lèvres sont entrouvertes, déjà brillantes de mouille, je lui caresse les fesses en regardant sa raie, les plis de son anus forment un petit bourrelet que je masse du pouce pour le décontracter, elle me tend la vaseline pour le lui lubrifier, m'expliquant que je dois commencer par un touché rectal…

- Je le fais à tous mes patients et patientes… cela permet un petit contrôle de la sensibilité, mais aussi de l'encombrement…Ainsi, on décide de la quantité d'eau à injecter…

Tout en l'écoutant, je lui enduit l'anus de pommade en le massant de la pulpe des doigts, ma voisine pousse sur son sphincter car je vois l'ouverture de son œillet s'agrandir et venir à leur rencontre, l'orifice assouplit laisse entrer mon index qui s'enfonce en entier…

Je le vrille en cercle dans son rectum, puis lui donne quelques vas et viens, ma voisine soupire d'aise, sans lui demander la permission, j'ajoute mon majeur, les deux doigts joints en fuseau la pénètrent en élargissant son anus, introduction entière, jusqu'aux jointures, une masse dure stop ma progression…

- Effectivement Madame… Vous êtes encombrée… lui dis-je poliment, non sans lui avoir fouiller le conduis de quelques allés-retours digitaux….

- Hummm… Vous auscultez bien Francis… Excusez-moi pour ce que vous avez trouvé… Trois jours que je n'ai pas fais… Ajoutez un litre…

- Cela arrive à tous le monde Madame… Ne soyez pas gênée… Je vous lavemente de suite, dis-je en ajoutant de la préparation dans le bock…

- Oui… Faites… Et surtout, n'oubliez pas de changez de gant…

Je retire mes doigts de ses fesses, son anus se referme doucement pendant que je l'essuie, un filet de mouille lui pend de la vulve, je change mon gant souillé et saisit la canule, elle en a installée une de son choix, longue de presque vingt centimètres, large de deux, et terminée par un embout ovale d'au moins quatre cm de diamètre…

Mon Infirmière s'écarte elle-même les fesses en signe d'invitation, l'introduction se fait presque à sec, elle préfère, un trop plein de vaseline rendrait son anus perméable dit-elle, par contre, elle ne déteste pas être masturbée pendant l'injection, dont elle souhaite régler le débit elle-même…

J'enfonce la canule en elle, avec quelques vas et viens et rotations, elle serre les fesses et ouvre le robinet, ça y est, le lavement coule en elle, je caresse ses nymphes en bougeant la canule, stimule son bouton, un doigt dans son vagin, elle en réclame un autre que j'ajoute au premier, puis un troisième encore …

Elle gémie sur la table quand j'enfonce mes doigts, elle coupe le débit pendant que je la branle, puis le remet en route, se remplissant doucement, elle demande ma main, mais pas pour le mariage, pour l'avoir toute entière dans son fourreau de chairs…