Vues: 529 Created: 2014.11.01 Mis à jour: 2014.11.01

Infirmière Bénévole

Chapitre 7

J'étais guilleret le matin du grand soir, bien qu'ayant eu déjà par deux fois des relations anales avec des hommes, du moins en tant que pénétrant car pour ma part, je suis déjà passé à la casserole pour y goutter aussi, pour l'un des gars, cela avait été sa première fois, un souvenir mémorable de par les circonstances, avec un collègue de boulot célibataire et hétéro convaincu, à qui j'avais donné un coup de main lors de son déménagement, en soulevant un carton, le fond avait lâché et le contenus s'était rependu à mes pieds…

Un bric à brac de revues pornos et d'objets, parmi lesquels j'avais aperçu un vibromasseur de petite taille et un tube de lubrifiant intime, remontant de le camionnette, il m'était tombé dessus alors que je le mettais en marche, le bruit du vibreur avait envahis le silence et mon collègue avait viré au rouge cramoisi, bredouillant que c'était une "copine de cheval" qui l'avait oubliée chez lui, mais pas de chance, une des revues pornos s'était ouverte sur une magnifique photo d'homme à quatre pattes, dont l'anus était visité par une femme mature harnachée d'un gode ceinture…

Devant son embarras, j'avais juste dis, -Tous les gouts sont dans la mature…, histoire de rire, puis le soir après avoir finit son emménagement, quelques bières aidant à libérer la parole, je l'avais titillé sur le sujet et lui laissais entendre, sur le ton de la confidence, que je comprenais que des gars aiment ça, d'ailleurs, je pouvais m'occuper de lui s'il en avait envie, il en resta interloqué un instant, me disant qu'il n'avait jamais fait ça avec un homme, mais je voyais bien la bosse qui commençait à déformer sa braguette, la chose l'excitait donc…

Je lui en ai fais la remarque, lui ai montré que moi aussi, et après l'éternelle excuse du - Je ne suis pas homo, c'est juste pour voir…, je lui ai baissé pantalon et slip pour le caresser et le sucer, le temps de lui préparer l'anus par un saliveux doigtage en douceur, il était très réceptif à mes attouchements et son orifice en fût vite détendu, si bien qu'après quelques vas et viens de mon majeur puis de mon pouce, il était prêt à recevoir le vibro… Je l'ai fais mettre à quatre pattes sur son matelas au sol, j'ai utilisé son lubrifiant et le gode la pénétré doucement…

Il se masturbait pendant que d'une main je lui faisais du bien à son petit trou, et que de l'autre, ayant sortis ma verge, je m'en faisais aussi, il se retourna plusieurs fois pour me regarder faire, semblant apeuré et attiré à la fois par la vision de mon sexe, à un moment j'ai osé le lui proposer pour remplacer le vibro, il ajuste dis "doucement…" et je l'ai sodomisé presque immédiatement, après une lubrification de ma tige et de mon gland, il a poussé un râle profond à la pénétration mais s'est laissé faire, quelques gémissements plus tard, il éjaculait et moi aussi…

C'est sur ce souvenir que je sonnais chez Patricia qui attendait l'heure de rendez-vous de son patient avec son épouse, j'étais en avance et cela lui permit de me donner ses instructions quand au déroulement de cette séance de dépucelage anal, elle portait déjà sa tenue, une casaque chirurgicale stérile à usage unique, fendue devant et derrière et sous laquelle elle était nue, coiffée d'une charlotte ronde, le masque bucco-nasale pendant à ses oreilles, le tout de couleur verte, ce qui donnait totalement d'elle, l'image médicale de la professionnelle…

Elle me tendit ma tenue, une tunique et un pantalon de bloc à usage unique de couleur bleu, fendue à la braguette et aux fesses, un calot jetable, le « Surgical Cap » original et le masque de protection à élastiques, car non seulement l'hygiène nous l'imposait mais aussi l'anonymat… En effet, le couple avait exigé d'être masqué pour la discrétion et porterait les même protections que nous afin de ne pas être reconnu, il en allait de même pour moi, ne souhaitant pas être identifié dans l'immeuble comme l'assistant sodomite de service et le patient ne voulant pas connaître l'homme qui lui avait ouvert les fesses…

Le couple arrive enfin et Patricia les fait entrer sans que je les vois, attendant dans une pièce attenante, le temps qu'ils se mettent en tenue, puis elle vient m'ouvrir et me présente aimablement mais de docte façon comme étant son assistant, Paul, Infirmier stagiaire en troisième année de DEI, actuellement en formation clinique, service Proctologie, il convient parfaitement pour l'objet de votre consultation, son mensonge me gêne un peu mais si ça les rassurent, nous nous saluons de la tête et d'un bonjour courtois, nos mains sont déjà lavées et désinfectées…