Vues: 626 Created: 2015.12.29 Mis à jour: 2015.12.29

L'enquête

L'enquête

L'enquête

Bonjour,

voici pour cette fin d'année une nouvelle histoire : L'enquête. Elle se compose de trois parties, chacune divisée en trois actes.

Je poste tout d'un bloc, j'espère que l'histoire vous plaira.

Les faits - acte I

Charlotte arriva dans le grand salon à l'ambiance mondaine aux alentours de 20 heure. Une des hôtesses, vêtue d'une tenue sexy, vint rapidement à sa rencontre.

-Salut, Charlotte ! Lança-t-elle d'une manière familière.

L'intéressée se contenta de lui répondre d'un signe de main.

-Comme d'habitude, fit-elle.

-Je fais passer le message, répondit l'hôtesse

Puis Charlotte commanda un cockail bien alcoolisé, et s'installa dans un des confortables fauteuils de la pièce. Elle patienta ainsi tranquillement pendant une bonne demi-heure, le temps que l'alcool lui monte un peu à la tête. Elle avait besoin de se sentir dans cet état second pour la suite.

Quand elle se sentit prête, Charlotte se releva, et se dirigea vers un couloir qui donnait à l'étage inférieur. Une autre hôtesse au style tout aussi sexy la salua.

-Bonjour Charlotte. Tout est prêt pour toi, tu peux entrer.

-Merci Samia, répondit-elle.

Et elle ouvrit la porte qui lui faisait face pour rentrer dans la pièce et refermer derrière elle. Elle se retrouva alors dans une pièce vide, assez petite, où se trouvait une unique petite table en bois placée contre un mur. Une autre porte était présente, où un écriteau indiquait "WC".

Charlotte, qui commençait à être habituée aux pratiques de l'établissement, baissa son patalon et sa culotte, se pencha en avant sur la table, puis attendit en silence. Cela pouvait parfois durer jusqu'à quelques minutes. Aujourd'hui, la porte s'ouvrit au bout d'une vingtaine de secondes d'attente. Un homme entra dans la pièce, et referma derrière lui.

Charlotte n'eut rien à lui dire : il avait déjà reçu des consignes, et savait exactement quoi faire. De toute façon elle n'avait pas vraiment son mot à dire, puisque cette étape était obligatoire pour la suite.

L'homme se dirigea en silence dans son dos, et se plaça juste derrière elle. Il écarta ses fesses, et repéra son trou du cul.

-Allez, on pousse un peu, fit-il.

Il attendit une petite seconde, puis poussa un suppositoire d'un geste rapide et ferme dans son derrière.

Charlotte, l'espace d'un instant, se crispa et eut un petit mouvement du bassin en avant, mais broncha à peine. Elle laissa l'homme retirer son doigt, lâcher ses fesses, et quitter la pièce. Le suppositoire était mis !

Les faits - acte II

Charlotte remonta son pantalon et sa culotte, et attendit une dizaine de minutes, seule, dans la pièce. Il n'en fallait généralement pas plus avant qu'elle ressente les premières contractions. Elle prit la porte menant aux toilettes, se mit à nouveau les fesses à l'air, et s'assit sur le trône. Dix minutes de plus, et le suppositoire à la glycérine qu'on lui avait mis avait fait son travail.

Charlotte s'essuya les fesses, tira la chasse d'eau, et repartit dans la pièce. Elle ouvrit alors la porte menant au couloir par lequel elle était arrivée, et passa sa tête par l'ouverture. Elle aperçut alors l'hôtesse qu'elle avait vue un peu avant en arrivant.

-Samia, j'ai terminé, fit-elle. Tout s'est bien passé.

-Ok, je préviens ton partenaire, répondit-elle.

Charlotte la remercia, puis referma la porte de la pièce. Elle repartit se placer comme tout à l'heure, face à la table, penchée en avant dessus. Elle attendit cette fois une bonne minute avant d'entendre la porte s'ouvrir et un autre homme entrer dans la pièce.

Son estomac se resserra quelque peu.

L'homme arriva et se plaça derrière elle. Charlotte évita de croiser son regard. Jusqu'à présent, elle évitait le contact visuel direct avec ses partenaires. L'homme posa alors brusquement un objet sur la table. Il s'agissait d'un pot de vaseline, dont il enleva le couvercle dans la foulée. Puis il se remit derrière Charlotte et lui baissa son pantalon jusqu'aux chevilles. La culotte suivit juste après, et elle se retrouva les fesses à l'air.

Son coeur se mit à battre plus fort.

Elle vit la main de l'homme s'approcher du pot de vaseline, tendre l'index, et le tremper dedans, avant de ressortir tout gras. L'instant d'après, elle sentit deux doigts écarter ses fesses.

Elle inspira un grand coup ... et l'homme lui fourra l'index dans le trou du cul de toute sa longueur !

La vaseline avait bien facilité la pénétration. Charlotte souffla. L'homme tournoya son doigt plusieurs fois dans son trou de balle, en faisant des petits va-et-viens, puis le retira.

Le bruit d'une tirette annonça à Charlotte qu'il était en train de baisser son pantalon, pour sortir son engin. Elle fut tentée de tourner la tête pour regarder, mais préféra en rester à son principe de base : pas de contact visuel direct.

Les faits - acte III

Charlotte, toujours penchée sur la table, se laissa manipuler. L'homme lui écarta un peu les cuisses, attrapa ses fesses à deux mains, et les écarta à l'aide de ses pouces. Il plaça alors, avec une habilité certaine, son gland contre l'anus de la jeune femme.

Charlotte serra les dents et les poignets : la pénétration était parfois douloureuse. L'homme, son partenaire, bascula son bassin en avant. La gland força son petit trou, et le fit céder dès cette première poussée. Son pénis s'enfonça entièrement dans le cul de Charlotte. Celle-ci poussa un soupir sonore en sentant son intimité se faire violer.

L'homme commença à se retirer, puis revint à la charge de plus belle, enfonçant à nouveau sa bite dans le derrière de la jeune femme.

-Aie ! Cria-t-elle.

Mais l'homme continua, imperturbable, à l'enculer sur cette petite table, sous ses soupirs, ses gémissements, et parfois ses cris de douleurs. L'action dura plusieurs minutes. Charlotte, le cul en feu, ne sentait plus son petit trou. L'homme s'en retira, et la laissa souffler un peu sur la table. L'enculade était terminée.

Tandis que Charlotte reprenait ses esprits, une lumière aveuglante balaya la pièce l'espace d'une seconde, accompagnée d'un bruit de flash.

-Voilà encore une belle photo souvenir, fit l'homme.

Il fit sortir la photo en question, et la déposa sur la table devant Charlotte. Celle-ci se vit alors de derrière, les jambes écartées, penchée sur la table. Au centre du cliché se trouvaient ses fesses, encore écartée, avec un anus bien ouvert qui formait une cavité noire du diamètre d'une pièce de deux euros.

-Oh, j'ai le cul tout défoncé ! Lança-t-elle sans se relever.

L'homme, qui avait repris le pot de vaseline et remonté son pantalon, lui donna comme réponse :

-C'est ce que tu voulais, ma belle !

Et il quitta la pièce.

Charlotte attendit encore quelques minutes ainsi sur la table. Des bruits lointains du couloir lui parvinrent aux oreilles : des cris, des gémissements, et des claquements. Probablement d'autres clients et clientes, demandant des choses peut-être encore plus osées à leurs partenaires.

Elle se redressa enfin, et entreprit de remettre ses vêtements correctement. Son cul lui faisait encore mal, et elle sentait qu'elle se déplaçait en canard. Pourquoi faisait-elle tout ça ? Se demanda-t-elle. Elle vit le cliché sur la table, et l'attrapa avant de le mettre dans sa poche. "Un beau souvenir", pensa-t-elle.

Puis son regard se troubla. Elle vit tout d'abord flou, puis quelques secondes plus tard, ses jambes se dérobèrent. Sa tête heurta le sol, et elle sombra dans les ténèbres.

L'investigation - acte I

Charlie, le jeune inspecteur récemment promu, descendit de sa voiture de fonction, accompagné de deux policiers.

-C'est ce bâtiment, fit l'un d'eux. On a reçu un appel il y a vingt minutes.

Charlie lu l'écriteau au-dessus de la porte d'entrée.

-"Le défouloir" ? Qu'est-ce que c'est exactement.

-Un club privé où les riches payent pour assouvir leurs fantasmes, expliqua le policier.

Pas besoin d'en demander plus. Charlie se dirigea vers l'entrée.

-Allez, on entre. On va voir ce que c'est que cette histoire.

Il pénétra dans le bâtiment avec ses deux hommes, et fut accueilli par une charmante hôtesse qui laissait une bonne partie de son corps visible, dont ses fesses.

-Je suis Charlie, inspecteur de police, se présenta-t-il. On a reçu un appel urgent il y a vingt minutes.

-Oui, c'est en bas. Suivez-moi.

L'hôtesse accompagna les trois hommes à l'étage plus bas, et les invita à entrer dans la petite pièce.

Charlie fit un rapide état des lieux : au centre de la pièce se trouvait une jeune femme bien habillée, couchée par terre, inerte. Elle était dans une position semi-recroquevilllée. Le seul autre élément dans la pièce était une table placée contre le mur. Une porte donnait également aux toilettes.

-Elle s'est écroulée tout à l'heure, juste après sa séance, expliqua l'hôtesse. Elle s'appelle Charlotte, c'est une de nos clientes régulières.

Un des policier se baissa, et prit son poignet.

-Son pouls est faible. Je vais appeler une ambulance, fit-il.

Il décrocha son téléphone.

Charlie interrogea l'hôtesse.

-Vous savez ce qui s'est passé exactement ? Demanda-t-il.

-Non, on l'a retrouvé écroulée par terre peu après sa séance. On vous a prévenu aussitôt.

-En quoi consistait cette "séance" ?

L'hôtesse sembla un peu embarassée.

-Elle s'est fait sodomiser, expliqua-t-elle. C'est un de nos hommes qui s'est chargé d'elle ce soir.

-Sodomisée, nota l'inspecteur. Autre chose ?

-Euh, oui. Avant la séance, on lui a donné un suppositoire à la glycérine, pour l'envoyer aux toilettes. C'est obligatoire avant de genre de pratique, dans cet établissement.

-Je vois, fit Charlie. Ce suppositoire, c'est elle qui se l'est administré elle-même ?

L'hôtesse secoua la tête.

-Non, c'est un autre de nos hommes qui s'est chargé de lui mettre, histoire d'être sûr que le travail est bien fait, question d'hygiène.

L'inspecteur resta pensif un moment, avant d'enchaîner.

-Ok. Je vais avoir besoin de parler à ces deux hommes : celui qui lui a mis le suppo, et celui qui l'a sodomisé.

-Très bien, je vais les faire venir ici.

L'investigation - acte II

Après ce rapide interrogatoire, et avant celui des deux hommes, Charlie décida de procéder à un rapide examen physique de la victime, cette dénommée Charlotte.

Le policier qui avait appelé l'ambulance venait de relever son pouls à nouveau.

-Dans combien de temps arrivent les secours ? Demanda Charlie.

-Dans une quinzaine de minutes, répondit-il.

-Ok. Pouvez-vous vérifier si elle a des lésions anales, suite à cette sodomie ?

-Oui, je m'en occupe, monsieur.

Le policier avait étalé une couverture sur le sol. Il plaça la jeune femme inconsciente dessus, et la retourna sur le ventre. Il agrippa ensuite le haut de son pantalon, et le tira, ainsi que sa culotte, jusqu'à ses genoux.

Pour le jeune inspecteur, récemment affecté sur le terrain, la vue de cet homme en train de déculotter cette jeune femme lui donna quelques frissons sous la ceinture.

Sans perdre de temps, le policier écarta cette paire de fesses. Le trou de balle encore dilaté de la jeune femme apparut.

-Pas de lésion apparente, constata-t-il. Elle a juste l'anus un peu rouge. Normal après s'être fait ramonée ainsi.

Il lâcha les fesses de la victime. Celle-ci restèrent légèrement écartées.

-Pouvez-vous aussi prélever un peu de selle ? Demanda Charlie. J'aimerais faire analyser le contenu de ce suppositoire qu'elle a reçu, s'il en reste des traces.

-Pas de soucis, répondit le policier.

Cette fois, il sortit un peu plus de matériel : un morceau de chiffon, et un gant à usage médical. Il commença à enfiler le gant à sa main gauche.

Le coeur de l'inspecteur se mit à battre plus fort.

-Comment allez-vous vous y prendre ? Demanda-t-il.

Le policier venait de faire claquer son gant, signe qu'il avait fini de le mettre.

-Vous allez le savoir tout de suite, inspecteur. Si vous avez une âme sensible, je vous conseille de détourner le regard, toutefois.

-Non, ça ira, répondit Charlie.

Alors, le policier écarta encore une fois les fesses de la jeune femme, puis plongea son doigt ganté dans son cul. Il poussa loin, et resta plusieurs secondes le doigt planté ainsi. Puis il le sortit enfin, et l'essuya sur le chiffon, qu'il mis à l'intérieur d'un sachet stérile.

-Voilà votre échantillon prêt pour analyse, lança fièrement le policier en tendant le sachet à l'inspecteur.

-Merci, fit-il, ça ira, maintenant. Vous pouvez lui remonter son pantalon et sa culotte.

L'investigation - acte III

Charlie se trouvait face aux deux hommes qui s'étaient occupé de la victime. Celui qui s'était chargé de lui mettre son suppositoire était un grand blond, et celui qui l'avait sodomisé était un homme assez grand aussi, les cheveux noirs coupés courts.

L'inspecteur décida de commencer par interroger le grand blond.

-Quel type de suppositoires utilisez-vous ? Demanda-t-il.

-Des suppos à la glycérine. On en a une réserve ici, pour les clients qui veulent de l'anal.

-Lhôtesse m'a dit que ces suppositoires étaient obligatoires avant la séance. Comment votre cliente a-t-elle réagi à ça ?

-Ce n'est pas la première fois qu'elle vient ici. Elle en a déjà reçu, expliqua-t-il. Par contre, je ne suis pas sûr qu'elle adorait ça.

-Comment ça ? Demanda Charlie.

-Et bien, la petite était un peu crispée, lorsqu'il a fallu lui mettre le suppo.

-Mais vous lui avez donné quand même ?

-Oui. C'est obligatoire. Mais c'est vite fait, vous savez : une petite poussée dans le cul, et c'est fait. Elle n'avait pas l'air de particulièrement apprécier, mais elle s'est laissée faire.

-Et elle n'a pas manifesté de douleurs ou d'autres signes inhabituels, après que vous lui ayez donné ce suppositoire ?

-Non, mais je suis partis très vite après ça, je ne suis pas resté à la surveiller.

L'inspecteur termina de noter les infos sur son carnet, et passa à l'autre homme.

-A vous. Comment se portait votre cliente, lorsque vous êtes venu faire votre affaire ?

-Plutôt bien, je dirai. Peut-être un peu stressée, comme d'habitude.

-Vous lui avez parlé ?

-Non. Elle est assez timide, en fait.

A ce moment, le policier resté aux côtés de la jeune femme arriva, et tendit une petite feuille à l'inspecteur.

-Je viens de retrouver cette photo dans la poche de la victime, fit-il. Je pense que ça peut vous intéresser.

L'inspecteur observa le cliché. Il découvrit la victime, apparemment encore consciente, qui était penchée sur la table, avec le trou de balle bien ouvert entre ses fesses.

Il tendit la photo à l'homme qu'il était en train d'interroger.

-Un peu surprenant, pour une jeune femme timide, fit-il. Elle s'est littéralement laissée ouvrir le trou de balle !

-C'est ce qu'elle désirait, se défendit l'homme. Mais sur le plan de la conversation, elle était plutôt timide.

-Et cette photo ?

-C'est un service qu'on propose ici. Un petit souvenir, en quelque sorte. Les clients peuvent conserver leurs photos s'ils le désirent. Sinon, ils la détruisent.

-D'accord. C'est donc une jeune femme timide, mais qui vient se faire sodomiser dans un établissement. Après votre petite affaire, comment était-elle ?

-Elle semblait épuisée. Elle est restée penchée sur la table un moment. Je suis partis après ça.

-Et vous avez fait d'autres choses, avant ou après cette sodomie ?

L'homme réfléchit.

-Je lui ai mis un doigt dans le cul avant. C'était pour la lubrifier, et aussi vérifier qu'elle s'était bien vidée avant. Pour elle tout était ok.

-Quel lubrifiant avez-vous utilisé ? Demanda Charlie.

-De la vaseline, répondit-il.

L'inspecteur nota les infos, et se leva de sa chaise.

-Ok. J'en ai terminé pour le moment avec vous, conclut l'inspecteur.

La résolution - acte I

Les secours venaient d'arriver, il s'agissait d'un homme et d'une femme. Ils avaient rapidement stabilisé l'état de la victime, qui reposait à présent sur une couchette, sans danger. Malheureusement, elle était toujours inconsciente.

La secouriste était à présent assise à ses côtés, en train de s'occuper d'elle. Charlie partit à se rencontre.

-Quand pensez-vous qu'elle va se réveiller ? Demanda-t-il.

-Aucune idée, répondit-elle. Je suis en train de l'examiner, j'en saurais peut-être plus après.

Charlie vit alors la secouriste attraper un thermomètre, puis baisser le pantalon de la jeune femme. Avant qu'il ait eu le temps de réagir, elle avait déjà planté le thermomètre dans le cul de sa patiente.

-Vous avez une idée de ce qu'il lui est arrivé, inspecteur ? Demanda-t-elle à son tour en tenant le thermomètre enfoncé.

Le geste de la secouriste déstabilisait un peu Charlie. Il mit quelques secondes à réagir.

-Elle a reçu un suppositoire, et de la vaseline dans le cul, un peu avant de tomber dans les pommes, expliqua-t-il.

La secouriste prit soudain un ton moins sérieux.

-Ouah ! Un suppositoire et de la vaseline dans le cul ? Ca c'est un scoop !

Charlie ignora sa plaisanterie, peut-être parce qu'il se sentait un peu mal à l'aise d'en parler avec sa collègue.

-Il est possible qu'un de ces produits ait contenu une substance toxique, poursuivit-il.

-Ne vous inquiétez pas, fit la secouriste à nouveau sérieuse. Votre collègue nous a déjà raconté ça. Le mien est justement en train de préparer un lavement pour cette chère demoiselle.

Charlie jeta un coup d'oeil à l'autre secouriste, et le vit en effet en train de remplir un grand flacon terminé d'une canule.

-Un lavement ? Demanda-t-il. Pourquoi ?

-On va la vider un peu mieux qu'avec juste un suppositoire, répondit la secouriste. Comme ça, elle pourra éliminer ces éventuelles substances toxiques !

Elle retira alors le thermomètre du cul de la victime, et lu sa température.

-Bon, 36.9°. Elle n'a pas de fièvre. C'est parti pour le lavement. Vous n'êtes pas obligé de regarder, inspecteur.

La résolution - acte II

L'inspecteur s'était un peu mis en retrait, mais ne pouvait pas s'empêcher d'observer ce qui se préparait sous ses yeux. La secouriste avait déculotter la jeune femme, et avait ramené ses fesses près du bord de la couchette, au-dessus d'une bassine. Son collègue arriva avec le flacon plein, et enfonça délicatement la canule à l'intérieur du cul de la patiente. Il commença alors à presser le flacon pour envoyer le liquide dans l'intestin de Charlotte.

En une minute, il avait terminé de tout vider, et retira la canule. La secouriste maintint les fesses de la patiente écartée, tout en massant son ventre pour faire ressortir le liquide. Un flot s'écoula alors de l'anus de Charlotte vers la bassine, bruyamment.

Il terminèrent l'opération proprement, et prélevèrent un peu du liquide de la bassine en question, avant d'aller jeter le reste aux toilettes.

-Et voilà, fit la secouriste à Charlie. Plus de danger pour elle. Elle ne devrait pas tarder à se réveiller. Vous pourrez l'interroger à ce moment-là.

Elle se rapprocha de lui, plus près, et lui chuchota à l'oreille.

-Vous aussi vous auriez besoin d'une petite vidange, on dirait.

Elle accompagna sa phrase en donnant deux petites tapes sur la bosse qui s'était formée sous sa ceinture, et repartit dans la direction opposée avec un sourire aux lèvres, sans rien ajouter.

Peu après, Charlotte se réveilla dans sa couchette. L'inspecteur tenta de l'interroger, mais elle semblait ne pas se souvenir de grand chose de la soirée. Elle fut donc emmenée par les secouristes hors de l'établissement, pour se rétablir correctement.

Les analyses de selles prélevées sur elle ne donnèrent pas de résultat supplémentaire : elle avait bien reçu un suppositoire à la glycérine, et de la vaseline, mais rien d'autre. On en conclut que Charlotte s'était évanouie suite à sa sodomie, probablement à cause de la douleur, et l'affaire fut classée.

La résolution - acte III

Sur le chemin du retour, Charlie reçut un appel en arrivant à son bureau au commissariat.

-Oui ?

-Allo, inspecteur. C'est Sarah, la secouriste de tout à l'heure. Est-ce que vous pourriez venir une seconde au labo ?

Charlie hésita avant de répondre.

-Ok, j'arrive dans une seconde.

Il n'avait pas demandé de quoi il s'agissait, bien qu'il ait une petite idée. Celle-ci se confirma quand il retrouva Sarah au labo. A cette heure-ci, il n'y avait plus personne, à part eux deux. Sarah était en train de se changer, visiblement, et se trouvait alors en sous-vêtements, près de son casier.

-Je suis là, fit-il en s'approchant derrière elle.

Elle se retourna face à lui, et lui lança un sourire.

-J'allais aller prendre une douche aux vestiaires, fit-elle. Je me suis dit que vous voudriez faire un petit debriefing suite à l'affaire de tout à l'heure. On peut en profiter pour faire tout ça ensemble.

Un sourire apparut cette fois sur le visage de Charlie.

-Je vous suis, fit-il.

Il traversa le vestiaire jusqu'aux douches, où Sarah termina de se déshabiller complètement. Elle se dirigea tout de suite sous l'eau.

-Si tu veux toujours ta petite vidange, je te conseille de venir me rejoindre, fit-elle.

Ne perdant pas de temps, il ôta tous ses vêtements, et la rejoignit sous l'eau chaude. Son sexe était déjà tout tendu.

Mais le geste de Sarah qui suivit surprit Charlie. Au lieu de s'addonner à du sexe, elle ouvrit une petite boîte de laquelle elle sortit un suppositoire à la glycérine.

-Il a été confisqué tout à l'heure pour des analyses plus poussées, expliqua-t-elle. Celles-ci n'ont rien révélé. C'est un suppo tout ce qu'il y a de plus normal.

-Et ?

-Je me suis dit que c'était dommage de le jeter dans les égoûts, alors qu'il peut encore être utile.

-Tu es sûre qu'il est sans danger ?

-Sûre à 100%. Maintenant retourne-toi, si tu ne veux pas qu'il fonde.

Charlie fut tenté par sa proposition et se retourna pour lui tourner le dos.

-Alors c'est ça la petite vidange ? Demanda-t-il.

-C'est juste une partie, répondit-elle. Ecarte les jambes.

Charlie s'exécuta.

Sarah porta le suppo vers les fesses de son collègue, et d'un geste professionnelle, elle le poussa dans son cul !

-Hmmm, apprécia Charlie.

Sarah repassa devant lui, et attrapa son sexe dans ses mains.

-Maintenant, deuxième partie de la vidange, annonça-t-elle. Dépêchons-nous avant que le suppo n'agisse.

Elle commença à masturber Charlie, tout en se lançant caresser elle-même l'entre-jambes et les fesses. En quelques minutes, elle lui fit cracher la sauce.

-Allez, sèche-toi et va te soulager aux toilettes, maintenant, lui dit-elle en lui donnant une tape sur les fesses.

Fin

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suppox39 Il ya 8 ans  
patou39 Il ya 8 ans  
mondoi Il ya 8 ans  
clyso Il ya 8 ans