Vues: 1127 Created: 2015.08.24 Mis à jour: 2015.08.24

Soins à domicile

Chapitre 1

Manon, ma petite sœur de douze ans, avait 39°C de fièvre. Lorsque ma mère lui avait pris sa température, elle l'avait aussitôt installée dans le canapé du salon, et avait fait venir le docteur. Heureusement, c'était une période de l'année plutôt calme et il put se libérer immédiatement pour venir à la maison.

C'était le nouveau médecin traitant de la famille, qui avait remplacé l'ancien après son départ à la retraite. Il avait la trentaine environ. Il était plutôt du genre grand et maigre, et portait une fine barbe de trois jours et de petites lunettes. Ses cheveux bruns étaient coupés très courts.

Il arriva environ vingt minutes après le coup de téléphone.

-C'est pour elle, lui dit ma mère en désignant Manon qui était couchée sur le canapé, encore en pyjama. Elle s'est levée avec un peu de fièvre ce matin, mais ça a empiré ensuite.

Le médecin jaugea ma petite sœur du regard. Celle-ci poussait de petits gémissements à cause du mal de tête.

-Vous pouvez me rappeler son âge ? Demanda le médecin.

-Oui. Elle a douze ans.

De mon côté, je m'étais installée sur une des chaises du salon, et observait tranquillement la scène.

-Vous lui avez pris sa température récemment ? Poursuivit le médecin.

-Oui, répondit ma mère, il y a un quart d'heure. Elle avait trente-neuf de fièvre.

-Ok, fit le médecin. Je vais l'examiner, et on va lui donner quelque chose pour qu'elle aille mieux.

Il vint se placer contre le canapé, au-dessus de ma Manon, et posa sa main à plat sur son front pendant quelques secondes, avant de la retirer.

-Hum, oui, elle a beaucoup de température, confirma le médecin. Je vais devoir la faire baisser rapidement, pour ne pas que ça s'aggrave.

Ma sœur, sur son canapé, continuait à gémir de douleur. Elle s'était légèrement recroquevillée en repliant ses jambes vers l'intérieur.

-Je vais commencer par lui donner un petit sédatif pour la calmer, fit le médecin. Ça devrait aussi l'aider à faire descendre sa fièvre.

Ma mère parut étonnée.

-Un sédatif ? Demanda-t-elle.

-Ne vous inquiétez pas, la rassura-t-il, ce n'est qu'un petit sédatif très léger, destiné aux enfants. C'est un suppositoire qui sert aussi à calmer la douleur, en général.

Cette dernière phrase piqua ma curiosité, et je relevai les yeux vers ma sœur avec un soudain regain d'attention. Bien sûr, l'information que j'avais relevée était que le médicament que le docteur voulait donner à ma sœur n'était autre qu'un suppositoire.

Ma mère, de son côté, s'était contentée de hocher la tête.

-Ok, allez-y, si ça peut la calmer un peu.

Le médecin avait pris sa trousse médicale, et après quelques secondes de recherche, en avait ressortit un emballage contenant le fameux suppositoire.

Intriguée, je me levai de ma chaise, et vint me placer plus près pour assister à l'opération. Ce n'était pas de la perversion de ma part, mais juste de la curiosité. Je n'avais en effet jamais reçu de suppositoire, du moins jusqu'où remontaient mes souvenirs. Je savais simplement que c'était un médicament qui se mettait dans le derrière. Je voulais donc simplement voir comment cela se passait, avec toutefois une certaine excitation.

Et mon souhait s'exhaussa en direct : le médecin déposa l'emballage du suppo à côté, sur la table, et attrapa par derrière le pantalon de pyjama de ma petite soeur pour lui tirer jusqu'aux genoux. Il fit ainsi apparaître ses petites fesses.

Ensuite, il l'aida à replier encore plus ses jambes, en ramenant ses genoux le plus loin possible vers l'avant.

Là, je me plaçai du bon côté, face aux fesses de Manon, puis je me rapprochai, pour ne rien louper de l'opération.

-Natalie ! Me reprocha ma mère, agacée par mon manège. Vas te mettre plus loin, ne gêne pas le docteur dans son travail !

-Mais je veux juste regarder, insistai-je en restant sur place.

Cette remarque sembla amuser le médecin.

-Ha, la curiosité des enfants... fit-il.

Une fois Manon en place, les fesses bien en retrait, il reprit le suppositoire et le retira de son emballage. Le médicament ressemblait à une petite fusée toute blanche. Il posa ensuite ses doigts sur les fesses de ma sœur, et les écarta assez largement.

De là où je me trouvais, je vis aussitôt son petit trou serré apparaître entre les doigts du médecin qui maintenaient les fesses écartées.

Soudain, Manon, comme alertée par ce geste, bougea ses jambes pour s'extraire de cette position gênante. Mais le docteur la stabilisa aussitôt en posant une main sur sa jambe. De l'autre, il garda ses fesses écartées.

-Ne bouge pas, demanda-t-il. Détends-toi, c'est pratiquement fini.

Ma sœur se calma, et le docteur en profita pour attraper la petite fusée blanche et la placer sur son trou du cul.

Mon cœur s'accéléra en le voyant faire. Puis tout le reste se passa en un instant :

D'une bonne poussée, le docteur fit entrer le suppositoire dans le cul de ma sœur, en enfonçant lui-même son doigt de plusieurs centimètres.

Le geste avait eu l'air facile, mais je devinais que Manon n'avait pas dû trouver ça très agréable. La peau autour de son orifice s'était serrée pendant la pénétration, et elle avait voulut basculer son bassin vers l'avant pour esquiver le geste, sans grande efficacité.

-Aie ! Ça fait mal ! Avait alors crié ma sœur.

Le docteur enleva tout d'abord ses doigts qui tenait ses fesses écartées, puis son doigt qui était encore enfoncé en elle glissa lentement hors de son cul. Il maintint ensuite ses fesses serrées l'une contre l'autre pour qu'elle n'expulse pas le suppositoire.

-Ça me pique, le médicament ! Se plaignit Manon.

-Ce n'est pas très agréable à recevoir, lui fit le médecin, mais ça va t'aider à aller mieux. Tu vas te sentir fatiguée dans quelques minutes, et tu ne sentiras déjà plus rien.

Il se releva du canapé, et Manon en profita aussitôt pour se remettre en position en allongeant ses jambes. Il attrapa ensuite son pyjama, et le remonta pour cacher à nouveau ses fesses.

Puis il se tourna vers moi. J'étais toujours au même endroit, la bouche encore ouverte après ce que je venais de voir.

-Et voilà, fit-il, me sortant de mes pensées. Maintenant, tu sais comment ça se passe.

Je ne répondis rien, perdue dans mes pensées. Il partit alors de la pièce et demanda à ma mère où se trouvait la salle d'eau pour se laver les mains.

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