Vues: 642 Created: 2015.05.29 Mis à jour: 2015.05.29

Rosaline

Deuxième séance

Rosaline était couchée sur la même table que la dernière fois, mais sur le dos, cette fois-ci. Elle était complètement nue.

L'homme avait commencé par lui attacher les chevilles à des étriers, et les poignets à des bracelets fixés à la table.

-Bon, maintenant, ouvres bien grand la bouche, ma belle !

En disant cela, l'homme s'était penché au-dessus d'elle, et tenait un bâillon entre ses mains à quelques centimètres de son visage. Pour Rosaline, ce point était un des plus durs, car la bâillonner revenait à l'empêcher de se plaindre ou de refuser un traitement avec lequel elle n'était pas d'accord.

Fermant les yeux, elle obéit et ouvrit grand la bouche. L'homme y plaça immédiatement une sorte de boule en plastique, qu'il sangla à sa tête pour l'empêcher de la recracher.

-Tu peux parler, maintenant ? Demanda-t-il.

-Ummmm, ummmm !

L'homme parut satisfait.

-Très bien, maintenant, je vais pouvoir m'occuper de ton petit cul. Comme je te l'ai promis, tu vas avoir droit à une bonne vidange !

Il vint se placer près de pieds de Rosaline, et leva les étriers au maximum pour qu'elle ait les cuisses relevées et écartées. Dans cette position, il voyait complètement sa chatte et son trou de balle.

-Comme ça aussi, c'est une position très utilisée pour les lavements, expliqua l'homme. J'ai directement accès à ton troufion !

Ensuite, il sortit un étrange appareil, qui ressemblait à un vieux ordinateur. Il le posa sur une autre table à côté d'elle.

-C'est un vieux électrocardiogramme, expliqua l'homme, ça va permettre de pouvoir suivre la vitesse de battement de ton cœur, et c'est aussi un très bon indicateur pour voir ton niveau de stress.

Il relia deux fils qui sortaient de cet appareil à deux électrodes, qu'il colla sur la peau de Rosaline : une au-dessus de son sein droit, et une sur son flanc gauche.

Il alluma l'appareil, qui commença à émettre des "bip bip" réguliers. Encore un peu, et Rosaline se serait crue dans une chambre d'hôpital.

-Je vais vérifier qu'il fonctionne correctement, expliqua-t-il.

Pour cela, il se remit en face de son entrejambes, et pour la taquiner posa son doigt sur son anus. En poussant suffisamment, il fit rentrer son doigt d'un centimètre dans le cul de sa patiente.

-Ummmmmmm !

Rosaline voulut bouger, mais n'y arriva pas à cause des liens qui l'immobilisaient.

L'appareil se mit à biper un peu plus rapidement, puis revint à une fréquence normale quand Rosaline fut à nouveau détendue.

-C'est bon, on dirait qu'il fonctionne bien, fit l'homme en retirant son doigt. Bon, maintenant, occupons-nous un peu de ton cul-cul !

Il se dirigea alors vers un petit meuble réfrigéré, et en sortit une boîte transparente en plastique qui contenait des médicaments que Rosaline reconnut aussitôt : c'était des petits suppositoires à la glycérine.

En le voyant en sortir un de la boîte et se rapprocher de la table sur laquelle elle se trouvait, elle sentit le stress et l'excitation la gagner, en même temps que la machine accélérait ses "bip bip". Son sexe devint un peu humide, ce qui n'échappa pas au regard de l'homme.

-Les suppositoires t'excitent ? Demanda-t-il d'un ton amusé en observant son intimité. J'espère que tu sais ce qui t'attend quand je t'en aurais mis dans le fion !

Pour se faire plus explicite, il souleva une bassine bleue en plastique pour qu'elle puisse la voir, puis la fixa à la table, juste en-dessous de ses fesses.

Les "bip bip" s’accélérèrent encore. Cette fois, c'était bien le stress et non l'excitation que ça traduisait chez elle.

L'homme prit alors le suppositoire entre ses doigts et le frotta à la vulve humide de Rosaline en guise de lubrification. Puis il posa la pointe du suppo sur son anus, et appuya dessus dans la foulée. Son doigt s'enfonça sans aucune résistance dans son rectum.

-Hum, tu les absorbes si facilement. Je vais en profiter et t'en mettre quelques un de plus !

Il sortit de la boîte deux autres suppositoires, sous ses yeux, et répéta l'opération, les envoyant dans son derrière l'un après l'autre.

-Tu vas les garder un petit moment, fit-il, le temps que je prépare tout le matériel pour ton lavement !

Rosaline le regarda s'affairer lentement. Il apportait chaque élément un par un : tout d'abord le bock qu'il remplit d'eau dans laquelle il versa ensuite un peu d'un liquide qu'elle ne connaissait pas, puis un long tube souple terminé par une canule à boule qu'il fixa au bock. Il sortit ensuite un petit pot de vaseline et en enduisit généreusement la canule.

Après cinq minutes, les suppositoires commençaient déjà à faire effets et Rosaline sentait des picotements et des démangeaisons désagréables à l'anus. Il fallait qu'elle commence à lutter pour ne pas se laisser expulser les médicaments dans la bassine.

En la voyant gigoter sur sa table, l'homme devina ce qu'elle ressentait.

-Ce n'est pas encore le moment de te soulager. Tu vas garder ces suppos encore le temps de ton lavement.

Il fixa le bock en hauteur, sur un support, et attrapa la canule qu'il plaça juste en face du petit trou de sa cliente. En une poussée qu'il rendit volontairement brutale, il traversa son orifice, et gonfla aussitôt la boule pour l'empêcher d'être expulsée.

-Voilà, maintenant tu peux pousser si tu veux : cette canule agit comme un bouchon, elle ne sortira pas de ton derrière tant que je ne l'aurait pas décidé.

Il ouvrit une petite vanne placée sur le tube, et Rosaline sentit aussitôt une eau tiède lui envahir l'intestin. Le liquide continua à couler, et elle sentit soudain des petites contractions, puis des picotements plus intenses.

-Au fait, fit l'homme, tu risques d'avoir un peu mal : j'ai ajouté à ton lavement un peu de jus de gingembre, ça va piquer dans tes fesses.

-Ummmmmm ! Umm ! Umm...

La machine indiqua l'augmentation de son stress, et Rosaline bougea sur sa table sans pouvoir se dégager.

-Tu voulais avoir mal, c'est toi qui l'a dit, fit-il d'un ton faussement désolé. De toute façon, c'est un peu tard pour changer d'avis maintenant.

Rosaline avait à présent les larmes aux yeux. Son rectum et son anus lui piquaient de plus en plus, et la douleur prenait le dessus sur l'envie d'aller aux toilettes. Vainement, elle tenta de pousser pour empêcher le liquide d'entrer, mais le bock était suffisamment haut pour que la pression du liquide soit plus forte.

Petit à petit, le contenu du bock continua sa progression dans son intestin, et elle vit même son ventre commencer à gonfler un peu.

"Bon sang, s'il n'arrête pas, mon ventre va éclater !" pensa-t-elle en remarquant cela.

Il regarda dans le bock, et lui annonça ce qui était pour elle une mauvaise nouvelle.

-Encore un litre à absorber, ce n'est pas fini !

Rosaline se sentit soudain impuissante : elle ne pouvait ni parler, ni bouger, et même si elle le pouvait, il ne la laisserait pas échapper à ce lavement !

Elle gigota donc sur place en faisant du bruit, jusqu'à ce qu'enfin elle voit la fin du liquide couler par le tube transparent qui reliait le bock à son anus.

Même si elle n'en pouvait plus, elle respira de soulagement.

-Allez, encore deux litres supplémentaires, et tu en auras terminé avec ce lavement, fit-il en voyant la fin de liquide s'écouler.

"Quoi ???" pensa Rosaline. Son cœur fit un saut sur place dans sa poitrine !

Elle tenta de se débattre.

-Ummm... Umm !

Un sourire pervers s'afficha sur le visage de l'homme.

-Je plaisantais, fit-il. Tu as le cul-cul bien rempli, déjà. Par contre, si tu veux tester un lavement extrême, un jour, on pourra l'envisager !

Il se mit de côté, souleva un peu la bassine, et laissa la boule de la canule se dégonfler lentement. Dès qu'il la retira hors de son cul, celui-ci explosa littéralement : un flot continu du liquide se déversa dans la bassine, et Rosaline était tellement soulagée qu'elle ne se préoccupait même pas du fait qu'il la voit en direct se soulager ainsi.

Une fois la majorité du liquide évacué, elle expulsa le reste par petites giclées, son anus se contractant régulièrement.

-Je vais t'aider un peu pour la fin, fit l'homme, ce n'est jamais évident de se vider complètement.

-Hummmm !

Elle avait redressé sa tête d'un coup, en sentant un objet s'enfoncer dans ses fesses.

-Je t'ai mis une canule plus grosse, seule. Elle va empêcher ton anus de se refermer complètement, expliqua-t-il.

Il lui massa un peu le ventre, tandis que le reste du liquide continuait tranquillement de couler dans la bassine.

-Bon, voilà qui est fait, annonça-t-il quand le flot s'arrêta. Ton anus va piquer encore un peu, pendant quelques minutes. Je te mettrais bien un autre suppositoire pour te soulager, mais il faut garder ce rectum bien vide, maintenant qu'il est tout propre.

Dès qu'il eut retiré la canule de son derrière, vidé la bassine dans une cuvette des toilettes, et ranger tout le matériel utilisé pour le lavement, il passa à la phase suivante de la séance : la dilatation anale !

Rosaline était dans la même position : attachée, bâillonnée, les jambes relevées et écartées, et son entrejambes bien visible. Une position qui était très humiliante, mais qui en même temps lui procurait un certain plaisir malsain, celui de se faire dominer complètement par cet homme.

Comment allait-il procéder ? La méthode pouvait être douce et progressive, mais Rosaline lui avait demandé la dernière fois quelque chose d'un peu plus "brutal".

Elle eut sa réponse en voyant l'homme baisser puis enlever son pantalon et son caleçon. Son pénis était déjà au garde-à-vous. Il enfila une capote, et commença à s'enduire généreusement d'un gel lubrifiant. Il en ajouta également sur l'anus de sa cliente, mais uniquement en surface, sans rentrer son doigt.

Tenant son sexe dans sa main et venant se placer face à son entrejambes, il était fin prêt à la sodomiser !

-C'est l'heure d'inspecter ton trou de balle, fit-il. Je vais utiliser ma grosse sonde personnelle, si tu vois ce que je veux dire !

Il posa tout d'abord son gland sur l'orifice de Rosaline qui ne bougeait plus à présent. Elle attendait, un peu anxieuse de la sensation que réservait cette sodomie.

-Hum, fit-il. Tu me sembles bien détendue, pour ta sodomie. Je vais te donner un petit suppo très spécial, ça va un peu pimenter la séance !

Il éloigna son sexe de son anus, et partit chercher un objet dans une armoire. Rosaline ne reconnut pas tout de suite de quoi il s'agissait.

-Du gingembre, expliqua l'homme. Je vais y tailler un suppositoire à te mettre. Il va te piquer quand il sera dans ton cul, puis je t'aiderai à le faire ressortir.

Sous les yeux suppliant de Rosaline, il prit un couteau de cuisine et commença à tailler dans le gingembre. Il y découpa une forme rectangulaire, d'environ un centimètre de largeur et trois centimètres de longueur. Puis sitôt promis, sitôt fait, il introduisit de force ce suppositoire piquant, ignorant les plaintes et les mouvement de sa cliente qui tentait d'échapper au traitement.

-Voilà, c'est trop tard, il est dedans !

Il replaça alors son sexe sur son anus, et le poussa doucement, de plus en plus fort, jusqu'à ce que ça rentre à l'intérieur. Il s'en suit une très longue série de va-et-viens, où Rosaline n'aurait su dire si les brûlures qu'elle ressentait étaient dues aux mouvements brutaux de l'homme dans son derrière, ou du morceau de gingembre qu'il lui avait enfoncé auparavant. En tout cas, il avait réussi à rendre l'expérience de cette sodomie suffisamment désagréable pour répondre à sa demande !

Lorsqu'il jouit enfin durant la sodomie, il ralentit progressivement la cadence puis se dégagea. L'anus dilaté de Rosaline n'eut qu'un faible répit car aussitôt sortit de son cul, l'homme profita de l'orifice ouvert pour y fourrer quelques doigts dedans.

Rosaline se cambra violemment sur sa table, mais quelques secondes plus tard, c'était terminé, et elle vit les doigts de l'homme qui tenait le morceau de gingembre enfoncé plus tôt.

La fin de la séance fut progressif : il attendit que Rosaline se calme un peu, et que son rythme cardiaque redevienne normal, avant de la libérer de son bâillon et de la détacher de la table.

Il lui proposa ensuite d'aller se détendre seule en prenant une bonne douche, tandis qu'il terminait de tout nettoyer dans la pièce.

La séance se termina ainsi.

(Il y aura peut-être une séance supplémentaire. Pour le moment rien n'est commencé)