Vues: 599 Created: 2012.04.28 Mis à jour: 2012.04.28

Expérimentation médicale

Partie 3

Loin de moi l’idée de vous faire languir. C’est juste qu’écrire prend du temps, comme vous le savez. Enfin, voici la suite…

Cette fois, la nuit est vraiment agitée. Je suis bien enfermé dans la cage, je n’ai pas la clé et je ne sais pas ce qui va se passer. Je dors en pointillés, habité par une angoisse et une excitation mélangées.

Au matin, je me prépare pour ma visite médicale, mais vers 9h, je reçois un appel du cabinet médical. Sa secrétaire me dit que le docteur est obligé de différer notre rendez-vous à 17h. Immédiatement, je m’imagine enfermé toute une journée de plus. Je proteste un peu mais la secrétaire me dit que c’est un cas de force majeure. Si je ne suis pas libre ce jour à 17h, elle peut me proposer un autre rendez-vous le lendemain à 17h. Je capitule et accepte le rendez-vous proposé initialement.

A 17h, je suis seul dans la salle d’attente. Le docteur arrive et me conduit dans son cabinet. Dans le couloir, je vois la secrétaire à son bureau, que je n’avais pas remarquée les jours précédents. Cette fois, je me déshabille avant même que le docteur m’y invite. Elle sourit et me dit que c’est une bonne initiative. Elle ajoute d’un ton un peu plus sévère :

- En revanche, il ne faudra plus discuter les rendez-vous que je vous propose ou vous serez puni.

Nu mais encore debout devant son bureau, et en cherchant la clé du regard, j’essaie d’expliquer que je n’ai pas discuté. Alors elle me regarde d’un air dur et me demande de me taire. Elle ajoute que ce n’est pas la peine de discuter et que je vais immédiatement recevoir ma première punition pour la protestation du matin, pour l’avoir contredite maintenant, et pour fouiller son bureau du regard. Elle ajoute que de toute façon, je n’y trouverai pas de clé.

Elle se lève et me demande de poser mes 2 mains sur la table. Je m’exécute sans discuter, me penche un peu en avant et ressens la surface froide contre mes paumes. Elle vient derrière moi et place une main sur ma nuque qu’elle fait glisser le long de ma colonne vertébrale. Je reçois la première claque sur la fesse droite. Elle m’intime immédiatement de ne pas bouger et aussitôt abat une deuxième claque au même endroit, puis une troisième. La fessée dure 5 coups. Mon coté droit est endolori. Elle me dit de me redresser et de ne pas bouger. Elle retourne à son bureau et presse un bouton de son interphone :

- Claire, vous pouvez venir, s’il vous plait ?

- Oui, docteur, j’arrive.

Là, je ne sais plus ce que je dois faire. Le médecin me regarde avec ce sourire charmant pendant que je rougis.

La secrétaire entre dans le bureau, marque un temps puis demande ce qu’elle peut faire. Le docteur lui demande d’approcher, ce qu’elle fait.

La secrétaire, une jeune femme d’une trentaine d’années, est maintenant face à moi et me regarde de haut en bas d’un air neutre. Elle porte un léger pull beige et un jean, avec des baskets. Le docteur lui explique que j’ai dit ne pas avoir protesté le matin au téléphone. Claire lui explique alors toute la conversation en détail.

Au final, je vais recevoir une deuxième fessée. La secrétaire accepte avec un plaisir non dissimulé de me l’administrer elle-même.

- Merci, Claire, lui dit le docteur en la raccompagnant à la porte.

Puis elle se tourne vers moi et me dit :

- Bien, passons à notre examen médical. Elle s’approche et constate en souriant de nouveau que la fessée a causé une nouvelle érection. Elle se met à genoux devant moi, prend la cage dans une main, mes testicules dans l’autre, et commence son examen commenté.

- Bien, je vois que les fonctions érectiles sont en parfait état ; les frottements ne vous font pas de mal ; les ouvertures dans la cage permettent une bonne hygiène…

Elle glisse alors sa langue dans l’ouverture à l’extrémité de la cage, touchant l’extrémité du gland. Devant ma réaction de plaisir et de surprise, elle dit :

- Parfait, les sensations tactiles sont intactes. Tout va bien pour l’instant. Revenez demain à 17h.

- Bien docteur. Je me rhabille et prend congé, plus excité que jamais.