Nudité à l'hôpital
Partie 1
Lignes directrices pour l’amélioration des procédures
Cette étude se pose le double but d'une amélioration des garanties d’asepsie dans le milieu hospitalier, y compris les aspects des coûts et de l'écologie, et d'un changement, dans un sens moins sectoriel et plus global, de l'approche diagnostique vers les patients/es.
Asepsie
Des études récentes on démontré que les vêtements et les effets personnels des patients/es constituent un véhicule significatif d'agents contaminants.
On constituera donc une barrière vis-à-vis de ces effets, en les laissant au dehors du périmètre opératif de l'hôpital.
Le/la patient/e, après avoir quitté ses effets dans le vestiaire d'admission et avoir passé une douche désinfectante, ne recevra qu'un peignoir léger et un paire de chaussons.
Aucun autre vêtement ou sous-vêtement ne sera admis.
Cette dotation, strictement personnelle, sera désinfectée chaque nuit.
Le choix d'une veste à usage multiple vis-à-vis d'une veste à usage unique a le but soit d'une réduction des coûts, soit d'une limitation des déchets hospitaliers.
Approche diagnostique.
En contre tendance par rapport à une spécialisation de plus en plus poussée, où chaque spécialiste tend à s'occuper de la région du corps de sa compétence, et de compter plus sur les résultats instrumentaux que sur l'observation directe du corps du patient, on préconise une approche tout-à-fait globale, où chaque opérateur sanitaire observera attentivement tout le corps du patient à l'occasion de n'importe quel examen ou acte thérapeutique, même les plus simples comme une prise de sang ou une mesure de pression.
Par conséquent, l'infirmière accompagnant le patient lui enlèvera le peignoir dès l'entrée dans la salle d'examen ou avant de commencer l'acte médical.
Un règlement détaillé pour la réalisation pratique de ces mesures sera publié prochainement.
Je découvre la double suite ce soir !
Je suis d'accord avec Woyzec.
L'effort …
pourrait-on envisager un peignoir trans…
J’ai été toujours fasciné par les situa…