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Vues: 1106 Created: 2015.06.29 Mis à jour: 2015.06.29

Consultation de choc

Chapitre 1

Je sortais d'une relation de quelques mois avec une jolie blonde vénitienne, cheveux mi courts, de grandes jambes au teint pâle, des petits seins laiteux. Elle était tendre et juvénile, vingt cinq ans environ. Très mignonne. Je l'avais séduite à la fin de mon master 2 et elle était tombée sous le charme d'un poème que je lui avais composé. Nous avons passé un moment ensemble, à flirter. Mais je n'avais pas réussi à lui faire l'amour, dés la première fois que nous avons essayer jusqu'à nos derniers moments ensemble. Impuissant, je perdais toute ma virilité nuit après nuit, après chaque tentative. Je ne comprenais pas pourquoi, la mécanique ayant très bien fonctionné jusque là. Après cet échec, j'avais enchaîné sur un plan cul du tonnerre, 1m80, cheveux courts elle aussi, teint en rouge, belle poitrine, des lèvres fines et des yeux verts. Un serpent de mer rencontré par l'intermédiaire d'un ami. Elle m'avais embrassé d'abord pour jouer, puis ensuite pour m'emmener dans son pieu. Mais tous les dimanches soir, jour où elle débarquait dans mon studio, rien. Malgré ses portes jarretelles, ses odeurs de patchouli, ses mains baladeuses, sa langue aiguisée, pas une érection. Je me branlais parfois pendant qu'elle me faisait lécher ses seins, la faisait jouir avec mes doigts et ma langue, parfois sept fois dans la nuit. Mais impossible de la pénétrer. Cela mis fin à nos rencontre. La dernière tentative, pathétique, eu lieu avec une de mes meilleurs amies. Mais ses dessous de dentelles rouges et sa silhouette de brésilienne n'ont rien changé à mon problème. Au bout d'un moment, je désespérais, mettant mon orgueil de côté et voulant retrouver les joies d'une véritable partie de jambes en l'air, je me décidai à choisir l'option médicale.

Je pris rendez vous avec mon médecin traitant un vendredi soir, après le boulot. J'étais un peu nerveux d'aborder ce genre de problème avec mon docteur, qui était un homme d'une cinquantaine d'année. Mais je savais qu'il y avait des remèdes, médicamenteux ou bien par le biais psychanalytique. Dans la salle d'attente, je ne savais plus franchement ce que je foutais là, entre les magazines « Voici » et les jeux pour enfants. Mon problème n'en était peut être pas forcément un, c'était dans ma tête, il fallait juste que je n'y pense plus. Je fus tiré de ma rêverie par le bruit de la lourde porte qui menait au cabinet. A ma grande surprise ce ne fut pas un homme de cinquante ans qui m'accueillit mais une jeune femme d'environ vingt cinq ans. Une petite brune, coiffé d'un carré plongeant qui découvrait de longues boucles d'oreille dorées et des petites lunettes à la monture rouge. Elle avait des seins volumineux, qui était péniblement contenu par son débardeur et sa blouse blanche. Une jupe noire couvrait ses jambes jusqu'en haut des genoux, elle avait des cuisses assez fermes, qui semblait être couvertent par des portes jarretelles. Je fus subjugué. C'est à elle que j'allais devoir parler de mes problèmes intimes ? Mon souffle s'emporta à cette idée.

« Bonjour, je vous en prie » me dit elle en m'indiquant l'entrée du cabinet. Elle avait une voix douce et bienveillante. Déjà je me sentis un peu plus en confiance.

« Je suis une remplaçante, votre médecin titulaire est en congé, j'espère que ça ne vous dérangera pas. » précisa t-elle en m'accompagnant dans le petit couloir. Elle marchait avec de courts talons hauts. Je m'assis devant elle, sur la chaise posée derrière son bureau et enlevai ma veste. Son joli cul posé sur son fauteuil de simili cuir, elle tria quelques papiers et releva la tête dans ma direction avec un sourire.

« Je vous écoute »

Timidement, je me lançai.

- Voilà, j'ai quelques problèmes disons... d'ordre... intimes.

Elle commença à prendre des notes.

« Oui, c'est à dire ? »

- Hé bien je n'ai plus d'érection.

« Depuis combien de temps ?

- Environ 6 mois

« 6 mois ? C'est un long moment.Vous vous masturbez ?

Oui, mais je n'arrive plus à bander

« Bien, pas de prise de viagra ?

Non, je viens un peu pour ça.

« Je comprend. Mais d'abord il va falloir que je vous examine. Passez à côté et déshabillez vous, je suis à vous dans un instant. »

La pièce adjacente au bureau était équipée d'une banquette médicale et de quelques meubles, avec un chariot en métal qui contenait toutes sortes d'ustensiles, des gants en latex au tensiomètre en passant par les abaisses langues en bois. Une balance était collée au mur et une petite chaise était disposée dans le coin gauche. Je me déshabillai, ne gardant comme d'habitude que mon caleçon et mes chaussettes. La température de la salle était agréable et je m'assis pour attendre le médecin. J'entendis ces petits talons claquer sur le carrelage et sa silhouette apparu dans l'embrasure de la porte. Désormais, elle portait autour de son cou un stéthoscope. Rapidement, elle se désinfecta les mains puis étira un linge d'examen le long de la table.

« Bien, venez vous asseoir » m'ordonna t-elle en m'indiquant la table d'examen.

Je m'exécutai, dans un premier temps elle me prit la tension et examina le fond de ma gorge après avoir palpé mes amygdales, puis elle passa le stéthoscope sur mon torse et mon dos, en me faisant tousser à plusieurs reprises. Ses gestes était sereins et très surs, ses mains était douces et chaudes. Elle les passa bientôt sur l'ensemble de mon abdomen après m'avoir fait allonger, pressant ici et là sur plusieurs zones de mon ventre. C'était très agréable.

« Respirez bien à fond. Vous ne ressentez pas de douleur ? »

« Non aucune

« Très bien. Les signes vitaux sont bons, la tension un peu élevée. »

Tu m'étonnes, avec un médecin aussi canon !

« Relevez vous et mettez vous face à moi s'il vous plait »

Je suivis ses instructions. Après avoir enfilé des gants, elle prit un petit fauteuil à roulette et s'installa face à moi, ou plutôt, à mon sexe. C'est alors qu'elle baissa mon caleçon sans aucun avertissement. La gêne fut si grande que je me sentis rougir. Elle resta silencieuse un moment devant mon membre flasque puis se mit à palper mes bourses de ses deux mains. Ce fut douloureux à certains moments, car elle les pressait légèrement, ce qui me faisait sursauter. Ensuite, elle prit mon sexe et le décalotta, pour le regarder sous toutes les coutures. Son doigt passa le long de la couronne de mon gland et elle écarta légèrement mon urètre.

« Pas d'anomalie à ce niveau là. Venez vous allongez »

J'ôtai mon caleçon qui stagnait sur mes chevilles puis allai m'allonger sur la table d'examen. En faisant rouler son tabouret elle vint se poster juste au bout de la banquette. Elle fit sortir deux étriers métalliques de sous la table et me demanda de m'avancer afin d'y poser les pieds. Elle me fit mettre le bassin bien au bord. La position était assez embarrassante. En levant la tête, je pus voir un bout de son décolleté, parsemé de dentelle noire. Ce fut très court, mais excitant. Elle commença la deuxième partie de l'examen par une prise de température rectale. Je sentis un petit chatouillement à l'entrée de l'anus et une sensation de froid rapide qui me parcouru le dos. Le bip retentit au bout de quelques secondes et elle annonça d'une voix basse « 37.7, pas de souci ». Elle me conseilla de me détendre, que tout allait bien se passer et qu'on allait travailler ensemble pour retrouver mes entières dispositions. Je pris une grande respiration et décidai de me laisser guider.

« On va commencer par un rapide toucher rectal, ce n'est pas vraiment de votre âge mais dans votre situation, ça s'impose. Je vais donc insérer un doigt dans votre rectum et ce, jusqu'à votre prostate. Si vous êtes détendu, ça ne sera pas douloureux, juste un peu gênant tout au plus. »

Ce qu'elle ne savait pas, c'est que j'avais déjà expérimenté ce genre de chose en solo, et plus rarement, avec une de mes conquêtes passées. Elle sortit du lubrifiant de son tiroir et en badigeonna son index avec lequel elle commença à masser mon anus. Puis elle essaya de passer son doigt. Petit à petit, en me faisant bien respirer, elle arriva à le passer. Je le sentis disparaître en moi, jusqu'à un point sensible, qui me fit frétiller. En même temps, elle massait mon bas ventre. Je sentit des afflues de sang dans ma verge. Mais elle s'arrêta en retirant son doigt et en l'inspectant.

« Je poursuivrai tout à l'heure. Il vous faut un lavement »

Tout en disant cela, elle avança vers elle une bassine puis alla au robinet remplir un sac d'eau relié à une canule. Je n'avais jamais reçu un tel traitement. Après l'avoir lubrifiée, elle enfonça le tuyau au fond du rectum et libéra l'eau tiède en moi à l'aide d'un petit robinet. C'était finalement assez agréable comme sensation.

« Un petit litre suffira. »

Je commençais à sentir quelques contractions dans le bas ventre, et mon cul se contracter. Elle retira la canule et vint masser mon abdomen quelques instants. Elle m'expliqua que c'était pour bien répartir l'eau.

« Bien relâchez maintenant. »

Il ne me fallut pas longtemps pour expulser l'eau de mon rectum, qui vint teinter dans la bassine de métal. Suite au lavement, elle passa rapidement à nouveau un doigt dans mon anus. Ensuite, elle sortit un outil métallique avec deux tiges plates.

« C'est un speculum, c'est pour regarder à l'intérieur. La procédure risque de tirer un peu mais ne vous en faites pas »

Elle lubrifia puis en deux fois, réussi à m'enfoncer le spéculum. Effectivement, peu après, je sentis une sensation étrange. Elle m'expliqua qu'elle état entrain d'écarter mon anus. Le tiraillement stoppa et elle examina à l'intérieur avec une lampe. Elle fit quelques prélèvements rapides.

« Je vais sonder votre prostate pour voir si le problème ne vient pas de là. Un toucher rectal ne suffit pas » constata-t-elle en retirant l'outil métallique.

La remplaçante tira vers elle un appareil d'échographie et l'alluma. Pendant qu'il s'initialisait, elle lubrifia une tige de plastique d'environ 2 centimètres de diamètre. Ensuite, elle manipula le clavier, concentrée, et m'enfonça la tige assez loin dans le cul. Ce fut un poil douloureux. Pendant un moment, elle fit pivoter la tige à l'intérieur, faisant des vas et vient tout en regardant son écran.

« Votre prostate semble tout à fait normale. »

Elle retira la sonde, la nettoya et remis l'appareil à sa place.

« Malgré tout, il faut que je m'assure que vous puissiez avoir une éjaculation prostatique. Détendez vous »

Elle mit à nouveau un doigt dans mon anus et l'enfonça jusqu'à ma prostate. Elle me la massa longuement.

« Votre prostate durcit, c'est plutôt bon signe. »

Je commençais sérieusement à m'exciter. Ces gros seins contenu dans sa blouse et ce bout de culotte que j'avais aperçu tout à l'heure... Mais toujours rien.

« Caressez vous, n'hésitez pas »

Surpris, je suivis son conseil et cela rendit la chose plus agréable. En effet, me prendre la verge d'abord à deux mains, puis à une seule me permis de bien me détendre et de faire fonctionner ma machine à fantasmes. Cela lui permis de pénétrer un peu plus mon intimité. Pourtant, je sentais toujours un blocage et stagnais au stade de la demi-érection. Même si le docteur était là pour me soigner et qu'elle était au courant de mon problème, la situation commençait à devenir gênante. J'abandonnai ma masturbation dans un soupir qui refléta ma frustration.

« Ne vous inquiétez pas, on va trouver une solution, vous n'êtes pas loin de retrouver vos moyens. Il faut que vous retrouviez la confiance. »

Son air perplexe me laissa dans le doute, la déception et la peur. N'allais-je plus jamais pouvoir faire l'amour à une femme ? Allais-je devoir me masturbez en vain ? J'étais trop jeune pour cela et j'espérais une solution rapide, pas une psychanalyse d'un an avant de tirer mon coup à nouveau.

« Nous allons faire une petite séance d'éléctro-stimulation. Bon, je vous préviens ça ne sera pas forcément agréable, je vous aiderai à adoucir la chose, mais ça vous donnera une éjaculation à coup sur. On analysera ainsi la quantité et la qualité du sperme. Restez installé, je vais chercher le matériel. »

A quoi allais-je avoir le droit maintenant ? Mon cas était il si désespéré ? La remplaçante avait amené jusqu'à la table une valisette dont elle sortit des ustensiles variés. Deux anneaux noirs, des électrodes à tailles variables et ce qui semblait être un plug anal.

« C'est un système de charge bipolaire qui va venir stimuler vos muscles pelviens et l'afflux de sang dans la verge. Le dispositif viendra également faire travailler votre prostate. Je vais l'installer et on va commencer. »

Les deux anneaux allèrent autour de mon pénis, un en haut et un en bas, tout près de mon pubis. Ils étaient reliés à un boîtier par des fils. Deux électrodes allèrent sur mon abdomen, puis deux plus petites entre mes bourses et l'anus. Elle lubrifia le plug qui n'était pas très grand, incurvé vers le haut avec des formes arrondies et l'enfonça dans mon rectum. Je sentis des picotements. Elle manipula le boîtier et je commençais à sentir les impulsions contracter ma verge. Elle se soulevait toute seule. Puis mes abdominaux commencèrent à se contracter. De quelques manipulations elle augmenta légèrement le voltage et mon abdomen se souleva de la table dans un gémissement.

« Mais c'est quoi ce truc ? »

« Détendez vous et essayer de bouger le moins possible...sinon je vais me servir des sangles. »

Ma verge commençait à durcir. C'était l'effet d'une masturbation sans le moindre toucher, c'était très étrange.

« Cependant, j'avais promis que je vous aiderai à adoucir la chose. Alors allons y »

Elle se déplaça jusqu'à moi et se posta debout près de mon visage. C'est alors qu'elle commença à déboutonner sa blouse blanche, découvrant son décolleté. Alors elle prit son stéthoscope et le passa sur mon cœur.

« Votre rythme cardiaque m'indique ce que je perçois depuis le début. Vous fantasmez sur moi. On appelle cela le syndrome de la blouse blanche. »

Tout en m'auscultant, elle enleva chaque bouton de sa chemise puis d'une main remonta son débardeur qui découvrit un soutient gorge noir et le galbe de ses seins plus que jamais. Sa poitrine était imposante, un peu tombante. Son soutient gorge n'était visiblement pas assez grand et un large morceau de téton rosé dépassait. Un vent d'excitation parcouru mon corps, entre des battements de cœur accélérés et des frissons poignants le long du dos. Elle continua son strip tease en ôtant délicatement sa jupe, rien qu'en baissant la fermeture qu'il y avait à l'arrière. Le vêtement de coton arriva d'une traite sur ses chaussures. Sa culotte était assortie au soutien-gorge, magnifique et raffinée. Pour couronner le tout, je pouvais apercevoir son pubis, pourvu d'une touffe de poil légère et clairsemée. Ma verge continuait de plier sous les impulsions, mon anus également, et cela faisait longtemps que je n'avais pas sentit une telle éjaculation pointer le bout de son nez. D'une main toujours, elle commença à se caresser sur sa culotte, passant ses doigts entre ses cuisses. Elle se mit à émettre de léger gémissement. Croisant mon regard insistant sur l'horizon de son sexe, elle fit une remarque plus que pertinente, qui me perça au grand jour.

« Peut être voulez vous en profiter également ? »

Bien sur, je mourrais d'envie de la toucher. Je la regardai d'un air entendeur. Elle prit ma main et la passa sur sa culotte moite. Elle insista un moment puis remis ma main le long du corps . Ma verge était désormais une tige dure et vaillante.

« Vous n'êtes pas sans savoir que les odeurs corporelles, chargées d'hormones, sont des stimulis sexuelles puissants. » dit elle cette fois ci avec une partie de ses doigts sous sa culotte. Se sont ces doigts qu'elle me passa sous le nez et je pu profiter de l'odeur de sa mouille, âcre et forte, mélange de transpiration et d'urine, si caractéristique de la cyprine féminine. Après ce geste furtif, elle retira le stéthoscope et alla augmenter un poil le tension des électrodes. J'étais sur le point de jouir. Je sentis sa langue humide sur mon sexe puis sa bouche chaude se refermer dessus, à l'image d'une plante carnivore qui se referme sur une mouche, doucement, mais sûrement. Je pliais et miaulais sous le plaisir procuré par cette divine et surprenante remplaçante. Les yeux fermés , je sentis son doigt remonter tout le long de mon corps. La chaire de poule parsemait ma peau devenu un voile fragile.

« Ouvrez les yeux » dit elle doucement.

Je fis ce qu'elle dit et découvrit alors ses seins nus, enfin. Dans l'élan de la surprise provoquée par cette vision, elle passa également son doigt le long de ma verge. Cela fut de trop et dans un spasme incontrôlable, sonorisé par mes gémissements implorant, j'eus une puissante éjaculation. Mon sperme s'étala sur mon ventre.

« Hé bien, ce fut laborieux mais nous y sommes arrivés. » dit elle d'une voix compatissante.

Le temps qu'elle se rhabille je pus me remettre de mes émotions. Elle mesura la taille de mon sexe avec un double décimètre et préleva des échantillons de sperme à l'aide d'une spatule qu'elle passa sur mon torse souillé. Rapidement, elle reprit ma tension.

« Vous êtes jeune. Tout fonctionne bien. J'espère que cette consultation vous a convaincu et que vous retrouverez confiance en vous. Essuyez vous et allez vous rhabiller. J'espère ne plus vous voir pour ce genre de problème, il n'y a aucune raison » dit elle avec un sourire.

Je retournai, groggy, mettre mes affaires. Elle me prescrit tout de même du Viagra, au cas ou, mais ne me conseilla pas d'en prendre. Ce n'étais pour elle qu'un remède illusoire. Après avoir payé le prix d'une consultation classique, je quittai le cabinet gonflé à bloc, rassuré, avec une érection pointant le bout de son nez et une forte envie de me replonger en pensée dans cette consultation, la verge entre les mains.

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dudu Il ya 9 ans  
LouAlexandre Il ya 9 ans  
Runner Up Il ya 9 ans  
LouAlexandre Il ya 9 ans  
Runner Up Il ya 9 ans  
LouAlexandre Il ya 9 ans  
clyso Il ya 9 ans