Vues: 337 Created: 2016.10.24 Mis à jour: 2016.10.24

Eudes et Johann

Chapitre 4

Le valet va réserver encore bien des surprises à son maître lors des épisodes suivants.

Je baissai le caleçon blanc de Johann, il m’aida en levant légèrement les fesses. Je le laissai sur ses cuisses. Son sexe était déjà légèrement enflé, en travers de ses couilles. Celles-ci étaient assez grosses, près du corps. Ses poils étaient bruns, plutôt fournis. Son prépuce était court, dévoilant le bout du gland, il avait l’air intact. Je pris le membre dans ma main et fis coulisser la peau plusieurs fois.

— Tout à l’air de bien fonctionner, tu n’as certainement pas été coupé.

— Je le pense en effet. Ma mère s’est toujours occupée de notre santé elle-même, nous soignant avec des plantes. Elle m’a même fait des infusions lorsque j’étais irrité. Je ne suis jamais allé chez le toubib.

Quelle contraste avec la mienne qui s’inquiétait de chaque égratignure et faisait chaque fois mander un médecin. Je détestais particulièrement les clystères. Je me demandai quand même si j’allais devoir en faire un avant de… Nous n’en étions pas encore là. Je dis à mon valet :

— Je t’ai demandé ce matin si tu te masturbais et si tu avais déjà eu des éjaculations.

— Je ne sais pas très bien, j’ai bien du liquide qui sort mais je sais pas si c’est de la semence. Comment peut-on savoir ?

— Je connais la différence. Tu me permets de regarder ?

— Euh, oui, si cela ne vous gêne pas.

— Je te l’ai dit, pas de gêne entre nous.

— Dois-je, euh, me masturber ?

— Je peux m’en charger, détends-toi. Je verrai mieux à quel moment sort le liquide.

J’ôtai le caleçon de Johann. Il était maintenant entièrement nu. Je me déshabillai aussi et me mis à genoux, perpendiculairement à son corps, assis sur mes talons, à la hauteur de sa bite. Son corps était faiblement éclairé par le feu et les bougies. C’était la première fois que j’avais le corps d’un homme devant moi, que je pouvais le toucher, prendre son pénis dans ma main. Et il me semblait que Johann appréciait aussi cette situation, je n’avais eu aucune peine à le convaincre. Inutile de vous dire que je bandais déjà.

Je fis quelques caresses sur son buste, il avait très peu de poils, j’effleurai la pointe de ses seins, il frissonna. Sa verge commençait à grossir, je la pris dans ma main droite, la pétris légèrement. Je décalottai à nouveau le gland. Elle atteint rapidement sa taille maximale et je dus me rendre à l’évidence, elle était plus longue et plus épaisse que la mienne. Je pouvais les comparer directement. Ma mère m’avait pourtant dit que la mienne était plus grosse que celle de mon père. Et surtout la bite de Johann était droite comme un i alors que la mienne était légèrement courbée vers la droite. Je fus jaloux à ce moment-là : comment un valet pouvait-il être mieux monté que son maître ? Je me dis que mes pensées étaient ridicules et je me concentrai sur mon travail. Du liquide perla de son méat, je le lui fis remarquer :

— Regarde Johann, ce liquide n’est pas du sperme, de la semence si tu préfères. C’est juste pour humidifier le gland afin qu’il entre mieux.

— Mais alors, comment fait-on pour avoir une éjaculation ?

— Il faut de la patience, je n’en ai pas eu tout de suite lorsque j’ai commencé.

— Comment savez-vous tout ceci ?

— Les livres, j’ai fait des recherches dans les livres. Mais toi tu savais aussi certaines choses, tu as aussi essayé.

— J’ai deux frères plus âgés, ils en ont parlé parfois. Et j’en ai même surpris un à la grange avec sa fiancée.

— Tu n’es pas si ignorant que tu en as l’air. Je vais continuer.

Je repris mes caresses sur le corps, sur le pénis, sur les couilles, alternant la douceur et la vigueur. Je vis que Johann était de plus en plus excité, il frissonnait sous mes caresses, il finit par expulser sa semence en de longs jets, tout en criant. Il prit du sperme sur son doigt, le regarda, le renifla, il sourit et me demanda :

— On peut aussi le manger ?

— Je n’ai jamais essayé. C’est fait, tu es un homme maintenant. Tu as senti la différence avec les autres fois ? C’était un orgasme.

— Bien sûr. Je vous remercie de m’avoir fait découvrir ceci.

— Tout le plaisir était pour moi.

— Mais vous, Eudes, vous bandez aussi maintenant. Est-ce que je pourrais… vous soulager ?

— Tu m’as laissé toucher ton corps, je t’offre le mien.

— Euh, lorsque j’ai surpris mon frère, sa fiancée lui faisait… je peux vous faire la même chose ?

— Tout ce que tu voudras.

Comments

patou39 Il ya 7 ans  
Woyzeck Il ya 7 ans  
clyso Il ya 7 ans