Clairodon


Vues: 576 Created: 2009.04.17 Mis à jour: 2009.04.17

Descente au ciel ou montée en enfer si vous préférez

Chapitre 7 : Une autre visite

Mes amis du forum sur Internet étaient de nouveau très alarmés par ce qui était arrivé avec la fille de Guy. Ils me répétaient qu’il pourrait y avoir des conséquences juridiques lourdes et que Guy aussi risquait gros. Quoi si la fille racontait à sa mère ce qui s’était passé avec la copine de son père? Ils me rappelaient que, même si j’avais tendance à l’oublier, légalement j’étais majeur. Je devais avouer qu’une fois de plus je n’avais pas réfléchit avant d’agir.

Certains copains critiquaient aussi fortement le fait que j’étais « gardée » par une personne qui me traitait comme un enfant Cela les semblait une mauvaise solution. Que Guy paye Maria pour s’occuper de moi ne les paraissait pas une chose généreuse, mais plutôt malsaine.

Sur ce deuxième point je ne les écoutais pas vraiment parce que, grâce à la présence de Maria, le calme était revenu dans notre couple et on profitait de nouveau sans inhibition de nos jeux comme au début. Pour Nouvel An on retournait à Madrid ou nous avions un diner romantique en tête à tête et après avions été danser. Madrid est formidable pour aller danser !

Autre chose formidable à Madrid est qu’ils ont des magasins de vêtements d’enfants super classiques (des robes fleuris en broderie anglaise avec des rubans se nouant dans le dos, des jupes plissées avec des bretelles, ...) dans des tailles jusqu’à 12, parfois même 14 ans. Je pourrai passer des journées entières dans des magasins comme Friki, Paloma Enseñat, Gocco et Neck& Neck Le dimanche Guy me proposait donc à faire du shopping – les magasins étaient ouverts. Je me souviendrai toujours de la réaction de la vendeuse chez Friki qui nous adressait la parole pendant que j’admirais une petite jupe toute mignonne, en demandant l’âge de la fille pour qui on cherchait. Guy, sans hésiter lui répondait en me désignant, qu’il cherchait pour sa fiancée. D’abord elle faillit éclater de rire pensant que c’était une blague, mais juste à temps elle se retenait. Estimant ma mesure elle se rendait compte que ce n’était peut-être pas une blague. Très professionnellement elle m’expliquait que le modèle que j’avais en main n’existait pas dans ma taille, mais qu’elle pouvait me montrer quelque chose semblable. Mais quand elle voyait ma déception elle ajoutait qu’ils pouvaient faire ce modèle sur mesure, mais que cela reviendrait plus cher. Evidemment Guy insistait à la commander. (Elle arrivait quelques semaines plus tard et elle était magnifique : bleu clair fleuri, avec un bodies en broderie anglaise, des manches courtes bouffantes, un ruban qui se nouait dans le dos, une jupe ample qui tombait jusqu'à 15 centimètres au-dessus des genoux. Elle m’allait à merveille. C’est encore toujours une de mes jupes préférées.

Quelques jours après notre retour en Belgique Emilie, une copine de l’univ, m’appelait. Elle voulait savoir comment j’allais. C’était la copine chez qui j’avais mouillé ma culotte lors d’une petite fête, comme j’ai raconté dans le chapitre 4. Elle savait que j’avais été en institut psychiatrique, mais pas pourquoi. Je l’invitais pour passer un après midi et elle acceptait tout de suite. Le jour venu je n’étais pas sûre ce que j’allais lui raconter. J’avais un peu peur de sa visite. Mais cela ce passait très bien.

D’abord elle racontait tout ce qui était arrivé à l’univ et avec les copains depuis que je n’allais plus aux classes. À un certain moment elle me demandait quand je comptais revenir. Je décidais d’être honnête et je racontais donc que j’aimais jouer des jeux de rôles, mais que souvent je perdais le contrôle de mon jeu et que cela pouvait être embarrasante. Elle m’interrompit en riant « Comme faire pipi dans sa culotte lors d’une fête ». Je rougissais, mais elle me donnait un sourire encourageant. Je continuais donc en expliquant que quand je perdais contrôle cela menait à des situations embarrassantes, mais aussi dangereuses et que dans ces circonstances je n’osais pas revenir à l’univ. J’expliquais aussi le rôle de Maria et en riant à mon tour je disais que je ne pouvais quand même pas venir en classe avec ma babysitteuse.

Emilie admettait que c’était un peu difficile, mais elle proposait qu’elle puisse me tenir à l’œil. Je trouvais cela très touchant, mais insistait qu’elle ne pouvait pas savoir à quoi elle s’exposerait. Etonnée elle voulait tout savoir et je lui présentais donc mes différents rôles : Lo, Petite Claire, Pupuce et Bébé. Emilie était fasciné et insistais qu’elle voulait faire connaissance de mes rôles. Elle insistait tellement que j’acceptais de rentrer dans le rôle de Lo, la petite nymphomane de 14 ans.

Nous devions insister un peu, mais finalement Maria acceptait que nous aillions faire une petite promenade dans le coin. Je changeais mon pantalon pour une courte jupe plissé avec des collants opaques. Pour sortir je mettais un anorak court. Une fois à la rue et hors de vu de la maison je prenais Emilie par la main et commençait à courir en l’entrainant dans la rue en sautant et dansant comme une petite folle. D’abord Emilie résistait, mais mon enthousiasme l’emportait et elle aussi courait en chantant fort au plein milieu de la rue. À un certain moment il y avait une voiture qui s’approchait par-derrière. D’abord on n’avait rien remarqué, mais quand elle klaxonnait Emilie sautait vite sur le trottoir. Moi je me retournais lentement en lui jetant un bisou, quand à la dernière minute je voyais que c’était une voisine. Une femme d’une 50taine d’années qui m’avait déjà regardé d’un drôle d’air à plusieurs reprises. Maintenant elle ouvrait sa fenêtre pour me faire la leçon. Cela me surprenait et je ne trouvais rien d’autre à faire qu’à sortir ma langue pendant que je faisais la place. Elle me regardait stupéfaite. Quand elle était parti Emilie et moi éclations de rire en pensant ce que la vieille devait bien penser de la fiancée de son voisin, le prof d’univ.

On passait à un petit magasin de quartier ou je rentrais pour acheter des sucettes et du shewing gum, et quelques minutes après nous arrivions à ma destination : un café ou il y avait surtout des jeunes cadres qui venaient prendre leur « happy hour ». Comme je le savais, l’entrée des deux adolescentes, une en train de chewer sur un chewing gum, et l’autre avec une sucette en bouche, ne passait pas inaperçue.

Nous nous installions sur les tabourets de bar bien en vu de toute la clientèle et commandions des Oranginas. Emilie était bien rentrée dans le jeu, et nous nous amusions à faire des commentaires sur les personnes présentes, éclatant en rires toutes les deux minutes. Bien qu’on parle à voix basse ils se rendaient bien compte qu’on parlait d’eux. Après quelques minutes un type d’une trentaine d’années venait au bar pour faire une commande. Pendant qu’il attendait il nous adressait la parole. « Bonjour les filles ». Je le regardais d’une manière insolente et répondais « Bonjour monsieur ». Emilie pouffait de rire à nouveau. Le type ne savait pas très bien comment réagir. « Vous allez au lycée dans le coin ? » « Non Monsieur, moi pas, je suis au collège. ». Emilie faillit s’étrangler et notre interlocuteur était encore plus perdu. Heureusement pour lui ces boissons arrivaient et il pouvait s’excuser.

Pendant le quart d’heure qui suivait je ne le quittais pas de yeux et à plusieurs occasions le surprenait à me regarder. Quand il se levait pour descendre aux toilettes je n’hésitais pas une seconde. J’attendais quelques minutes puis je le suivais en bas, après avoir demandé à Emilie de venir me chercher après 5 minutes. Mon timing était parfait. Quand j’arrivais en bas de l’escalier il sortait des toilettes.

« Ah vous voilà, Je vous cherchais. » « Ah oui ? Et pourquoi ? » « Pour faire connaissance ». Il n’avait pas l’air très surpris. Il tendait la main en souriant. « D’accord, je m’appelle Vincent » « Moi c’est Lo » « Lo, comme dans .. ? » « Oui, comme Lolita » je l’interrompais. « C’est ton vrai nom ? » « Qu’est ce que tu crois ? » Je m’installais sur une petite table avec mes jambes qui pendaient en l’air et je le regardais, toujours avec la sucette que je mettais en bouche après chaque phrase. « Je crois que tu ne t’appelles pas Lolita. Et je crois que t’es trop âgée pour aller au collège » J’haussais mes épaules. « Comme tu veux ».

« T’as quel âge ? » « 18 » Il éclatait de rire : « Sans doute » Je me hissais tout à fait sur la table en pliant mes jambes en dessous de moi en position de couturier. Je prenais bien soin que ma jupe montait tout à fait en découvrant mon entre-jambes. « J’ai 18 ans, comme ça tu peux me faire l’amour sans danger ». La conversation l’amusait. « Qui dit que je voudrais faire l’amour avec toi, je ne suis pas un pédophile. »

À ce moment Emilie descendait de l’escalier. Elle avait entendu ces dernières paroles.

« Ah non ? Cela en a pourtant tout à fait l’air ». Il la regardait d’un air contrarié. « L’air de quoi ? » « D’un pédéraste » Et puis en s’adressant à moi « Viens, on part avant que tu ne te fasses violer ».

Vincent avait maintenant l’air bien plus que contrarié. « Ca va, la ferme ! T’es qui ? La grande sœur ? » Je sautais par terre et prenant la main d’Emilie je l’entrainais dans l’escalier en criant par-dessus mon épaule: « Non, ma fiancée, vieux con ! »

On sortait à la rue sans payer et entames le chemin de la maison dans un grand fou rire. Petit à petit on se calmait. Emilie ne cessait de répéter quel bonne actrice que j’étais et insistait de voir mes autres rôles. Je refusais, mais sous son insistance je promettais de le faire à une autre occasion. Quand elle me quittait elle insistait encore une fois que je devais reprendre mes cours et qu’elle garderait un œil sur moi « Comme aujourd’hui ».

Quelques jours plus tard elle se présentait à notre porte à l’improviste accompagné par sa nièce, Sophie, de 9 ans. Elle expliquait qu’elles passaient dans le coin et qu’elle venait juste dire bonjour.

Je n'hésitais pas longtemps à rentrer dans le rôle de Petite Claire comme Emilie, avait demandé. Petite Claire est très timide, mais cache souvent sa timidité en dessous d’une attitude insolente. Elle regardait la petite Sophie d’un air de supériorité. Ayant 11 ans elle n’allait quand même pas descendre au niveau d’une petite gamine de 9 ans. Mais comme toujours en présence d’adultes elle ne se sentait pas à l’aise. Et quand Maria, qui connaît trop bien mes différents rôles, suggérait que je montre ma collection de poupées à Sophie, je n’hésitais pas à accepter cette chance de quitter Emilie qui m’intimidait.

Une fois à nous deux je relaxais et bientôt je m’entendais très bien avec Sophie, qui était tout fière de jouer avec une « grande ». Evidemment quand Sophie, en admiration pour ma collection, me demandait si je jouais souvent avec mes poupées, j’avais répondus que cela faisait des années que je ne les faisais plus. Mais en montrant mes différentes poupées et leurs accessoires nous nous mettions à jouer aux poupées come deux fillettes. Et puis l’accident arrivait. Sophie accidentellement déchirait une jupe d’une de mes Bratz. Je me fâchais et criait très fort à la petite. Maria arrivait presque tout de suite et m’ordonnait de me calmer. Je flippais complètement, et sans avertissement je rentrais dans le rôle de Pupuce.

Je piquais une colère, me jetant par terre, pleurant et criant très fort, je donnais des coups de pied au sol. Emilie et Sophie me regardaient avec des grands yeux, mais Maria me prenait par la main et m’ordonnait d’un ton sévère de rentrer dans ma chambre jusqu’à ce que je sois calmée. Pupuce, honteuse, obéissait. Une dizaine de minutes plus tard Maria rentrait dans la chambre en annonçant que les deux filles étaient parties. Elle ajoutait que je devais avoir honte, et que la gentille Sophie probablement ne voudrait plus jamais revenir. Cela me rendait très triste.

Le lendemain, déjà oublié ce qui était arrivé le jour avant, j’avais trop envie de rentrer de nouveau dans le rôle de Pupuce. Une Pupuce qui, cherchant désèspérament l’attention, faisait délibérément pipi dans sa culotte. Ce n’était pas la première fois que cela m’arrivait et Maria, sans faire de remarque, m’aidait à mettre des propres vêtements. Une heure plus tard je souillais ma culotte. J’étais assis par terre et faisait semblant de regarder un livre d’enfants quand je sentais le besoin de vider mes intestins. J’hésitais une seconde, mais presqu’immédiatement je décidais de remplir ma culotte. Je m’accroupis et, poussant, je sentais la masse remplir ma culotte. Une fois terminé je me rasseyais en reprenant mon livre. J’adorais le sentiment de la masse chaude qui se répandait dans ma salopette. À ce moment Maria rentrait dans la chambre et alerté par l’odeur comprenait tout de suite ce que je venais de faire. C’était la première fois que je faisais ça et elle était exaspérée. Elle me grondait très fort et m’ordonnait d’aller me changer et laver. Me demandant ce qui m’avait pris elle ajoutait que je ne devais pas espérer qu’elle m’aide à me nettoyer. À ce moment je réalisais ce que je venais de faire et j’avais horriblement honte. Rougissant et les larmes aux yeux je m’excusais et je partais pour aller me laver.

Arrivé dans la salle de bain je laissais tomber ma salopette par terre et réalisais l’étendu du désastre. Je ne savais pas par ou commencer et de nouveau les larmes me montaient aux yeux. À ce moment Maria rentrait dans la salle de bain. Elle était calmée et gentiment elle proposait de m’aider. Elle m’aidait à sortir un pied à la fois de la salopette et de me mettre debout dans le bain ou elle enlevait la saleté de mes jambes avec du papier de toilette et puis me lavait. Après elle remplissait le bain et, me laissant jouer seul, partait rincer ma salopette dans la toilette. Je reprenais le rôle de Pupuce et me sentais trop heureuse.

Quand Maria revenait elle apportait une couche. Pupuce protestait, mais Maria répliquait que des petits bébés qui faisaient kk et pipi dans leur pantalon devaient être protégés. Me sentant toute petite je n’osais pas insister et me laissais langer.

Quand j’étais de nouveau tout propre et habillé elle me prenait à part et me demandait ce qui m’arrivait. D’abord je ne savais pas comment réagir, et j’hésitais de me refugier dans un de mes rôles, mais puis je décidais de la prendre en confiance. Je racontais que j’avais honte de ma réaction colérique avec Sophie devant Emilie le jour avant avec ma colère, et que j’avais peur qu’Emilie ne voudrait plus me voir. Et que ce serait mieux si je restais une petite fillette pour toujours. Cela faisait sourire Maria. Elle me rassurait et suggérait que j’appelle Emilie pour m’excuser. Emilie était une fille très gentille et avait l’air d’être tellement fascinée par mes jeux de rôles qu’elle était sûre qu’elle ne me laisserait pas tomber. Je suivais son conseil et Emilie en effet réagissait exactement comme Maria l’avait prévu. Elle trouvait la scène que j’avais faite trop amusante et disait que Sophie et elle ne pouvait pas attendre à retrouver Pupuce. Elle terminait en m’invitant à venir chez elle deux jours plus tard, pour « passer le mercredi après midi avec Sophie », ce que j’acceptais sans hésiter.

Le mercredi venu Maria me conduisait chez Emilie. J’étais vêtue d’une jupe en jeans, type tablier avec une bavette et des bretelles, sur un T-shirt et des collants coloriés. Maria avait insisté de me mettre une couche. D’abord j’avais refusé en riant que ce n’était pas nécessaire, mais elle avait insisté : « Je ne veux pas prendre le risque que tu as un accident chez tes copines » Voyant qu’elle était déterminé j’avais accepté.

En arrivant chez Emilie je prenais tout de suite le rôle de Pupuce et suivait Sophie dans la chambre de jeux. Sans que je le sache Maria expliquait à Emilie que j’avais une couche de rechange dans le sac que j’avais apporté. Emilie bien sûre avait été étonnée.

« Elle porte une couche ? » « Ce n’est probablement pas nécessaire, mais je préfère. » Maria était partie après avoir convenu l’heure qu’elle reviendrait me chercher.

Je rentrais tout à fait dans le rôle de Pupuce, et Sophie, bien qu’une bonne tête plus petite que moi, sentait immédiatement que j’étais plus jeune qu’elle. D’abord Emilie restait avec nous, mais elle comprenait vite que la présence d’une adulte nous gênait et elle nous laissait seul. Sophie sortait son « set de coiffure » et on s’amusait à nous faire des nattes avec des perles. Sophie adorait m’apprendre des choses. Avec un autre jeu on faisait des colliers et des bracelets.

J’étais tellement pris par notre jeu que je ne sentais pas que je devais faire pipi, et puis quand c’était pressant, j’étais trop timide pour demander ou était la toilette. Me souvenant que je portais une couche-culotte je décidais de me soulager un peu dans ma couche. Et puis j’oubliais. Quand on trouvait qu’on avait fini de nous faire belles nous galopions dans l’escalier pour nous montrer à Emilie qui, en riant fort, nous félicitait, exclamant qu’on était adorable. C’était un moment magique pour moi. Je n’ai jamais connu ce genre d’occasions quand j’étais une vrai petite fille.

Mais puis Emilie venait vers moi et me tirant un peu à part elle me demandait d’une façon assez gêné, si je ne devais pas aller à la toilette. Je rougissais et répondait que non. Emilie me regardait d’un air étonné, et rougissant à son tour, elle me demandait que je n’aie quand même pas fait pipi dans ma culotte. Je n’osais plus mentir et j’avouais donc que j’avais mouillé ma couche. Emilie était stupéfaite, mais elle me souriait, et me prenant par la main elle disait de la suivre. Elle m’emmenait à une salle de bain ou, voyant ma figure embêté, éclatait de rire, et m’aidait à me changer. Elle s’étonnait de nouveau quand elle voyait mes parties privées tout rasées. J’expliquais que Maria avait fait ça pour des raisons hygiéniques. Retrouvant mon aisance j’ajoutais que de toute manière les petites filles n’ont pas de poils.

Emilie riait, et quand j’avais mis une propre couche culotte elle reprenait le thème du retour à l’univ : « Tu vois que si tu reviens à l’univ je peux bien m’occuper de toi ? » Cela me ramenait à être gêné. « C’est trop difficile pour moi ». « Mais qu’est ce que tu dis ? Tu sais très bien que t’es une des meilleures de l’année » « Non c’est trop difficile », je répondais têtue. Et puis avec une petite voie j’ajoutais « Je veux rester une petite fille » Emilie me regardait avec des grand yeux, mais avant qu’elle puisse réagir Sophie appelait pour demander ou on restait. Ouvrant la porte de la salle de bains je regardais ma copine et avec la petite voie de Pupuce, je la suppliais de ne pas raconter à Sophie que j’avais fait pipi dans ma culotte. Elle me prenait dans les bras en posant une bise sur mon front elle me disait que cela resterait notre secret.