Anonymous


Vues: 1267 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2018.11.12

Ma cousine Hélène

Chapitre 2

Comprenant les raisons de l'échec de ma tentative, Hélène se leva et se tint debout à coté de moi.

Je pus alors glisser ma main sous l'élastique de l'entrejambe de la culotte et malaxais la partie des couches déjà bien humides recouvrant son sexe. Tout en écartant légèrement les cuisses, elle se pencha en avant allant aux devant des caresses. Je repoussais facilement sur le côté les plis du tissu éponge qui gênait mon entreprise, et je caressais les lèvres qui s'ouvrirent sur l'entrée de sa fente bien juteuse.

Un doigt puis deux plongèrent dans ce cratère béant, cherchant son petit bouton qui, une fois roulé entre mes doigts, se mit à gonfler. Elle poussa un cri et son corps se fit plus lourd sur ma main.

Tout en s'offrant à mes doigts inquisiteurs, elle dit d'une voix brisée par le plaisir: " Oh oui ! Continue..., C'est bon."

Mes doigts continuèrent à barboter quelques instants dans cette écume odorante alors que de l'autre main je repoussais le drap puis le caoutchouc qui comprimait mon sexe.

Ramenant doucement vers moi, ma main engagée dans sa culotte en caoutchouc, Hélène, désireuse de garder mes doigts qui fouillaient sa chatte brûlante, suivit le mouvement et sans s'en rendre compte, bascula sur le lit et avec mon aide se trouva aussitôt allongée contre moi.

Son corps chaud contre le mien me fit perdre la tète. Bloquant ses jambes entre les miennes, je remontais sa nuisette dénudant sa poitrine et suçais alternativement les pointes durcies de ses petits seins déclenchant une suite de petits cris manifestement de plaisir. Ma main abandonnant sa fente baveuse, se libéra des couches et de la culotte en caoutchouc et se glissa jusqu'à la taille.

Me redressant sur mes genoux placés de chaque coté de son bassin, j'essayai de lui retirer sa culotte. C'est alors que pesant de tout son poids sur le lit, elle agrippa la ceinture élastique de sa culotte en caoutchouc, s'opposant à ma tentative, et d'une petite voix apeurée, elle parvint à dire

" 0h, non, pas ça. Pas maintenant....J'ai peur." Sa résistance et son refus me ramenèrent sur terre et je me laissai retomber sur elle à la fois honteux de mon geste et heureux de mon échec, car l'excitation passée, la peur me saisit à mon tour, peur de ce qui aurait pu se passer et des suites irrémédiables qui en auraient découlé.

Allongé sur elle, mon sexe se réveilla par la suite au contact du caoutchouc de la culotte. Elle s'en aperçut, et glissant sa main entre nos deux corps, elle entoura ma verge de ses doigts fuselés. Comme je commençais à me frotter dans cette gaine providentielle :

" Non, dit-elle. Attends, et s'aidant de ses mains elle se remonta sur le lit, amenant ma verge entre ses cuisses qu'elle écarta au maximum.

Je ne comprenais plus rien, hésitant sur la marche à suivre, lorsqu'elle ajouta : .

" Ce matin dans la salle de bain, tu t'es caressé dans ma culotte en caoutchouc, mes couches entre tes cuisses. De mon côté, en te voyant, je me suis caressée également. Eh bien, ce soir, tu vas tu vas te caresser de la même manière et moi en même temps." Et, écartant l'élastique de son entrejambe, de son autre main, elle saisit ma verge et la guida dans l'ouverture ainsi pratiquée.

"Enfonce-toi bien à fond sous les couches." Et bientôt mon sexe reposa sur le nid douillet formé par les poils soyeux de sa toison ruisselante.

Me prenant par les fesses, elle se colla à moi et se mit à remuer son bassin, frottant son sexe contre le mien qui glissait, bien lubrifié, entre ses lèvres entrouvertes.

C'est dans un duo de râles et de gémissements mal contenus que j’arrosais abondamment son ventre de ma semence.

Peu de temps après, Hélène quittait ma chambre aussi silencieusement qu'elle était venue et je ne tardai pas à sombrer dans un profond sommeil, épuisé par l'intensité du plaisir qui m'avait submergé. Le lendemain matin, je revis une Hélène heureuse, souriante qui me sauta au cou pour m'embrasser avec un léger clin d'oeil complice.

Dans la matinée ma tante arriva pour ranger les affaires de ma cousine et eut une longue conversation avec ma mère sans que je puisse parvenir à écouter quelques bribes.

Ce n'est qu'après le repas que je pus me trouver seul avec Hélène qui m’entraîna dans le jardin, à l'abri des regards et des oreilles indiscrètes. Elle me dit en soulevant sa robe et en me montrant un triangle rose :

" Regarde, j'ai gardé ma culotte en caoutchouc, maman a trouvé que je m'étais beaucoup mouillée durant la nuit et a voulu me remettre des couches pour le voyage, elle ne sait pas comme elle m'a fait plaisir.

C'est vraiment merveilleux de marcher les cuisses baignant dans son pipi bien chaud.

D'ailleurs tu pourras t'en rendre compte par toi-même, si tu le veux bien, car j'ai entendu maman proposer à ta mère de te prendre chez nous quelques temps pendant les vacances, mais comme elle sait que tu as fait pipi au lit jusqu'à l’âge de 15 ans, et qu'il t'arrive encore de mouiller tes draps, tu devras accepter de mettre des couches et une culotte en caoutchouc pour la nuit.

Peut-être même, nous considérant comme deux grands bébés, nous fera t'elle coucher dans la même chambre, maman est persuadée que ma culotte en caoutchouc est un rempart infranchissable défendant ma virginité.", et pouffant de rire :

" Si elle nous avait vus cette nuit, elle en serait moins sûre.

Elle est plus crédule que la mère d'une de mes amie, qui donne à sa fille de mon âge, la pilule, bien qu'elle sorte dans la rue, bardée de couches, à tel point que personne ne peut ignorer son état de bébé, et surtout les garçons lui ne se privent pas de se moquer d'elle.

Tu auras certainement l’occasion de la voir à la maison, et si tu sais y faire, tu auras la possibilité de voir et de toucher ses jolies petites culottes en caoutchouc ornées de volants et de ruches comme celles de nos grands mères.

En attendant, prépare-toi à coucher ce soir avec une culotte en caoutchouc et des couches, car maman a réussi à convaincre la tienne de te langer à titre préventif et pour cela, elle lui a donné une de mes culottes en caoutchouc blanc, trop grande pour moi, ainsi que deux couches en tissu éponge.

Tout en parlant elle n'avait pas quitté des yeux, le devant de mon pantalon qui présentait une bosse énorme.

Elle s'approcha de moi et des deux mains elle dégrafa la ceinture, descendit la fermeture éclair et sortit avec difficulté de mon slip tout trempé, mon sexe raidi. L'audace et la rapidité du geste me laissèrent sans voix et sans défense. Le prenant à pleine main, elle le caressa lentement, prenant bien garde, en se tenant sur le côté, de ne pas être éclaboussée. Sentant le moment venu, ma verge tressaillant dans sa main, elle dirigea les longs jets de sperme qui s'accrochèrent aux feuilles de l'arbuste derrière lequel nous étions cachés.

Maintes fois j'avais accompli les mêmes gestes au même endroit, mais jamais je n'avais ressenti une telle jouissance dont l'intensité me laissa anéanti.

Elle en profita pour s'esquiver, en criant :

« Je rentre vite à la maison car maman est sûrement prête à partir.

Nous nous reverrons aux vacances. Tu ne le regretteras pas si tu sais reste mouillé dans tes couches. »

Pouvais-je espérer de meilleures surprises que celles de ce week-end ?

Ce soir-là, ma mère vint me rejoindre dans ma chambre, un paquet sous le bras.

" J'ai à te parler sérieusement ", dit-elle," Tu as su plaire à ta tante durant ces deux jours et c'est énorme quand on la connaît bien.

Elle t'offre d'aller passer un mois chez elle pendant les grandes vacances. Tu t'y plairais certainement car elle a une grande maison en pleine campagne où les distractions ne manquent pas. De plus, il m'a semblé que ta cousine Hélène et toi, vous vous entendiez très bien

Seulement il y a une condition, elle peut te paraître sévère, mais quant à moi, je la trouve acceptable.

Tu t'es peut-être rendu compte, que durant ces deux jours, j'ai du mettre des couches et une culotte en caoutchouc pour la nuit à Hélène, car elle fait toujours pipi au lit. Quand tu avais son âge, il n'y a pas si longtemps, je faisais la même chose avec toi. Reconnais aussi qu'il t'arrive encore de temps en temps des accidents de ce genre.

Aussi ta tante veut que chez elle, tu sois langé comme Hélène, pour une question de sécurité d'abord, puis pour une raison d'égalité avec ta cousine. Ce n'est pas si terrible après tout, il ne faut pas négliger non plus le côté pratique. Finies pour toi les corvées de se lever durant la nuit, tu les éviteras en faisant dans tes couches.

Finies également les taches blanchâtres dans tes pyjamas, si tu vois ce que je veux dire.

J'ai sorti les culottes en tissu caoutchouté que tu mettais, il y a deux ans. Elles ne sont plus utilisables, car le caoutchouc est sec et craquelé, surtout aux élastiques des jambes. Ta tante t'a laissé une culotte en caoutchouc d’Hélène, trop grande pour elle et je crois qu'elle a raison quand elle dit que tu dois commencer à te garnir dès ce soir. »

Ouvrant le paquet elle sortit une culotte en caoutchouc blanche dont le bruissement en la prenant me fit courir un frisson dans le dos.

En pensant qu'Hélène avait pu la porter et la mouiller ne serait-ce qu'une nuit, ma verge se dressa dans ma culotte de pyjama et je sus tout de suite que j'allais l'enfiler et ne plus la quitter.

Ma mère prenant mon trouble et le rouge de mon visage pour un sentiment de honte, me dit :

" Tu n'as pas à avoir honte. Je peux t'assurer qu'il y a beaucoup de jeunes garçons, même plus âgés qui portent de telles culottes de protection. Il n'y a qu'à voir la publicité que font les magasines autour de l'incontinence des adolescents et des adultes, en faveur de leurs articles de protection, couches, changes et autres.

Quant aux garnitures, ta tante n'aime pas les couches en cellulose qui se jettent. Elle les trouve trop onéreuses et surtout très polluantes. Elle est restée fidèle aux langes de votre enfance, en molleton et en tissu éponge.

Elle t'en a laissé deux également pour que tu t'y habitues.

Tu trouveras des épingles de sûreté sur la tablette du lavabo.

Voilà ce que j'avais à te dire. Ta tante a toujours été de bon conseil. Il faut l'écouter. Bonne nuit et à demain." Resté seul, je portai la culotte à mon visage, respirant avec plaisir l'odeur particulière du caoutchouc, essayant d'y déceler le parfum intime de ma cousine.

Je savais que j'irais chez ma tante et que pour ce faire, je devais me conduire en bébé faisant pipi dans ses couches.

C'est tout heureux que je ne débarrassais de ma culotte de pyjama et que j’épinglais les couches autour de ma taille. Toutefois la couche rectangulaire étant trop petite, je la pliais en quatre et la disposai dans le fond de la culotte en caoutchouc. Sans être trop étroite aux élastiques des jambes, elle était très collante et plaquait sur mon ventre et mes fesses, la couche dont elle dessinait les contours.

L'épaisseur entre mes cuisses m'obligeait à marcher les jambes écartées jusqu'à l'armoire à glace où je contemplais avec satisfaction ce grand garçon, le derrière caoutchouté comme celui d'un bébé.

Une fois couché, j'essayai en vain de faire pipi. Quelque chose bloquait malgré moi, le sphincter de ma vessie. Je n'avais plus qu'à attendre le lendemain qu'une envie sérieuse se fasse sentir, ce qui arrivait ordinairement le matin à mon lever.

Je m’endormit en pensant à ma cousine et au jour prochain de nos retrouvailles en souhaitant ardemment de me retrouver au réveil, mouillé comme par le passé.

J'avais du remuer passablement durant la nuit, car la fraîcheur du matin me réveilla. En tâtonnant je cherchai à remonter le drap et la couverture qui avait glissé à terre, ma main rencontrant une surface glacée explora cet environnement inhabituel. C’est alors que les événements de la veille me revinrent en mémoire et c'est dans un calme serein que mes mains palpèrent la culotte en caoutchouc et les couches qu'elle renfermait.

Mes efforts à faire pipi, allongé dans le lit restèrent sans effet, mais à peine levé, les muscles de ma vessie se relâchèrent, et c'est un torrent brûlant qui se déversa dans ma culotte, se répandant ensuite dans mes couches.

Vite, je me rallongeais sur le lit, les jambes flageolantes. Inquiet de la suite.

Le débit se fit de moins en moins fort, et c'est par petits jets que je vidais ma vessie.

La sensation de bien-être qui suivit fut merveilleuse. Le chaud liquide qui s'écoulait entre mes cuisses et s'étalait sous mes fesses jusqu'à me réchauffer les reins, me fit pousser un râle de plaisir et, sans bouger mes jambes écartées, je goûtai la vague de volupté qui m'enveloppait tout entier.

Comment avais-je pu attendre si longtemps cette jouissance sans pareil, alors qu'à quinze ans, mouillant encore mon lit le paradis m'était déjà ouvert.

Puis, peu à peu, il me sembla que cette moiteur gagnait mes cuisses et mes jambes. Je dus me rendre à l'évidence, ma culotte n'ayant pu contenir ce raz de marée, laissait échapper ce merveilleux liquide qui s'étalait sur l'alèse en caoutchouc et gagnait le bas du lit en tachant le drap.

Ignorant les dégâts, je repoussais les couches dans le fond de la culotte et me retournai sur le ventre, mon sexe dressé, glissant d'avant en arrière sur le caoutchouc lubrifié, je ne tardai pas à déverser ma semence dans la culotte protectrice, retenant avec peine un cri libérateur.

Le retour sur terre fut plus pénible. Je n'avais rien pour m'essuyer et lorsque je me suis mis debout, le trop plein de la culotte coula sans retenue le long de mes cuisses. Avec soulagement je me retrouvais dans la salle de bain, où, au-dessus du bidet je vidais le pipi qui restait encore dans la culotte.

M'essuyant rapidement l'intérieur des cuisses, j’enfilais ma robe de chambre et sans savoir ce qui me poussait, je descendis ainsi dans la cuisine où ma mère préparait le petit déjeuner.

Descendre les escaliers n'avait pas arranger les choses, et c'est les cuisses ruisselantes, laissant des gouttes derrière moi, que je me présentai devant ma mère :

"Mon Dieu,... Dans quel état, es tu ! Mais que t'est-il arrivé. Te mouiller a ce point, c’est a peine croyable. Montre voir ! »

Ecartant les pans de ma robe de chambre, je me montrai à ma mère, la culotte en caoutchouc pendant entre les jambes sous le poids des couches mouillées et les cuisses toutes humides d'où tombaient çà et là des gouttes jaunes d'or.

" Remonte vite dans la salle de bain et prépare-toi un bain ! J'arrive !" J'étais dans l'eau lorsque ma mère entra :

" Ton lit est complètement trempé. Tu as eu quelques accidents ces temps, mais jamais à ce point. Je ne pense pas qu'il soit nécessaire d’en parler au médecin. A mon avis, c’est la fatigue et l’approche des examens. Mais il va falloir prendre des précautions.

Et ramassant la culotte en caoutchouc et les couches :

" Je vais laver les couches pour qu'elles soient propres pour toi ce soir, et seulement essuyer la culotte en caoutchouc pour que tu puisses la remettre avant d'aller à l'école. C'est plus sage. Finis de te laver, je reviens." J'avais un peu honte de tromper ma mère, mais je n'aurais pas osé lui avouer que j'avais fait pipi volontairement. Elle acceptait la chose avec fatalité et j'allais pouvoir me consacrer à mon nouveau plaisir en toute tranquillité. Toutefois j'appréhendais un peu de devoir mettre la culotte en caoutchouc dans la journée, craignant que les couches ne s'aperçoivent sous mon pantalon.

Mais ma mère qui est une femme prévoyante, avait eu les mêmes scrupules et avait su pallier à cet inconvénient.

"Voici la culotte. Il est préférable que tu la mettes pour éviter des accidents fâcheux. Toutefois je crains qu'avec une couche à l'intérieur, elle ne soit visible sous ton pantalon un peu trop moulant.

Si, comme je le suppose, tu fais pipi parce que tu ne peux pas te retenir longtemps, tu n'auras pas besoin de grosses garnitures.

Aussi j'ai pensé qu'en mettant seulement cela sous ta culotte, le tout sera invisible. "

Elle me tendit, outre la culotte en caoutchouc, une serviette et sa ceinture hygiénique.

"Ca te parait ridicule, mais le tissu de chez "Tétra" est très absorbant et très doux à porter une fois mouillé. Tu attaches chaque extrémité de la serviette aux pattes de la ceinture avec des épingles.

Dans la journée je trouverai peut-être une autre solution. Maintenant il est temps que tu te dépêches, ce sera bientôt l'heure de partir."

C'était sensationnel, j'allais pouvoir porter "officiellement", une culotte en caoutchouc et la mouiller avec la bénédiction de ma mère.

J'eus malgré tout un petit pincement au coeur lorsque je passai la ceinture hygiénique et que j'y fixai la serviette, me regardant dans la glace, je pensai alors qu'Hélène à un certain moment, portait le même attirail, et ma verge se réveilla, se dressant dans les plis de la serviette. L'érection s’intensifia lorsque je remontais la culotte en caoutchouc sur mes fesses, cela malgré le contact froid sur la peau.

Alors que je m’apprêtais à descendre, mon membre gonflé, prisonnier de la serviette, me rendit la marche pénible. Je m’empressais donc de le sortir de son entrave et le laissai libre, comprimé seulement contre mon ventre par la culotte qui se réchauffait peu à peu.