Anonymous


Vues: 1904 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 3

Bien que le caoutchouc fut sec, ma verge glissai merveilleusement bien à chaque pas et je n'avais pas quitté la maison que j'éjaculais pour la deuxième fois en une heure.

Je découvris alors une nouvelle utilisation bien agréable de ce sous-vêtement spécial, qui me promettait des satisfactions quasi permanentes de jour comme de nuit.

A la sortie de l'école, sur le chemin du retour, je décidai de me mouiller légèrement afin de justifier auprès de ma mère l'utilisation de cette culotte imperméable dans la journée.. Je savais que je n'aurais aucun mal à la convaincre, la connaissant favorable à ce projet qui devait me maintenir dans un état infantile.

Lorsque je sentis le filet chaud me couler entre les cuisses, comme le matin, je fus traversé par un courant de plaisir intense qui me fit vaciller sur mes jambes.

Malheureusement la serviette hygiénique, mal adaptée, ne retint que peu de liquide, la majorité formant une mare dans le fond de la culotte en caoutchouc, si bien qu'arrivé à la maison, de larges auréoles humides ornaient le fond e mon pantalon.

Ma mère ne sembla pas surprise pour autant, et me dit :

" Tu vas aller te changer tout de suite avec ce que je viens d'acheter ce matin à la pharmacie. Sur les conseils de la pharmacienne, je t'ai pris deux culottes en plastique, ainsi que des couches en cellulose, dites "anatomiques" spécialement conçues pour être invisibles sous un pantalon. Pour la nuit, les couches de ta tante étant insuffisantes, je t'ai acheté des grandes serviettes en tissu éponge.

De plus comme tu as mouillé tes draps, malgré ta culotte en caoutchouc, j'ai acheté également du drap d’hôpital en tissu caoutchouté pour remplacer le drap normal.

Ainsi commençait pour moi une période nouvelle durant laquelle j'allais pouvoir jouir en toute impunité de mon environnement humide que je devais bientôt partager avec ma cousine Hélène, dans l'espoir que ces jeux ouvriraient la porte à d'autres moins innocents.

Deuxième épisode

Le jour tant attendu arriva. Depuis plus d'un mois, je mouillais consciencieusement mes couches de jour comme de nuit et j'avais ainsi obtenu "le visa" nécessaire pour aller passer un mois de vacances chez ma tante, dans sa maison de campagne, isolée de tout, en pleine nature.

Au moment de partir je fus très étonné du peu de bagages qui m'accompagnait, mes vêtements de bébé devant normalement occuper déjà une place considérable.

Ma mère me dit alors que ma tante lui avait recommandé de limiter mes bagages au simple voyage aller et retour, car elle avait tout prévu pour mon séjour chez elle.

Après un voyage sans histoire, j'arrivai tout mouillé, une fin d'après midi, chez ma tante qui sembla très satisfaite de l'état humide, impossible à cacher, dans lequel je me trouvais.

"Je pense que tu as hâte de te changer ", me dit ma tante, "Tu trouveras tout ce qu'il faut dans ta chambre qui est également celle de ta cousine. Tu vas certainement être surpris de son agencement, mais tu t'y feras très bien par la suite. Hélène viendra nous rejoindre quand je t'aurai fourni les explications nécessaires à ton séjour."

Quand j'entrai dans la chambre, j'eus un choc et les mots me manquèrent pour répondre à ma tante qui me demandait comment je trouvais l'installation. La chambre était très grande, bien éclairée et toute blanche, murs, moquette, meubles comme une chambre d’hôpital. Toutefois des notes de couleur vive égayaient l'atmosphère. Les meubles en bois laqué blanc étaient ornés de motifs enfantins, des poupées traînaient çà et là, un parc trônait dans un coin, rempli de jouets divers en peluche. Je me trouvais dans une chambre de bébé, de grand bébé si j'en jugeais par la taille des deux lits jumeaux, également en bois blanc, munis de barreaux sur les quatre côtés. Une grande table occupait le milieu d'une cloison. Son dessus paraissait souple et brillant. Je devais m'apercevoir un peu plus tard que la table était matelassée et recouverte d'un tissu caoutchouté d'un blanc éclatant semblable à une table à langer.

Deux autres portes entièrement en glace s'ouvraient sur cette chambre.

L'une donnait sur une salle de bain, l'autre sur la chambre de la nurse aux dires de ma tante.

Devant mon air hébété, elle me précisa alors :

" Voila donc ta chambre. Comme tu peux le voir, c'est une chambre réservée à des grands bébés. Dans l'armoire tu trouveras toutes tes affaires : couches et couches-culottes en coton ou en tissu éponge, et tes diverses culottes en caoutchouc. Tu trouveras également des brassières et des barboteuses qui remplaceront durant ton séjour ici tes chemises et tes pantalons habituels. Tu seras habillé et traité comme un bébé. Cette chambre sera ton univers ainsi que le parc si tu désires prendre l'air. Voila pourquoi j'ai demandé à ta mère de ne pas t'encombrer avec des affaires inutiles.

Tu vas quitter pour un mois tes couches en cellulose trop onéreuses et aussi trop difficiles à éliminer une fois souillées.

D'autre part comme tu ne seras changé que deux fois par jour, il te faudra mettre deux ou trois épaisseurs de couches sous ta culotte en caoutchouc. De ce fait ton pantalon sera trop étroit, et c'est pourquoi je t'ai fait faire des barboteuses assez amples pour tout contenir et s’ouvrant entre les jambes pour faciliter les changes

" Pour s'occuper de toi et d'Hélène, j'ai fait appel à une infirmière anglaise qui m'a été chaudement recommandée, car elle a l’habitude de langer les grands garçons comme toi. Elle sera très gentille si tu es obéissant, mais gare à la fessée si tu n'es pas sage. C'est elle qui te changera tes couches lorsque tu seras mouillé. En général tu ne devras pas les salir autrement, à moins qu'elle ne décide de te donner un lavement. Dans ce cas-là seulement tu seras autorisé à tout faire dans ta couche-culotte. Ah, encore une chose. Pour des raisons de propreté, tu auras le sexe entièrement rasé. Tu n'as rien à craindre, c'est une experte en la matière. Pour le reste, Hélène te dira ce qu'il faut faire ou ne pas faire.

Tiens ! Les voilà qui arrivent. Tu vas faire connaissance tout de suite avec ton infirmière."

Anéanti par ce que je venais d'entendre, je ne le fus pas moins quand je vis entrer Hélène et la nurse. Hélène était encore plus jolie qu' avant. Elle était habillée comme une petite fille, d'une jupe très courte laissant voir la culotte en caoutchouc rose, gonflée par les couches, boutonnée à une brassière se fermant par des pressions dans le dos. Celle-ci en fin linon, donnait un relief saisissant à ses petits seins qui jouaient librement sous le tissu transparent. La vue de ma cousine et les souvenirs récents me revenant à la mémoire, déclenchèrent sans peine une érection telle qu'elle attira l'attention de la jeune femme en blanc qui l'accompagnait. Dans ses yeux d'un bleu vif passa alors une lueur étrange, tandis qu'un petit bout de langue rose passait rapidement sur ses lèvres humides.

Après les présentations, ma tante quitta la chambre.

" Votre tante a du vous dire quelles étaient ici mes fonctions." Dit la nouvelle venue d'une voix chaude et troublante.

"Vous devez m'obéir dans tous les cas. Pour commencer, vous allez retirer votre pantalon et votre chemise et vous étendre sur la table à langer."

- " Mais, ma cousine est ....."

-" Dorénavant vous êtes deux bébés, et il n'y a aucun mal que vous soyez nus l'un en face de l'autre". Devant son regard devenu subitement identique à celui d'un oiseau fascinant sa proie, je me débarrassais sans rien dire de mes vêtements dévoilant ainsi ma culotte en plastique déformée sur le devant par ma verge tendue.

Il me semble de nouveau voir la fugitive lueur lorsqu'elle m'aida à m'allonger sur le caoutchouc.

Le froid de celui-ci me fit frissonner et je fermai les yeux, les joues cramoisies de honte.

Elle me débarrassa rapidement de ma culotte en plastique renfermant la couche en cellulose toute trempée, libérant ainsi mon sexe qui se dressa verticalement.

-" Ce n'est pas une tenue correcte pour un bébé", dit-elle," Nous allons y remédier en rasant tous ces vilains poils." Comme elle s'éloignait, j'ouvris les yeux et j’aperçut ma cousine Hélène qui semblait s'amuser de la situation. Je détournai la tête pour ne plus rencontrer son regard moqueur et je suivis des yeux les gestes de l'infirmière. Elle plaça à coté de moi, un mouchoir, du savon et un rasoir, puis enfila dans un bruissement caractéristique des gants en caoutchouc transparent.

Elle enduisit ses mains gantées d'une crème translucide, et posant le mouchoir sur l'extrémité de mon membre, elle commença à le caresser de bas en haut. Je poussais un gémissement de plaisir. Elle me donna une tape sur les cuisses lorsque je voulus accompagner sa lente masturbation de violents coups de reins.

-"Restez tranquille, dit-elle, je me doute qu'à votre âge, vous savez vous procurer des plaisirs solitaires. Pour un bébé, c'est absolument défendu, et si je vous y reprends, je serai obligée de vous attacher les mains." Devant les yeux attentifs et gourmands d'Hélène, elle reprit son mouvement de va et vient, m'arrachant des cris de plaisir. Sentant l'explosion très proche, elle accéléra son mouvement, et le mouchoir placé à cet effet, recueillit le sperme jaillissant qui coula le long de mon membre avant d'engluer les doigts caoutchoutés de la jeune femme.

Bien que traversé encore par les ondes de plaisir, mon attention fut attirée par la respiration haletante de ma cousine, qui, les yeux fermés et appuyée contre le lit, frottait ses cuisses l'une contre l'autre, prenant elle aussi son plaisir dans ses couches mouillées.

Ne voulant pas y faire attention, l'infirmière prit dans l'armoire une couche-culotte en éponge et la glissa sous mes fesses. Toutefois avant de la refermer, elle entreprit de me raser le sexe, ce qu'elle fit rapidement et avec dextérité. Une fois langé, elle fit glisser autour de mes jambes une magnifique culotte en caoutchouc bleu qu'elle disposa avec soins dessus la couche-culotte, laissant claquer l'élastique de la ceinture sur ma peau pour signifier la fin de l'opération emmaillotement.

-"Levez-vous, me dit-elle, c'est maintenant au tour de votre cousine."

La culotte neuve froufroutant autour de moi, je m'éloignai pour céder la place à Hélène.

La nurse défit les boutons devant et derrière qui retenaient la jupe et aida à son tour Hélène à monter sur la table à langer.

Je regardai fixement les jambes fines et nerveuses de ma cousine impudiquement écartées et relevées comme pour un examen gynécologique, la main de l'infirmière fouillant à l'intérieur de l'entrejambe de la culotte en caoutchouc.

-"Vous êtes également toute mouillée, dit-elle, mais avant de vous changer, je dois vous retirer l'appareil, car il risquerait de vous blesser à la longue." De quel appareil s'agissait-il ? Ma curiosité n'avait d'égal que l'excitation qui me gagnait de nouveau.

La culotte en caoutchouc rose fut retirée avec la même dextérité que pour la mienne, mais c'est avec des gestes religieux qu'elle lui défit les épingles de sûreté qui attachaient les couches ornées d'une énorme auréole jaune et qu'elle rabattit celles-ci sur le devant, entre les jambes relevées.

Ce que je vis alors, me stupéfia et bien malgré moi, je m'approchai pour mieux voir.

La fente de son sexe entièrement épilée, était dilatée et obturée par une espèce de bouchon en caoutchouc couleur chair, muni d'un anneau.

Ce bouchon était maintenu autour des cuisses et de la taille par des petites sangles en caoutchouc.

L'infirmière prit alors l'anneau dans sa main et tira de quelques centimètres, puis le relâcha, les sangles élastiques le ramenant à sa position initiale. Elle recommença le mouvement plusieurs fois. Hélène se mit alors à geindre et remua convulsivement son bassin. L’infirmière continua ce manège, tirant et repoussant alternativement le bouchon. Hélène, les mains crispées sur le matelas caoutchouté, poussait des râles de volupté, la tête dodelinant de droite et de gauche. Lorsqu’elle jugea le traitement terminé, la nurse défit les sangles et tirant sur l’anneau, extirpa du vagin de ma cousine un long cylindre en caoutchouc couleur chair qui ressemblait à s’y méprendre à un membre masculin en érection.

Ce dernier reposait maintenant tout gluant et baveux sur le drap en caoutchouc blanc et la nurse, occupée à mettre des couches propres à ma cousine sembla ignorer mon geste. Je me saisis de ce godmiché.

Et, tout en respirant l'odeur excitante des sécrétions intimes d'Hélène, je glissais ma main à l'intérieur de ma culotte en caoutchouc et sous le regard mi fâché, mi amusé de l'infirmière, j'arrivai très vite à jouir une fois de plus, mais cette fois ci, dans mes couches.

Au cours de la soirée, la démarche hésitante de la nurse, ses yeux mi-clos et ses lèvres pincées, me firent tout de suite penser que le godmiché avait trouvé un autre fourreau tout aussi chaud et humide.

Aussitôt le dîner, Hélène et moi nous montâmes dans notre chambre, dans l'espoir de pouvoir bavarder en dehors de la présence de la jeune anglaise qui ne tarderait pas à venir nous toiletter pour la nuit.

Hélène m'expliqua alors que l'infirmière était là depuis une huitaine de jours et qu'elle avait pris un tel ascendant sur sa mère que c'était elle qui avait exigé l'agencement de la chambre et la tenue infantile qui était maintenant la nôtre. Elle me dit également qu'elle avait trouvé séchant sur un fil dans le jardin, une culotte en caoutchouc garnie de volants et une autre transparente qui appartenaient sans aucun doute à l'anglaise.

Elle rougit de confusion lorsque je lui demandai l'origine du slip très spécial que j’avais aperçu dans l'après-midi sur elle. Elle hésita un long moment avant de me répondre que l'infirmière l'avait amené avec elle ainsi que d'autres d'ailleurs de types différents, mais comportant tous des sexes d'homme en caoutchouc à l'intérieur, plus ou moins gros les uns que les autres.

Pressée de questions plus intimes, elle m'avoua que l’infirmière l'avait déflorée avec dès le premier soir de son arrivée, et qu'elle prenait un énorme plaisir à se promener avec ce membre en caoutchouc entre les cuisses, macérant dans les couches mouillées sous la culotte en caoutchouc.

" Maintenant que le passage est fait, dit-elle d'un air malicieux, je vais pouvoir faire la différence entre une fausse queue et une vraie bien chaude et bien juteuse." Un tel langage dans la bouche de ma cousine me stupéfia tout d'abord. Puis, déjà bien excité par le début de notre conversation, d'autant plus que j'avais inondé ma couche-culotte durant le dîner, je décidai de lui permettre de faire la comparaison sur le champ.

Je la fis basculer sur la table à langer et déjà ma main fouillait entre ses cuisses, malaxant le caoutchouc et les couches qui recouvraient son sexe, lorsqu'elle me repoussa gentiment comme à regret :

-" Non, pas maintenant, l'infirmière ne va pas tarder.

Nous aurons tout notre temps demain. D'ailleurs, si j'en crois la façon dont elle te regardait ce soir, je ne serais pas étonnée qu'elle ait fait des projets pour toi cette nuit. Dans ce cas là, tu seras à même de vérifier si elle porte aussi des couches. A plusieurs reprises, j'ai cru apercevoir des taches humides sur sa blouse quand elle se relevait de sa chaise...." Hélène s'interrompit brusquement au bruit de la porte s'ouvrant sur la nurse :

" Me voilà ! Je suis à vous. Je vais d'abord m'occuper d'Hélène. Il n'y en n'a pas pour longtemps."

Passant devant moi comme si je n'existais pas, elle s'approcha de ma cousine et lui retira sa jupe. Puis se penchant, elle passa sa main entre ses cuisses et la glissa sous la culotte en caoutchouc :

-" C'est bien. Vous n'êtes pas trop mouillée. Ce n'est pas nécessaire que je vous change ce soir. Vous allez donc vous couchez comme vous êtes. Inutile d'exciter sans raison notre jeune garçon par un nouveau strip-tease." Après avoir passé une longue chemise de nuit autour du corps gracile d'Hélène, elle l'aida à enjamber les barreaux du lit. Elle caressa un instant la tête blonde, puis, après l'avoir embrassée sur le front, lui glissa dans la bouche une sucette qui se trouvait sur la table de chevet.

Revenue près de moi, elle déboutonna ma barboteuse entre les jambes, et m'en débarrassa en la faisant passer par dessus ma tête. Elle s'attaqua ensuite à ma culotte en caoutchouc qu'elle fit descendre le long des jambes et tomber à mes pieds. La couche-culotte libérée, pendait entre mes cuisses et s'égouttait sur le sol. Rapidement elle défit les épingles de sûreté et lança la couche trempée comme une soupe sur la table à langer. .

Me laissant debout, nu comme un ver et honteux, elle ramassa ma culotte également ruisselante et se dirigea vers le lit d’Hélène sans un mot, elle lui enleva la sucette et déposa le caoutchouc humide et odorant de la culotte sur son visage. Aussitôt le silence interrompu par le bruit que fit Hélène en suçant et léchant le caoutchouc, comme celui d'un jeune chiot lapant son écuelle.

-« Allongez vous sur la table à langer !" me dit-elle d'un ton sans réplique.

Elle disparut dans la salle de bain et revint quelques instants après avec un bol rempli d'eau chaude et un blaireau. " J'ai oublié de vous raser tout à l'heure, c'est le moment ou jamais.

Tenez vous tranquille et tout ira bien." Elle enduisit de mousse mon bas ventre, mon sexe et le haut de mes cuisses et fit glisser le rasoir avec une dextérité digne du meilleur barbier. Après m'avoir bien essuyé, elle enduisit de crème la surface de peau légèrement irritée par le feu du rasoir et la talqua en insistant entre les cuisses et sur les parties génitales qui commençaient à me picoter.

" Maintenant tournez vous sur le ventre, et écoutez moi. L’établissement éducatif où je travaille est réservé aux jeunes filles de la Gentry peu dociles. Aussi pour leur apprendre l'obéissance et l’humilité, il est de coutume, à leur arrivée, de leur donner en présence de leurs camarades, un premier clystère suivi par d'autres dont le nombre varie en fonction de leur docilité. Votre cousine est passée par là. Ce soir c'est votre tour."

Je dus faire une vilaine grimace en la regardant de coté, car elle ajouta :

"Non ? Ce n'est pas douloureux. Certains, au contraire, y trouvent même un immense plaisir. Le seul désagrément, mais là encore pas pour tout le monde, c'est une faiblesse passagère du sphincter anal. C'est pourquoi je devrai vous langer avec un soin tout particulier et beaucoup plus souvent pendant deux ou trois jours." L'infirmière se dirigea de nouveau vers la salle de bain et bientôt j'entendis couler l'eau dans le lavabo dont le bruit ne couvrait les plaintes de ma cousine qui léchait toujours l'intérieur de ma culotte en caoutchouc et dont les deux mains s'agitaient rythmiquement sous la couverture.

L'infirmière revint sur ces entrefaites, tenant dans sa main une grosse poire en caoutchouc rouge prolongée par une canule noire, et un paquet de coton hydrophile. Elle regarde en souriant Hélène et s'approcha de moi :

« Pour une première fois, j'ai mis une petite dose. C’est de l'eau tiède glycérinée. La canule est bien lubrifiée, vous ne sentirez rien." Et, écartant mes deux fesses, elle présenta le bout de la canule à l'entrée de mon petit trou. Très doucement elle l'enfonça, puis par des mouvements de va et vient, la fit pénétrer entièrement dans mon derrière. Enfin, elle appuya doucement sur la poire et je sentis le liquide chaud se répandre dans mes intestins.

Ce fut une sensation nouvelle, mais oh combien délicieuse, et pris par le plaisir, je commençai à me frotter contre le caoutchouc devenu chaud et glissant.

L'infirmière me donna alors une tape sur les fesses et retira lentement la canule qu'elle remplaça par un tampon de coton en me demandant de bien serrer les fesses pour éviter tout écoulement prématuré jusqu'à ce que je sois de nouveau langé.

Elle plaça sur mon derrière et autour de la taille une grande serviette éponge qu'elle glissa sous mon ventre et dont je dus tenir les extrémités durant les quelques secondes qui lui furent nécessaires pour me retourner sur le dos.

J'eus alors devant les yeux un tableau qui aggrava l'érection de ma verge déjà excitée par les quelques frottements sur le drap en caoutchouc. L'infirmière se tenait debout à coté de moi, à la hauteur de mon visage. Durant ses va et vient entre la chambre et la salle de bain, sa blouse s'était entrouverte et n'était plus fermée à la taille que par la ceinture.

J'avais pour tout horizon deux cuisses nerveuses et bronzées, émergeant d'une culotte en caoutchouc transparent qui plaquait et dessinait, en l'absence totale de couche, les poils frisés de sa toison parfaitement taillée en triangle.

Plus bas pendant entre les cuisses, la culotte formait une poche dans laquelle allait et venait une petite mare liquide qui jouait sur le caoutchouc semblable à une bulle d'air .

Alors qu'elle se penchait sur moi pour rabattre le tissu éponge entre mes jambes, fasciné, je portai la main vers sa culotte pour saisir cette bulle liquide qui s'échappait entre mes doigts à chaque tentative pour se diviser en de nombreuses perles qui glissaient çà et là à l'intérieur de la culotte. A mon dernier essai, ma main se posa sur le renflement de son sexe. D'un doigt je dessinais le contour de ses lèvres et explorais sa grotte, me servant de la culotte en caoutchouc comme d'un doigtier pour un toucher vaginal.

La nurse poussa alors un feulement de bête et moi un cri de douleur, car elle venait de me piquer en voulant attacher ma couche avec une épingle de nourrice.

Dans un état second, je continuai à la caresser à travers le caoutchouc jusqu'à ce que, renouvelant son cri, elle inondât sa culotte d'une façon telle que son jus, s'échappant par les élastiques serrées aux cuisses, s'écoula sur ma main et mon avant bras.