Anonymous


Vues: 1320 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 4

Elle se releva lentement et je pus alors voir ma couche qui ressemblait à une toile de tente sur son piquet, dressée sur mon ventre.

Sans prendre garde à sa tenue, l'infirmière alla chercher sur la petite table roulante un biberon vide et sa tétine, puis, écartant les jambes sans pudeur, elle vida le contenu de sa culotte précautionneusement dans le biberon. Elle dégagea mon membre rigide de la couche qui l'entravait, et versa sur son extrémité une partie du biberon puis, sans attendre, elle entoura ma verge de sa main et me masturba savamment, recouvrant et découvrant alternativement le gland me faisant gémir de volupté. Lorsqu'elle sentit venir l'explosion, elle inclina mon sexe et en engagea l'extrémité dans le goulot très large du biberon, où, après quelques caresses supplémentaires, j’éjaculais avec force.

Après avec fixé la tétine en caoutchouc, elle en pressa le bout sur le dos de sa main pour en faire sortir une goutte épaisse. Elle agita le biberon, et le portant à la lumière elle examina, t’elle une laborantine, son contenu dans lequel évoluaient des filaments laiteux.

Satisfaite, elle se dirigea vers le lit de ma cousine Hélène. Celle-ci, sans doute sortie de ses rêves par les cris de l'infirmière, était assise dans son lit défait, revêtue de ma culotte en caoutchouc bleu. Alors que sa culotte rose et ses couches trempées gisaient sur le sol. Heureuse et souriante, elle se caressait en pressant le caoutchouc humide de mon pipi contre sa petite chatte en feu.

-" Si vous préférez dormir sans vos couches protectrices, à votre aise. Mais alors, gare à la fessée demain si vos draps sont mouillés. Tenez, buvez ce biberon pendant que j'en termine avec votre cousin.", dit-elle en réajustant sa blousé.

Revenue vers moi, elle refixa la couche, cette fois sans difficulté ma verge étant redevenue toute molle. Elle plia ensuite en quatre deux couches rectangulaires qu'elle glissa par moitié sous mes fesses, et passant l'autre moitié entre mes cuisses, la déplia et l'étala soigneusement sur mon ventre. Toutefois, elle avait pris la précaution auparavant de pulvériser un déodorant spécial pour incontinence totale.

Par dessus elle me boutonna une couche-culotte suffisamment collante pour maintenir l'ensemble des couches et pour terminer elle m'enfila une autre culotte en caoutchouc, fermée, montant très haut presque sous les bras.

Une brassière s'attachant avec des cordonnets dans le dos et une barboteuse en éponge à pont, terminèrent ma tenue de nuit.

L'infirmière m'aida à descendre de la table à langer et c'est en marchant cahin cahan, les jambes largement écartées en raison de l'importance des couches, que je gagnai mon lit. Comme pour ma cousine, la jeune femme en blanc m'aida à enjamber la barrière du lit, et une fois couché, le drap bordé, elle me glissa une sucette dans la bouche tout en m'embrassant sur le front.

Une bouffée de parfum douçâtre et acide s'échappa d'elle lorsqu'elle se pencha et je ne pus me retenir de glisser ma main entre les barreaux de bois du lit et de la remonter le long de ses cuisses humides jusqu'à sa culotte en caoutchouc plaquée contre son sexe.

Fermant les yeux, elle se frotta un court instant contre mes doigts inquisiteurs, puis se releva échappant ainsi à ma main caressante.

"Vous devez vous reposer maintenant. D'ailleurs votre cousine a fini son biberon et s'est déjà assoupie. Je vous laisse une veilleuse allumée pour que vous ne soyez pas dans l'obscurité complète. Je laisse également la porte de ma chambre entrouverte. Bonne nuit ! "

Puis elle disparut dans sa chambre. Bientôt une lumière diffuse éclaira sommairement la pièce. Par le jeu d'un grand miroir, je m’aperçut que cette lumière venait d'une autre pièce adjacente d'où me parvint peu après un bruit d'eau courante. Sans aucun doute l'infirmière se trouvait dans sa salle de bain et procédait à sa toilette.

Couché en chien de fusil, je ne quittais pas des yeux le rectangle lumineux. D'une main je caressais mes fesses caoutchoutées suivant d'un doigt le contours des couches pliées entre les cuisses et je me sentais heureux d'être un bébé, attendant le moment, au combien délicieux, où le précieux liquide jaillirait entre mes cuisses et répandrait sa chaleur bienfaisante sous mes fesses jusqu'à mes reins.

C'est alors qu'une silhouette se découpa sur le fond lumineux réfléchi par le miroir. C'était la silhouette d'une jeune femme entièrement nue, les cheveux tombant sur les épaules, aux formes pleines et gracieuses, habituellement entravées sous l'uniforme blanc. Cette agréable vision fut momentanément effacée par une lumière plus brutale et plus vive. Elle venait d'allumer le plafonnier de sa chambre.

J'avais cette fois une vue très précise de son lit et des environs immédiats.

Avec stupéfaction et un certain émoi renaissant, j’assistai aux préparatifs du coucher de l'infirmière. Elle découvrit le dessus du lit, dévoilant un drap de couleur lilas dont la brillance glacée ne laissait aucun doute sur sa matière. Puis elle retira de l'armoire des affaires dont je devinais la nature étant donné les événements de l'après-midi.

Debout devant la glace, elle enfila une culotte en coton à cotes, genre "Petit Bateau" qu'elle remonta jusqu'aux genoux. Là, écartant les cuisses, elle plaça à l'intérieur de la culotte deux serviettes éponge et tira le tout sur ses hanches, veillant à bien étaler les couches sur son ventre et sur ses fesses. Lentement elle passa ses mains entre ses cuisses et sur l'ensemble de la culotte en coton pour effacer tous les plis. Satisfaite, elle se regarda de profil dans la glace, me permettant ainsi de juger de l'épaisseur des garnitures à la sortie de son entrejambe.

Ensuite, lentement comme avec des gestes de danseuse, elle passa autour de ses jambes une culotte en caoutchouc transparent, qu'elle disposa soigneusement autour de sa taille. Elle se caressa quelques instants, glissant ses mains sur la matière lisse et brillante qui recouvrait son ventre et ses fesses, puis les remonta sur sa poitrine dont elle agaça les pointes durcies avec un gémissement qui parvint jusqu'à moi.

Enervé, je me retournai sur le ventre, frottant ma verge dans le tissu sec et légèrement râpeux des couches, cherchant en vain à l'assouplir en faisant pipi dedans.

A ce moment l'obscurité se fit totale dans la chambre voisine. L'infirmière avait du se mettre au lit.

Mes efforts pour faire pipi eurent toutefois un résultat similaire mais non souhaitable.

Quelques instants auparavant, alors que je contemplais l'infirmière dans sa chambre, j'avais bien ressenti des élancements et des tiraillements dans le ventre, mêlés à des gargouillements significatifs.

Un liquide chaud fusa dans mes couches et se répandit sur mes fesses avant de couler entre les cuisses. Pensant ralentir et contrôler le flot intarissable qui s'échappait de mes intestins, je me retournai sur le dos, savourant le plaisir nouveau de cette source chaude, malgré son origine, que peu à peu le tissu éponge absorbait.

Mais un sentiment de honte atténua les premières sensations de plaisir, en pensant à ce qui se passait dans mes couches. Instinctivement je soulevais mon derrière pour faciliter la répartition de la matière douce et molle qui envahissait la raie fessière et mon entrejambe.

Ne pouvant que subir mon état infantile, je cherchai toutefois à réduire les désagréments en évitant de bouger au maximum, ayant abandonné tout désir de me caresser dans la culotte en caoutchouc.

Fatigué par cette journée tumultueuse et pleine d'imprévus, je tombai dans un sommeil profond.

Le lendemain je fus réveillé par l'infirmière qui, après avoir palpé et malaxé ma culotte en caoutchouc, me dirigea sur le champ, sous la douche, dans la baignoire. C'est avec soulagement que je fus débarrassé de l'emplâtre qui me paralysait le derrière. Lavé, langé de frais dans ma barboteuse, elle m'accompagna jusqu'à la cuisine pour prendre mon petit déjeuner.

Il me fut servi sous forme d'une bouillie épaisse dans un biberon que je vidais avec plaisir, assis sur une chaise en bois laqué.

Je constatais l'absence d'Hélène comme j'avais pu le faire également dans la chambre.

L'infirmière répondit à mon regard interrogatif en me disant que ma cousine était sortie avec sa mère et qu'elles rentreraient en fin de matinée.

Après m'avoir pris des mains le biberon vide, elle me proposa, si je le désirais, d'aller me promener dans le jardin, derrière la maison, pour profiter du soleil déjà chaud à cette heure matinale.

En sortant de la maison je me heurtais aux fils sur lesquels séchait le linge encore humide, fraîchement lavé. Il y avait là une majorité de couches et couches culottes en coton et tissu éponge, mais également des culottes en caoutchouc différentes, parmi lesquelles une culotte en caoutchouc rouge à jambes mi-longues, et une autre toute spéciale, en caoutchouc blond transparent comportant à l'intérieur, ce que je crus être un préservatif, n'en ayant vu que dans les mains de copains. Mais celui-ci était presque rigide.

Je m'approchai et pris la culotte dans mes mains.

Elle devait servir depuis longtemps, car le caoutchouc par endroits, était durci et jauni.

Sans en être sur, je m'imaginai toutefois l'utilisation et l'utilisatrice de cette culotte. Je la portai à mon visage et crut respirer une odeur acide qui prédominait l'odeur du savon. Le désir ardent de me caresser dedans me vint à l'esprit. Malheureusement l'épaisseur de mes couches et ma culotte en caoutchouc m’empêchaient toute tentative.

Compensant cette frustration par un autre plaisir à ma portée, je vidais ma vessie dans mes couches restées sèches jusqu'alors. L'envie de faire pipi, qui s'était déjà fait sentir alors que je prenais mon biberon était si forte que je ne pus contrôler la miction et que j’inondais littéralement mes couches insuffisantes à endiguer le raz de marée. Quittant ces lieux, les jambes écartées et ruisselantes, je crus voir un visage derrière une des fenêtres du premier étage.

Dans le fond du jardin, à l'abri de tout regard, en bordure des grands arbres du parc, il y avait une aire de jeux avec portique, balançoire, tas de sable, etc... Ainsi que des chaises longues en toile plastifiée disposées autour d'une table parasol.

Je quittai ma barboteuse toute trempée au bord des jambes pour la faire sécher, et me laissai tomber sur une des chaises longues, uniquement vêtu de ma culotte en caoutchouc qui retenait pour mon grand plaisir une bonne quantité de pipi bien chaud. Ma main entre les cuisses tapotait le caoutchouc de la culotte envoyant le chaud liquide baigner mon membre gonflé comme le flux et le reflux de la mer sur la plage.

Ce massage liquide ne tarda pas à faire son effet, et je glissais mon autre main sous les couches pour mettre fin à une tension devenue douloureuse.

C'est dans cette attitude que ma cousine, revenue plus tôt que prévu, me surprit.

"Eh bien, on fait joujou tout seul maintenant ? C'est du joli !" Je sursautais au son de sa voix moqueuse venue interrompre un travail si bien commencé.

Bien que je pensais à elle en me caressant, j'eus du mal à croire en sa présence, et c'est le coeur battant à se rompre et le visage cramoisi, que je me retournai vers elle après avoir retiré ma main de ma culotte.

Elle était encore plus jolie qu'avant. Ce n'était plus le bébé dans ses couches que j'avais l'habitude de voir, mais la fraîche jeune fille, souriante, dans sa légère robe blanche d'été. Cette dernière, très ample, lui cachait pudiquement les genoux et ne laissait rien voir quand à ses dessous.

"Ainsi, le grand bébé ne voulait pas attendre sa petite cousine. Ce n'est pas gentil de sa part. Il devrait se rappeler qu'elle aime aussi à jouer à touche-pipi !" dit-elle avec un sourire malicieux.

Elle s'était assise sur l'angle de la chaise, la robe tirée sur les genoux serrés sans hésitation, écartant d'une main l'élastique de la ceinture, elle engagea l'autre dans le chemin pratiquée sous les couches par la mienne quelques instants auparavant.

Lorsque ses doigts se refermèrent sur mon membre raide, elle sursauta comme traversée par un courant électrique, alors que je poussais un râle de plaisir, me soulevant de la chaise et creusant mon ventre pour faciliter les mouvements de sa main.

Des gouttes jaune d'or tombèrent de la culotte dans la mare qui stagnait sur le tissu plastique du siège, et des rigoles se formèrent sur la partie interne de mes cuisses.

Retirant sa main à mon grand regret, elle m'aida à me lever et me dit d'une voix rauque :

"Tu ne peux pas rester dans cet état, viens avec moi, je vais arranger ça." Et elle me tira vers les grands arbres du parc.

Là elle me plaça le dos à un grand marronnier qui nous cachait à la vue de la maison, et de ses deux mains, elle baissa ma culotte en caoutchouc sur mes cuisses. Comme j'essayais, honteux, de la repousser, elle dit nerveusement :

" Laisses moi faire !" Elle retira la couche ruisselante pliée dans le fond de la culotte et défit les épingles de nourrice qui retenait l'autre autour de ma taille, libérant ma verge gonflée qui se dressa à l'horizontal.

Je ne pus retenir un gémissement lorsqu'elle la caressa quelques instants, et devant mes yeux ébahis, elle prit dans ses dents le bas de sa robe, me dévoilant son ventre caoutchouté, et fit sauter rapidement les boutons pressions qui fermaient sa couche-culotte.

La retenant entre ses cuisses serrées, elle prit la couche sèche qui la garnissait à l'intérieur et entreprit d'essuyer mon entrejambe et mes cuisses, et d'éponger ensuite tout le pipi qui restait dans les plis caoutchoutés de la culotte.

Enivré par l'odeur forte qui s'en dégageait et à la vue de sa fente imberbe, couleur corail, humide et légèrement béante, que soulignait telle une cicatrice, sa peau d'un blanc laiteux, d'une main je la plaquais contre moi et de l'autre, je frayais un passage entre ses cuisses serrées pour y glisser mon membre tendu.

Ne pouvant se dégager, tout son corps raidi contre le mien, elle essaya tout d'abord de me repousser.

Puis tout à coup elle céda, son corps se détendit, épousant le mien, ses cuisses s'écartèrent et sa bouche s'écrasa sur la mienne.

Ma main qui était restée serrée entre ses cuisses, s'anima alors, caressa son sexe lui arrachant une plainte. Un doigt, puis deux s'infiltrèrent dans sa fente déjà juteuse et s'engouffrèrent dans le fourreau brûlant et ruisselant, taquinant au passage son petit bouton gonflé.

Elle poussa un cri vite étouffé par ma bouche et son corps se faisant plus lourd, elle entoura ses bras autour de mon cou, sa langue fouillant ma bouche de la même manière que mes doigts fouillaient sa grotte béante.

Sans prendre garde aux brûlures de mon dos contre l'écorce rugueuse de l'arbre, je me laissai glisser légèrement, fléchissant sur les genoux puis prenant ma verge dans la main, je la redressais et la présentai à l'entrée de sa fente.

"Oh oui, oui. Viens !" cria-t'elle.

D'elle même elle leva sa jambe droite pour faciliter l'intromission, et sans effort ni difficulté, doucement en me redressant, je m’enfonçais en elle. Nos cris durent s'entendre de la maison.

Alors qu'anéanti, je restais en elle sans bouger, elle prit l'initiative en serrant et desserrant ses fesses alternativement faisant ainsi sortir et rentrer mon membre dans son étroit fourreau. Combien de temps cela dura-t'il ? une seconde ? Une minute ? Un siècle...? .

Sentant le moment imminent de l'explosion, je la pris des deux mains et la serra contre moi, cherchant d'un coup de reins à m'enfoncer plus en elle. Nous criames ensemble, lorsque ma semence fusa et se répandit dans son ventre par de longs jets ponctués par des coups de reins puissants.

Sans rien dire elle resta accrocher à moi quelques instants encore, jusqu'à ce que mon membre ramolli glisse de lui-même hors de son étui tout gluant de nos mouilles respectives.

Elle décroisa ses bras, ouvrit ses yeux tout humides et me sourit:

"C'était merveilleux !" balbutia-t'elle.

Très vite comme honteuse de sa demi-nudité, elle remit la couche dans sa culotte qu'elle boutonna rapidement et réajusta sa robe blanche ornée de quelques taches révélatrices.

J'étais resté sans voix, les jambes flageolantes, appuyé contre l'arbre plongé dans un monde extérieur.

"Allons, dépêches toi." me secoua t'elle, l'esprit toujours pratique; "Il faut rentrer."

Elle ramassa mes couches tombées à terre, les essora en les tordant, puis me les remit comme elle les avait retirées et me remonta ma culotte en caoutchouc glissé à mes pieds.

"Viens.» dit-elle en me prenant par la main.

Si j'étais toujours anéanti par la soudaineté et l'imprévu de la chose, par contre Hélène avait repris son self-control et à la voir, jamais on ne serait douté de ce qui s'était passé. Tout au moins c'est ce que je croyais. Rentrés à la maison, nous montâmes dans notre chambre où nous attendait notre nurse.

"Eh bien, où étiez vous passés ? Non, ne dites rien. Je saisi. Je renifle ces choses là." et se tournant vers ma cousine :

"Petite imprudente, allez vite dans la salle de bain, je vous y rejoins pour vous laver. Vous sentez le sperme. La prochaine fois que vous serez en chaleur, dites le moi. Vous n'ignorez pourtant pas qu'il y a des précautions à prendre. La pilule, ça existe." "Et vous, vous pissez encore dans vos couches et vous voulez déjà b... comme un homme. Je vais devoir vous apprendre certaines choses essentielles." me dit-elle avec cette même lueur étrange que je lui avais vue à différentes reprises.

Après avoir été lavés et langés par l'infirmière, nous fumes invités à descendre à la salle à manger pour déjeuner.

Là, ma tante nous attendait avec son air sévère et m'apprit en se mettant à table, qu'elle recevait des amies l'après-midi, et qu'en l'absence de personnel, je devrais moi-même servir le thé et les petits gâteaux, service qu'assurait les autres jours ma cousine Hélène.

Après le déjeuner, remontés dans notre chambre, ma cousine me dit :

" Je dois te mettre au courant de certaines choses.

Une fois par semaine, ma mère reçoit ses amies, elles bavardent, racontent les derniers cancans, tout le monde y passe. D'habitude c'est moi qui les sert, habillée. d'une robe très courte de façon à ce que ma culotte en caoutchouc soit visible et chacune, innocemment, hormis ma mère, me palpe les fesses, caresse ma culotte en caoutchouc, et même quelquefois glisse un doigt sous l'élastique de ma culotte pour voir si je suis mouillée avant de m'inviter à m'asseoir sur ses genoux.

Une fois, alors que l'une d'elle avait sa main dans ma culotte, j'ai pissé tout ce que j'ai pu. Non seulement sa robe a été mouillée mais également ses dessous. J'ai bien senti qu'elle jouissait d'être mouillée entre ses cuisses, car elle a continué à me caresser la chatte à travers la culotte comme si de rien n'était. Depuis, elle cherche toujours à me prendre sur ses genoux. Tu parles si j'en profite, car moi aussi je mouille terriblement.