Anonymous


Vues: 1163 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 5

Elle sera certainement là cet après-midi. Elle mouillera un peu plus du fait que tu es un garçon.

Rappelles toi, lorsque j'étais chez vous il y a plus d'un mois, je t’ai parlé d'une copine qui faisait pipi dans sa culotte et qui allait à l'école avec sa culotte en caoutchouc bourrée de couches, si bien que personne ne l'ignorait et que sa mère, par sûreté, lui donnait la pilule. Et bien la mère, c'est la femme dont je viens de te parler et qui te prendra sûrement sus ses genoux.

Tu sais pourquoi elle donne la pilule à sa fille ? Non ? Elle n'a qu'une hâte, c'est que sa fille se fasse dépuceler, car elle prétend que la majorité des filles énurétiques perdent leur sale habitude de pisser au lit dès leurs premiers rapports sexuels. Jusqu’à maintenant elle n'a pas trouvé le mâle adéquat, vu que les garçons n'aiment pas les filles qui pissent dans leur culotte.

Avec toi c'est tout différent. Elle va te tester, voir si tu as l'objet nécessaire à la chose, et comme je suis bien placée pour savoir que tu as tout ce qu'il faut, sur que demain tu es invité chez elle."

" Tu es folle ! Ne dis donc pas de bêtises."

" Tu vas voir. Profites-en, je ne suis pas jalouse. Mais j'ai quand même voulu y passer avant elle. C'est normal. N'es tu pas mon cousin ?"

Comment ma cousine pouvait elle parler si aisément de ces choses là ?

Je ne la reconnaissais plus. L'infirmière n'y serait-elle pas pour quelque chose, par hasard ? Peu de temps après, différents coups de sonnette m'apprirent que mon examen de passage allait bientôt commencer.

L'infirmière arriva sur ces entrefaites et me dit :

" Maintenant il faut vous habiller, vous ne pouvez pas rester dans votre barboteuse. Avec vos cheveux frisés et votre visage de petit ange, vous avez tout l'air d'une fille. Vous allez mettre une robe. Comme vous êtes très mince, les affaires de votre cousine devront aller. Seule la jupe devrait être un peu courte. Ce n'en sera que mieux. Vous changerez aussi de culotte. Une culotte en caoutchouc plus ample et transparente permettra à ces dames de voir d'abord et de toucher ensuite vos couches mouillées. Allons, dépêchez vous." Honteux malgré moi, je retirais ma culotte et laissai voir mes couches encore sèches.

" Bravo. Vous n'êtes pas mouillé. En temps ordinaire ce serait très bien. Mais ça ne convient pas à la situation présente. Ces dames aiment voir des couches bien jaunes et toucher des couches bien humides. Attendez." Elle s'approcha d'Hélène et passa sa main entre ses cuisses.

"C'est parfait." dit-elle, "Les couches de votre cousine sont exactement ce qu'elles doivent être. Je vais vous mettre ses couches .

Cela n'est pas pour vous déplaire, j'en suis sûre. Ne rougissez pas, je le comprends très bien."

" Voyez comme j'ai raison. Continua t'elle, et fixant autour de ma taille la couche triangulaire pleine du pipi d'Hélène. " Ce petit monstre redresse déjà la tête !" Une fois habillé, je dus me regarder dans la glace. J'eus peine à me reconnaître. La fillette que me renvoyait le miroir était fort jolie et des plus excitantes, avec sa jupe courte qui laissait voir en marchant, la culotte en caoutchouc tendu sur son derrière capitonné par les couches.

Mon entrée dans le salon fut saluée par des cris admiratifs, ma modestie dut-elle en souffrir.

"C'est là votre charmant neveu ?" ...."Qu’il est mignon !"... C'est un amour."...Il est encore plus jolie que sa cousine...

Tous ces compliments augmentèrent ma gène et le rouge de mon visage.

Alors que je passais devant les amies de ma tante pour les saluer, de nombreuses mains se glissèrent sans mal sous ma jupe et caressèrent l'une le derrière, l'autre le devant de ma culotte en caoutchouc.

Je terminais mon tour de politesse devant une femme jeune, très belle, le port altier assise à l'écart sur un divan dans le coin le plus sombre du salon, pénombre accentuée par les nombreuses plantes vertes qui la dissimulait aux regards.

De même que les autres, elle glissa sa main sous la jupe et flatta mon derrière caoutchouté et passant sur le devant, s'arrêta sur le cylindre vertical que modelait la culotte et son contenu.

"Asseyez vous donc près de moi que nous fassions plus ample connaissance. Ces dames ne seront certainement pas jalouse si je vous accapare un moment." dit-elle d'une voix assez haute pour que tout le monde l'entende.

"Bien sûr, Chère amie !" dit ma tante," faites comme vous l'entendez.

Mais auparavant, veuillez vous assurer qu'il ne soit pas mouillé. Je ne voudrais pas que mes coussins soient tachés."

Trop heureuse de l'autorisation officielle, ma voisine passa sa main sous l'élastique de ma culotte et la remonta sous mes couches.

"Hmm ! Quelle odeur agréable et comme c'est merveilleux de sentir dans sa main palpiter et tressaillir cette chose si douce et si chaude.

Votre cousine a bien de la chance de vous avoir à coté d'elle en permanence, surtout que votre état de bébé à tous les deux, vous autorise une intimité constante. Ne me dites pas que vous et votre cousine, vous ne vous langez pas réciproquement, je ne vous croirais pas. Je suis même sûre que vous avez été beaucoup plus loin ensemble. Est ce vrai ? "

Tout en me parlant à voix basse, sa main ne restait pas inactive et je sentis arriver le moment où j'allais exploser dans ses doigts.

Elle dut s'en rendre compte également au léger gémissement que je ne pus retenir et aux tressaillements qui secouaient mon ventre, car elle ajouta :

" Laissez vous aller, fermez les yeux. Voilà... C'est bien, reprenez votre calme. Reposez vous contre mon épaule. Les hommes sont toujours exténués après un tel moment. Mais quelle vitalité à votre âge." Dit-elle en souriant et en retirant sa main toute gluante de ma culotte.

" Malgré votre culotte de bébé en caoutchouc, vous êtes capable de faire le bonheur de la jeune fille la plus exigeante. Si votre tante le permet, j'aimerais que vous veniez un jour à la maison. J'ai une fille de l'âge de votre cousine et comme vous deux, elle a aussi des problèmes urinaires. Vous ne serez donc pas dépaysé ni, rebuté par ses vêtements spéciaux comme ses autres petits camarades. D'accord ? Je peux compter sur vous, sous réserve de l'acceptation de votre tante ?"

Puis me fixant dans les yeux, un sourire équivoque sur les lèvres, elle suça ses doigts les un après les autres avec gourmandise.

Après avoir terminé mon service de soubrette et avoir subi d'autres assauts manuels sous ma jupe d'où dépassait le fond de ma culotte en caoutchouc pendant entre mes jambes sous le poids des couches saturées du pipi d'Hélène et du mien, je fus autorisé par ma tante à regagner ma chambre pour me changer. Je quittai donc le salon et ses occupantes sur un clin d'oeil complice de la maman de l'amie d'Hélène.

Dans la chambre je cherchai Hélène, mais en vain. Je regardai par la fenêtre au cas où elle serait dans le jardin. Sans résultat .

C'est alors que j'entendis du bruit dans la chambre de l'infirmière. J'approchai silencieusement de la porte et collais mon oeil à la serrure, mais la clé était tournée à l'intérieur.

Il me sembla, entendre des gémissements qui furent bientôt couverts par des craquements du sommier.

Mon imagination me jouait-elle des tours ?

Je décidai d'attendre que quelqu'un sorte et allais m'allonger sur la table à langer, pensant à tous les événements qui s'étaient déroulés depuis deux jours et la facilité avec laquelle j'avais prêté mon concours.

Qui aurait dit, il y a quarante huit heures, que je prendrais plaisir à boire un biberon, assis sur une chaise de bébé dans mes couches mouillées.

Jusqu'où irais ces plaisirs humides et caoutchoutés ?

Toutes ces pensées tourbillonnaient dans ma tête, lorsque la porte s'ouvrit livrant passage à l'infirmière, ses vêtements étaient en désordre et un rouge inhabituel colorait ses joues. Perdue elle aussi dans ses pensées, elle passa à coté de moi sans paraître m'apercevoir et quitta notre chambre.

Une curiosité sans borne me poussa à aller voir dans la chambre de la nurse, la porte étant restée ouverte.

Dés le seuil, un coup d'oeil sur l'ensemble de la pièce suffit à me faire une idée de ce qui s'était passé.

Sur le drap en caoutchouc mauve, ma cousine gisait, les yeux fermés, la respiration haletante, et les jambes relevées, largement écartées.

Elle était nue, à l'exception d'une simple couche triangulaire épinglée à la taille, mais très lâche entre les cuisses, laissant apercevoir les lèvres gonflées et rouges de son sexe de bébé sans poil. Celui-ci brillait d'humidité et une large tache s'étalait sur le devant de la couche alors qu'une rigole formée par les plis du drap en caoutchouc, retenait un pipi bien doré à l'odeur entêtante.

Un mélange de senteurs diverses s'échappait du lit et me prit à la gorge lorsque je m'approchai d'elle. Sur la table de chevet je crus reconnaître un objet que j'avais vu la veille dans les mains de l'infirmière. De plus près, je pus remarquer de légères différences.

C'était le même sexe en caoutchouc rose, mais plus gros et muni à sa base d'une poire et fixé à une ceinture en caoutchouc munie de sangles.

J'avais déjà vu ce genre d'objet sur des magasines pornographiques que les élèves de l'école se passaient discrètement et en cachette et j'en connaissais l'usage.

Le cylindre en caoutchouc était encore tout chaud et tout poisseux des sécrétions qu'il avait engendrées.

Mon membre enveloppé dans les couches pisseuses d'Hélène se réveilla brutalement.

Mon regard tomba alors sur une culotte en caoutchouc glissée sous le lit dont la couleur blonde et la transparence me rappela aussi quelque chose.

Je la ramassais et la reconnus comme celle séchant sur un fil dans le jardin et appartenant à l'infirmière.

Je la dépliais. L'intérieur était tout humide et des gouttes perlaient çà et là, courant sur le caoutchouc lorsque je la portai à mon visage.

Le préservatif intérieur était lui aussi humide et enrubanné de la liqueur poisseuse, semblable à celle qui engluait le membre en caoutchouc.

Une odeur aphrodisiaque se dégageait de l'intérieur de la culotte et me fit perdre la tête.

Je baissa rapidement ma culotte, dégageai des couches dégoulinantes ma verge raidie et la glissais dans le caoutchouc odorant, magnifiquement lubrifié.

Je jouis presque immédiatement dedans, à l'instant même où l'infirmière se dressait dans le chambranle de la porte.

Sans un mot, elle me prit la culotte des mains, regardant les méandres épais et blanchâtres qui se déroulaient sur le caoutchouc transparent.

Elle jeta la culotte sur le lit et se tournant vers moi me fit signe de la suivre, un doigt sur les lèvres.

Elle tira la porte derrière elle et une fois dans notre chambre, me dit :

" Allongez vous, je vais vous laver et vous mettre des couches propres." Alors qu'après m'avoir séché avec une grande serviette, elle me passait de la crème entre les cuisses où s'étendaient de larges plaques rouges elle ajouta : "Votre cousine n'est pas bien. Afin de ne pas vous déranger, à partir de cette nuit, elle couchera dans ma chambre." Les deux jours qui suivirent furent d'une monotonie sans précédent.

Hélène gardait la chambre de l'infirmière qui lui montait ses repas.

Finalement je finis par croire qu'elle était réellement malade et lorsque j’interrogerai ma tante, elle me dit sans montrer aucune inquiétude que c'était une indisposition passagère.

Mon seul plaisir était maintenant de me mouiller dans la journée.

L'infirmière ne me changeait plus que deux fois par jour. Sur les fils dans le jardin, séchaient toujours mes culottes en caoutchouc et celles d'Hélène à l'exception de toutes autres.

Le soir seulement j'avais droit à la crème et à la poudre sur les fesses, et une fois au sec dans ma culotte en caoutchouc, elle me caressait jusqu'à ce que je jouisse dans ses doigts avant de me mettre au lit.

Le troisième jour au matin, après m'avoir langé de frais avec une seule couche triangulaire, elle quitta la chambre sans me mettre ma culotte en caoutchouc. Elle revint peu de temps après avec mon biberon.

Mais au lieu de me le donner dans mon lit comme d'habitude, elle s'installa sur une chaise et me fit signe de m'asseoir sur ses genoux.

Vêtue d'une blouse en caoutchouc blanc, strictement boutonnée, elle dut défaire les deux boutons du bas avant de s’asseoir.

Une fois sur ses genoux elle m'attira sur son épaule et me donna le biberon. Une odeur de caoutchouc chaud mêlée à celle de son corps moite me monta à la tête, si bien que lorsque le biberon fut vide et qu'elle eut déboutonné le haut de sa blouse, je me précipitais sur le sein qu'elle venait de dégager de la blouse.

Après quelques coups de langue, je le sentis durcir dans ma bouche.

L'infirmière poussa un léger gémissement et dénuda entièrement sa poitrine. Ma langue glissa alors d'un globe à l'autre, suçant et mordillant les bouts qui se dressaient orgueilleusement.

Hâtivement, elle défit les autres boutons de sa blouse et en écarta les pans. Elle était entièrement nue dessous à l'exception d'une culotte en caoutchouc transparente qui collait à son ventre humide.

D'une voix rauque, elle me demanda de venir à califourchon sur le haut de ses cuisses. Fasciné par le triangle sombre de sa toison et le renflement de ses lèvres ciselées par le caoutchouc mince plaqué contre son sexe, je lui obéis sans un mot.

Une fois sur ses cuisses, lui faisant face, elle sortit ma verge de ma couche, puis, écartant les jambes pour faire descendre mes fesses au maximum, elle glissa mon sexe déjà raidi sous l'élastique de l'entrejambe de sa culotte en caoutchouc et s'aidant de ses deux mains glissées sous mes fesses, elle me colla contre elle.

Je sentis ma verge glisser dans sa toison humide dont les poils me chatouillaient agréablement l'extrémité.

Elle se mit alors à remuer son bassin, faisant aller et venir mon membre, coincé entre sa peau et l'élastique, dans un milieu merveilleusement chaud et humide.

Tout en tétant un sein ferme et élastique, je sentis monter de mes reins une houle de plaisir qui bientôt me submergea et explosa dans un duo de râles et de gémissements, inondant son ventre de ma liqueur blanchâtre.

Les yeux clos, l'infirmière se laissa aller en arrière contre le dossier de la chaise, et ma verge ramollie glissa d'elle même hors de sa culotte en caoutchouc, laissant une traînée laiteuse sur l'élastique de la culotte et sur l'intérieur de sa cuisse.

Elle écarta alors ses cuisses au maximum, si bien qu'écartelé a mon tour et perdant l'équilibre, mes pieds ne touchant plus terre, je me laissai tomber à genoux entre ses jambes.

Bien vite elle les referma autour de ma taille et plaqua mon visage contre sa culotte. Tout naturellement je me mis à lécher l'intérieur poisseux de ses cuisses et le caoutchouc odorant qui moulait son sexe béant. Le caoutchouc faisant écran, elle tira brutalement sur l'élastique pour permettre à ma langue de sucer les poils tous collés et empesés de ma semence, se frayant un passage jusqu'à fente ruisselante où elle s'engouffra comme aspirée par une pompe géante.

Elle poussa un cri, projetant son corps en avant, alors que, surpris, je recevais en plein visage le jet brûlant de sa mouille. Placé pour la première fois dans cette situation, je crus innocemment qu'elle soulageait sa vessie et je m’écartais brusquement. Libéré de ma langue qui le retenait écarté, le caoutchouc de la culotte reprit sa place et recouvrit de nouveau son sexe d'où coulait toujours ce liquide si étrange retenu par la culotte en caoutchouc.