Anonymous


Vues: 1136 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 6

Les genoux de l'infirmière s'étant desserrés, je me relevais et sans aucun signe prévisionnel, je me mis à faire pipi debout entre ses jambes.

L'unique couche qui me garnissait brisa le jet torrentiel, mais ne put contenir le liquide jaune d'or qui coula sur le ventre de l'infirmière toujours allongée sur la chaise. Surprise par cette douche imprévue, l'infirmière poussa un léger cri, et alors que je m'attendais à une réaction orageuse de sa part, elle écarta et descendit la ceinture élastique de sa culotte de telle sorte que le pipi tombant sur son ventre coulât entre ses cuisses sous la culotte en caoutchouc. De plus en plus stupéfait, je la vis se lever et presser contre son sexe sa culotte en caoutchouc pleine de ma pisse, un air d'extase répandu sur son visage.

Alors que je me tenais debout, paralysé par mon geste incompréhensible, l'infirmière me dit d'une voix mal assurée :

"Vous avez là une technique particulière qui demande à être améliorée.

Votre imagination en cette matière dépasse largement celle de votre cousine, pourtant bonne élève. Sans nul doute, elle vous donnera accès facilement à toutes les culottes de ces demoiselles et quelques fois mêmes à leurs mères esseulées."

" 0ui, sous réserve toutefois, que ce soient des culottes en caoutchouc bien chaudes et bien humides." m'entendis-je répondre avec effarement.

-"C'est bien dommage que je ne puisse vous ramener comme Hélène, avec moi en Angleterre pour parfaire votre éducation. Mais c'est un Collège de jeunes filles, et malgré votre physique efféminé, vous ne pourriez passer longtemps inaperçu, même avec une à culotte en caoutchouc bien garnie comme toutes ces demoiselles." et elle ajouta avec un sourire complice :

" Vous aurez, j'en suis sure, d'autres occasions compensatrices, et pour commencer, cet après-midi, car vous êtes invité avec votre cousine, chez son amie Véronique dont vous connaissez déjà la mère. Et si j'en, crois ce qui se dit, elle n'est pas la dernière à préférer les sous-vêtements en caoutchouc qu'elle, porte en général durant les absences de son mari, justement ce dernier est parti pour plusieurs jours. Des surprises agréables vous attendent. "

Je me tenais debout devant elle, honteux, les joues cramoisies, alors que de ma couche trempée sur le devant, coulaient sur mes jambes, des gouttes dorées.

Elle se leva, reboutonna sa blouse sur ses cuisses également ruisselantes et le visage redevenu calme, elle me dit sur un ton autoritaire :

" Vous garderez sur vous votre couche mouillée. Je vais vous mettre par dessus une culotte à pressions garnie de deux autres couches fort épaisses, ce qui devrait vous protéger jusqu'au soir."

Le paquet de couches était si volumineux, qu'elle eu dit mal à boutonner la barboteuse entre mes jambes.

Un petit corsage à volants brodés termina ma tenue.

Quant à Hélène, lorsqu'elle descendit pour déjeuner, je fus éblouis. Elle était ravissante avec ses yeux légèrement cernés aux paupières bleutées, son visage pâle avivé par une légère touche de fard rouge sur les joues et sur les lèvres. Elle était habillée d'une brassière rose à manche courte, moulant ses formes juvéniles, et d'une jupe plissée d'un rose plus soutenu. Malheureusement, l'ensemble était gâché par un collant blanc qui recouvrait une culotte si rembourrée par les couches qu'elle relevait la jupe par derrière. Comme moi, elle marchait de ce fait, les jambes écartées. Après le repas, comme je m’inquiétais de savoir par quel moyen et dans quelle tenue nous allions, Hélène et moi chez son amie Véronique, l'infirmière me dit qu'elle allait nous conduire en voiture, habillés comme nous étions, car en raison de la pluie qui tombait, nos imperméables cacheraient nos vêtements de bébé.

Le trajet dura à peine dix minutes, et elle arrêta la voiture devant une grande maison dont le rez de chaussée était occupé par une pharmacie. J'eus le temps avant de franchir sous la pluie, la porte voisine de l'officine, d'apercevoir dans une petite vitrine tout un tas de paquets de couches et de changes complets de différentes marques, ainsi que diverses culottes en plastique, fermées et à pressions, pour la première fois présentées sur des mannequins stylisés en carton.

La porte se referma aussitôt derrière Hélène et moi, l'infirmière ayant regagné la voiture. Dans l'entrée la mère de Véronique nous attendait.

Elle ne me quitta pas des yeux en débarrassant Hélène de son manteau de pluie et s'extasia à haute voix sur ma barboteuse, reconnaissant combien c'était le vêtement idéal pour jouer tout en permettant un change rapide, le cas échéant.

Elle nous précéda dans l'escalier qui montait à la chambre où nous attendait sa fille. Malgré son ton naturel et son air accueillant, j'étais mort de honte.

Une odeur forte, entêtante se dégageait de la femme montant l'escalier devant moi, et chacun de ses pas faisait entendre un bruissement identique à celui du caoutchouc que l'on froisse.

J’essayai, mais en vain, de déceler sous la robe très ample, ce qui pourrait trahir la présence de couches ou de culotte en caoutchouc.

La porte qu'elle ouvrit devant nous au premier étage, nous dévoila une chambre, vaste, aussi rose que la notre était blanche, mais sans aucune touche enfantine, ni meuble en bois laqué, ni parc, ni table à langer, mais un grand divan bas, revêtu d'un tissu à fleurs d'un ton pastel, tissu qui ornait les portes et les rares meubles, alors que les murs étaient tendus d'un tissu uni rose, rose aussi l'épaisse moquette sur laquelle il devait faire bon se rouler. Un grand paravent également rose coupait la pièce et cachait une partie du divan. Seules quelques poupées jetées çà et là, donnaient un caractère enfantin à la chambre.

"0h, mon pauvre petit lapin. Tu es toute trempée, mon trésor.", s'écria la mère en se précipitant dans la chambre.

Lapin, trempée, certes. Mais quel merveilleux petit lapin.

Petite, à la fois mince et potelée là où il faut, des cheveux courts, d'un brun très foncé, entouraient un visage d'angelot aux yeux d'un bleu profond. Elle était habillée d'une combinaison en tissu éponge bouclé extensible d'un blanc étincelant qui la moulait de la tête aux pieds comme une deuxième peau.

La ressemblance avec un petit lapin était amplifiée par la bosse qui ornait le haut de ses fesses, telle un appendice caudal. Je compris immédiatement l'origine de cette petite» queue", car la combinaison collante laissait apercevoir deux sangles qui venaient du bas du dos, passaient sur chaque hanche et venaient se boutonner au dessus du pubis, sur une poche qui disparaissait entre ses cuisses, et remontait par derrière entre ses fesses.

Je connaissais cette "Bambinette" pour l'avoir porter il y a quelques années. Garnie de ouate cellulose ou même d'une éponge, elle supprimait l'usage de couches, mais difficile à ajuster et bougeant sans cesse, elle était très souvent une source de fuites.

C'est pourquoi de larges taches humides ornaient l'intérieur des cuisses et s'étendaient jusqu'aux mollets.

"Pourquoi t'entêtes tu à porter cette "bambinette"? Tu me donnes le double de lavage. Tu sais bien que plus aucune de mes clientes ne m'en demande. Il y a bien une raison à cela. Songes à tes camarades qui sont dans ton cas, elles ont toutes maintenant des culottes en caoutchouc et des couches.

Regardes Hélène, regardes son cousin, ne sont-ils pas mignons tous les deux, avec leur gros derrière caoutchouté, c'est doux, c'est souple et chaud à caresser, et en plus d'une sécurité absolue. Et dire que tu as tout ce qu'il faut dans ton armoire." Elle se dirigea alors vers celle-ci, l’ouvrit et prit ce dont elle avait besoin pour changer sa fille. Hélène était rentrée dans la chambre, mais moi je me tenais immobile dans l'entrée, fasciné par le tableau, n'en croyant pas mais yeux, ni mes oreilles.

La mère revenue près de Véronique, défit les boutons qui fermaient la combinaison sur chaque épaule, et tira sur la fermeture éclair qui, cachée sous le tissu, partait du cou jusqu'au niveau des fesses.

Prenant la combinaison à pleine main, elle dénuda progressivement sa fille comme on dépouille un lapin. Deux petits globes élastiques jaillirent de leur enveloppe, alors qu'apparut peu après un triangle sombre brillant d'humidité auquel s'accrochaient et scintillaient des perles dorées. Puis la jeune fille leva les jambes l'une après l'autre pour permettre à sa mère de retirer complètement la combinaison toute trempée.

Inversement elle refit les mêmes gestes, pour que sa mère puisse lui enfiler une culotte en plastique. Mais cette fois, sentant mon regard fixé sur elle, elle prit son temps, écartant et levant les jambes plus qu'il ne fallait, me laissant entrevoir le renflement de ses lèvres séparées par une mince fente de couleur corail. Ce geste volontaire était appuyé d'un regard si intense et si brillant que je baissai les yeux.

De mon coté, mon excitation était telle qu'elle ne pouvait échapper à quiconque .

Avant de remonter la culotte autour de ses hanches, la mère glissa entre les cuisses de sa fille une couche en cellulose pour adulte qu'elle plaqua bien à plat contre son ventre, veillant par la suite qu'elle ne dépasse de l'entrejambe de la culotte en plastique.

Une ample chemisette transparente de type chasuble fut glissée autour de ses épaules, voilant sa poitrine et seulement le haut de ses fesses.

Hélène fut la première à se précipiter vers elle et l'embrassa tendrement. Comme à regret, ne me quittant pas des yeux, Véronique suivit ma cousine qui déjà l’entraînait vers le lit.

"Venez.", me dit doucement la mère, en souriant. "Elles ont beaucoup de choses à se dire et sans doute à faire. Notre présence les gène.

Tout à l'heure vous pourrez profiter de leurs moments de solitude actuels. Elles seront, chaudes à point." Ajouta t'elle d'un air énigmatique .

Je me retournai vers elle une dernière fois, avant de quitter la chambre. Se croyant sans doute seules et à l'abri du paravent, je pus, grâce à un miroir, voir ma cousine penchée sur son amie allongée sur le divan, glisser une main sous sa culotte en plastique, alors que l'autre caressait déjà la poitrine sous le fin tissu de la chemise.

La mère de Véronique m’entraîna au bout du couloir et me poussa littéralement dans une pièce pleine de marchandises.

Toute idée de ridicule dans ma barboteuse m'avait quitté et je me sentais heureux dans mes couches mouillés et dans ma culotte en caoutchouc.

"Ici, c'est ma réserve pour tous les articles d'hygiène et ceux pour malades. J'ai besoin d'un stock important de couches, pour bébés, adolescents ou adultes, tant la demande est forte. De même pour les culottes imperméables.

Ma plus grosse clientèle va de 12 ans à 18 ans pour les filles et même au dessus pour les garçons.

Quand une maman vient me voir pour sa fille qui vient d'avoir ses règles pour la première fois, je lui conseille toujours d'utiliser comme protection, des couches et une culotte en plastique. Qui peut le plus peut le moins. Aussi, les trois quart du temps, ce que j'espère, arrive.

Au bout de quelques jours, la jeune fille confiante dans sa protection commence par faire pipi au lit, puis peu à peu, consciente du plaisir que procure l'humidité entre les cuisses, continue en mouillant sa culotte dans la journée. C'est ainsi que la culotte en plastique remplace très souvent la culotte en coton ou en Nylon de ces demoiselles.

Quant aux garçons je ne vous en parle pas. Vous êtes mieux placé que moi pour le savoir." .

Fasciné par toutes ces culottes en plastique, les unes en sachet individuel, les autres en vrac dans des cartons, j'en pris une au hasard et la portai a mon visage. Je respirais à fond l’odeur spéciale et un peu sucrée du tissu plastique lanolinée.

L'atmosphère de cet endroit de la pièce était imprégnée de cette forte odeur et me plongeait dans un monde de rêves.

Et c'est ainsi que je me surpris à inonder mes couches après avoir instinctivement écarté les jambes.

La pharmacienne qui me regardait fixement comprit ce qui se passait et me dit :

" Je suis comme vous. Chaque fois que je touche une culotte en plastique neuve, je mouille aussitôt la mienne, et je dois me retenir pour ne pas crier de plaisir.

Je ne sais pas pourquoi je vous dis tout ça. Mais j'ai besoin de me confier à quelqu'un qui me comprenne. Mon mari, lui ne veut pas comprendre, ni même en parler. Aussi je me suis fait une fête de votre visite et de pouvoir être seule un moment avec vous.

Vous devez me prendre pour une folle. Sans doute avez vous raison.

Mais je sens, mon instinct de femme me le dit, que vous prenez plaisir à être mouillé dans vos couches et d'être changé par des mains d’étrangère.

Aussi, avant de vous laisser aller caresser ma fille, ce qui lui fera je plus grand bien, soit-dit en passant, car elle se confine trop dans son état de bébé sans s'être encore éveillée à 15 ans à la sexualité, je vais vous changer vos couches qui doivent être toutes trempées, si j'en juge par la culotte qui pèse sur le fond de votre barboteuse."

-"Mais....., je ne sais si..."

.-Allons, ne soyez donc pas si bête. La première fois que nous nous sommes rencontrés, il y a de cela quelques jours, vous étiez moins emprunté. Il est vrai que vous ne pouviez guère vous y soustraire."

Comme je la regardais sans bouger, la gorge nouée et les joues rouges de confusion, elle s'agenouilla devant moi et déboutonna l'entrejambe de ma barboteuse. Elle glissa sa main sur le caoutchouc soyeux de la culotte et la referma sur le cylindre protubérant qui déformait le devant de la culotte en caoutchouc, m'arrachant un cri de plaisir mal contenu.

Puis brusquement, elle saisit la ceinture élastique et tira brutalement vers elle, faisant sauter d'un seul coup les six boutons pressions qui la fermaient. La culotte lui resta dans les mains avec les deux serviettes éponge qui en garnissaient le fond, me laissant la couche triangulaire attachée à ma taille par des épingles de nourrice. Elle glissa sa main sous celle-ci et sortit ma verge tendue et gonflée.

" Jamais je ne me lasserai du plaisir de tenir cette chose chaude et humide que je sens palpiter et grossir dans la main." dit-elle comme pour elle-même." A chaque fois, je sens mon ventre qui s’humidifie et qui coule comme du miel." continua t'elle en glissant une main sous sa robe et en la remontant entre ses cuisses.

Puis approchant son visage de mon ventre, elle le pressa dans la couche en coton, suçotant et aspirant le liquide doré qui suintait.

Ronronnant comme une chatte satisfaite et repue, elle promena çà et là sa langue le long de ma hampe, agaçant et titillant l'extrémité d'où perlait une goutte blanchâtre, signe annonciateur de l'explosion finale.

Jamais je n'avais ressenti un tel plaisir à la limite du supportable, et la tête bourdonnante, les jambes molles, je dus m'appuyer sur les épaules de celle qui me tétait si merveilleusement.

Elle aussi dut sentir l'approche imminente de l'orgasme et tout en continuant à me masturber d'une main, elle remonta la culotte garnie des couches qui reçurent et recueillirent la totalité de ma sève jaillissante.

Immobiles tous les deux, nous contemplions la culotte en caoutchouc tombée sur le sol toujours garnie des deux serviettes épaisses, entièrement jaunies, d'où montait un nuage de vapeur dû à la fraîcheur de la pièce, et une odeur âcre et irritante.

Appuyé contre la cloison, j'essayais de mettre de l'ordre dans mes idées, lorsque je vis la pharmacienne déboutonner le bas de sa robe et ignorant ma présence, descendre sa culotte le long de ses jambes. Il s'agissait bien, comme je l'avais pressenti, d'une culotte en plastique, garnie, elle aussi, de deux couches, mais celles là en cellulose, identiques à celles qu'elle vendait dans son officine.

Maintenant en écartant les jambes sa culotte descendue à la hauteur des genoux, elle se pencha, ramassa une de mes couches, la déplia en partie et la plaça à l'intérieur de sa culotte après avoir jeté les siennes. Elle l’a disposa bien à plat, l'étendant au maximum sur le derrière et le devant de sa culotte en plastique qu'elle remonta autour de sa taille.

Elle passa ensuite ses mains sur ses fesses, entre ses jambes et sur son ventre comme pour s'assurer du parfait contact de ma couche chaude et humide contre sa peau et s'ébroua comme un jeune chien.

" Comme je vous l'ai. dit, j'aime me sentir mouillée. En ce moment j'ai. le ventre en feu rien que de savoir que cette chaleur humide n'est pas mienne. Il faudra bien que vous éteigniez cet incendie que vous avez allumé." Termina t'elle sur ces mots sibyllins.

Après avoir reboutonné sa robe, elle s'approcha de moi et ramassa la couche-culotte qu’elle débarrassa de la deuxième couche. Sans rien dire elle la passa entre mes jambes et la boutonna une fois en place par dessus la pointe en éponge qui ne m'avait jamais quitté durant ces minutes incroyables.

"Il est temps d'aller rejoindre ces demoiselles. Je suis curieuse de voir à quoi elles jouent." dit-elle en me souriant et en me prenant par la main. .

En approchant de la porte fermée de leur chambre, des faibles gémissements parvinrent jusqu'à nous et bien que nous nous doutions de ce que nous aillions découvrir, la réalité nous laissa pantois.

Le tableau qui s'offrait à nos yeux était digne du pinceau de WATTEAU par la grâce et la délicatesse des deux personnages, mais certains détails en dégageaient un érotisme puissant.

La vue des deux jeunes filles nues, enlacées était attendrissante.

Mais les deux culottes en caoutchouc qui crevaient le premier plan mettaient en relief les gestes et les occupations des deux angelots.

Ma charmante cousine suçait la pointe dressée d'un magnifique globe d’albâtre, alors que sa main, glissée entre les cuisses de sa compagne, devait jouer avec le duvet soyeux et trempé, ornant la chatte ruisselante de son amie Véronique.

Celle-ci, le visage à moitié caché sous la masse brune de ses cheveux courts, geignait doucement, sa main caressant la poitrine gonflée d'Hélène.

L'alèse en caoutchouc toute froissée sous leurs corps témoignait de l’agitation de leur embrassade.

Et la mère de Véronique qui venait de me dire que sa fille n'avait pas répondu à l'éveil de sa sexualité. Pour le moment elle semblait rattraper le retard en mettant les bouchées double :

ou alors, elle avait bien su cacher son jeu, ce qui était mon avis d'ailleurs, à en juger par le regard qu'elle m'avait jeté et la façon dont elle s'était "exhibée" lorsque sa mère lui avait mis sa culotte en plastique..

Je ne quittais pas des yeux ce qui se passait sur le divan et une certaine gène se déclarant dans ma culotte en caoutchouc, je glissais ma main à l'intérieur, bien vite rejointe par celle de la pharmacienne. Bien trop occupée pour se rendre compte de notre présence, Hélène se redressa et fit glisser sa bouche sur le ventre caoutchouté de son amie. Son visage vint tout naturellement se nicher dans le creux de son entrejambe et sa langue s'activa sur la peau satinée des cuisses à la lisière des élastiques de la culotte, jusqu'à ce que, n'en pouvant plus, Véronique allongeât ses jambes sur le drap en caoutchouc en les écartant au maximum.