Anonymous


Vues: 1087 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 7

Je vis alors la tête de ma cousine aller et venir entre ses cuisses, léchant et tétant à la fois avec un bruit de succion, le tissu plastifié, là où la couche recouvrait le sexe renflé. Véronique, dont la tête dodelinait sur l’oreiller, poussa alors un grand cri, son corps se cambra, les jambes agitées de légers soubresauts.

La pharmacienne, les yeux exorbités, la respiration haletante regardait l'orgasme qui submergeait le corps de sa fille, la main refermée sur mon membre dressé dans la couche. Gênée par les plis du tissu qui 1' enveloppait, elle défit rapidement les épingles de sûreté qui attachaient la pointe en éponge et me débarrassa de cette dernière en la tirant par l'entrejambe de la culotte. Puis sans explication, elle me débarrassa également de la barboteuse qui n'avait pas été reboutonnée entre les jambes et de mon corsage à volants, si bien que je me trouvai entièrement nu dans ma culotte en caoutchouc assez ample pour laisser ma verge tendue horizontalement.

Pendant ces courts instants, ma cousine s'était agenouillée, le derrière en l'air, entre les cuisses de Véronique. Le mince caoutchouc de sa culotte rose rentré dans la raie des fesses et plaqué contre son sexe épilé, nous révéla qu'elle aussi, s'était débarrassée de ses couches, au détriment du liquide doré qui coulait abondamment de l'entrejambe de sa culotte, le long de ses cuisses, avant de se perdre dans les plis du drap en caoutchouc.

Dans cette position, ma cousine essayait de ses deux mains, de retirer la culotte en plastique de son amie, allongée inerte sur le lit, les yeux fermés.

N'y parvenant pas, elle prit l'une après l'autre, les deux jambes de Véronique, les souleva et les posa sur chacune de ses épaules. Cette fois elle arriva à faire glisser la culotte autour des hanches et la remontant le long des cuisses, l’ôta entièrement.

Apparemment Véronique n'avait pas de couche non plus et de sa culotte tenue en l'air par ma cousine, coulait un liquide incolore. Hélène respira un moment avec volupté les effluves qui s'en échappaient, puis la posa sur le visage de son amie qu'on aurait pu croire sans vie, sans le rythme accéléré de sa respiration.

Les jambes de Véronique toujours sur ses épaules, elle écarta de ses doigts agiles, les lèvres renflées du sexe de son amie et y posa sa bouche.

M'étant avancé sur le coté, je pus distinguer sa langue qui léchait l'intérieur rose de la fente juteuse et qui s'enfonçait légèrement dans le fourreau étroit pour en ressortir aussitôt.

Véronique se mit à gémir sans bouger. Puis instinctivement elle commença à remuer son bassin. Peu à peu, les mouvements s'amplifièrent.

Finalement, nouant ses jambes autour de la taille d'Hélène, elle pressa de ses deux mains sur son ventre la tête de son amie qui la butinait si merveilleusement, exprimant sa jouissance renaissante par des cris entrecoupés de râles a peine amortis par la culotte en plastique qu'elle suçait avec ardeur.

Au bord de l'apoplexie, je m'approchai du lit avec la ferme intention de jouir entre les cuisses de ma cousine offertes à toute entreprise.

Malheureusement, dans l'axe médian du lit, elle était trop éloignée des bords et je n'osai pas monter sur le lit, l'audace me manquant. Je dus me contenter de glisser ma main entre ses cuisses humides qui s’écartèrent sous la caresse et l’introduisit dans la culotte en caoutchouc rose, pataugeant dans une mare de pipi bien chaud retenu prisonnier par la culotte, pour se refermer sur le renflement de sa chatte entrouverte d'où coulait une mouille abondante.

Un doigt, puis deux se glissèrent dans le gouffre brûlant dont les parois humides se refermèrent sur les intrus comme la bouche d'une pieuvre sur sa proie.

Alors qu'elle tortillait des fesses pour se frotter contre mes doigts en poussant à son tour des faibles gémissements, de mon autre main, restée libre, je défis d'un coté de ma culotte, les deux boutons pressions du bas et sortis ma verge turgescente. Je me caressais avec frénésie, jusqu'à ce que, sentant ma semence sur le point de jaillir, je dirigeai mon membre, tel une lance d'incendie, vers la figure d'Hélène mordillant et suçant toujours la figue pulpeuse de Véronique.

Les premiers jets laiteux atteignirent leur cible, alors que les derniers, moins puissants, s'accrochèrent comme des perles dans les cheveux de ma cousine.

Je vis avec plaisir les traînées crémeuses, telles des larmes, glisser sur le visage d'Hélène et goutter sur la sombre toison de son amie où une langue gourmande les gobait au fur et à mesure.

Partiellement satisfait, je reboutonnais ma culotte et sortis de la chambre, m'apercevant seulement que la pharmacienne avait quitté la pièce en emmenant mes affaires.

Comme j'errais dans le couloir sans trop savoir où aller, je m'entendis appeler en passant devant une chambre dont la porte était ouverte.

J'entrai et trouvai la pharmacienne en train de ranger du linge dans une armoire.

-"Venez, vous ne pouvez pas rester dans cette tenue. Comme j'ai mis vos couches mouillées au lavage, je vais vous mettre un lange propre. Ce petit drap de lit en coton, plié en quatre fera une couche parfaite.

Je sais à quoi vous pensez. Vous vous sentez frustré. Il est vrai que votre cousine a été plus rapide que vous. Mais ce n'est pas une raison pour qu'elle ait déjà fait de ma fille une disciple de Sapho. Dans quelques jours elle suivra votre nurse en Angleterre et Véronique sera toujours là. Elle aura certainement besoin que vous la consoliez. Venez quand, vous voudrez, vous serez toujours le bienvenu." dit-elle avec un sourire malicieux.

Ayant fini d'attacher les épingles de nourrice, elle passa la couche-culotte entre mes cuisses et la boutonna sur les cotés.

Alors qu'elle terminait de m'habiller, une sonnette stridente retentit.

-"On me demande à la pharmacie. Pour passer le temps, allez donc fouiller dans la réserve, vous y trouverez sans doute des choses intéressantes."

C'est avec joie que je refermais la porte de la réserve derrière moi, heureux de pouvoir pendant plus d'une heure contempler, palper et respirer ces merveilleuses culottes de couleur et de modèles si différents.

Je laissais le coin où étaient entassés les cartons de couches et de changes complets pour me consacrer uniquement aux rayons sur lesquels étaient empilée une multitude de boites ou de sachets plastique. La même odeur sucrée me monta à la tête et je lâchais un gros pipi bien chaud dans ma couche en coton.

Je passai en revue, sans m'y arrêter, les culottes de bébé en plastique bon marché de couleur vive, les culottes plus coûteuses en plastique doublées de Rhovyl ou celles en coton imprimé plastifiées à l'intérieur.

Ma curiosité me poussait à chercher les culottes de femmes, périodiques ou hygiéniques pouvant me rappeler celles de ma mère que j'avais trouvées un jour en fouillant dans son armoire. Elle m'avait surprise un jour dans une de ses culottes, je devais avoir 8 ans. C'était une culotte en tissu caoutchouté assez épais qui faisait un bruit terrible en marchant.

Pour me punir, du moins le crut-elle, elle m'acheta une culotte identique pour adolescent et m'obligea à la porter avec des couches à l'intérieur.

De ce jour là, je me remis à faire pipi au lit jusqu'à ces dernières années. Jamais elle ne saura l'immense service qu'elle m'a rendu.

C'est de ces culottes froufroutantes, disparues à l'heure actuelle, que je cherchais à retrouver le souvenir.

Les temps avaient changés et les culottes de femme se réduisaient maintenant à de ridicules petits slips en coton ou Nylon, avec juste un fond doublé de plastique à l'entrejambe.

De nombreuses boites vides témoignaient des splendeurs passées, portant des noms agréables sous des gravures enfantines :

" L.M.B.B." - Dodelino "- Eglantine"- "Le Meilleur" etc...

C'étaient des culottes pour petits et grands qui faisaient pipi au lit et non comme maintenant des culottes d'incontinence au nom médical, comme : Médilèze, Sanygia etc...

Tout romantisme avait disparu de ces culottes et moyens de protection moderne tant par leur forme que par leur matière.

Déçu, j'abandonnai mes investigations parmi les rayons bien achalandés et me décidai à quitter la pièce, lorsque j'entendis converser de l'autre coté de la porte qui s'ouvrit doucement.

Je me cachai derrière une pile de cartons et vis entrer la pharmacienne accompagnée d'une jeune fille qui reniflait constamment en se tamponnant les yeux rougis avec son mouchoir.

-" Il ne faut pas vous mettre dans des états pareils, Mademoiselle.

Vous m'avez demandé à me parler seule à seule. Ici, nous serons tranquilles. Je vous écoute."

-" Et bien voilà. Je....,comment vous dire ? Je.. j’ai des ennuis."

- " Je pense connaître vos ennuis, mon enfant, c'est de votre âge. Vous avez commis une bêtise et vous ne savez pas comment y remédier.

D'abord, votre mère est-elle au courant ? Avez vous vu un docteur ?"

-" Non, non, ce n'est pas ce que vous croyez. Si c'était le cas, au moins je serais comme tout le monde et je n'aurais pas à m'inquiéter de ce que j'ai en ce moment." .

-" Mais qu'avez vous alors ? Qu'attendez vous de moi ?"

-" Euh... C'est que depuis quelque temps je ne peux pas me retenir quand j'ai envie de faire pipi. Le matin, quand je me réveille, mon lit est tout mouillé et dans la journée je ne peux m’empêcher de faire dans ma culotte." ,

- 0h, ce n'est que ça ! Ce n'est vraiment pas la peine de pleurer pour si peu. C'est une chose, je dirai, presque banale et qui arrive à beaucoup de gens. Me croiriez vous si je vous disais, qu'il n'y pas une demie heure, je mettais des couches et une culotte en caoutchouc à un grand garçon de votre âge. Hein ? Votre maman vous a donc dit de venir me voir ?"

-" Non. Maman ne sait rien ou feint de ne rien voir. C'est une camarade qui m'a dit que vous aviez tout ce qu'il faut, mais pour quelqu'un dans ma situation."

-" Oui ? J'ai tout ce qu'il vous faut. Mais alors, comment pouviez vous, cacher jusqu'à maintenant, votre état à votre mère ?"

« La nuit, je me couche sur une grosse serviette éponge placée sur une alèse de bébé, que je rince tous les matins et dans la journée je mets des couches de bébé en cellulose dans ma culotte en coton."

-" Mais cela ne vous empêche pas de vous mouiller et de tacher votre robe."

-" Non, bien sur. J'ai bien essayé de mettre une culotte périodique, mais elle est vite trempée et quand je suis debout ça me coule le long des cuisses."

-" Levez donc votre robe et montrez moi comment vous êtes garnie en ce moment."

-" Mais....? " .

Et devant le regard sévère de la pharmacienne, penaude et rouge de confusion, elle releva lentement le devant de sa robe.

« Plus haut ! Allons, dépêchez vous. C'est bien ce que je pensais. Dans quel état vous êtes, mon pauvre petit. Vous êtes écorchée jusqu'au sang. Vous devez avoir fort mal. Ce n'est pas raisonnable de rester comme cela. D'abord je vais vous laver avec un lait spécial et ensuite vous mettre de la crème. Pour bien faire il faudrait laisser à l'air toutes ces rougeurs. Mais à voir comme vous vous mouillez, il n'est pas possible que vous restiez sans une culotte imperméable. Je vais aller chercher ce qu'il faut pour vous soigner et pour vous protéger.

Vous verrez, vous serez un joli bébé quand je vous aurai mis des couches et une culotte en caoutchouc."

« 0h, non ! Pas cela. Pas des couches comme à un bébé !"

« Mais ma pauvre enfant, que croyez vous. Avant de chercher à guérir, le plus urgent est de prévenir. Comme je vous l'ai déjà dit, vous n'êtes pas toute seule dans votre cas. Pourquoi a-t'on fait des couches et des couches-culottes pour adultes ? Dites le moi ? Sinon parce que c'est le seul moyen de résoudre les petits désagréments de l'incontinence urinaire.

Pendant que je vais chercher le nécessaire, retirez votre robe et allez vous allonger sur la table d'examen médical, là bas, à croire qu'elle a été mise là pour vous. Je reviens dans un instant ! »

La pharmacienne une fois partie, la jeune fille déboutonna sa robe et la laissa glisser à ses pieds, dévoilant un corps élancé aux formes déliées. Un soutien gorge en dentelles blanches maintenait pour la forme une poitrine à la fois menue et agressive, alors qu'une culotte en coton, montant haut à la taille, collait aux fesses humides et dessinait les couches de bébé qu'elle maintenait entre les cuisses de la jeune fille. Tout l'ensemble primitivement blanc, était d'un jaune serin, qui tranchait sur le rouge violacé de l'intérieur de ses cuisses.

Docile, elle s'allongea sur la table avec un mouvement de recul et de contraction, lorsque ses cuisses se posèrent sur le caoutchouc froid qui recouvrait la table.

De ma cachette je pouvais voir sa poitrine se soulever à un rythme accéléré due à une certaine angoisse et comme un petit bébé qu'elle allait bientôt devenir, elle essaya de retrouver son calme en suçant son pouce.

La pharmacienne n'ayant fait que l'aller et le retour, ne m'avait pas laissé le temps de trouver le moyen de faire une sortie discrète et je me préparer à assister à une séance d'emmaillotement dont la perspective commençait à faire des effets dans ma propre culotte en caoutchouc.

Les bras chargés, elle s'approcha de la table et déposa toutes les affaires au pied de la jeune fille. Me tournant le dos, elle entreprit de retirer la culotte en coton renfermant les couches de bébé toutes dégoulinantes.

-" Certaines plaies sont moins superficielles que je ne pensais, surtout au pli de l'aine. Je croyais pouvoir vous raser pour faciliter l'action adoucissante de la crème, mais je dois attendre quelques jours pour cela."

Bien que ne voyant rien, son dos faisant écran, je devinais, au cours des minutes qui s'écoulèrent, les différentes étapes des soins qu'elle prodigua à la jeune fille, au changement progressif des gémissements de douleurs en ceux de plaisir.

Je vais vous mettre d'abord comme couche, une serviette en éponge très douce que je laisserai intentionnellement dépasser des bords de la culotte, pour vous éviter le frottement douloureux des élastiques des cuisses contre votre peau meurtrie. Dans quelques jours seulement vous pourrez mettre des couches en cellulose pour adultes.

D'ici là, vous viendrez me voir tous les jours à la même heure pour que je continue à vous soigner. Surtout n'oubliez pas de tout raconter à Madame votre mère. Qu'elle vienne me voir si elle désire des explications sur la durée du traitement."

Tout en parlant, elle avait glissé une partie de la serviette éponge sous les fesses de la jeune fille et rabattu ensuite l’autre partie entre ses cuisses, prenant bien soin que le tissu ne fasse pas de plis et ne soit pas trop serré à l'endroit des plaques rouges à l'intérieur des cuisses. Elle enfila la culotte en plastique et la remonta avec beaucoup de précautions lorsqu'elle arriva à la taille.

- " Vous êtes ravissante ainsi habillée. C'est dommage qu'on soit obligé de cacher une si jolie petite culotte en plastique. Votre petit ami a bien de la chance de pouvoir jouer à la poupée avec un si charmant bébé qui fait pipi dans ses couches. Mais pourquoi devenez vous triste ?"

-"C'est justement parce que je fais pipi dans ma culotte. Il m'a quittée en me traitant de sale pisseuse devant tous ses camarades."

- " Ca alors. Ce n'est pas croyable. Vous êtes vraiment tombée sur le mauvais numéro. Je peux vous certifier que la majorité des garçons sont au contraire attirés par les filles qui mouillent leur culotte. Une culotte bien humide excite à la fois leur sens tactile et leur sens olfactif.

Croyez en mon expérience. D'ici quelques jours, si vous savez leur laisser entrevoir très rapidement une toute petite partie de votre culotte en caoutchouc et si vous les maintenez dans l'espoir d'en voir un peu plus les fois suivantes, vous serez vite entourée d'une bande de jeunes excités qui finiront par se disputer vos couches sales pour les porter sur eux ensuite.

Pour le moment, je vous comprends, tissu ou couche mouillée est synonyme pour vous d'inconfort et de douleur. Mais lorsque vos irritations locales auront disparu, vous vous rendrez très vite compte comme la chaude humidité entre vos cuisses peut devenir source de bien-être et de plaisir.

Beaucoup de mes clientes, chez les femmes jeunes uniquement, ont commencé comme vous, elles ont d'abord porté des couches par nécessité.

Mais une fois guéries, elles ont voulu garder les avantages que procure à tout instant cet équipement de bébé. Certaines même, ont transmis leur penchant à leur mari et j'en arrive maintenant à vendre presque autant de culotte en caoutchouc pour homme que pour femme, à cette différence près, que les femmes préfèrent les culottes qui se boutonnent sur le coté, et les hommes, les culottes fermées. "

Tout en parlant, la pharmacienne avait repris le tube de crème et en avait mis la valeur d'une noix sur le bout des doigts de sa main gauche.

-" Je vais vous remettre encore de la crème, pour protéger cette fois votre peau du prochain pipi que vous ferez dans votre couche." puis écartant la ceinture élastique de la culotte en plastique, elle passa la main pleine de crème sous la couche et la glissa entre les cuisses entre les cuisses de la jeune fille. Elle étala d'abord la crème sur la peau irritée de son entrejambe et la fit rentrer par un léger massage tournant, n'omettant sans doute pas les lèvres de son sexe, car la jeune fille laissa échapper un léger gémissement qui se transforma rapidement en râles de plaisir. Ecartant les jambes, elle avança son bassin vers l'avant tout en donnant des coups de reins pour inciter les doigts de la pharmacienne à ne pas rester inactifs.

-"Mais oui, laissez vous aller" dit elle sentant un liquide qui humidifiait ses doigts.

-" Décontractez vous. Vous êtes en sécurité dans votre culotte imperméable. Ne cherchez surtout pas à vous retenir. Mais quel torrent, grand Dieu. Il faut vous mettre une couche supplémentaire pour endiguer ce raz de marée. Je vais glisser dans le fond de la culotte une couche en cellulose pour adulte." Et prenant une couche dans le paquet posé sur la table :

-" Soulevez votre bassin ! Là, comme ça ! C'est bien ! La couche est en place, vous pouvez vous lever. Maintenant si vous voulez voir comment votre culotte vous va à ravir, allez à coté du tas de cartons, il y a un miroir. Vous êtes à croquer." .

Alors que la jeune fille, ignorant sa quasi-nudité, se dirigeait comme un automate vers le lieu indiqué, mon coeur s'arrêta de battre et une frousse panique s'empara de moi. Lorsqu'elle passa devant moi sans me voir, je me recroquevillais derrière mes cartons tout en retenant ma respiration. Sa culotte en plastique blanc opaque laissait flotter derrière elle cette odeur sucrée qui m'avait saisi la première fois que j'étais entré dans cette pièce. Elle masquait heureusement le parfum âcre et épicé de ma culotte pleine de pisse qui en temps ordinaire aurait dévoilé sans aucun doute ma présence.