Anonymous


Vues: 973 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2018.11.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 8

Devant le miroir elle remit sa robe et son principal souci fut de se rendre compte si son harnachement de bébé était visible sous sa robe.

Elle tourna le dos à la glace, plaqua sa robe sur ses fesses et tout en se baissant, regarda par dessus son épaule.

Effectivement, elle fit ainsi apparaître nettement l'empreinte des élastiques fermant la culotte en caoutchouc aux cuisses, et le relief de la couche plaquée sur ses fesses.

La pharmacienne ayant remarqué son jeu, lui dit :

-" Cette robe est trop ajustée et elle laisse clairement deviner ce qu'elle doit cacher. A plus forte raison, vous devez éviter de mettre des jeans et porter uniquement des jupes assez longues et amples.

N'oubliez pas de revenir demain. Si vos rougeurs ne se sont pas atténuées, je changerai de crème. Venez avec votre maman afin que je la rassure et lui donne quelques conseils.

Vous allez emmener avec vous le paquet de couches entamé et une culotte de rechange, cette fois ouvrante avec des pressions pour la nuit.

Ne vous faites plus de souci et surtout profitez bien en toutes circonstances de la sécurité et de la protection que vous donne votre culotte imperméable. Très vite vous vous rendrez compte comme elle est indispensable à votre vie courante."

Avec une mère comme celle là, la jeune Véronique n'était pas prête de porter des culottes en Nylon ou en tissu comme une jeune fille normale. Mais dans l'entourage de la pharmacienne y avait-il encore des femmes normales ? Je commençais par en douter.

En passant devant la chambre où s'ébattaient quelques temps auparavant Hélène et Véronique, je constatais qu'elle était vide, et je les retrouvais à la cuisine devant un goûter substantiel, sans doute pour regonfler leur "batterie" qui en avait bien besoin, si j'en jugeais par les cernes bleutés qui pochaient leurs yeux.

Assises, la jupe relevée, elles montraient sans aucune gène leur culotte en caoutchouc bien gonflées par les couches glissées entre les cuisses

-" Tiens voilà mon joli cousin." s'écria Hélène," et pas fatigué, il me semble. Le grand bébé aurait-il fait un gros dodo, cet après-midi ?"

-"Non ! "répliquais-je sèchement," Je n'ai pas eu l'occasion de m'amuser comme vous."

-"Mais il fallait rester avec nous ; à trois, notre jeu n'en aurait été que plus agréable."

-"Peut-être, mais vous vous êtes bien gardées de m'inviter." .

-"Allons, ne sois pas rancunier. Tu es bien venu nous rendre visite. J'en ai encore le goût dans la bouche et peut-être encore des traces dans les cheveux. Tu auras des compensations. Pas plus tard que ce soir, car Véro vient coucher à la maison. Cette nuit ne sera sans doute pas comme les autres." Dit-elle en riant, le visage resplendissant de joie. Et comme je me tenais devant elles, Hélène prit la main de son amie et la posa sur ma barboteuse à l'endroit des boutons qui fermaient l'entrejambe.

-" Je crois qu'il a besoin d'être changé ", dit ma cousine en soupesant le fond de la culotte retenue par la barboteuse. " Tu pourrais peut-être t'en occuper. Je suis sure que tu en brûles d'envie et mon cousin aussi." continua t'elle, tournée vers Véronique.

J'étais rouge comme une écrevisse. Quant à Véronique, elle me souriait gentiment, la main cette fois refermée sur ma verge dressée dans les plis de la couche.

Ma cousine s'amusait follement de la situation qu'elle avait créée. Elle nous poussait déjà tous les deux vers l'escalier qui desservait les chambres, lorsque la pharmacienne arriva, me sauvant d'une situation périlleuse.

-" Préparez vous » dit-elle," La voiture vient d'arriver et vous attend." et s'adressant à sa fille :

" Vas comme tu es. Pour une nuit, Hélène te prêtera bien ses affaires. A part des couches propres, tu n'as besoin de rien d'autre."

Puis elle embrassa sa fille et nous souhaita une bonne soirée et une bonne nuit.

Il me sembla voir un clin d'oeil. lorsqu'elle m'aida à enfiler mon imperméable destiné uniquement à cacher ma tenue, car dehors la pluie avait cessé de tomber.

La venue de Véronique devait être prévue, car, ni ma tante, ni l'infirmière ne marquèrent d'étonnement à notre arrivée .

Une question s'était imposée à mon esprit durant le voyage :

Où Véronique allait-elle coucher ?

Je ne connaissais pas d'autre chambre que les nôtres dans l'aile de la maison que nous occupions.

Nous dûmes être lavés, poudrés et changés avant de dîner, mais pour une fois d'une façon individuelle et chacun son tour dans la salle de bain où une table à langer avait été aménagée.

Nous nous retrouvâmes tous les trois dans la salle à manger, vêtus de la même manière, d'un corsage et d'une jupe plissée à l'allure sévère.

Seul le bruissement de nos culottes en caoutchouc laissait deviner que nous portions en dessous nos affaires de bébé.

Le moment où nous regagnames nos chambres avec l'infirmière arriva très vite. Cette dernière nous dit alors :

-" Véronique et André, vous coucherez chacun dans un petit lit, Hélène couchera dans ma chambre comme ça lui est déjà arrivé."

Tiens, j'aurais plutôt cru que l'infirmière mette la jeune Véronique dans son lit. Est-ce que par hasard Véronique n'aurai-t’elle pas répondu d’une manière satisfaisante à son examen d'entrée au culte de Sapho, cet après-midi ? Pourtant il m'avait semblé...

Curieusement cette idée me rempli de joie.

Alors que mon regard se portait sur les petits lits laqués blanc, quelque chose me parut changé. Je fus stupéfait lorsque ce détail me sauta aux yeux. Les deux petits lits étaient toujours côte à côte, mais les barrières qui se jouxtaient, avaient été enlevées, faisant de 2 lits jumeaux un lit à deux places.

A la place des alèses habituelles, un grand drap en caoutchouc transparent recouvrait les deux matelas et retombait de chaque coté.

Le premier, je fus inspecté par l'infirmière, qui passant une main sous ma jupe, trouva que je n'étais pas mouillé et que je n'avais donc pas besoin d'être changé pour la nuit. Elle m'invita à me coucher après m'avoir déshabillé, ne me laissant que ma culotte en caoutchouc à pressions.

Un frisson me parcourut lorsque je m'allongeai sur le caoutchouc froid du drap qui se réchauffa très vite, étant donné sa minceur, au contact de mon corps.

Je vis disparaître Hélène dans la chambre de l'infirmière, alors que celle-ci entraînait Véronique dans la salle de bain.

Je remarquai l'absence de drap et de couverture pour nous recouvrir et je me demandai avec une certaine inquiétude si nous allions passer toute la nuit, allongés nus sur le drap en caoutchouc sans rien par dessus.

Des bruits indistincts me parvenaient de la salle de bain, et à un certain moment, je crus reconnaître la voix de Véronique qui disait :

"Ca alors, c'est rudement chouette et vachement excitant." Avais-je bien entendu ? Que voulait dire ce langage ?

Je le compris tout de suite, lorsqu'elle apparut dans le chambranle de la porte, la lumière de la salle de bain l’éclairant par derrière comme un spot lumineux sur une scène théâtre, la chambre restant dans la pénombre à peine dissipée par la lueur de la lampe de chevet.

"Excitant" était loin de la vérité. Elle était littéralement "explosive".

Une chemise-culotte en caoutchouc rose la moulait comme un mannequin de cire, rendant plus arrogants et plus agressifs, ses petits seins dont les bouts pointaient sous le caoutchouc et mettant en relief l'unique couche qui en garnissait le fond.

Cette chemise-culotte peu courante se boutonnait sur le devant du cou jusqu'au pubis où une patte triangulaire également munie de boutons pressions venait fermer l'entrejambe, permettant de changer rapidement les garnitures sans déboutonner la chemise-culotte. Des élastiques la rendait étanche aux cuisses.

Elle s'approcha du lit et enjamba les barreaux avec l'aide de l'infirmière qui, une fois qu'elle fut allongée, lui glissa une sucette dans la bouche. Puis elle releva le drap en caoutchouc qui pendait de chaque coté des matelas et le rabattit sur nos deux corps. Une fermeture éclair fit le reste et Véronique et moi, fûmes bientôt enfermés dans un sac en caoutchouc, d'où dépassaient seulement nos deux têtes. C'était un vrai sauna et je ne tardai pas à être entièrement couvert de transpiration lubrifiant ainsi le caoutchouc que je sentais rouler agréablement sur ma peau.

L'infirmière ayant fermé aussitôt la lumière, je ne distinguais pas le merveilleux bébé en caoutchouc étendu à coté de moi, mais j'entendais sa respiration haletante et les battements de son coeur, tout comme elle devait entendre les miens, angoissés que nous étions de la situation présente, ne sachant comment mettre fin à cette crainte qui nous tourmentait. Instinctivement, nos mains se rencontrèrent, s'étreignirent et toute oppression disparut comme par miracle.

Qu'allait-il se passer ?

Peu à peu, une langueur s'empara de moi, mes paupières se firent lourdes, lever le bras me parut un travail surhumain. Impitoyablement le sommeil me submergeait malgré ma volonté de réagir, et brutalement je compris.

Le biberon que m'avait prendre l'infirmière avant de me coucher, n'était certainement pas étranger à la chose. Le lait m'avait semblé avoir un goût amer. Sans aucun doute l'infirmière m'avait fait avaler un somnifère.

Etait ce la même chose pour Véronique ? Je n'avais pas la force de vérifier et je sombrais dans un trou noir profond.

" La mer était déchaînée, les vagues énormes me poursuivaient, léchaient mes pieds, me dépassaient. J'avais beau courir, courir, inexorablement l’eau montait petit à petit et m'enserrait dans un étau liquide. Bientôt, elle atteignit la taille, puis les épaules, le cou,.....au secours ! Je me réveillais en nage, la sueur ruisselait sur ma figure et l'oreiller était tout trempé. Quel cauchemar. J'essayai de bouger et je me rendis compte alors que tout mon corps baignait dans une mare liquide. Mes mains partirent en exploration et effectivement une pellicule humide recouvrait totalement le caoutchouc qui devenait une vraie mare dans le creux formé sous mes fesses. Puis défaisant les pressions de ma culotte en caoutchouc, je constatais que mes couches étaient trempées comme une soupe. J'avais sacrément fait pipi durant mon sommeil.

Ma main suivit la mare chaude qui s'étalait sur la droite et atteignit le derrière caoutchouté de Véronique qui baignait aussi dans le jus commun.

Elle palpa doucement les fesses joufflues tendues vers moi sans éveiller aucune réaction de ma voisine, tâta la couche qui disparaissait entre les cuisses serrées et repliées en chien de fusil.

Un doigt se glissa sous l'élastique et longea le bord de la culotte jusqu'à atteindre la couche. Le doux tissu de la serviette éponge pliée en quatre était aussi trempé que la mienne, signe que Véronique avait également fait un pipi de taille.

Je retirais brusquement la main, surpris par le grognement qu'elle poussa alors que son corps se détendit et se retourna, me faisant face .

Un bruit de succion troubla le silence et, me faisant à l'obscurité, je vis qu'elle tétait son pouce avec entrain.

Ma main reprit son exploration et caressant le caoutchouc soyeux du vêtement, compta 8 boutons pressions qui fermaient le devant de la chemise et 5 sur la patte qui fermait l'entrejambe.

Elle joua un instant avec ces derniers et lentement entreprit de les défaire les uns après les autres. Le bas de la chemise culotte s'ouvrit et je n'eus aucun mal à retirer le devant de la couche, le reste étant toujours prisonnier des cuisses serrées l'une contre l'autre. Mes doigts jouèrent un instant dans les poils doux et clairsemés de sa toison humide, suffisamment toutefois, pour faire naître en elle, encore endormie, un sentiment de plaisir qui se traduisit par un relâchement de l'étau de ses cuisses.

Cette fois la couche fut libérée entièrement et je la tirais doucement à moi. Elle pesait lourd tant elle était imbibée de son pipi dont l'odeur m'excitait et me donnait l'audace nécessaire pour réaliser l’idée qui venait de germer dans ma tête.

Malgré le peu d'espace que me laissait le sac en caoutchouc dans lequel nous étions emballés, me redressant légèrement sur le coude droit, de ma main gauche je fis sauter les deux pressions du bas de la chemise-culotte, dévoilant ainsi le bas de son ventre plat.

Prenant alors la couche à deux mains, je me mis à la tordre et l'essorer au dessus d'elle, faisant ruisseler le liquide chaud sur la peau de son ventre et sur sa toison.

Sa réaction dépassa mes espérances. Elle gémit longuement et porta sa main à son sexe essayant d'endiguer le jet puissant et brûlant qui s'échappait de sa fente, éclaboussant ses cuisses et les miennes avant de former des rigoles serpentant le long de nos jambes.

La source paraissait intarissable, et ma main remontant le flot odorant repoussa la sienne, se délectant de la douche dorée à l'entrée même de la grotte. Un doigt puis deux, forcèrent l'entrée étroite avant d'être aspirés, sucés par les muqueuses rétractiles qui tapissaient les parois de cette grotte secrète et merveilleuse.

Ma verge avait atteint sa dimension maximum et se trouvait à l'étroit dans ma couche et ma culotte en caoutchouc. Je résistais à l'envie impérieuse de me caresser espérant une autre "recette" qui mettrait fin à ma tension tout en libérant mon plaisir naissant.

Ses gémissements et sa respiration devinrent plus forts et plus rapides et je sentis sa main frôler mon bras et se poser sur ma culotte en caoutchouc, très brièvement car à son tour, elle fit sauter les six boutons pressions qui fermaient ma couche-culotte et sans retenue, glissa sa main sous ma couche et la referma sur le cylindre de chair tout frémissant .

Tout en veillant à garder en elle, mes deux doigts qui battaient le bouillon dans sa fente, comme une spatule bat les oeufs en neige, elle s'approcha de moi, jusqu'à ce que nos pieds se touchent, et de son autre main, défit les épingles de sûreté qui attachaient ma couche. Celle-ci glissée entre mes jambes, elle entoura mon membre de ses deux mains, un doigt caressant l'extrémité du gland d'où coulaient déjà quelques gouttes laiteuses.

Puis, se dégageant doucement des mes doigts inquisiteurs, elle écarta les cuisses et me prenant par la taille, avec une force que seul le désir peut décupler, elle m'attira vers elle en disant :

" Viens ! Prends moi !" Et là, commencèrent alors les gestes innés, qui ne s'apprennent pas, de l'homme qui s'accouple à une femme.

Alors que je me glissais lentement sur elle, toujours gêné par l'enveloppe de caoutchouc, elle déboutonna tous les boutons de sa chemise si bien qu'allongé sur elle je reposais sur deux moelleux coussins. Prenant ensuite appui sur mes avant-bras, je suçais les deux globes gonflés et mordillais les bouts durcis et dressés. Tout en poussant de petits cris, mêlés de râles, elle essayait en vain de présenter mon membre à l'entrée de sa fente toute poisseuse.

Pour l'aider dans sa tentative, je me remontais doucement jusqu'à ce que mes lèvres après avoir glissé sur les siennes, se posent sur son front.

Je sentais les poils de sa toison chatouiller l'extrémité de ma verge alors qu'en soulevant son bassin, Véronique allait au devant de ce pieu qui se préparait à la défoncer.

Malheureusement, mon excitation durait depuis trop longtemps et les divers attouchements aidant, je répandit ma semence sur son ventre avant toute essai de pénétration.

J'étais honteux et elle sans doute déçue car elle poussa un petit "oh" plaintif.

Je m'attendais à ce que mon sexe devienne flasque, ce qui arrivait chaque fois que je m'étais masturbé, mais oh miracle, il gardait sa forme érigée et dure, montant et descendant comme un métronome .

Ma main enduite de ma liqueur épaisse caressa le ventre et les seins avant de saisir le membre tressautant et de le présenter à l’entrée du gouffre béant.

Maintenant je n'avais plus aucune crainte d'une éjaculation précoce et c'est, avec une grande douceur, mes doigts jouant avec son petit pieu gonflé et dur à son tour, que j'introduisis le gland avec une légère difficulté due autant à ma maladresse qu'à son entrée très étroite, difficulté qui lui arracha un cri de douleur. Je m’enfonçais ensuite, toujours très lentement de quelques centimètres pour venir buter sur un obstacle que par la suite, j’apprit être craint par tous les garçons qui font l'amour pour la première fois à une fille.

Je ne sais si de moi-même je serais parvenu au bout de ce que nous attendions tous les deux avec tant d'impatience. Heureusement que Véro prit l'initiative. Me prenant les fesses à deux mains, elle m'attira brusquement contre elle, s'empalant d'un seul coup sur ce pieu qui la déchirait et la défonçait.

Nous fîmes trois fois l'amour dans la nuit, essayant de varier les positions que notre imagination nous permettait, mais limitées par le sac en caoutchouc. En intermède nous fîmes plusieurs fois pipi l'un sur l'autre, l'avantage me restant car je pouvais diriger le jet à mon gré. Ce fut aussi une suite de cris et de gémissements de plaisir qui ne passa pas inaperçue dans la chambre voisine, car à un certain moment la lumière s'alluma et une silhouette se découpa dans le chambranle de la porte regardant pendant plusieurs minutes le sac s'agiter, montant et descendant comme un soufflet de forge.

Nous nous endormîmes repus et fatigués dans les premières heures de la matinée et ce fut bien obligatoirement l'infirmière qui nous réveilla dans les bras l'un de l'autre, nos corps nus ruisselant de pipi dans lequel ils baignaient qui avait été jusqu'à laver les taches de sang dont seules nos couches étaient encore auréolées.

L'infirmière nous évita le sermon d'usage, car c'était elle qui avait tout mis en oeuvre pour que cela arrive.