Anonymous


Vues: 885 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 9

Cette fois elle ne vit aucun empêchement pour faire notre toilette ensemble dans la baignoire. Nous nous savonnâmes mutuellement, insistant sur certains endroits sensibles les rendant aptes à dispenser le Plaisir et c'est tout naturellement que Véronique s'étant baissée pour ramasser la savonnette dans l'eau, mon dard vint se placer contre son coquillage qui baillait et qui l'engloutit dans toute sa longueur. Alors que j'allais et venais dans ce fourreau somptueux, la porte de la salle de bain s'ouvrit et ma cousine Hélène entra. Elle portait sa culotte en caoutchouc à la main et se tenait les jambes écartées la couche toute pisseuse et toute jaunie pendant entre ses cuisses et gouttant sur le sol. Elle laissait voir des sangles en caoutchouc qui entouraient ses cuisses et l'extrémité du sexe en caoutchouc encore enfoncé profondément dans sa chatte toute baveuse.

Ses yeux cernés, les traits tirés, laissaient supposer que sa nuit avait été aussi agitée que la notre.

Elle nous sourit et sans fausse honte retira le harnachement qui la ceignait, le cylindre en caoutchouc s'échappant dans un bruit de succion caractéristique.

Quand elle se retourna pour déposer son "appareil" dans le lavabo, je vis que le derrière de sa couche était maculée de taches brunâtres dues à une certaine mélasse dont la culotte en caoutchouc était pleine. Ma cousine avait du voir aussi son derrière subir l'intromission d'un objet cylindrique, mais en ébonite, garni d'une belle poire en caoutchouc rouge pleine d'un liquide huileux.

C'est dans un grand cri que je me déversais dans le ventre de Véro, épié par les yeux de ma cousine qui me regardait fixement dans la glace.

Lorsque je retirais ma verge molle et enrubannée de nos liqueurs sirupeuses, Hélène se retourna et se précipita pour engloutir dans sa bouche mon membre tout crémeux.

Elle le suça avec des gloussements de plaisir et une fois qu'elle l'eut nettoyé de toutes ses particules blanchâtres, elle le recracha, propre lisse et de nouveau bien raide.

Comme Véronique semblait le regarder avec envie, Hélène dit :

-"Ce n'est plus le moment. Vous aurez bien l'occasion de remettre ça tout à l'heure. Laissez moi la place, j'ai bien besoin de me laver. Vous ne croyez pas ?" Je ne devais pas revoir Véronique de la journée. L'infirmière me dit qu'elle avait demandé à rentrer chez elle le plutôt possible, ne se sentant pas bien.

Quant à Hélène, elle ne quitta pour ainsi dire pas la chambre de l'infirmière, toute heureuse à la pensée de son départ pour l'Angleterre qui avait été avancé et fixé pour le surlendemain.

La journée fut pour moi triste et longue et pour la première fois je ne pris aucun plaisir à mouiller mes couches qui restèrent sèches jusqu'au soir.

C'est donc sans grand regret que je retrouvais ma chambre et ma maison. Ma mère ne fut pas étonnée du bagage volumineux que je ramenais et des affaires qu'il contenait lorsqu'elle les rangea dans mon armoire.

Il y avait là toutes les culottes en caoutchouc, les couches-culottes, les couches rectangulaires et triangulaires en coton que j'avais utilisées durant mon séjour chez ma tante, ainsi que les brassières et barboteuses qui firent sourire ma mère lorsqu'elle les sortit en dernier de la valise.

-"Tu devais être bien mignon dans ces vêtements, mon grand. J'ai hâte de voir comment ils te vont, ma soeur a vraiment des idées originales. T'es tu bien plu, au moins, là bas ?" Comme je ne répondais pas, plongé dans mes pensées.

-"Je vois. Tu n'as pas envie de parler en ce moment. Vas, tu me racontera ça un autre jour. Je te laisse, tu as peut-être besoin de te changer. A tout à l'heure." En fait, maintenant je craignais la solitude qui allait être mienne pendant un certain temps et c'est alors qu'un visage rieur et malicieux vint occuper mon esprit et s'y imposa toute la soirée. Cette nuit là, je n'arrivai pas à trouver le sommeil, et au petit matin, c'est en pensant à une jolie poupée brune au derrière caoutchouté, que j'inondais volontairement mes couches et ma culotte en caoutchouc.

Les jours suivants, je n'arrêtai pas de penser à Véronique et mon appétit en subit les conséquences, ma mère s'était aperçue de mon étiolement mais avait la bonne idée de ne pas me poser de question.

Sans rechigner, elle lavait et séchait les 5 ou 6 couches que je mouillais dans la journée, car malgré mon intention première d'arrêter de faire pipi dans mes couches et de reprendre une vie normale, j'avais constaté que d'être mouillé m'apportait une certaine quiétude.

Un matin, ma mère vint me trouver dans ma chambre.

-"Je viens de recevoir une lettre de la maman d'une certaine Véronique que tu aurais connue chez ta cousine. Elle t'invite à aller passer deux jours chez elle. Je crois que cela te changerait les idées et te ferait du bien. Malheureusement, dans ton état actuel, je ne vois pas comment tu pourrais aller coucher chez des étrangers, sans risquer de tacher leur literie, même bien garni et protégé dans ta culotte imperméable." Essayant de cacher ma joie soudaine, et de donner à ma voix une intonation normale, je lui expliquai comment j'avais connu cette jeune fille sans entrer bien sur dans les détails, et que sa mère était au courant des faiblesses urinaires communes à nous trois, et des moyens employés pour y remédier.

Comme par enchantement, je redevint en un instant le garçon aimable et rieur que j'étais par le passé.

Ma mère, heureuse de mon changement, car elle me croyait vraiment malade, me demanda pas d'explication, mais son sourire malicieux laissait entendre qu'elle avait enfin tout compris.

Le jour tant attendu arriva enfin.

La pharmacienne était venue me chercher à la gare. Elle m'embrassa comme si nous étions des amis de longue date, et me dit :

-" Je suis heureuse que vous soyez venu. Véronique n'est plus la même depuis votre départ, elle est toute déprimée, mais vous aussi, je crois, d'après ce que m'a dit votre maman. C'est vrai que vous êtes un peu palot. Vous retrouvailles vont vous faire du bien à tous les deux, j'en suis sure. Véronique ne m'a rien dit de ce qui s'est passé lorsqu'elle est allée chez votre tante. Mais une mère devine beaucoup de choses." Le trajet de la gare à chez elle fut très court.

Une fois descendue de la voiture, la pharmacienne me fit entrer par le magasin :

-" Allez donc rejoindre Véronique dans sa chambre, vous connaissez le chemin. A tout à l'heure. Ah, encore une chose. Si vous avez besoin de vous changer, il y a tout ce qu'il faut sur la table de votre chambre, c'est la porte voisine de celle de Véronique." Mon coeur battait à se rompre en montant les escaliers. J'hésitai un moment devant sa porte, collant mon oreille contre le panneau, pour écouter les bruits provenant de l'intérieur. C'était le silence complet. Doucement j'entrouvrit la porte et je restai alors stupéfait.

Sidéré, je contemplais l'intérieur de la chambre : même lit à barreaux, même armoire laquée, même table à langer, tout ressemblait à la chambre d'Hélène.

J'entrai sur la pointe des pieds, mon regard braqué sur le lit. Véronique dont je ne voyais que le visage, semblait dormir, tétant son pouce.

J'observai alors avec plus d'attention ce qui m'entourait.

C'était la table à langer qui me fascinait, et ce qu'il y avait dessus.

Je croyais reconnaître les culottes en caoutchouc de ma cousine, et ses couches en éponge. Véronique n'avait elle pas que des culottes en plastique et des couches en cellulose?

Toutefois il y avait en plus tout un attirail pour lavements : poires à injections, canules, etc.. Et en particulier, accroché à une potence, un bock en caoutchouc prolongé d'un long tuyau muni d'un petit robinet.

Je n'étais pas encore au bout de mes surprises. Lorsque je me retournai vers le lit, je vis Véronique qui dormait, riant aux anges allongée dans un sac en caoutchouc transparent et vêtue d'une chemise-culotte en caoutchouc rose.

Etait-ce possible ? Est ce que je rêvais ?

Fou de joie, je me laissai tenter par le plaisir supplémentaire de distiller un gros pipi bien chaud sur le ventre et entre les cuisses.

Tant pis pour ce qui allait se passer sous mon pantalon, car je n'avais mis qu'une couche très fine sous ma culotte en caoutchouc pour qu'elle ne se voit pas de l'extérieur .

Je m'approchai du lit, regrettant d'avoir cédé à mon envie, car maintenant des plaques humides s'élargissaient sur mon pantalon à l'intérieur des cuisses jusqu'aux mollets.

Le visage de Véronique était couvert d'une rosée de transpiration, sur son cou, une légère traînée de salive serpentait avant de disparaître dans l'encolure de sa chemise, témoignant de l'ardeur avec laquelle elle suçait son pouce.

La chemise-culotte épousait merveilleusement son corps, jusqu'à dessiner le renflement de son sexe, ce qui tendait à prouver qu'elle ne portait aucune couche à l'intérieur, ce qui expliquait aussi la mare jaune qui s'étalait sous ses fesses.

Doucement je descendit la fermeture éclair du sac, laissant échapper une vapeur chaude, sentant la sueur mêlée à l'odeur forte du pipi, qui ne fit qu'aggraver la bosse qui déformait mon pantalon.

J'allai ouvrir l'armoire pour y chercher une serviette éponge.

Revenu près du lit, je glissai la serviette entre les cuisses de Véronique pour éponger le liquide doré encore chaud, faisant attention de ne pas faire quelque chose qui risquerait de la réveiller.

Mais à ce moment, elle resserra ses cuisses pour se coucher sur le ventre et ma main restée prisonnière l'empêcha de se retourner complètement sans toutefois la réveiller pour autant.

Elle glissa à son tour sa main entre ses cuisses repoussant la mienne et la plaquant contre son entrejambe caoutchouté.

Son changement de position avait provoqué une fuite aux élastiques des cuisses et sur ma main ruissela le reste du liquide retenu par le caoutchouc de la culotte.

Bien que mon pantalon fut tout trempé et que mon premier travail eut été de me changer, je n'avais qu'une idée en tête, déposer Véronique endormie sur la table à langer et lui mettre des couches propres. J'aurais aimé aussi lui donner un lavement pour qu'elle fasse caca devant moi dans sa culotte en caoutchouc, seulement j'avais peur de mal m'y prendre et je décidai de bien regarder comment sa mère ferait la prochaine fois.

Avant tout, je devais dégager ma main qu'elle avait prise dans la sienne et contre laquelle elle se frottait en poussant de petits cris plaintifs.

De ma main restée libre, je défis les 5 boutons pressions qui fermaient la chemise-culotte entre les jambes, puis élevant la serviette éponge toute dégoulinante au dessus de son ventre, je la laissai s'égoutter, veillant à ce que le filet jaune d'or tombât sur son coquillage entrouvert.

La réaction ne se fit pas attendre. .

Elle gémit plus fort, son ventre agité de tressaillements, et se coucha sur le dos en écartant les cuisses, s'offrant à la caresse du liquide chaud qui ruisselait entre les lèvres de son sexe scintillant d'humidité.

Une fois ma main libérée, j'attendis quelques instants comme elle ne paraissait pas s'être réveillée, la prenant sous la tête et sous les genoux, je la soulevais avec difficulté et la déposai sur la table à langer.

Après avoir déboutonné le bas de sa chemise-culotte, je la remontais sous elle, dégageant ses fesses jusqu'à la taille, puis, prenant le lait de bébé qui se trouvait à la tête de la table, je me mis à la nettoyer avec un bout de coton.

Alors que je m'évertuais à passer de la crème sur ses fesses collées au drap de caoutchouc, elle me facilité la tache en se retournant sur le ventre et en s'étirant comme un petit animal sortant de son long sommeil.

Elle se mit à ronronner de plaisir lorsque me doigts enduits de crème se glissèrent entre ses deux globes frémissants et s'infiltrèrent dans sa fente toute baveuse.

C'est alors qu'en quelques secondes, j'ouvris mon pantalon, baissai légèrement ma culotte en caoutchouc et après avoir repoussé la couche vers l'arrière de l'entrejambe, je tartinais ma verge dressée et le caoutchouc de la culotte, de toute sa mouille odorante que je pus recueillir dans la paume de ma main, comme lorsqu'on veut boire à une source jaillissant de terre.

Ayant remonté ma culotte en caoutchouc et réajusté mon pantalon de toile entièrement trempé, je m'occupai. à nouveau de Véronique qui se laissa langer avec une satisfaction pour le moins bruyante.

Par dessus une couche triangulaire attachée à la taille par des épingles de nourrice, je disposai une couche rectangulaire pliée entre ses cuisses avant d'envelopper le tout dans une merveilleuse culotte en caoutchouc rose ornée de ruches, que je reconnaissais pour 1' avoir déjà mise à Hélène mais qui était beaucoup plus excitante sur la peau mate de la brune Véronique.

J'aidai ensuite la jeune fille à se débarrasser de sa chemise-culotte et à descendre de la table à langer. Lorsque ses pieds touchèrent le sol, elle se colla à moi et posant sa tête sur mon épaule, tout en me suçant et mordillant le lobe de l’oreille, elle me murmura :

-"Pourquoi m'as tu mis des couches tout de suite ? J’espérais bien que tu serais venu me rejoindre sur la table. Tu n'en avais pas envie ? Pourtant à sentir ce qui se pressait contre mon ventre, j’aurais pensé le contraire. Mais..., mais tu es tout mouillé ! Que t'arrive t'il ?" et en se reculant légèrement :

-"Tu as vu ton pantalon ? Tu aurais eu bonne mine si cela t'était arrivé dans la rue, Monsieur se trouve sans doute trop grand pour mettre des couches comme un bébé qu'il est ", dit-elle en riant, "Et bien c'est ce que nous allons voir !" et malgré mes protestations, elle s'attaqua à mon pantalon qui ne tarda pas à tomber à terre.

Comme j'avais toujours ma culotte en caoutchouc transparent, elle put détailler, avec plaisir semblait-il, mon membre tendu, collé au caoutchouc, lequel était tapissé à l'intérieur de larges traînées blanchâtres qui serpentaient le long de la culotte, reliés aux poils de ma toison par des filaments brillants comme des guirlandes dans un arbre de Noël.

J'avais déjà joui une première fois et je sentais que je n'allais pas tarder à recommencer.

Véronique se laissa glisser lentement le long de mes jambes. Une fois à genoux, son visage à la hauteur de mon bas ventre, elle saisit dans sa bouche l'extrémité saillante de ma verge caoutchoutée et se mit à me sucer avec ardeur. Parfaitement lubrifié, mon sexe glissait merveilleusement dans le caoutchouc. A chaque coup de langue, il s'échappait de sa bouche et elle le happait aussitôt de nouveau, le serrant parfois entre ses dents pour reprendre haleine.

A ce traitement infligé pour la première fois, ma verge ne résista pas longtemps et elle laissa fuser un premier jet qui surprit Véronique, malgré le caoutchouc faisant écran dans sa bouche.

Aussi elle recracha le gland encapuchonné et dégoulinant de ma liqueur sirupeuse, et s'amusa t'elle à essayer de prendre entre ses doigts les différents jets qui éclaboussaient dans tous les sens.

Les jambes flageolantes, je me raccrochais au matelas caoutchouté de la table, alors que Véronique se relevant brusquement, la main pressée entre ses cuisses, s’écriait :

-" Ca y est. Je pars.., ça coule.., c’est bon. 0h que c'est bon...?" Intrigué, je la regardai sans comprendre, lorsque j'entendis un gargouillement provenant de son ventre. C'est en la voyant ses deux mains plaqués contre ses fesses que je saisis ce qui arrivait.

Véronique était en train de faire caca dans ses couches, ou plutôt ses intestins se vidaient sans retenue dans sa culotte.

Mon secret désir se réalisait.

Ayant placé ma main à coté des siennes, je sentis les couches qui s'animaient sous mes doigts. Des boules naissaient, glissaient le long de la raie fessière avant de venir gonfler les plis que faisait la culotte en caoutchouc entre ses jambes, qu'elle dut bientôt écarter tant la coulée, devenue liquide, jaillissait de plus en plus. Déjà des petites rigoles brunâtres se formaient sous les élastiques de l’entrejambe et glissaient sur la peau interne de ses cuisses. Le désastre me paraissait imminent. Saisissant la serviette éponge qui m'avait servi tout à l'heure dans son lit, je la fourrais en boule entre ses cuisses pour stopper l’hémorragie d'un genre un peu spéciale.

Puis, la prenant dans mes bras, je la portai rapidement dans la salle de bain jusque dans la baignoire. J'ouvris la douche flexible et réglais l'eau chaude à la température voulue. Après avoir passé la pomme entre ses jambes pour enlever les traces brunâtres, je la glissai par le dos de la ceinture dans sa culotte en caoutchouc. Elle poussa un cri, surprise par l'afflux supplémentaire de ce nouveau liquide chaud qui finit par gonfler la culotte comme une outre avant de la faire éclater par les élastiques des cuisses d'où s'échappèrent des torrents d'un liquide boueux qui se clarifia petit à petit.

La gêne passée, Véronique semblait apprécier particulièrement ce massage liquide, se tortillant dans tous les sens, afin que pas une seule parcelle de sa peau n’échappât au jet bienfaiteur.

C'est alors que j'entendis la porte de la chambre s'ouvrir et une voix interroger :

-"André, Véronique, vous êtes là ?" Vite je m’éclipsais dans l'autre chambre, ma chambre, la salle de bain étant commune aux deux, alors que Véronique répliquait :

-"Ici. Dans la salle de bain." La pharmacienne entra dans la salle de bain, et dit :

-"Ah ! Je vois que le lavement que je t'ai donné a fait son effet. Je suis contente que tu n’aies pas fait dans ton lit car je crois maintenant que j'ai un peu trop forcé sur la dose, mais où est donc André ?

Il t'as vue dans cet état ?"

- Non seulement il m'a vue, mais c'est lui qui m'a portée jusqu'ici pour ne pas tacher la moquette. Pour le moment il est dans sa chambre, pour se changer."

-" Le pauvre, il devait en avoir besoin, si j'en juge par son pantalon que j'ai ramassé. Je vais le laver tout de suite. C'est une toile qui sèche très vite. En attendant donne lui un de tes pyjamas en éponge extensible. Pour ce soir, si vous le désirez, je vous monterai votre dîner. Vous n'aurez donc pas à vous habiller pour descendre." J'avais entendu toute leur conversation, l'oreille collé à la porte et j'en étais satisfait.

N'ayant pu me laver, je m'étais contenté d'essuyer ma culotte en caoutchouc. Quant aux couches, il y en avait de toutes les sortes, couches pour adultes en cellulose, changes complets également à jeter et des couches en tissu éponge triangulaires provenant sans aucun doute du trousseau de ma cousine. Je dédaignais celles-ci pour le moment en raison des épingles de sûreté toujours difficile à défaire rapidement lorsque le besoin s'en fait sentir et je me contentais de glisser dans le fond de la culotte une épaisse couche rectangulaire, bien étalée sur mon ventre et sur mes fesses sans l'aide toutefois d'aucune épingle.