Anonymous


Vues: 831 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 10

Comme la porte de ma chambre donnant sur la salle de bain s'ouvrait lentement, je sautais prestement sur mon lit et me glissai sous le drap.

Un cri de surprise s'échappa involontairement de mes lèvres, lorsque mes jambes, mes fesses et mon dos entrèrent en contact avec le drap du dessous qui était fait d'une feuille de caoutchouc très fin et très souple, mais également très froid au premier abord et malgré la chaleur de la pièce je me mis à grelotter.

Véronique qui s'était approchée du lit, s'en aperçut et me dit :

-" Tu as froid ? Pousses toi, je vais te réchauffer." Elle laissa alors tomber la robe de chambre qui l'habillait et apparut dans une mignonne et coquine nuisette transparente et courte qui ne cachait rien de la culotte en caoutchouc mauve garnie de volants qui lui descendait à mi-cuisses comme les culottes de nos grand-mères mais en coton celles-là.

Elle souleva le drap et se glissa contre moi. Elle sentait bon la lavande et je dus me retenir pour ne pas la lécher des pieds à la tête. Comme elle se collait contre moi, ses petits seins écrasés contre ma poitrine et posait sa bouche timidement sur la mienne, ma température monta brusquement et le caoutchouc du drap commença à se couvrir de sueur.

D'une main, j'avais relevé sa chemise diaphane jusque sous les bras dans l'intention de lui sucer les deux jolis mamelons déjà durcis, et de l’autre, glissée entre ses cuises, je caressais le caoutchouc satiné sur le renflement que faisaient les couches recouvrant sa chatte que je devinais déjà toute humide et brûlante.

Elle échappa vivement à mes mains à la découverte de ses trésors en repoussant le drap et en relevant le haut de son corps :

-" Non. Pas touche. Maintenant c'est mon tour.." et, rejetant le drap au pied du lit, assise sur ses talons, elle glissa une main dans ma culotte en caoutchouc jusqu'à la poser sur mon sexe dressé dans les plis du tissu éponge.

-" Mais tu n'es pas mouillé. En voilà des façons. A quoi bon mettre une culotte en caoutchouc si Bébé ne fait pas pipi dans ses couches. Je vais remettre les choses en ordre."

Prenant à deux mains ma culotte par la taille, elle tira vers le bas la passa au dessus de mes fesses et la descendit en dessous des genoux dans un froufroutement soyeux.

Elle pressa un instant ma verge à travers le tissu sec, en agaça l'extrémité la faisant pointer au maximum vers le plafond.

Puis elle descendit rapidement du lit, retira sa culotte en caoutchouc mauve et vêtue de sa seule couche qui pendait lourdement humide entre ses jambes remonta aussi vite sur le lit.

Bien que les volets de la chambre fussent fermées, la lumière du jour filtrait suffisamment pour que je distingue tout en détail. Le tableau était si excitant que des élancements douloureux parcouraient mon ventre en tous sens.

A peine sur le lit, elle m'enjamba, et se tint droite, agenouillée, son sexe à la verticale du mien. Puis, écartant sa couche et dévoilant sa sombre toison, elle laissa perler des gouttes d'or qui vinrent mouiller le tissu éponge à l'endroit même où il coiffait l'extrémité de mon membre. Satisfaite de son essai, elle laissa couler un filet plus important, et au fur et à mesure que le débit croissait, elle fléchissait sur ses genoux, son entrejambe descendant à la rencontre du mien. Sa fente d’où jaillissait cette source chaude et vivifiante touchait le tissu de ma couche, lorsque le ruisseau se transforma en torrent.

Dés les première gouttes effleurant ma verge, je poussais un cri de surprise d’abord qui se transforma très vite en

râles de plaisir .

Le chaud liquide me coulait sur le ventre, glissait dans les poils à peine repoussés entourant mon sexe, chatouillait la peau hypersensible de l'entrejambe pour s'infiltrer sous les fesses jusqu'à baigner les reins pour former en dernier une mare qui s'étalait sans cesse.

Jamais je n’avais eu autant de plaisir à être mouillé et je me mis à griffer le caoutchouc, le corps cambré et tendu comme un arc, retenant le plus possible le moment fatidique où ma semence allait elle aussi jaillir et se mêler au pipi de Véronique.

J'eus toutefois le temps de dégager ma verge du tissu de la couche et de diriger, dans un cri modulé difficilement retenu, les jets gélatineux vers la motte sombre, barrée d'une cicatrice rosâtre, d'où coulait encore ce liquide chaud et ambré.

Véronique, la poitrine soulevée par une respiration haletante me regardait en souriant suçotant ses doigts qui n'avaient pu échapper ni aux jets dorés, ni aux jets laiteux.

Alors qu'elle essayait d'essuyer avec sa couche les traînées blanchâtres qui glissaient sur la peau de ses cuisses, je l'arrêtai et lui dit :

-" Non, pas comme ça. Viens !" et, la prenant par la taille, je la tirai vers moi, cherchant à la faire remonter plus haut.

Elle comprit mon désir et s'y prêta volontiers. Lorsqu'elle fut accroupie au dessus de mon visage tenant sa couche écartée sur le coté, je promenais ma langue sur la face interne de ses cuisses, léchant les guirlandes sirupeuses mêlées aux gouttes de son pipi, puis remontant vers la source, ma bouche se colla telle une ventouse à son coquillage tout visqueux. Je bus le peu de pipi qui sourdait encore, et l'entrée de la grotte se faisant béante, je poussais ma langue à l'intérieur et aspirant le jus qui la remplissait.

Véronique poussa un cri d'agonie. Elle mourait certes, mais de plaisir.

Son corps était agité de spasmes. Alors qu'une vague de sa liqueur inondait mon visage et pénétrait dans ma bouche, me faisant perdre ma respiration, son corps devint mou et pesa lourdement sur ma figure m'étouffant presque.

Pour me libérer je la fis basculer sans aucun effort sur le coté et ma bouche continua à fouiller sa chatte juteuse, alors qu'elle se posait sur le dos, les cuisses relevées et largement écartées.

Elle poussa de nouveau un cri lorsque ma langue suça et roula le bouton gonflé et durci de son clitoris et brusquement son corps se détendit entièrement et s'allongea, inerte.

Je me relevais sans provoquer aucune réaction, de même lorsque je me remontais sur elle pour venir la chevaucher au dessus de ses cuisses restées entrouvertes.

Un gémissement creva telle une bulle entre ses lèvres figées dans un sourire heureux, lorsque mon membre se présenta à l'entrée de sa fente toujours béante. Il s'enfonça lentement dans ce fourreau magnifiquement moelleux et brûlant. La suite fut ce qu'elle devait être et une fois la tornade passée, Véronique et moi, allongés l'un contre l'autre, nous plongeâmes dans un néant bienfaisant.

Lorsque je revins sur terre, j'étais seul, toujours étendu sur le lit.

Le drap de caoutchouc avait été épongé, mais brillait encore par endroits de traces humides. Des bruits me parvenaient de la salle de bain occupée par Véronique.

Je me levai et m’empressais de me changer ma culotte en caoutchouc, séchée et talquée, reposait sur la table à coté du pyjama qui m'était destiné.

Bien qu'extensible, il me collait à la peau et donnait un relief exagéré à ma culotte en caoutchouc et à tout ce qu'elle renfermait. En fait je ressemblais à un gros bébé dans sa combinaison "Absorba".

A ce moment la porte s'ouvrit et Véronique entra. J'eus le souffle coupé, tant elle était excitante dans sa culotte en caoutchouc mauve nacré avec des volants et des ruches un peu partout, mais elle avait aussi passé la deuxième pièce de l'ensemble, une espèce de veste de marin, très ample, largement échancrée, ornée également de volants, mais aussi d'un gros noeud sur la poitrine, le tout en caoutchouc mauve comme la culotte.

L'ensemble faisait vraiment costume de bain 1900.

Sautillant de joie et riant pour un rien, elle me prit la main et dit :

-" Viens, maman nous attend." Je me sentais ridicule dans cet accoutrement et j'espérais récupérer au plus vite mon pantalon de toile.

La pharmacienne remarqua ma gène et ma confusion, car elle dit aussitôt :

-" Votre pantalon sera bientôt sec, mais rassurez vous. Avec votre visage et vos cheveux de fille vous êtes ravissant. C'est tout au moins mon avis et sûrement celui de ma fille. N'est ce pas là le principal ?

Vous avez du reconnaître, mon cher André, les meubles de la chambré de Véronique. Ce sont effectivement ceux d'Hélène qui nous les a offerts avant de partir.

De même elle a proposé à Véro ses affaires personnelles qu'elle ne pouvait emmener en Angleterre.

Je dois me féliciter de cet arrangement car je reconnais combien plus pratiques sont les couches en coton et plus seyantes les culottes en caoutchouc. Elles ont un aspect moins froid, moins médical que nos culottes médicales en plastique. Et quelles jolies couleurs ! C'est pourquoi j'ai demandé à votre cousine de m'envoyer les catalogues concernant les articles d'hygiène en caoutchouc. C'est tout simplement incroyable.

Que pensez vous de l'ensemble que porte actuellement Véronique ?

N'est-il pas magnifique ? C'est un cadeau d'Hélène, ainsi que la paire de drap en caoutchouc que vous avez étrennée tout à l'heure et d'autres babioles que je juge dangereuses. Vous le verrez par vous-même.

C'est très gentil de la part d'Hélène, mais je la soupçonne d'une idée derrière la tête.

Pour tout vous dire, et je me suis expliquée la dessus très librement avec Véronique, je voyais mal l'amitié un peu trop particulière que portait Hélène à ma fille, que l'amour réciproque du caoutchouc y était pour quelque chose. Moi-même j'ai bien succombé au plaisir du caoutchouc humide sur la peau.

Sans l'encourager, j'admets volontiers l'attirance sexuelle entre femmes. Je trouve d'ailleurs très jolie la vue de deux jeunes filles se caressant nues, jusqu'à l'orgasme.

Par contre j'ai horreur de la réciprocité chez les hommes. C'est tout simplement répugnant.

Tout cela pour vous dire que je n'ai pas du tout été choquée par les articles d’hygiène un peu spéciaux que proposent les catalogues anglais. Ils ont au moins l'avantage de démystifier le sujet tabou des plaisirs solitaires et même d’en valider leur existence, en proposant ostensiblement les moyens d'y parvenir. "

Elle se leva, prit un catalogue sur le buffet et me le tendit.

-" Ces articles vous paraîtront peut-être moins intéressants et utiles que pour d'autres.

Pour vous et Véronique et ceux qui en sont atteints, l'énurésie tardive, le pipi au lit ou le pipi culotte est très certainement une forme primaire d'onanisme lorsqu'on envisage les moyens de protection qui entretiennent en réalité l'humidité sur les parties génitales.

Regardez : Vous avez dans les premières pages, tout un choix de culottes en caoutchouc ou en plastique varié, par leur forme comme par leur couleur. Puis les modèles changent peu à peu pour en arriver à ces culottes spéciales pour femmes et pour hommes qui n'ont plus rien d’hygiénique ou médical. Malgré tout, moi, je les vois très bien figurer dans un trousseau normal de jeune fille d'un certain âge, au même titre qu'un slip en coton ou un slip périodique.

Mais oui. Je parle bien de ces culottes en caoutchouc avec un pénis à l'intérieur et de celles plus perfectionnées avec un pénis creux muni d'une poire pour imiter l'éjaculation.

Je serais tentée de vendre toutes ces choses en pharmacie. Je suis sure d'avoir une clientèle nombreuse.

Regardez : Les garçons ne sont pas non plus oubliés. Ils ont eux aussi leur culotte en caoutchouc spéciale munie d'un préservatif.

Mais ma préférence va à ces jolies poupées en caoutchouc. Elles ont tout ce qu'il faut pour plaire. Si j'étais garçon je préférerais de beaucoup avoir une telle poupée dans mon lit plutôt qu'un nounours en peluche ridicule.

Je vous choque ?

Je vous comprends un peu. Vous n'avez pas tellement besoin de ces artifices.", dit-elle en souriant, ses yeux pétillant de malice.

" Vous disposez d'une véritable poupée, bien chaude, à la peau veloutée, et qui plus est, fait encore pipi dans ses couches, ce qui est loin d'être désagréable. Je crois même bien qu'elle est perfectionnée au point de pousser de petits cris lorsqu'elle est elle-même satisfaite.

Vous êtes un enfant gâté ! Votre cousine avait joint également à l'envoi, différentes brochures illustrées traitant de l'éducation Anglaise. Si vous ne parlez pas 1' anglais, vous vous régalerez quand même des photos très suggestives, notamment sur la clistérophilie. Il y a aussi quelques photos de fillettes en culotte en caoutchouc qui ne pourront pas vous laisser indifférent, et d'autres, enfin, que vous aurez intérêt de feuilleter en compagnie de Véronique et peut-être, si vous êtes en forme, de passer à la pratique."

J'étais réellement stupéfait d'un tel langage.

En un mot, elle avait préféré jeter sa fille dans les bras d'un garçon plutôt que de la voir se glisser dans le lit d'une autre fille.

Je lui en savais gré, mais comment cela allait-il finir ?

Je me rendais compte que j'étais attaché à cette jeune fille et que je ne supporterais pas d'en être séparé.

A cette seule pensée, mon sexe déjà bien réveillé à la vue des catalogues anglais, se dressa comme il put dans ses entraves, mais suffisamment pour se faire remarquer de Véronique et de sa mère.

Celle-ci s'éclipsa discrètement vers la cuisine, alors que Véronique s'approcha de moi.

M'embrassant sur la bouche, sa petite langue jouant avec la mienne, elle glissa une main dans ma culotte de pyjama pour constater les "dégâts'" dit-elle.

-" Non ? Ça ne peut pas attendre plus longtemps. Il faut opérer tout de suite." Et malgré mes protestations muettes, sa bouche faisant bâillon sur la mienne, elle arriva à descendre la ceinture du pyjama, de la culotte en caoutchouc et à dégager ma verge raide du tissu de la couche.

Où voulait elle donc en venir ? Avec sa mère à quelques mètres de nous. Puis écartant les jambes, elle fit glisser la fermeture éclair qui fermait l'entrejambe de sa culotte. Jamais je ne me serais douté d'une telle fermeture à cet endroit. Elle tira ensuite sur la couche culotte qu'elle portait en dessous, pour libérer un passage et ayant réussi à dégager sa chatte de tout ce qui la couvrait, elle enfourcha mes cuisses et se laissa descendre tout en guidant ma verge vers l'entrée de sa fente que je ne pouvais distinguer.

Etant donner l'épaisseur de mes vêtements repliés entre mes cuisses et des siens qui faisaient tampon, elle ne put que s'empaler sur ma hampe que de quelques centimètres, ma verge toujours prête à sortir de son étroit fourreau, Véronique s'abstint de tout mouvement ascendant et m'amena à l'explosion finale par de petits mouvements giratoires, sa langue fouillant mon palais rendant inaudibles les plaintes qui sortaient de ma bouche. De mon coté, je la maintenais solidement par les hanches, veillant à ce qu'elle profite de toute ma semence qui se déversait en elle.

-" Content ?" me dit-elle en se réajustant fébrilement.

-"Tu es le diable en personne !" répondis-je avec difficulté, tant le sang battait à mes tempes et ne pouvant contrôler ma respiration.

Elle me remontait ma culotte en caoutchouc, lorsque sa mère rentra dans la pièce.

Si elle n'avait pas assisté au moment où je jouissais entre les cuisses de sa fille, elle ne pouvait douter de sa réalité, d'abord en regardant sa fille me rhabiller à la hâte, mais surtout à l'odeur particulière et entêtante qui flottait autour de nous deux, odeur de nos corps, de nos liqueurs, de nos culottes en caoutchouc mouillées et de notre désir commun satisfait.

-" Véronique, quand tu seras remise de tes émotions, et après t'être lavée les mains, tu voudras bien mettre la table, s'il te plaît."

Après le dîner, Véronique et moi, nous regagnames nos chambres respectives. Sa maman avant de me dire bonsoir, m'avait mis dans la main, les brochures anglaises :

-" Si vous n'arrivez pas à dormir, vous pourrez toujours vous instruire. Je crois que vous saurez tirez profit des différentes photos. A deux bien sur, ce serait certainement plus agréable. Bonne nuit !"

Dans l'escalier, je feuilletais rapidement la première des brochures.

Sur une des photos, on voyait une jeune fille, couchée sur les genoux d'une institutrice anglaise, la culotte baissée sur les chevilles et recevant une correction sur ses fesses dénudées avec une fine baguette. Titre de l'ouvrage : " PRIVATE INSTITUTION". Cela me semblait d'aucun intérêt.

Arrivés devant nos chambres, Véronique m'embrassa sur le coin de la bouche et me dit :

-"Le temps de me changer et de me préparer pour la nuit, et je te rejoins, moi aussi je veux m'instruire." Dans ma chambre je jetai les livres sur le lit et m’empressais d'occuper la salle de bain en premier. J'avais bien besoin de faire ma toilette, car je n'avais pas manqué de faire pipi dans ma culotte, alors que nous étions à table, malheureusement, Véronique, sans doute trop pressée, avait mal remonté ma culotte en caoutchouc et je me trouvais actuellement, les cuisses toutes ruisselantes, les mollets et les chevilles également mouillés. La culotte de pyjama en tissu synthétique non absorbante, n'avait fait qu'empirer les choses en servant de conducteur.