Anonymous


Vues: 867 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 12

Véronique prit une clé dans un tiroir et ouvrit le placard à moitié, l'autre porte restant fermée..

J'étais stupéfait, n'en croyant pas mes yeux. Je m'approchais et dû me rendre à l'évidence.

-" Mais enfin, ce n'est pas toi qui... C'est impossible. Je n'arrive pas à le croire. Toi !"

-Non ! Rassures toi, mon chéri. Ce n'est pas à moi. Tout cela est à Hélène.

Elle doit bientôt revenir définitivement en France et elle m'a demandé de veiller sur sa "collection" pendant quelques temps." J'étais soulagé, car pour une collection, elle était d'un genre un peu spécial. Il y avait là tous les objets en caoutchouc dits "d'hygiène" qui auraient fait le bonheur d'un sex-shop français : culottes en latex pour femme avec un ou deux pénis, godemichés divers par la taille, les formes, avec ou sans ceinture, membres prolongateurs pour déficience masculine, irrigateurs, vibromasseurs, etc. , en un mot tous les moyens artificiels pour satisfaire les plaisirs solitaires les plus raffinés.

-"Hélène m'a dit que nous pouvions nous en servir. Heureusement que nous n'en sommes pas encore là. Mais il y a une chose qui malgré tout m'a séduite. Regardes, ne la trouves-tu pas magnifique ? Mais, tu ne sembles pas savoir ce que c'est. Il est vrai que ce n'est pas pour vous, vous les hommes. Dommage d'ailleurs, il y aurait peut-être moins de femmes trompées. C'est une ceinture de chasteté, grand nigaud, et je veux que tu me la mettes dès le premier jour où tu t'absenteras. Bien qu'elle soit en caoutchouc, elle semble solide et inviolable avec son petit cadenas." Véronique replaça l'objet sur un rayon et me montrant une pile de livres :

-" Hélène a également ramené d'Angleterre des livres et des films.. Si ce sont là les lectures de ses élèves anglaises, c'était certainement une école de Call-girls en couches-culottes pour Messieurs vicieux, mais...

Au fait je te vois très bien professeur dans ce Collège et moi ton élève docile et soumise. Si les films sont du même cru, penses à te procurer un projecteur super huit, nous pourrions les regarder un soir dans notre lit."

-" C'est une très bonne idée, mais en attendant, qu'y a t’il dans l'autre placard ? Je suis curieux de le savoir."

-" C'est une penderie vide à part un cadeau personnel que t'offre ta cousine. Tiens voilà la clé."

C'est avec une certaine appréhension que j'introduisis la clé dans la serrure et j'étais à cent lieux de m'imaginer le cadeau d'Hélène.

La porte ouverte, une ravissante poupée en caoutchouc me tendait les bras. Pas une poupée gonflable bon marché comme on trouve en France dans les sex-shops, mais une vraie poupée grandeur nature, avec des cheveux bruns, coupés courts, un visage souriant. Le grain de la peau semblait très fin presque vrai. Elle était habillée d'une chemisette très transparente soulevée par une poitrine arrogante et descendant jusqu'à mi-fesse, laissant dépasser une culotte en caoutchouc transparent sous laquelle on apercevait les plis d'une couche en éponge.

En un mot c'était une fille bien roulée et appétissante.

Lorsque je la pris par la main, je fus saisi par la réalité tactile de la peau et de la fermeté de la matière.

Elle était faite dans une espèce de caoutchouc mousse, l'épiderme étant doux et satiné.

Mais je n'étais pas encore au bout de mes surprises.

Véronique ayant branché une prise de courant, je sentis aussitôt le caoutchouc s'animer et devenir chaud. Une résistance très fine devait quadriller sous l'épiderme en caoutchouc, tout le corps de la poupée, de la tête au pied.

-" Maintenant, regardes !", Me dit Hélène, en la posant sur la table à langer et en lui retirant la culotte en caoutchouc.

-" J'appuie là, dans le dos à la taille et la poupée fait pipi, regardes bien !" Effectivement, je vis une mare jaune se former sous les fesses de la poupée avant d'être absorbée par le tissu éponge.

Une envie terrible me brûlait les mains, celle de retirer la couche et de voir ce qu'elle cachait.

Véronique lut dans mes pensées et religieusement elle défit les épingles qui retenaient la couche pour dévoiler un sexe plus vrai que nature.

Une toison fournie et soyeuse entourait des lèvres renflées, chaudes et humides qui s'entrouvrirent sous mes doigts aussitôt happés et sucés par de nombreuses petites ventouses qui tapissaient les parois internes du vagin en caoutchouc, alors qu'une mouille onctueuse et parfumée engluait mes doigts.

-" Tu as assez rêvé maintenant. Tu joueras à la poupée quand je ne serai pas là. Pour le moment il faut redescendre pour rejoindre nos invités." Dit-elle en se collant à moi et en m'embrassant tendrement.

-Pas question pour le moment ", répondis-je, "Tout ce que je viens de voir m'a mis dans un état incompatible avec la danse. A cela, il n'y a qu'un seul remède." Et relevant le devant de sa robe de cocktail qu'elle avait revêtu pour remplacer la robe longue mouillée, je réussis à me glisser en elle en me frayant un passage dans l'entrejambe de sa culotte en caoutchouc et sous une couche déjà trempée.

Après ce petit intermède dégrisant, je dus à mon tour changer de toilette, mon pantalon ayant subi quelques dommages durant cet exercice légèrement acrobatique.

Les jours qui suivirent nous nageâmes dans le bonheur et dans le..., pipi. Couches et culottes en caoutchouc flottaient sans arrêt sur les fils à sécher le linge dans le jardin, ce qui devait passablement exciter la vendeuse du magasin toujours la même depuis le début ; à laquelle ma cousine Hélène avait promis la place de surveillante générale dans son Etablissement qui déjà prenait forme et devait être prêt pour la rentrée scolaire prochaine.

Quelques jours pus tard, alors que j'avais couché Véronique sur mes genoux. Pour lui changer ses couches, comme le faisaient dans le temps les mères à leurs bébés, elle me tapa sur les mains en disant :

-" Pas touches. Tu seras privé de ton rôle de nurse pendant quelques jours. Ca va être pour toi l'occasion, ce soir, d'étrenner ta poupée en caoutchouc... Si, j'y tiens. J'ai d'ailleurs promis à Hélène que tu t'en servirais et que je serais là pour assister à la séance. Avant notre mariage j'avais toujours pensé te demander de faire ça devant moi avec une autre femme et j'aurais cru que notre vendeuse, de la façon dont elle te regardait..., mais c'est du passé, maintenant tu m'as juré fidélité. Toutefois avec une poupée en caoutchouc, c'est différent.

Je ne peux pas être jalouse d'une poupée.

Et puis tu verras, tu ne seras pas dépaysé, je lui ai mis mes couches que j'ai mouillées dans l'après-midi.

Tu veux peut-être que je te passe un film de ta cousine, pour te mettre en train ? "

L'imagination de Véronique avait fait des prodiges et la période d'abstinence passée, j'adressai à ma cousine une lettre enflammée lui disant combien j'appréciais son cadeau d'autant plus que son utilisation périodique me faisait beaucoup penser à elle et aux plaisirs partagés au cours d'un passé récent.

Quelques mois après, Véronique m'annonça une bonne nouvelle : elle attendait un enfant.

Les problèmes commençaient à se poser pour elle.

Elle dut d'abord aller voir un médecin. Elle s'adressa à une doctoresse, vague connaissance de sa mère qui ignorait tout de son état infantile.

La doctoresse, lors de sa première visite, fut fort étonnée de voir Véronique langée comme un bébé, et croyant que son incontinence était passagère et due à sa grossesse, lui déconseilla de porter une culotte en caoutchouc qui ne faisait, dit-elle, qu'entretenir l'humidité sur les parties génitales, ce dont elle tirerait petit à petit un plaisir malsain, l'amenant à brève échéance à une pratique masturbatoire.

Véronique, qui riait sous cape, mit fin aux explications empiriques de la doctoresse en lui précisant qu'elle mouillait ses couches depuis sa naissance, ce qui ne l'avait pas empêché de trouver un mari et d’avoir un enfant.

Mais pour la rassurer, elle formula l'espoir que l'accouchement mettrait fin à son infirmité.

Rendez vous fut pris ensuite pour d'autres visites avec, en fin de programme, la réservation d'une chambre dans sa clinique privée.

Les jours passèrent très vite.

Vint la période où Véronique laissa en permanence la poupée en caoutchouc dans le lit, n'oubliant pas de lui mettre tous les soirs, les couches qu'elle avait mouillées dans la journée. Puis ce furent les premières douleurs et son transport à la clinique.

La doctoresse avait, sur ma demande, attaché à sa personne une infirmière particulière qui veillait avec soins à ce qu'elle ait toujours des couches propres.

Aussi, j'avais amené de la maison une quantité importante de couches en coton et plusieurs culottes en caoutchouc à pressions, plus faciles à mettre à une personne alitée.

J'avais bien remarqué avec quel intérêt l'infirmière, les yeux brillants, manipulait les culottes, les portant à son visage chaque fois qu'elles les retiraient humides de dessous Véronique. Nous eûmes une jolie petite fille, prénommée Hélène. Nous nous étions promis depuis longtemps que, si c'était une fille, nous en ferions une pisseuse invétérée, prévoyant déjà le plaisir que nous aurions l'un et l'autre à lui changer ses couches lorsqu'elle serait grande.

Quelques jours après, je fus étonné de voir une autre infirmière dans la chambre. Je m'étais habitué avec plaisir au joli petit minois de la précédente, à ses yeux de biche apeurée et à son corps gracile d'adolescente qu'on devinait sous sa blouse blanche.

Véronique remarqua tout de suite ma déception et me dit en riant lorsque nous fûmes seuls :

-" Ne sois pas si triste. Tu vas la revoir et plus vite que tu ne le crois. Je lui ai conseillé d'aller te voir ce soir pour mettre fin à ses ennuis.

...Oui, réjouis-toi ! Car elle a des ennuis de vessie qu'aggrave son métier d'infirmière. Elle ne peut pas se rendre aussi. Souvent qu'elle le voudrait, aux toilettes. Elle mouille donc sa culotte à chaque moment là où elle se trouve, au vu et au su de tout le monde.

Je ne te dirai pas comment elle... , se protège. Mais je t'en laisse la surprise.

A la voir, elle meurt d'envie d'avoir une culotte comme les miennes, j'en suis sure. Elle ne me l'a pas dit, mes ses yeux parlent pour elle.

Ce soir, comme tu arrives toujours à tes fins, tu en feras un joli bébé caoutchouté. Non, ne te défends pas. Je le désire ainsi. Ce sera pour toi l'occasion unique de ranger définitivement jusqu'à mon retour, la poupée en caoutchouc dans son armoire.

Penses également qu'Hélène nous a laissé des films.., très persuasifs.

Ca pourra la distraire.

Ah, autres choses ! Dans le tiroir de la table de nuit, il y a des comprimés. Ils sont sans danger et ne sont pas une drogue. Ce sont seulement des tranquillisants et des euphorisants à la fois.

Enfin dans le tiroir de la table à langer, il y a des suppositoires.

Ils remplacent les lavements. Tu vois ce que je veux dire.

Demain matin, en se réveillant, elle sera devenue un vrai bébé dans ses couches toutes maculées.

Si elle se laisse prendre au jeu, comme je le crois, ce sera une bonne recrue pour ta cousine qui aura certainement besoin d'infirmières dans son Etablissement. Amuses toi bien..., et dis-moi merci. " Comme je me penchais au-dessus d'elle pour l'embrasser, rapidement elle descendit la fermeture éclair de mon pantalon et glissa sa main à l'intérieur.

-" Mais tu es le diable en personne. Comment as-tu pu deviner mes pensées ? " dit-elle en sortant ma verge toute dressée dans sa gaine en caoutchouc

-" Comment as-tu deviné que j'allais te demander de mettre cette culotte en caoutchouc muni d'un étui pénien ?" Et relevant le buste, appuyée sur un coude, elle engloutit mon membre dans sa bouche la faisant glisser ensuite tout le long de la hampe, sa langue enroulée autour du cylindre de chair.

Je me mordis les lèvres pour ne pas hurler de plaisir alors qu'une coulée de lave en fusion embrasait mes reins et mon ventre, libérant de longs jets de liqueur qui, enfermée dans le préservatif, gonflait le bout comme un ballon tété par Véronique.

-"La prochaine fois, dit-elle, je percerai quelques trous dans le caoutchouc comme pour une tétine. "

Je rentrai à la maison, pas très convaincu de cette histoire d'infirmière, bien que, si cela se présentait, j'étais décidé à profiter de l'autorisation de ma gentille femme qui me manquait beaucoup, malgré tous les efforts qu'elle faisait pour pallier à son absence.

Vers 19 heures, alors que la nuit était déjà tombée, un coup de sonnette me tira de mes pensées. J'avais dîné très succinctement, mais bu beaucoup d'eau dans l'intention de mouiller mes couches au maximum, tout en regardant, avec ou sans compagnie, une cassette vidéo d'Hélène concernant les soins "spéciaux" apportés aux fillettes d'une Ecole anglaise du genre de celle où elle travaillait.

J'allai ouvrir après avoir passé une robe d'intérieur.

C'était effectivement la jeune infirmière qui s'était occupée de ma femme jusqu'à aujourd'hui.

-" Je vous dérange peut-être. Si.....,je...."

-" liais non ! Entrez ! Ma femme m'a mis au courant de votre visite." Je la laissai passer devant moi dans l'espoir d'apercevoir quelque chose sous sa robe, et lui montrant l'escalier :

Nous allons monter à l'appartement si vous n'y voyez pas d'inconvénient. Il y fait plus chaud qu'au bureau où il n'y a pas eu de feu de la journée. Vous avez à me parler, m'a dit mon épouse ?"

Au premier, je la fis entrer dans la pièce où je me tenais auparavant.

-"Mais c'est une chambre, dit-elle d'un air effrayé, je ne peux pas rester là. Laissez moi repartir, je vous en prie."

-" 0ui, bien sur, c'est une chambre, si l'on veut, mais ce n'est pas la mienne. Je me tiens toujours dans cette pièce lorsque je suis seul.

Voyez, je regardais la télévision lorsque vous avez sonné. J'aime son ambiance et son ameublement. Pas vous ?"

-" Oui, c'est amusant. 0n dirait la chambre d'un grand bébé, avec son lit en bois laqué muni de barreaux, son parc, ses jouets en peluche.

On dirait même une table à langer là avec la crème, le talc, les épingles de nourrice et..., les couches. Il ne manque que le bébé.

Mais..., j'y pense .., Votre femme sans doute ?"

-" Eh, oui, vous avez deviné juste. Vous avez été bien placée pour savoir que ma femme est encore un grand bébé, mais, vous-même, n'êtes vous pas là pour une raison semblable ou qui s'y rapporte tout au moins ?" Comme je la regardais droit dans ses yeux de couleur noisette, un voile humide les obscurcit, alors que le rouge montait à ses joues, jusqu'à la racine des cheveux, et c'est d'une voix tremblotante qu'elle me dit :

-" 0ui ! Je pense que votre femme à qui j'ai expliqué ma situation, vous à mis au courant. Maintenant je regrette de lui avoir tout dit. J'ai honte de moi et je veux m'en aller !" Un hoquet mit fin à sa phrase alors que des larmes perlèrent aux coins des yeux.

La prenant par les épaules et l'attirant contre moi, j'essayai de la consoler :

-" Il ne faut pas vous mettre dans des états pareils. Votre situation n'a rien de honteuse. Beaucoup de jeunes filles sont dans votre cas.

Tout d'abord il faut vous reprendre, je vais vous donner un comprimé qui vous calmera et seulement après vous me direz ce qui ne va pas.

Tenez...., buvez !" Elle me prit le verre des mains et le vida d'un seul trait.

-"Dans une minute vous irez beaucoup mieux. Vous allez vous asseoir dans ce fauteuil, mais auparavant on va retirer cette robe toute mouillée aux fesses qui doit vous gêner." Comme elle restait debout sans réagir, je m'approchai d'elle et lui déboutonnai sa robe de laine qui se fermait dans le dos. Elle sentait fortement le pipi et cette odeur aggrava mon excitation.