Anonymous


Vues: 772 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 14

Quelques temps après, reposée et langée de frais dans une culotte en caoutchouc semi-transparent couleur émeraude, garnie de volants aux élastiques des cuisses, la jeune fille descendit avec moi à la pharmacie fermée à cette heure, où elle put choisir les culottes imperméables pour sa jeune sœur et elle même.

Entre temps je lui avais parlé de la prochaine ouverture de l'Institution privée réservée aux fillettes encore bébés où elle pourrait inscrire sa sœur et y rentrer elle, comme infirmière.

-" 0h, oui !" s'écria t’elle toute joyeuse en me sautant au cou, cela me permet de vous voir plus souvent." Puis son corps se fit plus lourd, accroché à mes épaules:

- Ca coule, c'est merveilleux..., oh, oh.., arriva t’elle à murmurer, " votre main...vite !" ' La tenant serrée, un bras autour de la taille pour l'empêcher de glisser, je remontai sa robe jusqu'en haut des cuisses et fourrai ma main dans la chaleur accueillante de son entrejambe. Je sentis sous mes doigts le caoutchouc vibrer sous le flot impétueux qui jaillissait de sa fente à travers le tissu éponge de la pointe. Mes doigts malmenèrent un moment le fond de sa culotte en caoutchouc et réussissant à faire glisser sur le coté, la mince couche, fouillèrent l'entrée de sa grotte juteuse, le caoutchouc de la culotte rendant impossible une pénétration plus profonde, malgré tous les efforts qu'elle faisait dans ce sens.

Ces efforts eurent toutefois un résultat imprévisible sur son sphincter anal qui se relâcha et je sentis sous mes doigts le caoutchouc qui se remplissait peu à peu et gonflait sous la poussée de la chaude pâte molle.

Elle feula comme une chatte en chaleur et instinctivement serra ses cuisses l'une contre l'autre. Je glissai alors ma main sous ses fesses et pressai entre mes doigts les boules pâteuses, tartinant son derrière avec un plaisir malsain.

Elle gémit de plaisir, enveloppée dans ce chaud cataplasme hors du commun.

-" Je vais rester comme ça jusqu'au soir. Je veux que tout le monde sache que je suis un vrai bébé. J'aimerais me promener dans la rue, sans robe pour qu'on puisse bien voir ma culotte en caoutchouc. Mais au fait je devais aller demain chez mon amie la couturière pour essayer une robe. Je vais y aller en sortant. Je m'imagine sa tête lorsque j'aurai retiré ma robe devant elle. Je m'arrangerai même avant d'entrer, et je ne pense pas que ce soit bien difficile si j'en juge par ce qui se actuellement à l'intérieur de ma culotte en caoutchouc, pour que l'intérieur de mes cuisses soit maculé de traînées brunes. Ca va être fantastique, je recommence à mouiller d'avance." et sans plus rien dire, elle commença à déboutonner mon pantalon. Je la laissai faire car j'avais bien besoin, moi aussi, de me soulager après ce que je venais d'entendre.

Elle poussa un "Oh" de stupéfaction lorsque mon pantalon glissa à terre. Discrètement alors que tout à l'heure, la jeune fille s'habillait, je m'étais isolé pour remettre la culotte en caoutchouc muni d'un préservatif, car j'avais l'intention d'aller à la clinique voir Véronique.

-"Ca alors ! Je n'ai encore rien vu de semblable. C'est juste fait pour ce que je voulais faire." Et se laissant glisser à genoux, elle engloutit le cylindre caoutchouté dans sa bouche.

Mon état était tel qu'elle n'eut pas longtemps à téter cette sucette toute spéciale et lui maintenant la tête plaquée contre mon bas ventre je me libérai de la tension devenue douloureuse à la longue.

Voilà bien une culotte des plus pratiques pour se satisfaire rapidement et sans ennuis pour l'un ou pour l'autre." dit-elle d'un air moqueur.

-" C'est exact ! C'est là son but. Mais peut-être ignorez vous qu'il en existe pour femmes ? Si vous revenez à la maison un autre jour, je vous en montrerai. Je suis sur qu'elles vous plairont."

-" Bien qu'étant infirmière, j'étais assez niaise sur certaines choses... Jusqu'à hier, maintenant je crois savoir le mode d'emploi, et il me tarde d'essayer. Disons demain en début de matinée. A moins que vous ne soyez pas libre ?"

-"Si, si ....mais .."

-" Je vous raconterai ce qui se sera passé avec la couturière. J'espère bien arriver à lui faire partager ces goûts. Vous auriez ainsi trois nouveaux bébés à vous occuper. Le troisième étant ma petite sœur.

J'ai hâte de vous voir la langer. Vous avez des mains si douces et si... comment dire ....expertes. 0n ne connaît jamais assez tôt certains cotés agréables de la vie. J'en ai fait moi-même l'expérience aujourd'hui. Au revoir et à demain."

J'étais à la fois heureux et atterré. Heureux d'avoir su révéler un joli petit démon qui promettait, atterré du développement rapide des choses et ne sachant comment y mettre un frein.., et une gamine de douze ans sur les bras en prime.

Comment mettre Véronique au courant.

Finalement pour excuser ma conduite je me dis que c'était Véronique qui m’avait volontairement jeté la jeune infirmière à la tête et que ce serait ridicule de ne pas en profiter. Seul le cas de la petite sœur restait préoccupant, tout en me rendant compte qu'il m'excitait terriblement, car j'avais toujours aimé voir et caresser les petits derrières caoutchoutés des bébés et des filles plus âgées.

Arrivé à la clinique, je dus attendre quelques temps à la porte de la chambre, car une infirmière faisait la toilette de Véronique.

Une fois entré et la porte refermée sur moi, Véronique m'accueilli, toute souriante. Elle repoussa le drap qui la couvrait et m'apparut, la chemise de toile de la clinique remontée à la taille, toute boudinée dans sa culotte en caoutchouc.

-" A me voir, on croirait bien que c'est moi qui vient de naître. Je suis encore plus emmaillotée que notre fille. Je n'ai pourtant pris hier ni lavement ni suppositoire, mais ce matin je me suis réveillée, ayant tout fait dans mes couches. Ca peut durer encore plusieurs jours, m'a dit la doctoresse. C'est pourquoi tu me vois dans ce paquet.

Finalement ce n'est pas pour me déplaire, hormis les petits désagréments olfactifs. Tu devras t'y faire, mais peut-être, as tu déjà fait ton apprentissage ce matin, si tu as suivi mes conseils ?

L'infirmière a t’elle été un bébé à la hauteur ? Dis moi vite."

Je lui racontai alors avec le maximum de détails ce qui s'était passé depuis son arrivée la veille jusqu'aux prévisions pour le lendemain.

-" Je savais bien qu'elle te plairait. C'est tout de même plus agréable qu'une poupée en caoutchouc, fut elle sophistiquée.

Fais bien attention demain avec sa petite sœur. Je ne pense pas qu'elle te tende un piège. Mais on ne sait jamais. Profites en, car lorsque je serai rentrée à la maison, finis pour toi les petits extra, et tu auras de quoi t'occuper si je dois rester comme je suis pendant un certain temps.

Maintenant, viens près de moi. Tu ne peux pas sortir dans le couloir comme tu es." A peine avait-elle descendu la fermeture éclair de mon pantalon, que mon sexe tout poisseux de la précédente séance dans son étui de caoutchouc, se présenta raide comme à la revue.

-" J'espère que la source ne sera pas tarie quand ce sera mon tour ." dit-elle toujours en riant, " Mais s'il est vrai que la fonction crée l'organe, ne t'arrêtes surtout pas en si bon chemin.?" et elle s'appliqua vigoureusement à me rendre la tenue correcte exigée en public. ,

Je dormis mal cette nuit là. Tout en reconnaissant la saveur piquante du fruit défendu, j'en vins à souhaiter le retour rapide de Véronique qui, à la fois comme bébé et comme nurse, me comblait entièrement.

Enfin la matinée arriva. Tendu et anxieux, je guettais la rue derrière les rideaux de la chambre.

J'en étais arrivé à désirer qu'elles ne viennent pas.

Toutefois je ne m'étais pas privé du plaisir matinal de me mouiller allongé sur le lit. Sans me changer, allant même jusqu'à glisser dans la culotte en caoutchouc par dessus les couches humides, une serviette éponge supplémentaire pliée en quatre, je passai un pantalon léger et suffisamment collant pour qu'on ne puisse rien ignorer de ce qu'il cachait. Je m'arrangeai même pour que de chaque coté des fesses, une large trace humide souligne la lisière de la culotte merveilleusement dessinée dans son ensemble.

Je les vis arriver de loin sur le trottoir rendu humide par la pluie qui tombait. Sans les reconnaître, je vis d'emblée que c'étaient elles.

Elles étaient toutes deux vêtues d'un ciré noir en tissu caoutchouté verni dont le capuchon cachait en partie leur visage.

Elles marchaient à tous petits pas, serrées l'une contre l'autre. De taille égale et de même allure, rien ne les différenciait.

Je les vis disparaître, une fois sous mes fenêtres et presque aussitôt la sonnette d'entrée retentit.

En allant ouvrir je constatai que les fuites volontairement petites au début, s'étaient aggravées et maintenant je sentais le chaud pipi me couler entre les cuisses.

Je sus pour l'avenir que les culottes en caoutchouc fermées aux cuisses par des dentelles élastiques n'offraient pas une sécurité suffisante.

Elles secouèrent leur ciré dans l'entrée, refusant de les défaire avant d'être arrivées au premier.

Peu de temps après je devais me rendre compte qu'elles désiraient me faire une surprise et quelle surprise ! Je fus plusieurs minutes à m'en remettre et à retrouver ma voix.

Physiquement l'une était l'antithèse de l'autre. Autant l'infirmière était blonde, mince presque fragile, autant sa "sœur" était brune, aux formes pleines et harmonieuses, un vrai régal pour les yeux et les... mains. La différence sautant d'autant plus aux yeux, que sous leurs cirés elles étaient uniquement vêtues d'un collant arachnéen noir de danseuse.

Le souffle coupé, je restai statufié devant la jeune fille brune. C'était la parfaite image de la femme "démon" aux charmes tentateurs, responsable de tous les péchés de l'humanité.

Où était la jeune sœur de 12 ans ? Etait ce alors son amie couturière?

-" Si je ne veux pas vous voir tomber raide par terre, dit-elle en riant je vous dois quelques explications. Hier je vous ai parlé d'une jeune sœur. C'est sciemment que je vous ai trompé sur l'age en choisissant des culottes en plastique pour grand enfant. En réalité cette jolie brune dont je suis assez jalouse car on ne regarde qu'elle quand nous sortons ensemble, est ma cousine. Orpheline de très bonne heure, ma mère l'a élevée comme sa fille et je l'ai toujours considérée comme ma sœur. Elle a tout juste quinze ans." J'avais à peine écouté ce qu'elle disait, tant j'étais fasciné par ce merveilleux petit diable noir. J'avais juste retenu au passage les mots " 15 ans" et mon cœur sautait de joie dans ma poitrine.

Il faut dire que ce que je voyais n'était pas courant.

Les collants noirs moulaient plus vrai que nature, leurs corps, l'un épanoui, l'autre d'enfant et les rendaient criant d'érotisme et de lubricité, en moulant également et surtout leurs culottes en plastique blanc ballonnées par les couches dont l'épaisseur les obligeait debout à rester les jambes écartées.

De son coté, la jeune cousine me regardait comme une bête curieuse, les yeux fixées sur mon pantalon déformé de la même manière mais aussi tout mouillé à l'entrejambe. .

-" Je vais vous avouer une chose, reprit-elle. Hier matin quand vous dormiez encore et quand le café passait, je n'ai pu résister à la curiosité de jeter un coup d'œil dans l'armoire et dans le placard.

L'intérieur de celui-ci m'a particulièrement intéressée. C'est une vraie caverne d'Ali Baba. La veille j'avais pu voir un échantillon de vos films, j'aimerais voir les autres, ma cousine aussi j'en suis certaine.

Il y a aussi des livres que vous pourriez lui préter. Elle adore les bandes dessinées.

Nous envisagerons également, je l'espère, l'essai d'une certaine culotte spéciale dont vous m'avez parlé. J'ai aperçu aussi d'autres articles en caoutchouc dont la forme ne laisse aucun doute sur leur utilisation.

Ils pourraient bien intéresser ma cousine d'ici quelques jours quand elle se retrouvera toute seule.

Mais parons tout de suite au plus pressé. Vous en l'occurrence, si j'en crois l'état de votre pantalon. Mais si vous le voulez bien, avant, nous allons nous mettre à notre aise. J'ai vu hier dans votre armoire un baby-doll en caoutchouc rose qui ira à ravir avec le teint mat de ma petite sœur qui se prénomme Sylvia pour vous servir, quant à moi c'est Agnès."

Elle aida Sylvia à se débarrasser de son collant, puis la laissant à demie nue au milieu de la pièce, elle alla chercher le baby-doll dans 1' armoire.

Pendant ce temps je salivais et déglutinais à voir la jeune Sylvia si magnifiquement jolie ne sachant ce qu'elle devait cacher de son corps à mes yeux brillant de convoitise.

-" La veste te suffira", dit-elle," Il serait malheureux de cacher ta culotte en caoutchouc. Tu fais si bien bébé dedans que notre ami doit être mal à l'aise dans la sienne. Après que j'aurai passé cette brassière en dentelles, on s'occupera de lui. Tu peux déjà lui retirer son pantalon."

-"Moi ? Je n'oserai jamais", répondit Sylvia.

-"Oui, toi. Tu connaissais avant de venir, toutes les conditions, et tu les as acceptées. Tu ne peux plus reculer maintenant. Aussitôt que notre hôte aura son derrière au sec, il nous passera un film, j'en mouille d'avance de plaisir."

Et passant la main entre les cuisses de Sylvia, elle continua :

-" Tes couches sont encore sèches, alors que les miennes sont déjà bien humides. Si d'habitude tu te mouilles rarement dans la journée, il n'en sera pas de même aujourd'hui, j'en suis sure. Je fais le pari qu'elles seront trempées avant la fin du film, surtout si notre ami s'en mêle et t'aide à les mouiller." Puis repoussant Sylvia, rouge de honte, Agnès se pencha devant moi, défit la ceinture, fit glisser la fermeture éclair, et dut tirer ensuite sur le pantalon qui collait à la culotte en caoutchouc, pour le faire tomber à terre.

Elles poussèrent toutes les deux un "OH" d'étonnement en voyant ma culotte en caoutchouc bleu pale, ornée à la taille et aux cuisses de dentelles élastiques et fermée au dessus de l'entrejambe par une patte triangulaire munie de trois boutons pression. Ces accessoires peu communs à une culotte de bébé, avaient fortement contribué aux fuites importantes volontairement suscitées. Le "OH" allait peut-être aussi à la bosse volumineuse qui déformait le devant de ma culotte. La patte triangulaire cachait une fente verticale dans le caoutchouc donnant accès à l'intérieur de la culotte.

Sans me laisser le temps de me dérober, si j'avais prévu son geste, me serais-je dérobé ?.. Elle tira sur la patte dégrafant d'un seul coup toutes les pressions, et glissa sa main à l'intérieur.

-" Quelle soupe !" dit-elle en souriant d'un air salace.

"Je comprends que ce petit oiseau bien chaud qui remue dans ma main, désire sortir de ce milieu. Qu'il en soit ainsi !" et repoussant la couche légère, elle empoigna mon membre et le sortit par l'ouverture pratiquée, il faut bien le dire, à cet effet.

Depuis 24 heures, j'avais constaté le "petit cochon" qui sommeillait en elle, mais je ne l'aurais jamais crue capable d'une telle audace devant une tierce personne, fut-elle sa cousine.

" Approches et touches ", dit-elle, " Sens comme c'est chaud et bien vivant."

Les yeux noirs et brillants, agrandis de peur, Sylvia obéit toutefois à Agnès et posa sa main sur mon sexe turgescent. Elle la retira aussitôt en sursautant comme si elle avait touché un fil électrique sous tension.

"Je vois que tu as besoin de faire ton apprentissage avec la réalité.

Tu as l'âge idéal pour le faire et je suis là pour t'aider à passer aux travaux pratiques, et ..., manuels." Sylvia, rouge écarlate, les yeux baissés, avait porté sa main entre ses cuisses serrées et se tortillait comme un enfant qui retient son envie de faire pipi.

-"Je m'en doutais !", s'exclama Agnès," Tu n'es pas allée aux toilettes depuis ton lever, ce qui n'est pas ton habitude. Tu te retenais donc pour ne pas mouiller tes couches. Et bien, c'est ce que nous allons voir." Comme irritée par l'entêtement de sa cousine à vouloir rester sèche elle baissa soudainement ma culotte en caoutchouc bleu et s'empara de la couche pliée en quatre qui gisait toute trempée dans le fond de la culotte et la tirant toute ruisselante, dégoulinant sur le tapis, elle la fourra rageusement dans la culotte en plastique de Sylvia dont elle tenait de son autre main la ceinture élastique, écartée au maximum puis elle glissa la couche saturée de pipi contre le ventre de la jeune fille et la tassa entre les cuisses serrées.

Intéressé au plus haut point par ce qui devait suivre, je me réajustai remontant la culotte à la taille et reboutonnant la patte, j'allai m' asseoir sur le drap en caoutchouc fin qui recouvrait le canapé placé derrière, attentif au tableau terriblement excitant qui se déroulait devant moi.

L'infirmière ayant ôté sa main de la culotte de Sylvia, pressurait par dessus le plastique, la couche mise en boule au dessus du sexe de la jeune fille pour en extraire tout le jus jaune, le mien, encore chaud, et le faire couler sur et entre les lèvres du sexe, alors que de son autre main passée entre les cuisses, les ongles griffant le plastique du fond de la culotte, elle massait l'entrejambe de Sylvia.

Celle-ci poussa alors un petit cri, et par habitude elle s'accroupit légèrement en écartant les cuisses, pesant ainsi sur la main d'Agnès dont les doigts s'étaient finalement infiltrés sous la couche.

Sollicité par mon propre pipi qui baignait les muqueuses internes du Sexe de Sylvia, son sphincter se relâcha et libéra un torrent chaud qui surprit Agnès par sa violence.

A son tour, celle-ci poussa un gémissement et je partageai le plaisir qu'elle prenait à laisser sa main sous la douche dorée qui l'inondait au détriment de l'étanchéité de la culotte imperméable.

En effet, peu de temps après, filtrait un petit ruisseau qui se mit à serpenter le long de l'avant bras de l'infirmière avant de tomber goutte à goutte sur le tapis.

Se rendant compte des dégâts qu'elle causait, elle retira à regret sa main et réajusta la culotte en plastique par dessus le paquet de couches.

Elle se redressa tout en suçant ses doigts luisant d'humidité et dit alors :

-"Tu es une sale petite pisseuse, et désobéissante avec ça. Tu vas recevoir la correction que tu mérites !" Elle me regarda en souriant, et baissa les yeux sur ma culotte en caoutchouc agitée par une de mes mains glissée à l'intérieur, et malgré sa faible constitution apparente, elle saisit Sylvia sous son bras et vint la déposer allongée sur mes genoux écartés.