Anonymous


Vues: 710 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2018.11.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 15

Agnès, à genoux devant moi, se mit à taper sur les fesses rebondies de Sylvia et à chaque coup, le bruit mat de la main sur le plastique rembourré, était suivi d'un clapotis qui en disait long sur l'état humide des couches.

La tête de Sylvia touchant presque le sol, la veste du baby-doll en caoutchouc glissa jusqu'aux épaules, découvrant sa jeune poitrine aux seins élastiques qui remuaient à chaque fois que la main d'Agnès venait s'abattre sur les fesses caoutchoutées.

A chaque fois également, le ventre de la fillette venait buter contre ma verge dressé et prisonnière de la culotte en caoutchouc. Dans sa position inconfortable, elle ne pouvait ignorer l'objet qui se pressait contre elle à la hauteur de son sexe.

Les cris de Sylvia s'étaient vite transformés en gémissements, et je vis alors que la main qui la frappait s'était glissée entre les cuisses et recommençait le massage interrompu par la fessée.

Ce que je craignais et espérais à la fois arriva.

La main d'Agnès s'étant aventurée plus loin entre les cuisses de Sylvia vint buter contre mon membre. Je sursautai et poussai un cri qui surprit Agnès dont la main se referma sur le cylindre entouré de caoutchouc. Elle dut sentir combien était lubrifié l'intérieur de la culotte qui glissait sans peine sur l'extrémité de ma verge, et se rendre compte, à mon teint écarlate et à ma respiration haletante, que l'explosion finale serait proche si elle continuait son traitement.

Elle retira donc sa main et je vis dans ses yeux passer une lueur étrange vite disparue.

A ma grande satisfaction, je devais connaître dans les minutes qui suivirent, la profondeur de son imagination lubrique.

Se plaçant derrière sa cousine toujours allongée sur mes cuisses, elle saisit de ses deux mains la ceinture élastique de la culotte, et faisant preuve d'une grande habileté, d'un seul coup elle la "dépiauta" de la culotte imperméable qu'elle fit glisser le long des jambes et qu'elle jeta ensuite sur le drap en caoutchouc à coté de moi.

Ce faisant elle avait libéré tout le pipi non absorbé par les couches saturées, qui coula entre mes cuisses et se répandit sous mes fesses et dont le chaud contact augmenta encore la tension de mon sexe toujours prisonnier de son enveloppe caoutchoutée.

Mon regard se posa sur les fesses emballées dans l'épais tissu éponge auréolé d'une grande tache jaune et agitées d'un tremblement nerveux qui se répercutait agréablement sur l'extrémité de ma verge.

Je me mordis les lèvres pour étouffer le cri de plaisir qui nouait ma gorge lorsque la main de l'infirmière glissée sous le ventre de Sylvia tira sur la patte triangulaire qui fermait l'entrejambe de ma culotte en caoutchouc et sortit avec précaution le cylindre de chair tout gluant d'une première jouissance.

Je sentis plus que je ne vis la main d'Agnès défaire les épingles de nourrice qui attachaient à la taille le devant de la grande serviette éponge qui langeait Sylvia.

Le tissu alourdi par l'humidité tomba sur ma cuisse et en s'égouttant vint élargir la mare qui baignait mes fesses dans les plis du drap en caoutchouc.

Le corps de Sylvia se raidit sans toutefois chercher à se dérober, lorsque, guidée par la main d'Agnès, ma verge se glissa dans la toison soyeuse avant de trouver son nid dans la chaleur humide des lèvres entrouvertes de son sexe.

Je n'osai bouger sachant que le moindre mouvement me serait fatal et mettrait un terme à la chaleur bienfaitrice qui embrasait mon ventre, en libérant ma sève prête à jaillir à la moindre excitation.

Je laissai à Agnès la décision quant à la suite des opérations, goûtant renversé sur le dossier du divan, l'instant merveilleux où des centaines de petites ventouses picotaient et suçotaient les tissus érectiles, sensibles à l'extrême, de mon sexe en fusion, prélude à un orgasme parfait.

Alors Agnès retira la partie de la couche qui couvrait encore les fesses de la jeune fille, découvrant deux globes à la peau lisse et mate marquée toutefois de rouge là où sa main s'était abattue quelques instants auparavant et en haut des cuisses là où les élastiques de la culotte en plastique avait laissé un sillon.

Sylvia gémit lorsqu' Agnès passa un doigt dans la vallée odorante où scintillait un très fin duvet couvert de rosée, plainte qui se transforma en un feulement animal lorsque le doigt de l'infirmière, lubrifié par ma liqueur, s'enfonça sans préambule dans le petit trou rosâtre.

Bientôt les fesses de Sylvia s'animèrent, allant au devant du doigt qui la fouillait. Aux râles de plaisir qui suivirent, j'avais l'intime conviction que ce n'était pas la première fois qu'elles se livraient toutes deux à ce jeu innocent.

Le mouvement ascendant et descendant des fesses de la jeune fille me masturbait divinement et Agnès sentant le moment venir, écarta les cuisses de Sylvia, dégageant l'extrémité de ma verge. Criant mon plaisir, je laissai fuser des longs jets blanchâtres qui, au lieu de se perdre dans les plis des fesses de Sylvia, éclaboussèrent en grande partie le visage et le cou de l'infirmière penchée au dessus de sa croupe.

Sans perdre une minute, elle se leva et écartant les cuisses de Sylvia, se plaça entre elles et vint lécher les gouttes et les traînées visqueuses qui maculaient l'intérieur des cuisses de sa jeune cousine.

Mon sexe gluant de nos liqueurs respectives, ayant glissé hors de l'entrejambe douillet, la langue de l'infirmière prit sa place et fouilla les lèvres entrouvertes et l'entrée béante de la petite chatte de l’adolescente, buvant et suçant tout le jus abondant mêlé au pipi qui s'accrochait au fin duvet de sa toison.

Un duo de râles et de gémissements emplit la pièce.

Les fesses sans cesse en mouvement de la fillette toujours allongée sur mes genoux frottaient agréablement mon membre plaqué contre son ventre et lui rendaient peu à peu une rigidité bienfaisante.

Le visage congestionné, tout barbouillé et parfumé des diverses liqueurs Agnès se releva, une main plaquée entre ses cuisses, essayant, en vain, de retenir le flot doré qui s'échappait de l’entrejambe de sa culotte en plastique et dégoulinait le long de ses jambes avant de disparaître dans l'épaisse moquette qui recouvrait le sol.

Quant à Sylvia elle reposait inerte, les jambes et les bras pendant de chaque coté de mes genoux, le ventre encore secoué d'une légère houle alors que sa poitrine se soulevait à un rythme saccadé comme celle d' un coureur cherchant à reprendre son souffle et qu'un son rauque venait mourir sur ses lèvres entrouvertes.

Malgré sa faible constitution apparente, Agnès, sans aucun doute habituée à soulever des malades alités, saisit Sylvia sous les bras et sous les jambes et la porta sur la table à langer où elle rassembla le nécessaire pour la laver : éponge, lait de toilette, crème et talc.

Pendant ce temps, je ramassai la couche de Sylvia qui avait glissé entre mes cuisses et après l'avoir essorée, je l'utilisai pour essuyer le plus gros du pipi qui me collait à la peau,

Alors qu'Agnès écartait les deux globes recouverts d'un léger voile blanc de talc pour sécher le vallon qui les séparait, apercevant la rosette de son petit trou, une idée diabolique me traversa la tête.

Vite je me dirigeai vers la table de chevet et revint près d'Agnès, lui tendant dans la paume de ma main, deux petites ogives en beurre de cacao dont elle comprit tout de suite l'utilisation.

Elle enfouit les deux suppositoires dans le derrière de Sylvia, veillant un court instant à ce qu'ils ne ressortent pas.

Se tournant ensuite en souriant vers moi, elle dit:

-" Je suppose que ce sont les mêmes qu'hier soir. J'ai pu me rendre compte par moi-même de leur effet presque immédiat. Donnez moi vite de quoi la langer sinon je ne réponds pas des dégâts."

-" Justement, rien ne m'excite plus que de voir les fillettes dans leurs couches sales, macérant dans leur pipi et leur caca. Aussi j'ai pensé qu'en mettant seulement à Sylvia une culotte en caoutchouc transparent....."

-" Cette idée me comble", dit elle, en m'interrompant, alors que, de sa main descendue entre les fesses, elle caressait la fente de nouveau humide du grand bébé.

-" J'ai vu que vous aviez un polaroid, ce serait formidable si vous pouviez alors prendre une photo de Sylvia, debout, les cuisses écartées, dans sa culotte en caoutchouc laissant voir, devant, sa petite chatte baignant dans son pipi bien jaune, et derrière, ses petites fesses bien rondes, tartinées de mélasse brune. 0h, quel spectacle adorable. J'en mouille rien que d'y penser."

J'allai chercher dans l'armoire la culotte désirée, la grande largeur d'entrejambe et la ceinture montant haut dans le dos, assurant une protection optimum.

J'aspergeai l'intérieur du caoutchouc d'un spray déodorant avant de la tendre à Agnès qui la fit glisser avec dextérité autour des jambes de sa cousine.

Je préjugeais de l'effet que me ferait tout à l'heure, la culotte maculée de Sylvia, en sentant mon membre se dresser rien qu'en apercevant pour l'instant les poils folâtres de sa toison clairsemée, collés au caoutchouc transparent.

La culotte du baby-doll en caoutchouc vint compléter sa tenue, apportant une protection supplémentaire efficace.

Doucement Agnès attira vers elle Sylvia déjà endormie et je l'aidai à la déposer sur le grand lit de bébé en bois laqué, muni de barreaux.

Sylvia une fois couchée, Agnès, me tournant le dos, se mit à nettoyer la table à langer.

" Dans un ordre d'urgence, je pense que c'est à vous d'être changée en premier, si j'en juge votre état.", lui dis-je, et pour corroborer mes dires, me collant contre elle par derrière, ma main remonta à l'intérieur de ses cuisses trempées et vint soupeser la poche que faisait la culotte en plastique pendant entre les jambes sous le poids des couches pleines de pipi. Elle passa sans difficulté sous l'élastique distendu par le lourd fardeau et sans prendre garde au pipi qui s'échappait par l'orifice ainsi agrandi, elle vint caresser le renflement des lèvres de son sexe imberbe et glissant qui s'ouvrit pour se refermer aussitôt sur mes doigts investigateurs, comme la fleur d'une plante carnivore sur sa proie.

L'infirmière poussa un léger gémissement et se laissa tomber en avant sur la table, faisant ressortir sa croupe, alors que son sexe s'ouvrait de nouveau et libérait un flot de mouille lubrifiante, réclamant sans conteste une pénétration plus profonde.

S'il restait un doute sur ses intentions, il fut vite balayé, car d'une de ses mains passée derrière ses fesses, elle tira sur la patte triangulaire de ma culotte collée à la sienne.

Mon membre jaillit de sa prison caoutchoutée et de lui même se glissa dans l'ouverture de la culotte et au milieu des couches rendues lâches par la main d'Agnès qui les tenait écartées.

Puis guidée par l'autre main d'Agnès, ma verge se présenta à l'entrée de sa fente toute juteuse et s'enfonça sans difficulté dans l'étroit fourreau.

Prenant appui sur la table de ses deux mains rendues libres, elle remua sa croupe en poussant de petits cris, faisant aller et venir le cylindre de chair qui lui labourait le ventre.

A chaque mouvement, le fond de sa culotte en plastique malmenée, libérait un excédent de pipi bien chaud qui me coulait entre les cuisses Pimentant la jouissance qui me brûlait les reins.

Je fus le premier à reprendre mes esprits. Lucide mais exténué, je regardais rêveusement le petit filet jaune d'or qui s'égouttait de la couche sortie à moitié de la culotte en plastique et pendant entre les jambes d'Agnès. La vue de la tache humide qui s'élargissait sur la moquette, me ramena à la réalité.

Le buste de l'infirmière reposant sur la table, je n'eus qu'à la prendre par les jambes et la soulever pour la glisser complètement sur le caoutchouc encore humide du pipi de Sylvia.

Après avoir reboutonné ma culotte en caoutchouc qui me collait partout à la peau, j’entrepris de retirer lentement celle d'Agnès que je jetai ainsi que la couche, dans une bassine placée sous la table.

Agnès, se retournant sur le dos, encore toute alanguie, me regarda, ses yeux cernés brillant d'une lueur faite à la fois de plaisir et de béatitude et de reconnaissante.

Je vis alors qu'une autre couche ceignait ses reins. C'était à n'en pas douter une couche triangulaire, large, fermée à la taille par des épingles de nourrice.

Cette couche m'intriguait. Ce n'était pas une simple serviette éponge comme dans la plupart des cas, mais elle avait un aspect de fini et de soigné qui révélait une confection professionnelle.

Le tissu en coton doux et moelleux, aux bords finement ourlés, me rappelait celui de mes couches que ma mère me taillait, quand j'avais 12 ans, dans de vieux draps usagés. Le tissu en tripe épaisseur était piqué dans sa longueur en d'étroites bandes donnant ainsi de la tenue à l'ensemble.

Mais le plus remarquable était la partie centrale de cette pointe.

Du nombril sur le devant, jusqu'en haut de la raie des fesses, sur le derrière, le tissu en coton était matelassé, à l'intérieur et à l'extérieur, de serviettes périodiques au pouvoir très absorbant. Une bonne douzaine de serviettes entrait dans la fabrication de ce rembourrage certainement très confortable.

Je me demandais où elle avait pu se procurer en une journée à peine, cette couche merveilleusement adaptée à la protection de bébés adultes, alors que la veille, elle avait pour toute protection, une simple bambinette garnie de ouate cellulose.

Je la retirai de dessous ses fesses, et après l'avoir essorée au dessus de la bassine en plastique, je la portai à mon visage pour en respirer l'odeur piquante, mêlée aux différentes effluves de nos jouissances respectives.

La réaction se fit aussitôt sentir dans ma culotte en caoutchouc dont je me débarrassai à mon tour. Sous l'œil amusé et gourmand d'Agnès qui s'était redressée, je ceignis la couche parfumée encore toute chaude et la passant entre mes cuisses l'attachai autour de ma taille. Je goûtai avec ravissement la douceur et la moiteur des serviettes périodiques à la couleur dorée sur mes fesses irritées et c'est tout naturellement que je me laissai aller dans l'odorant tissu, regardant debout le liquide ambré qui ne devait pas tarder à traverser l'épaisse couche et couler le long de mes jambes.

Sans me préoccuper des larges taches humides que je laissais derrière moi sur la moquette, j'allai vers le placard plein de ressources et enfilai une culotte en tissu caoutchouté beige qui arrêta momentanément les petits ruisseaux qui serpentaient dans la forêt épaisse des poils recouvrant mes jambes et dont le froissement en marchant, enchantait mes oreilles.

Je revins vers la table à langer avec différentes affaires cachées derrière mon dos, mais pas assez discrètement, car le regard d'Agnès avait suivi tous mes faits et gestes et c'est avec une légère pointe d'angoisse dans la voix qu'elle dit :

-" Qu'avez vous dissimulé derrière vous? Est-ce jour moi ?

-" C'est une surprise ! N'ayez crainte, elle sera très agréable. Allongez vous sur le dos et détendez vous." Impudique, les jambes écartées, laissant voir la cicatrice rosâtre de sa fente se détachant sur le blanc laiteux de son pubis imberbe encore maculé des traces de ma semence, elle obéit avec réticence.

Ramassant au passage dans la bassine, la serviette éponge pliée, je l’appliquai toute dégoulinante sur sa figure, connaissant par expérience personnelle, le pouvoir lénifiant d'une couche pleine de pipi bien chaud.

Alors qu'elle respirait bruyamment sous le masque d'un genre spécial tout en suçotant avec délice, semblait-il, le tissu éponge imprégné de pipi, je déposai sur la table les affaires que j'avais amenées.

Je dépliai la culotte en latex rose munie à l'intérieur d'un pénis également en latex mais semi-rigide, que j'enduisis convenablement d' une gelée lubrifiante facilitant le glissement du caoutchouc sur la peau et introduisis à l'intérieur du pénis creux, un vibromasseur à piles qui, une fois en place, donnait au cylindre en caoutchouc la forme et l'aspect d'un membre en érection.

Je glissai cette culotte spéciale le long des jambes de la jeune femme, écartant au maximum la ceinture étroite du slip au passage des hanches.

Avant de remonter entièrement la culotte, arrivé à ce stade, je devais maintenant commencer à introduire le godemiché dans le vagin de l'infirmière. Je la préparai à cette pénétration insolite en glissant deux doigts à l'intérieur de sa chatte toute humide qui vinrent titiller son pistil gonflé de désir.

L'effet escompté ne se fit pas attendre. Elle poussa un léger cri, ses cuisses s'écartèrent et sa corolle de corail s'ouvrit au maximum, aspirant l'extrémité du membre en caoutchouc qui s'enfonça petit à petit en elle dans un lent mouvement de va et vient imprimé par ma main.

Le pénis artificiel entièrement disparu, je remontai la culotte au dessus de ses hanches jusqu'à la taille.

Elastique, le latex collait à sa peau, empêchant toute possibilité de sortie du pénis hors de son fourreau.

Je pressai sur le bouton déclenchant l'animation du vibromasseur. Un bourdonnement à peine audible se fit entendre et je m'imaginai alors la tête du membre en caoutchouc se mettre à vibrer et onduler sous 1' impulsion du moteur électrique du vibromasseur.

Le corps d'Agnès se tendit de la tête au pieds, comme tétanisé avant de retomber, mollement sur le drap en caoutchouc recouvrant la table à langer. Sans doute étonnée de l'origine des ondes de volupté qui la secouaient elle porta une de ses mains entre ses cuisses et palpa la culotte en latex qui la moulait. Je guidai un de ses doigts vers un petit anneau soudé extérieurement à l'entrejambe du slip et lui montrai qu'en tirant dessus ou en le relâchant, elle pouvait faire aller et venir le cylindre frétillant à l'intérieur de son vagin.

Aussitôt abandonnée à elle même, sa main s'agita entre ses cuisses, d' abord lentement, puis de plus en plus vite donnant le rythme à sa respiration et à ses gémissements.

Plus tard, lorsqu'elle s'affaissa, exténuée et heureuse, la figure illuminée de joie, je glissai sous ses fesses une couche culotte ouverte garnie d'une serviette éponge, que je boutonnai par dessus son slip en latex.

-" Pour retenir et éponger toute votre mouille qui ne tardera pas à couler le long de vos cuisses, si vous gardez, comme je l'espère, ce slip pendant toute la journée durant votre travail à l'hôpital.", précisai-je pour répondre à son air interrogateur.

Puis je l'aidai à descendre de la table et la regardai faire quelques pas dans la pièce, les cuisses serrées au maximum comme pour mieux sentir le cylindre en caoutchouc lui labourer le ventre à chaque mouvement.

C'est alors qu'un grand cri nous parvint du lit sur lequel gisait Sylvia endormie. .