Anonymous


Vues: 622 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 19

Pour bien montrer mon consentement, je fermai les yeux, tout en suçant mon pouce et en geignant comme un bébé heureux.

Je sentais sa main enduite de crème glisser sur mon ventre et entre mes cuisses et s'employer ensuite à faire rentrer la crème dans la peau par un massage approprié. Bien qu'évitant volontairement d'effleurer mon sexe, celui-ci reprenait peu à peu une rigidité compromettante pour la suite des opérations.

Après l'opération "talc" qui ne nécessitait aucun attouchement précis, donc aucun regain de virilité excessive, Sylvia posa la couche-culotte sur ma figure, et de ses deux mains libres fit glisser la serviette étalée, sous mes fesses et la remonta jusqu'à la taille, puis saisissant les deux coins extrêmes, elle les réunit sur mon ventre dans le but de les attacher avec une épingle de sûreté. Rassemblant ensuite la serviette étalée sous mes jambes, elle la passa entre mes cuisses et la rabattit sur mon ventre.

Cette fois mon membre dressé comme un mat fit obstacle à sa tentative de tirer la serviette bien à plat jusqu'à la taille.

Ces essais répétés ne firent qu'aggraver la difficulté.

C'est alors qu'entre mes paupières légèrement entrouvertes, je distinguai la silhouette de la couturière à coté de Sylvia.

Que faisait-elle là ? Comment était-elle rentrée sans que j'entende la sonnette ? Etait elle là depuis longtemps ?

Et brusquement la lumière se fit dans mon esprit. Me rappelant que Sylvia m'avait fait comprendre que l'absence de la couturière n'était qu'un coup monté pour me laisser seul avec elle, j'en déduisis que la couturière disposait d'une deuxième clé pour rentrer à l'improviste.

Je me sentis rougire de honte à la pensée qu'elle avait du épier nos ébats et surtout qu'elle me voyait en ce moment en train d'être emmailloter comme un bébé.

Mais n'avait elle pas dit qu'il fallait se moquer de l'opinion des autres.

Un peu rassuré sur son attitude discrète dans l'avenir, je me contentai de regarder, à travers les interstices que faisait la couche-culotte jetée sur ma figure, ce qui allait se passer.

La couturière prit la main de Sylvia, la guida sous le tissu éponge jusqu'à ma verge et lui montra comment refermer les doigts sans les serrer autour de la hampe puis les faire aller et venir de haut en bas jusqu'à la décongestion finale.

Alors que Sylvia me masturbait avec une application toute particulière suivant les directives de la couturière, celle-ci avait glissé sa main dans la culotte en tissu caoutchouté de la jeune fille.

-" Mais tu es déjà toute trempée, ma parole !" s'exclama t'elle, en tâtant le tissu éponge tendu sur ses fesses.

Puis son visage se transforma et se mit à refléter l'étonnement et la stupeur. Sa main plaquée sur les fesses de Sylvia sentait la serviette s'animer et se gonfler çà et là, alors que quelque chose de chaud et de pâteux cherchait son chemin dans les nombreux plis de la couche, aussitôt suivie d'un bouillonnement sonore, cette fois liquide, qui fusa brutalement.

-" Mais que fais tu ?" dit-elle, en retirant vivement sa main," Tu soulages tes intestins dans ta culotte maintenant ? C'est plus grave que de faire pipi, tu sais." La sueur coulait sur le visage de Sylvia qui avait du faire beaucoup d'efforts pour se retenir tout en continuant consciencieusement son travail masturbatoire dont elle pressentait l'aboutissement imminent aux pulsations plus rapides sous ses doigts et à la houle qui secouait mon ventre.

Sylvia m'amenait merveilleusement à l'orgasme et j'éjaculai dans ses doigts au même moment où, elle aussi, se vidait dans sa couche.

Elle retira ses doigts englués de ma semence, et tout en les léchant avec gourmandise, elle expliqua d'un air penaud :

-" Ce n'est pas ma faute. Ce matin, Agnès m'a mis des suppositoires et voici le résultat. C'est la deuxième fois que ça m'arrive aujourd'hui et Agnès m'a dit que j'en aurais encore au moins pour deux jours avant de pouvoir me contrôler entièrement. Et puis, il faut bien l'avouer, ce n’est pas désagréable du tout, bien au contraire. A condition toute fois d'être bien protégé comme je le suis en ce moment et que ça n'arrive pas dans la rue ou dans un lieu public à cause de l’odeur." Une de mes mains glissée entre ses cuisses écartées, vint soupeser et jouer avec le fond tout chaud de sa culotte caoutchoutée qui pendait lourdement entre ses jambes, écoutant avec un plaisir non dissimulé le clapotis qui se créait sous l'agitation de mes doigts.

Sous le regard brillant de la couturière qui se caressait sous sa blouse, Sylvia, cette fois sans gène ni obstacle, put étendre le tissu éponge sur mon ventre tout poisseux et le fermer à la taille avec des épingles de sûreté. De même avec une habileté digne d'une nurse professionnelle, elle glissa sous mes fesses la couche-culotte en caoutchouc et la boutonna sur les cotés. Le silence devenu pesant, était seulement interrompu par les "clics" que faisaient les pressions en se refermant.

Le plaisir passé, je redescendis très vite sur terre et conscient de ma tenue ridicule, je m'empressai d'enfiler mon pantalon qui traînait à coté du divan.

Le visage irradié de plaisir et sans se préoccuper des taches brunâtres qui commençaient à maculer le haut de ses cuisses, Sylvia se déplaçait lentement, serrant et desserrant alternativement ses fesses pour mieux jouir du ballottement du chaud liquide épais qui lui caressait la peau.

_" Viens, je vais te changer !" dit la couturière dont la blouse cette fois entièrement déboutonnée dévoilait son ventre caoutchouté et ses fesses généreuses également luisantes d'humidité.-" Tu ne peux pas rentrer chez toi dans cet état. Que dirait ta tante ?"

-" Non ? Je veux rester comme je suis. Si ma tante accepte volontiers de me mettre une culotte en caoutchouc pour la nuit, parce que je fais toujours pipi au lit, elle ne comprendrait pas que je veuille la garder toute la journée sans une raison valable. Cette raison je vais la lui montrer, et quand Agnès lui aura confirmé mes ennuis intestinaux.., temporaires, elle ne verra plus d'inconvénient, au contraire, à ce que je sois langée en permanence pendant quelques temps. Par la suite Agnès saura bien la convaincre de l'utilité d'une telle culotte de protection. N'est ce pas la meilleure façon après tout, d'écarter les tentatives des garçons pour fouiller sous les robes des filles ?

-" Heureusement pour toi que certains garçons ne sont pas effrayés par ce rempart en caoutchouc." répliqua la couturière en me regardant d'un air plutôt complice.

-" Soit, restes comme tu es si ça peut t'aider, mais je ne te vois pas faire le trajet à pied. Je vais te reconduire en voiture. Il te suffira seulement de faire très attention en t'asseyant sur le siège pour ne pas te barbouiller les cuisses un peu plus.", et se tournant vers moi :

-" Si vous ne voyez pas d'inconvénient, j'aimerais que vous nous accompagniez. Après avoir déposé Sylvia, vous verrez comme ça où elle habite, je voudrais passer à la pharmacie pour acheter des couches en cellulose. Je pense que c'est là le complément idéal des couches en coton pour doubler leur pouvoir d'absorption. Comme la pharmacie risque d' être fermée, vous voudrez bien me servir vous-même, et vos conseils me seront très précieux.", ajouta t'elle avec un sourire prometteur.

J'avais espéré pouvoir rester seul avec la couturière après le départ de Sylvia pour lui poser des questions sur les femmes et les jeunes filles qui venaient lui commander des culottes imperméables. Son offre de reconduire Sylvia m'avait désappointé. Fine mouche, elle ne manqua pas de remarquer combien sa dernière proposition m'enchantait.

Dans un froufroutement de caoutchouc froissé, nous quittâmes le logement de la couturière et nous nous enfournâmes dans sa voiture.

Sylvia monta à l'arrière à coté e moi. Elle prit la précaution de relever sa robe avant de s'asseoir sur une serviette éponge qu'elle disposa sous elle et releva entre ses jambes au cas où la culotte imperméable perdrait encore de son étanchéité.

Je ne pus détacher mon regard de ce triangle blanc caoutchouté qui se détachait sur la peau halée de ses cuisses. Enivré par l'odeur du caoutchouc mélangée à celle de son contenu qui envahissait peu à peu l'habitacle de la voiture, je posai ma main d'abord sur son genou puis la remontai lentement, caressant sa peau tiède et soyeuse.

Elle poussa un gémissement qui fit retourner brusquement la conductrice lorsque ma main, se glissant entre le tissu éponge et le tissu caoutchouté, se referma sur le renflement pulpeux de la couche recouvrant sa petite chatte.

-"Reprenez votre calme ! C'est fini pour ce soir !" dit la couturière à mon intention. "Nous arrivons. Si vous le désirez tous les deux, je peux vous laisser mon appartement demain après-midi après l'école. Tu sors à dix sept heures, n'est ce pas, Sylvia ? Tu trouveras la clé là où je la mets d'habitude sous la potiche. Je ne rentrerai que vers dix neuf heures. Sous réserve, bien sur, que ta cousine Agnès soit d'accord, je dois lui passer un coup de fil demain matin."

-" Oh oui ! Merci !" dit Sylvia ravie en battant des mains, et me regardant, elle ajouta d'une voix enfantine :

-" Je ne me mouillerai pas de toute la journée de demain. Je saurai me retenir jusqu'à la sortie de l'école, comme ça je serai toute trempée quand tu arriveras. Tu veux ?" Ce sous entendu combien prometteur contrastait terriblement avec son sourire candide et sa voix câline de fillette et je restai muet de stupéfaction, tandis qu'elle ouvrait la portière et se sortait sans dégât d'une situation pour le moins embarrassante, laissant sur le siège la serviette légèrement auréolée.

Je fus intérieurement très satisfait de voir que la pharmacie était déjà fermée et je fis entrer la couturière directement dans le magasin par la porte donnant sur mon bureau.

Elle poussa un "OH" d'étonnement en voyant les présentoirs qui déployaient les diverses formes de couches ou de changes complets pour adultes et ne put rester indifférente devant les nombreux modèles de culottes d'incontinence mis en valeur par les mannequins qui les offraient à la vue et au toucher des clients. L'air et la lumière avaient patiné la matière plastique blanche d'origine et lui avaient donné une teinte très légèrement ocrée du plus bel effet, qui faisait dire aux intéressés : "à choisir la teinte, je préfère celle des culottes exposées en vitrine." Mes conseils dirigèrent son choix vers les couches simples en cellulose sans le voile plastique qui les rend imperméables puisqu'elle devait les utiliser dans une culotte en caoutchouc, et également vers la cellulose en rouleau qui présentait l'avantage d'être coupée suivant la longueur et l'épaisseur voulue.

Alors que j'emballais ses achats, elle resta un moment en contemplation devant une culotte en plastique ouvrante, se fermant par des pressions et doublée de rhovyl.

-"Cela me donne une idée," me dit-elle," je crois que cela plairait à ma clientèle. Je vais créer un modèle de culotte à pressions, le tissu caoutchouté doublé de tissu éponge, permettant de glisser entre les deux tissus, de la ouate cellulose, d'où la possibilité pour elles de se changer très rapidement durant le travail....Là, je vous dois une petite explication. .

En pharmacie vous vendez des culottes imperméables pour malades, incontinents ou handicapés physiques et autres. Vous intimidez les personnes qui, elles, ne sont pas malades et qui redoutent les questions gênantes ou indiscrètes de la part des vendeuses. Celles là s'adressent à moi dont le travail est de faire des vêtements suivant le modèle et dans la matière de leur choix sans en chercher la raison.

Ma première cliente de culotte caoutchoutée ? Vous ne devineriez jamais qui c'est ! C'est une simple vendeuse dans un supermarché. Obligée de rester sans bouger de sa caisse pendant quatre heures de rang, il lui arrivait souvent de faire pipi dans sa culotte au vu et au su de tout le monde. Une cliente bien intentionnée lui conseilla de se garnir comme un bébé en précisant qu'elle trouverait couches et culottes imperméables en pharmacie. Elle me fit part de ses ennuis, insistant sur le fait qu' elle n'oserait jamais faire de tels achats dans un magasin et me demanda si je pourrais lui confectionner quelque chose du genre. Voilà comme je suis venue à faire ces sous-vêtements spéciaux d'abord pour des vendeuse, puis, de bouche à oreille, pour une clientèle de plus en plus diversifiée d'adultes et d'adolescents.

Mais vous même, dit elle avec un sourire malicieux, si j'en crois ce que j'ai vu, vous n'êtes pas votre propre fournisseur. Vous portez actuellement un modèle de culotte qui ne figure pas dans vos rayons. J' ai pu apprécier tout à l'heure en l'essuyant, ne rougissez pas pour si peu, la confection soignée de cette couche-culotte qui porte une marque anglaise et qui vous sied à ravir soit dit en passant. Sans aucun doute elle plairait à ma clientèle, mais je craindrais une concurrence à ma propre production qui est, je le reconnais, assez lucrative.

Mais je parle, je parle et j'oublie la raison pour laquelle je suis venue jusqu'ici. Pourriez vous m'indiquer, si cela ne vous dérange pas, un endroit où je puisse me changer. J'ai déjà laissé quelques gouttes sur le sol de votre magasin et cela risque de s'aggraver de minute en minute."

Effectivement elle se tortillait sur place les cuisses serrées et je devais intervenir sur le champ si je voulais éviter le pire.

Mais le pire ne m'inquiétait pas du tout, bien au contraire et je jouissais à la pensée de voir jaillir et ruisseler sur ses jambes le flot doré que sa couche certainement saturée ne pourrait contenir.

-" Il y a là, comme chez vous, une cabine d'essayage. Vous y trouverez tout ce qui vous est nécessaire et vous pourrez vous changer en toute quiétude." je me gardais bien de lui préciser qu'une glace sans tain camouflée dans la bibliothèque de mon bureau, servait de cloison entre les deux pièces. A de nombreuses reprises, elle avait permis de me régaler de certaines séances où des mères anxieuses, quelques fois fâchées, essayaient maladroitement des culottes en plastique à leurs fillettes plus ou moins consentantes dont les culottes en coton "Petit Bateau" étaient en général toutes auréolées et jaunies à l'entrejambe.

J'allais donc profiter largement encore une fois de ce dispositif indiscret, lorsque la couturière m'appela de la cabine dont la porte était restée entrebaîllée :

-" S'il vous plait, voudriez vous venir, j'ai besoin de vos services."

Comme j'hésitais à pousser la porte, ne sachant quelle attitude adopter :

-" Venez, entrez ! Vous n'en perdrez pas la vue, vous êtes, je crois, habitué à ce genre de situation. Quant à moi, il serait mal venu de faire état de fausse pudeur après ce qui s'est passé chez moi cet après midi !

Je poussai donc la porte et bien que prévenu, je restai sans voix devant le tableau qui s'offrait à mes yeux.

Je voyais devant moi le coté pile de la couturière, dont le coté face m'était renvoyé par le miroir placé devant elle.

Elle était nue ou presque, ses grands yeux mordorés brillant de plaisir me fixant à travers la glace, alors que de ses deux mains, elle remontait sa poitrine opulente, qu'on devinait ferme et élastique, ses doigts jouant avec les bouts ornés de grandes auréoles mauves.

Sa robe jetée sur un siège, elle avait gardé pour tout vêtement, sa couche triangulaire toute trempée et toute fumante de son pipi bien chaud alors que la culotte en tissu caoutchouté, descendue sur ses cuisses à la hauteur des genoux, laissait miroiter une mare dorée qui stagnait dans le fond du tissu imperméable et qui peu à peu se vidait, de larges gouttes tombant sur le tapis mousse entre ses pieds.

-" Voyez, me dit-elle, la raison principale de la fuite vient de la culotte elle-même. Elle est toute déchirée à l'entrejambe à la couture de l'élastique et irréparable. Il est vrai qu'elle m'a rendu bien des services et qu'elle a supporté de nombreux lavages. Comme je ne peux pas retourner chez moi sans culotte de protection, je n'ai plus qu'à mettre une des culottes en plastique que je viens de voir. Je vous laisse choisir celle qui me conviendra le mieux."

Je revins peu de temps après, avec une culotte simple, ouvrante avec des pressions et garnie d'une poche soudée dans laquelle j'avais glissé d'office deux couches en cellulose pour adulte.

Entre temps, elle s'était débarrassée de sa culotte imperméable et attendait les cuisses écartées entre lesquelles pendait la couche lourdement trempée.

Je glissai la culotte ouverte entre ses jambes et l'aidai à boutonner les pressions de chaque coté des hanches.

Sous prétexte de bien mettre en place les couches en cellulose qui formaient une bosse dans la culotte en plastique, je profitai du moment où en se baissant elle ramassait sa robe, pour passer ma main sous 1' élastique de la culotte qui baillait à l'endroit où les deux couches s'étaient repliées sur elles-mêmes.

Elle se releva aussitôt et tout en me souriant gentiment se dégagea vivement de ma main.

-" Vous n'arriverez à rien, sinon qu'à faire monter encore un peu plus votre tension, si cela est encore passible.", dit-elle, ses yeux rieurs fixés sur le devant de mon pantalon.

-" Je pensais que vous aviez deviné mon manque de penchant pour les hommes, même quand il vous ressemblent, à la fois délicatement infantile, adorable dans vos couches mouillées et aussitôt agressif, prêt à pourfendre les pauvres créatures sans défense que nous sommes. Soyez déjà très satisfait, vous m'avez battu au poteau en m'enlevant Sylvia.

Vous ne voulez quand même pas gagner sur tous les tableaux.

Toutefois, pour vous faire plaisir, je veux encore bien faire une petite entorse à la ligne de conduite que je me suis fixée, mais vous devrez rester passif. Pour plus de certitude, compte tenu de votre chaude nature, je vous attacherai les mains. D'accord ?"

-" D'accord !" répondis-je sans hésiter, d'une voix que je m'efforçai de rendre assurée, une petite pointe d'angoisse me taraudant malgré tout l'estomac.

-" Ce cordon de rideau fera l'affaire." ajouta t’elle, une lueur amusée dans les yeux. " Placez vous là le dos contre la porte, face à la glace, et levez les bras." En un tour de main, mes poignets furent liés d'une façon plus symbolique que réelle, au portemanteau fixé à la porte au dessus de ma tête.

La position n'avait rien de douloureux, peut-être un peu fatigante à la longue, et je souris lorsqu'elle s'approcha de moi, l'air faussement menaçant.

Elle commença par déboutonner ma chemise, et collant sa bouche contre ma poitrine dénudée, se mit à me sucer et à me mordiller les mamelons. Le résultat ne se fit pas attendre et son ventre plaquée contre le mien encaissa malgré mon pantalon et l'épaisseurs de nos couches, les battements de mon sexe semblables à ceux d'un battant de cloche.

Tout en continuant de fourrager de sa langue dans les poils me couvrant la poitrine, elle passa sa main entre nos deux corps et après avoir défait la boucle de la ceinture et descendu la fermeture éclair de mon pantalon, le fit glisser le long de mes jambes.

Aussitôt elle fit sauter les deux pressions qui maintenaient à la taille ma culotte en caoutchouc, découvrant le haut de ma couche dont elle défit les épingles de nourrice. Celle-ci libérée de toute attache et alourdie par un récent relâchement de ma vessie, tomba dans le fond de ma couche-culotte, dévoilant mon membre gonflé, dressé contre mon ventre et tendant au maximum le mince caoutchouc transparent.

S'étant ensuite reculée, son regard fixé sur le mien, elle déboutonna les deux pressions qui fermaient sa culotte en plastique à l'entrejambe, glissa une main dans l'ouverture et l'engagea sous la couche en tissu éponge qu'elle avait gardée sur elle.

Sans prendre garde au pipi qui recommençait à lui couler à l'intérieur des cuisses, elle tira au maximum l'ensemble culotte et couches sur le coté, dégageant sa toison de feu d'ou émergeait le cratère béant de sa fente couleur de corail tapissé d'une rosée scintillante. Elle plongea deux doigts à l'intérieur qui s'y engouffrèrent dans un bruit de succion déchaînant des râles de plaisir.

Cette fois soucieuse du jus qui coulait en abondance de sa chatte en fusion, elle remit en place de son autre main, les couches et la culotte en plastique qui recouvrirent la source de ses plaisirs, sans pour autant masquer le va et vient de la main qui s'agitait entre ses cuisses écartées. .

Je n'avais qu'à baisser les yeux pour jouir en direct de cette séance masturbatoire combien lascive, mais la contempler de derrière par le jeu du miroir était encore plus érotique, surtout que je distinguais ses fesses pleines tendant si intimement le plastique brillant de sa culotte que je pouvais remarquer tous les détails des plis des couches en cellulose qui en matelassaient le fond.

Une odeur aphrodisiaque, enivrante, se dégageait de la culotte malmenée et peu à peu agissait sur moi comme un narcotique puissant.

Je fus tiré de cette sorte d'engourdissement par un violent courant électrique qui me traversa des pieds à la tête, fait à la fois d'ondes voluptueuses et douloureuses, dues à l'extrême limite de mon exacerbation.

J'ouvris les yeux et vis avec stupeur et ravissement la jeune femme à genoux, léchant le caoutchouc déformé par ma verge tendue à l'extrémité de laquelle perlait une épaisse larme blanchâtre.

Alertée par la tension soudaine de tout mon corps, elle sembla elle aussi sortir de sa torpeur et prenant mon membre entre ses deux mains, l'engloutit, malgré le rempart du caoutchouc, dans sa bouche entrouverte.

Elle se mit alors à téter ce biberon d'un genre nouveau avec la rage d'un bébé assoiffé.

Aux tressaillements du cylindre de chair entre ses doigts étaux geignements plus rapprochés qui sortaient de mes lèvres, ma partenaire devina la fin imminente de son massage buccale et effrayée, se releva brusquement, arrachant involontairement dans sa hâte, les derniers boutons pressions qui retenaient le devant de ma culotte en caoutchouc.

Perdant la tête, elle se réfugia toute craintive contre moi et c'est tout naturellement, mes mains toujours attachées au dessus de ma tête, que ma verge libérée de son enveloppe de caoutchouc, vint buter contre le haut de la cuisse de la couturière collée contre moi, et glissant sur la peau humide, s'engagea dans l'ouverture faite par la couche de coton largement distendue pour venir se réfugier dans le nid douillet de sa toison toute poisseuse. Elle poussa un cri où dominait bien malgré elle le plaisir, lorsque n'en pouvant plus, je déversai ma liqueur qui vint déposer ses filaments argentés dans les poils de sa toison déjà empesée puis couler lentement entre ses muqueuses avides de cette douche brûlante.