Anonymous


Vues: 685 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 20

Honteuse, mais sans conteste au sommet de la jouissance, elle essaya de retenir contre elle le coupable qui se retirait déjà tout ramolli et poisseux du dessous de l'épais tissu éponge merveilleusement chaud et humide, dont la senteur au mille parfums envahissait l'étroite cabine.

La main pressant contre son sexe la couche toute imprégnée de son pipi de sa mouille et de ma sève, la jeune femme, les joues avivées par l'émotion et le plaisir, les seins orgueilleusement dressés, écrasés contre ma poitrine, relâcha alors les muscles de son sphincter et dans un grand cri de jouissance assouvie, goûta le voluptueux contact du chaud liquide ambré éclaboussant son ventre et ses cuisse ainsi que ma verge encore à moitié prisonnière du tissu en coton. .

D'une voix chevrotante à peine audible, elle me murmura à l'oreille :

- Je ne sais pas ce qui m'a pris. C'est la première fois que je fais une chose pareille..., avec un homme. Ce sera un souvenir merveilleux.

Pour vous aussi, je l'espère ? Vite, maintenant il est tard je dois partir. Il vaut mieux que nous ne nous revoyions plus." Elle s'était réajustée rapidement tout en parlant et après s'être essuyée avec une couche qui traînait sur une étagère, avait reboutonné sa robe.

-" 0h, j'oubliais ! Vous êtes encore attaché." et sur la pointe des pieds de nouveau collée contre moi, elle tenta de défaire les nœuds qui m' entravaient, malheureusement ceux-ci s'étaient resserrés sous le poids de mon corps affaibli après l'orgasme et ses tentatives restèrent vaines.

Maintenant qu'elle était rhabillée, je me sentais ridicule dans ma tenue et je n’avais qu'une hâte : être libéré.

- " Dans mon bureau, à coté, vous trouverez sûrement une paire de ciseaux près du sous-main." La couturière sortit de la cabine d'essayage avec précipitation et je l'entendis pousser un cri dés qu'elle eut ouvert la porte du bureau.

-" Qu'y a t'il donc ?" m'écriai-je, tirant furieusement sur la cordelette pour me libérer avec l'intention d'aller voir ce qui se passait dans la pièce voisine.

Elle revint aussitôt après, tenant la paire de ciseaux, les traits encore marqués par la surprise et la peur.

-"Dans votre bureau, il y a quelqu'un..., une fillette, je crois qu'elle est endormie. Dieu, qu'elle m'a fait peur !" Alors que toute remuée, elle s'attaquait maladroitement aux liens qui attachaient mes poignets, je m'interrogeai :

-" Une fillette ? Vous en êtes sure ? qui cela peut-il être ?" et puis brusquement la lumière se fit dans mon esprit, et je m'esclaffai : .

-" Mais oui, bien sûr ! Aujourd'hui, c'est le jour de la femme de ménage et je sais qu'elle vient souvent accompagnée de sa fille. Elle a fait le bas avant de faire l'appartement à l'étage où elle doit se trouver en ce moment et la fille a du s'endormir pendant que la mère nettoyait le magasin. Ouf ? On est sorti par une belle porte. Dire qu'elle aurait pu nous voir ou nous entendre." Dés que je fus détaché et en tenue décente, je me rendis dans mon bureau suivi par l'infirmière que mes dernières paroles n'avaient pas rassurée bien au contraire.

Effectivement c'était bien la fillette de notre femme de ménage, recroquevillée dans un fauteuil, les genoux sous le menton, suçant son pouce profondément endormie.

Le tableau de cette jeune enfant aux longs cheveux blonds, tétant son pouce, la robe relevée découvrant des cuisses fines et nerveuses, était ravissant.

-" Mais c'est encore un bébé !",s'exclama la jeune femme, "Regardez, sous sa culotte de coton, on lui voit une culotte en caoutchouc. A voir son derrière, elle porte certainement des couches en dessous. Quel âge peut-elle avoir ? au moins douze ans, pour sûr ! Si j'avais une fillette j'aimerais qu'elle soit comme elle. C'est excitant pour une mère de langer encore son enfant jusqu'à l'adolescence. Vous étiez au courant ? " ajouta t'elle en s'approchant du grand bébé et en caressant d'un air gourmand les fesses matelassées et caoutchoutées saillant hors du fauteuil.

- " Ma femme là dessus est intraitable. Tout enfant en dessous de quinze ans qui vient à la maison et y reste plusieurs heures doit porter une culotte en caoutchouc pour prévenir tout accident prévisible.

Sans doute intimidée par les lieux, cette jeune enfant qui est endormie là dans le fauteuil, a dès le premier jour mouillée sa culotte et le siège sur lequel elle était assise. Dans la minute qui suivit, ma femme sous les yeux accablés de la mère, lui mettait des couches et une culotte imperméable. C'est comme ça depuis près d'un an.

A l'odeur qui enveloppe parfois la femme de ménage, je ne jurerais pas qu'elle n'ait pas elle aussi, le derrière caoutchouté, malheureusement je n'ai jamais pu en avoir la certitude, vu les robes amples qu'elle porte en permanence. Une chose est certaine, c'est qu'elle n'a jamais paru étonnée d'aller pendre sur les fils du séchoir, les culottes en caoutchouc et les couches que nous utilisons ma femme et moi." La couturière, sans doute excitée par ses caresses de plus en plus précises entre les cuisses de la fillette, semblait avoir perdu toute notion du temps.

Ses doigts couraient sur la peau soyeuse à l’intérieur des cuisses et à chaque fois, s’insinuaient plus profondément sous l’élastique de l'entrejambe.

La jeune enfant se mit à ronronner comme un chaton à qui on caresse le ventre et sans se mettre toutefois sur le dos, elle se retourna légèrement et ouvrit les cuisses, portant son bassin au devant des doigts qui fouillaient maintenant sa culotte.

-" Elle est toute humide. C'est merveilleux. Comme j'aimerais pouvoir la changer ! ", et semblant ignorer ma présence, elle ajouta, pour elle seule :

Comme son duvet est doux et sa petite fente qui aspire mon doigt. Je ne peux plus me retenir. Ca part...., je suis inondée.., oh.., oh !"

Sa plainte réveilla en partie l'enfant qui, à son tour, poussa de faibles râles, emmenée par la vague de plaisir que procurent les premiers effleurements masturbatoires.

Cette fois remuant son ventre sur les doigts de la couturière prisonniers de la culotte en caoutchouc, l'enfant murmura :

-" Oh oui, encore .., plus loin..., plus vite. C'est bon..., hum..."

Dans son extase érotique, la jeune femme serrant et desserrant rythmique ment les cuisses, le visage ruisselant de sueur, essayait de sa seule main libre de descendre la culotte de coton de la fillette qui maintenait bien en place la culotte en caoutchouc et l'empêchait de glisser aidée en cela par la gamine qui tentait également de repousser de ses deux mains la culotte "Petit Bateau" boutonnée devant et derrière à un corset tenu par des bretelles.

Entendant du bruit à l'étage, je me précipitai à la porte qui donnait sur le couloir et m'empressai de fermer à clé car pour rien au monde je ne voulais voir interrompre cette scène d'une telle intensité lubrique, quoique totalement immorale. Moi-même j'en ressentais les effets et j'espérais qu'une main charitable me débarrasserait de cette tension renaissante.

Ayant trouvé, la cause de son échec, la jeune femme retira à regret sa main de dessous les couches de la fillette et défit les quatre boutons qui reliaient culotte en coton et corset.

Outre les quatre boutons qui fixaient la culotte "Petit Bateau", deux autres boutons la maintenaient fermée sur les hanches. Ces derniers arrachés plutôt que défaits, la culotte glissa rapidement sur les jambes fuselées de la fillette très coopérative sur ce point.

Le fauteuil en skaï ne craignant rien, je laissai la couturière enlever ensuite la culotte en caoutchouc qui prit le même chemin que la culotte en coton, aidée en cela par la gamine qui gesticulait en tous sens pour s'en débarrasser au plus vite.

C'était une culotte en caoutchouc rose que j'attrapai au vol, elle provenait sans aucun doute du stock important constitué par ma cousine Hélène à chacun de ses voyages en Angleterre. Vu la tournure des évènements, la fillette et sa culotte ne tarderaient pas, à mon avis, à devenir bientôt la propriété de ma cousine dans son futur "foyer de jeunes filles " qui devait ouvrir pour la prochaine rentrée scolaire.

Une grande serviette éponge jadis blanche ceignant ses reins. Les jambes et les fesses en l'air, elle exposait une surface entièrement jaunie par le pipi qui saturait l'entrejambe. Les nombreux plis de la serviette humide avaient laissé des sillons rougeâtres sur la peau fragile à l'intérieur des cuisses.

Je jugeai prudent d'aller chercher au magasin la crème et la poudre nécessaires au soulagement rapide des brûlures cuisantes de l'enfant.

Alors que je quittais mon bureau, la jeune femme retirait délicatement la couche en éponge, faisant apparaître une étroite serviette périodique qui formait une coquille protectrice aux lèvres également irritées du sexe infantile, finement mis en relief par le fin tissu hydrophile tendu par une ceinture hygiénique blanche qui ornait sa taille.

Je mis un certain temps à trouver la crème adoucissante et lorsque je me préparai à rentrer dans mon bureau, je fus averti de l'avancement de la joute amoureuse par les râles de jouissance de la fillette.

Celle-ci appuyée contre le dossier du fauteuil, rehaussée par un coussin glissé sous ses fesses, les jambes pendantes, passées de chaque coté des accoudoirs, écartait au maximum ses cuisses où, le visage enfoui, collé à son sexe, la jeune femme lapait le pipi à l'odeur tenace qui s' accrochait à son duvet soyeux et formait une fine rosée dorée sur la peau de son ventre, tandis que de sa main gauche, elle caressait son derrière, un doigt montant et descendant dans la raie fessière. .

Un cri jaillit de la gorge de la fillette alors que son corps agité de spasmes, se tendit, le buste entièrement arqué, les fesses décollées de l'oreiller dévoilant la serviette périodique pendant entre les cuisses.

La couturière qui avait fini de lécher l'entrejambe de l'enfant, venait de forcer de la langue l'entrée de sa chaude et humide intimité, alors que le doigt violait en même temps l'étroit fourreau niché dans la raie.

Anéanti par l'orgasme, le corps ramolli se laissait guider par les coups de piston qui la labouraient devant et derrière tandis que la langue s'enfonçait de plus en plus dans la fente baveuse, remontant à chaque fois un flot de mouille que la bouche avide aspirait aussitôt.

La fillette semblait évanouie, la tête ballottait de droite et de gauche, de faibles râles s'échappant des lèvres entrouvertes où venaient crever des bulles de salive.

je ne distinguais pas le visage de la jeune femme qui respirait fortement, le corps agité de tremblements, mais elle faisait preuve d'une technique approfondie qu'elle avait du maintes fois expérimenter sur les adolescentes venues essayer leur culotte en caoutchouc et sans doute même sur certaines de leurs mères.

Le tableau n'était pas resté sans effet sur moi et pour mon plus grand plaisir, je venais encore une fois de me laisser aller dans la culotte en caoutchouc.

Toutefois le résultat fut catastrophique et n'ayant pas remis de garniture à la sortie de la cabine d'essayage, je sentais le liquide chaud qui ruisselait le long des jambes, mouillait mes chaussettes et s'infiltrait dans les chaussures après avoir laissé de larges traces humides sur mon pantalon.

C'est alors que je remarquai sur le coin du bureau, à coté du fauteuil, une poire à injection avec sa canule rectale voisinant avec un flacon d'huile de ricin encore ouvert.

Que faisaient là ces objets ? La couturière avait-elle eu le temps matériel, durant mon absence, de faire une injection à la fillette, lubrifiant au plus profond de lui-même le fourreau qu'elle avait l'intention de visiter ?

Si oui, l'accident pouvait maintenant survenir à tout moment au grand dam du fauteuil et des environs. Il était urgent de protéger efficacement le siège de l'enfant et je décidai d'aller chercher le nécessaire pour la garnir, regrettant de ne pouvoir assister à la fin de leurs ébats que je pressentais très proche. J'aurais surtout aimé savoir comment la jeune femme comptait se faire payer de retour pour le plaisir incontestable qu'elle avait dispensé à l'adolescente.

Lorsque j'arrivai à l'appartement dans un état encore aggravé, je me heurtai à la femme de ménage qui s'apprêtait à descendre les escaliers.

Elle eut un regard amusé pour ma démarche en canard, puis réprobateur à la vue de mon pantalon.

-" J'ai terminé pour aujourd'hui les gros travaux de nettoyage. Je finirai demain. La maison sera propre pour le retour de votre femme.

J'ai fait une lessive de tout ce qui était tissu éponge qui traînait dans la salle de bain. Pour les affaires en caoutchouc, je les ai simplement rincées à l'eau claire, essuyées et talquées. J'espère avoir bien fait ?" ajouta t'elle d'un air complice, cherchant mon regard qui fuyait le sien gêné.

Puis elle descendit quelques marches, s'appliquant à tortiller du derrière tout en serrant et desserrant les cuisses dans l'unique résultat de faire crisser le caoutchouc de sa culotte et de laisser traîner derrière elle des bouffées acres et piquantes de vieux pipi refroidi, voulant me montrer par là qu'elle aussi prenait plaisir à rester mouillée dans une culotte en caoutchouc.

Elle s'arrêta à mi-chemin, se retourna et toujours énigmatique dans son regard qui me déshabillait, elle reprit :

-" J'ai entendu du bruit tout à l'heure dans votre bureau. J'ai bien supposé que vous étiez rentré. N'auriez vous pas vu ma fille, par hasard ?

J'ai toujours peur qu'elle ne fasse des bêtises quand elle n'est pas derrière mes basques !" '

-"Effectivement je l'ai trouvée endormie dans mon bureau. Non ! N'allez pas la réveiller !" Là, mon cœur battait à se rompre, car j'avais peur qu'elle ne se doute de quelque chose, et j'enchaînai rapidement :

-" Si vous le voulez bien, je la reconduirai tout à l'heure chez vous, le temps que vous prépariez le dîner. Mais j'ai bien peur qu'elle ne se soit fortement salie. Je vais préparer ce qu'il faut pour la changer juste avant de vous la rendre."

-" C'est vraiment très gentil. Je vous en remercie. N'hésitez pas à lui donner une bonne fessée dans ses couches mouillées. Elle adore ça !" La conduite, les paroles et le regard de cette femme me mettaient mal à l'aise et je maudissais la couturière de m'avoir mis dans une pareille situation.

Je respirai plus librement quand j'entendis la porte de la rue claquer, et poussai un "ouf" de soulagement, encore qu'à demi rassuré sur ce que j'allais trouver en rentrant dans le bureau. Avant de descendre je me munis d'une alèse en caoutchouc, d'une couche triangulaire prélevée sur celles destinées à ma femme, et de deux couches "nuit" pour bébé en cellulose afin de garnir le fond de la culotte imperméable rose.

J'écoutai un moment, l'oreille collée à la porte de mon bureau et, n'entendant aucun bruit particulier, j'entrai le plus discrètement possible.

La première chose que j'aperçus fut un petit derrière tout blanc de talc qui s'agitait sur les genoux de la couturière. La fillette était allongée sur le ventre, la tête et les pieds pendant de chaque coté des cuisses de la jeune femme et poussait des "aies" timides pas très convaincants lorsque la main s'abattait mollement sur ses fesses rebondies.

La fillette releva la tête à mon arrivée et me regarda furtivement.

Tout à l'heure, lorsque je l'avais entr'aperçue, dormant dans le fauteuil je n'avais remarqué que sa magnifique chevelure d'un blond cendré, cachant la grande partie de son visage et jusqu'à maintenant je n'avais jamais bien fait attention à elle, la jugeant sans intérêt, bien que sachant qu'elle faisait toujours pipi dans sa culotte.

Pour la première fois je l'apercevais de très près et j'étais frappé par son visage malingre d'enfant mal nourri, aux yeux creux d'un bleu délavé, sans cesse en mouvement, reflétant un caractère pour moi sournois et vicieux..

Par leur regard, la mère comme la fille avait le don de me mettre mal à l'aise. Aussi je précipitai les choses prétextant l'urgence de ramener la fillette chez elle.

J'acceptai bien volontiers lorsque la couturière me proposa de la reconduire à ma place, ce qui alluma un sourire de chat cruel dans les yeux mi clos de l'enfant. Je regardai la couturière langer avec dextérité le grand bébé allongé sur ses genoux, les mains agiles s'attardant plus que nécessaire dans le pli des cuisses ouvertes et j'eus cette fois la certitude qu'elle n'était pas à son coup d'essai avec les fillettes de cet âge.

Heureux d'être débarrassé de cet enfant que je pressentais dangereuse, j'allai même jusqu'à lui dire :

-" Si cela peut vous faire plaisir, je peux proposer à sa mère de vous la confier pendant ses heures de travail, au lieu de l'amener ici avec elle. Je suis sur que ce serait très profitable à la fillette !" ajoutai je d'un air gentiment narquois.

-" Je pourrais même lui apprendre la couture !" s'exclama t'elle toute heureuse." Si vous y arrivez, croyez bien que je ne serai pas une ingrate. N'oubliez pas Sylvia, demain à cinq heures. A bientôt." La porte refermée sur elle, un calme serein envahit la maison. J'en avais bien besoin pour faire un retour en arrière et le bilan de toutes ces journées durant lesquelles ma femme avait séjourné à la Maternité.

Véronique devait rentrer à la maison dans deux jours. Reprendrions nous nos folles équipées de grands bébés mouilles ? Sans doute, mais après une certaine période de réadaptation pour Véronique. Ne m'avait-elle pas dit qu'une fois rentrée, elle serait encore plus bébé que jamais et cela cette fois involontairement. Son incontinence totale n'était pas pour me déplaire. Mais ne m'en lasserais je pas assez vite?

Véronique l'avait-elle deviné ? N'était ce pas pour cela qu'elle avait demandé à Sylvia de s'occuper du bébé, quel bébé ? Si dans sa tête, j'étais ce bébé quelle devrait être ma conduite ?... Non ce n'était pas possible qu'elle vienne à la maison. J'aimais Véronique, alors que Sylvia n'était qu'un passe temps agréable, certes un très joli objet de plaisir mais rien d'autre.

Demain je lui expliquerais et j'espérais qu'elle comprendrait la situation. Son premier plaisir était avant tout d'être un bébé mouillé, le reste n'étant qu'accessoire. Par la suite un autre saurait me faire oublier. Il ne manquait certainement pas de garçons comme moi qui aimaient caresser le derrière caoutchouté d'une fillette et fouiller dans ses couches humides.

Après toutes les émotions et dépenses physiques de la journée, je sombrai, une fois couché, dans un profond sommeil.

Toutefois avant de me mettre au lit, j'avais enfilé une culotte en caoutchouc, plus par habitude que par nécessité, n'ayant pas le désir de me livrer cette nuit en solitaire à des plaisirs humides. Aussi est ce avec surprise que je me retrouvai au réveil, entièrement trempé.

Une certaine inquiétude s'empara de moi à l'idée que peu à peu mes mictions nocturnes devenaient involontaires et je décidai d'en parler à Véronique dès son retour.

Je fus tiré de mes réflexions par la femme de ménage qui venait terminer le nettoyage de l'appartement.

-" Votre amie qui m'a ramené ma fille hier soir, m'a proposé je la garder chez elle pendant mes heures de travail, à la sortie de l'école. J' ai accepté car elle me parait très gentille et semble fort aimer les enfants. Je n'ai pas eu à la mettre au courant de l'absence de propreté de ma fille puisque c'est elle qui lui a changé ses couches hier, ça n'a pas paru la gêner beaucoup. Tout serait donc pour le mieux, si elle n'avait pas été malade toute la nuit. C'est bien la première fois depuis des années qu'elle fait caca dans ses couches. J'espère que ce n' est qu'une indisposition passagère. Mais comme elle ne pouvait pas aller à l'école dans cet état, je l'ai conduite chez votre amie la couturière avant de venir ici, c'est pourquoi je suis légèrement en retard."

Je passai la matinée au magasin d'hygiène pour faire l'état des stocks avec la vendeuse. Il était urgent de recommander certaines tailles de culottes imperméables et je fus satisfait de voir que celles qui partaient le plus vite, correspondaient au 12 et 14 ans. Il est vrai que pour cet âge là, il n'existait pas de changes complets réservés aux bébés ou aux adultes et qu'il fallait avoir recours aux articles de protection infantile.

Au courrier, une lettre d'Hélène nous annonçait sa visite pour les jours prochains car elle avait hâte, disait-elle, d'embrasser sa filleule et de nous offrir de merveilleuses culottes en caoutchouc style rétro avec des volants et dentelles qu'elle avait dénichées dans une collection ancienne chez un de ses fournisseurs.

Enfin cinq heures arriva. Durant le trajet qui me séparait du domicile de la couturière, je ressassais dans ma tête les paroles d'adieu que je comptais tenir à Sylvia, en contradiction parfaite avec la culotte en latex garnie d'un préservatif que j'avais revêtue avant de partir dans l'intention évidente de m'en servir.

La porte d'entrée n'était pas fermée à clé. Sylvia était-elle déjà arrivée ? Je poussai la porte et pénétrai dans la première pièce où régnait un silence total. La porte donnant sur la deuxième pièce était ouverte. Mon coeur cognait dans ma poitrine comme chez un jeune collégien à son premier rendez-vous. J'avançai lentement, assez tenté de me sauver comme un voleur, mais une fois la marche franchie, le tableau qui s'offrait à mes yeux, me fit tout oublier.

Comme dans un rêve, Sylvia était allongée sur le divan et semblait dormir, un sourire enfantin illuminant son visage de madone.

Sans ce sourire angélique on aurait pu la croire morte, car elle était vêtue de son ciré noir parfaitement tiré sur les genoux et boutonné du bas jusqu'en haut. Que voulait dire cet accoutrement.

Je la regardai pensif, tiraillé d'un coté par l'idée de m'esquiver sans bruit et d'un autre coté par le désir fou de la prendre dans mes bras.

Je dus rester ainsi plusieurs minutes sans m'en rendre compte car une voix claire et gaie me sortit de mon apathie apparente :

-" Quelles sombres pensées vous torturent ? Je ne vous plais pas ainsi ?

Non ? Peut-être est ce mieux comme celai", et elle défit, les yeux brillant de plaisir, les trois boutons qui fermaient le bas de son ciré, laissant apparaître la peau satinée de ses cuisses.

-"Ce n'est pas encore suffisant, à ce que je vois !" reprit elle avec un rire cristallin.

-" Et comme ça ?" Elle avait écarté d'un geste brusque les deux pans du ciré, découvrant cette fois le trapèze rose que faisait entre ses cuisses la barboteuse en caoutchouc que je lui avais donnée la veille.

Un bourrelet énorme déformait son entrejambe et gonflait vers la taille le tissu en caoutchouc qui recouvrait son ventre.

Un nœud se forma dans ma gorge, et seul un son rauque en sortit pour tout commentaire alors qu'une douleur sourde déchirait mon bas ventre.

Je comprenais déjà en partie, l'utilité du ciré noir qui avait du cacher aux passants dans la rue, l'épais matelas de couches ballottant sur ses fesses au rythme de ses pas. Je m'approchai du divan et me penchai sur elle. L'odeur de son corps mêlée à celle de la sueur et à celle du caoutchouc chaud, me monta à la tête, faisant gonfler mon sexe emprisonné dans sa gaine en latex.

Ma main droite se glissa sous le ciré entre les deux boutons qui le fermaient sur la poitrine, alors que l'autre se portait vers son entrejambe savourant au passage le satiné incomparable de la peau à l'intérieur de ses cuisses.

Je palpai les couches qui la garnissaient à travers la barboteuse et la culotte en caoutchouc, et fus surpris de ne pas rencontrer la chaleur et la mélasse qui caractérisent des couches, pleines de pipi. Je dus me rendre à l'évidence, ses couches étaient pour une fois parfaitement sèches.

Sylvia devina ma frustration et d'une voix rendue chevrotante par le plaisir qui la gagnait murmura difficilement :

-".Pour toi, je me suis retenue de faire pipi depuis ce matin. Je voulais que nous vivions tonales deux l'instant merveilleux où nous serions l'un et l'autre éclaboussés sous la douche dorée. Malheureusement je ne peux plus attendre. Mon Dieu ! Cà y est..., ah... C’est parti !" Effectivement, ma main glissée sous la barboteuse et plaquée contre la culotte en caoutchouc sentit le choc du jet puissant qui jaillissait en sifflant d'entre les cuisses, traversait les couches et venait frapper le caoutchouc protecteur.

Un bouillonnement intense faisait vibrer la culotte, et devant le flot continu qui réchauffait la paume de ma main, je pensai tout de suite à l’insuffisance des couches et aux fuites inévitables qui allaient tacher le divan non protégé par une alèse.

Et voilà que le ciré noir allait une fois de plus rendre son office.

Je le remontai légèrement entre les jambes écartées pour former un barrage providentiel aux petits ruisseaux qui déjà scintillaient le long des cuisses de Sylvia.

Je déboutonnai ensuite entièrement le ciré noir, me régalant de la vue de ce corps de femme dans ses vêtements de bébé offert à mes caresses les plus intimes et d'où émanait un parfum enivrant dominé par l'odeur du pipi qui maculait l'intérieur de ses cuisses et l'envers du ciré.

Me penchant de nouveau sur elle, je me mis à lécher et à sucer les pointes durcies de ses seins échappés tous les deux de l'emprise caoutchoutée du plastron de la barboteuse.

Le corps arqué, parcouru de tressaillements, Sylvia qui poussait de petits cris plaintifs, chercha en se contorsionnant à repousser la barboteuse dont je venais de faire sauter le dernier bouton de l'entrejambe.

Ses mouvements désordonnés risquant de libérer les petites mares retenues dans les plis du ciré, je me relevai et l'aidai à se débarrasser du vêtement devenu encombrant. Puis j'allai chercher dans la salle de bain, une grande serviette pour éponger les fuites menaçantes.

Ce petit intermède me fit le plus grand bien en baissant ma « tension » jusqu'à remettre "le compteur à zéro", et par là, me permettre d'inonder avec un grognement de satisfaction, mes couches restées sèches jusqu' alors.

Sa solide culotte en tissu caoutchouté blanc fabrication maison, sur fond noir strié de jaune d'or, remit tout en questions et lorsque je me penchai de nouveau au dessus d'elle pour glisser la serviette sous ses fesses, je présentai à ses fines mains un objet rond et dur digne de la plus grande attention.

Cette attention, elle l'apporta aussitôt en s'attaquant d'abord à la ceinture de mon pantalon qui ne tarda pas à tomber à mes pieds.