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Vues: 731 Created: 2007.10.15 Mis à jour: 2007.10.15

Ma cousine Hélène

Chapitre 21

Bientôt nos mains respectives se glissaient dans la culotte en caoutchouc du voisin, cherchant à atteindre la source procurant l'humidité bienfaisante qui nous réchauffait le ventre et les fesses.

Dans un duo de râles et de gémissements étouffés, nos deux corps se trouvèrent vite soudés ensemble, la tête de l'un enfouie entre les cuisses ne fut alors qu'un mélange de bruits de succion, de lapement et de déglutition, asséchant peu à peu les couches ruisselantes.

Ce fut enfin le prélude à une danse effrénée dans une atmosphère de moiteur et d'âcreté au milieu d'un concert de plaintes mêlées au chuintement du caoutchouc froissé et malmené, pour trouver son paroxysme et aussi son déclin, lorsque j'explosai en elle, ses cuisses relevées et nouées autour de mon cou.

Au cours des minutes qui suivirent, réservées aux confidences et aux caresses, j'arrivai sans trop de difficulté à faire comprendre à Sylvia les ennuis qu'engendreraient de nouvelles rencontres après le retour de ma femme, bien qu'elle en fut l'organisatrice. Je lui parlai longuement et en détails de ma cousine Hélène, du foyer pour jeunes filles bébés qui allait s'ouvrir très bientôt, où elle pourrait trouver sa place en s'occupant de l'emmaillotement des pensionnaires et où elle pourrait continuer à se livrer à ses plaisirs humides en compagnie de fillettes de son âge sous l'œil bienveillant et même encourageant de ma cousine aidée de sa propre cousine Agnès comme infirmière et sans doute de son amie la couturière, chargée de l'intendance et de l'approvisionnement des couches et des culottes en caoutchouc nécessaires à tout ce monde, petits et grands.

je vis alors une lueur d'intérêt briller dans ses yeux.

-" C'est vrai tout cela ? Ma cousine Agnès.., la couturière et des filles mon âge encore bébés comme moi ?"

-" Oui, et comme tu plairas certainement à ma cousine Hélène, tu verras, tu n'auras pas à le regretter."

-" C'est dommage, quand même. Je me trouvais bien ici." Et ce disant, elle se lova contre moi engageant une jambe entre les miennes, tout en cherchant à frotter son pubis contre le mien dans la mesure où nos couches que nous avions gardées, le permettaient.

C'est alors que je sentis de. nouveau un chaud liquide courir sur mon ventre et s'infiltrer entre mes cuisses. Sylvia avec des petits gloussements heureux vidait joyeusement sa vessie tout en se pressant au maximum contre moi pour me faire bénéficier de cette douche dorée, oh combien stimulante, car Sylvia, sentant quelque chose se redresser et se presser entre ses cuisses, se remit sur le dos et dit d'une voix feutrée, légèrement tremblotante :

-" Viens ! Pour la dernière fois !" Comme j'allais basculer sur elle, brusquement elle se souleva :

-" 0h.., oh, non... Pas ça ! Pas maintenant ! Gémit-elle. En même temps j'entendis un gargouillement significatif suivi d'un "plouf, plouf" assourdi venant de dessous elle.

Son visage empourpré révéla le genre d'accident qui survenait bien malencontreusement et en geignant, elle se laissa retomber lourdement sur le divan, déclenchant une série de bruits ressemblant à ceux produits par des fruits trop mûrs que l'on écrase.

Cherchant la confirmation de ce que je croyais être, je glissai ma main entre ses cuisses écartées, entre ses couches ruisselantes et son ciré noir.

Bientôt le tissu éponge que je palpais entre mes doigts se gonfla sous la poussée d'une coulée pâteuse qui se délayait au fur et à mesure qu'elle s'étalait sur le tissu trempé.

La catastrophe n'allait pas tarder à se produire si je continuais à contempler la montée de la mélasse brunâtre sans rien tenter.

Je me levai pour aller ramasser sa culotte en caoutchouc et la lui passai rapidement par dessus ses couches.

Je sus que tout était fini lorsque je vis ses traits se reposer et le sang abandonner ses joues.

Hypocritement je la regardais d'un air navré, alors qu'intérieurement je jouissais à la vue de sa culotte gonflée de toutes parts comme un ballon en baudruche. J'allai même jusqu'à promener un doigt sur sa culotte pour juger de la mollesse et de l'épaisseur de l'emplâtre qui l'enveloppait.

J'avais déjà pénétré son sexe gorgé de pipi, une furieuse envie me prit de m'enfoncer dans son fourreau mélassé.

Toutefois je me contentai de malaxer en tous sens l'entrejambe de sa culotte en caoutchouc, m'appliquant à tartiner son ventre tout en veillant à ne pas provoquer des débordements fâcheux de la culotte imperméable.

Ce massage spécial devait plaire à Sylvia car elle poussait de petits cris de joie, remuant son bassin lorsque ma main restait immobile, et pour me remercier, elle chercha à glisser une main sous ma couche toute humide de son pipi récent.

Pour lui faciliter les choses, tout en l'obligeant à certaines caresses, je l'enjambai en me retournant de telle sorte que ma couche pendait au dessus de sa figure.

Ouvrant la bouche elle cueillit les gouttes d'or qui tombaient du tissu et les avala avec un raclement de palais satisfait.

Insidieusement, je me laissai descendre jusqu'à ce que la couche toute jaunie et bariolée de traces blanchâtres, se pose sur sa figure, lui couvrant le nez et les yeux, la forçant à respirer la bouche ouverte.

Seule l'odeur qui commençait à se dégager, me retenait de fourrer ma tête entre ses cuisses et de lécher la rosée qui en recouvrait la face interne, mais ce que je ne pouvais faire, Sylvia, elle, le pouvait, et sortant ma verge de dessous la couche qui baillait largement à l'entrejambe, je la présentai aux lèvres gourmandes de Sylvia qui s'ouvrirent au contact de la chair chaude encore gluante de sa propre mouille.

Relevant alors la tête, elle se mit à lécher et à sucer le cylindre turgescent dont le volume amplifia jusqu'à obturer entièrement sa bouche d'où sortaient des sons inarticulés.

Elle respira cette fois difficilement par le nez, sa gorge secouée de petits hoquets lorsque mon membre venait buter contre le fond de son palais.

Son supplice ne devait pas durer trop longtemps, mais atteignit son paroxysme lorsque ma semence envahit sa bouche. Les yeux larmoyants, toussotant et crachotant, elle reprit peu à peu ses esprits et retrouva son calme en avalant par gorgée, la chaude et odorante liqueur qui lui coulait aux coins des lèvres. Epuisée, elle se laissa retomber sur le divan, toujours à la recherche d'une respiration normale.

Avec ma couche humide qui lui pendait toujours sur le visage, elle essuya les larmes épaisses qui maculaient ses joues et son cou et put enfin se laisser à gémir sous les caresses de mes mains glissant sur son ventre dénudé pour venir empaumer les deux globes durcis aux pointes érigées. Ma langue prit la relève un court instant pendant que par une gymnastique savante, je parvenais à quitter le divan sans la bousculer.

Après avoir remis mes vêtements, mon premier travail fut de vérifier l'état du ciré noir sous elle. Je passai précautionneusement une main sous ses fesses ne rencontrant heureusement que l'humidité normale due à nos jeux "aquatiques" et sans plus.

Comme je lui faisais part de mon intention de la changer avant de la ramener chez elle, elle refusa tout net :

-" Ce n'est pas possible." répliqua t'elle avec assurance, " c'est ma tante qui me change une fois rentrée à la maison. Elle ne comprendrait pas que je revienne avec des couches propres. Au contraire, elle s'attend à rencontrer un "accident" comme celui qui vient de m'arriver. Il ne faut pas la décevoir et je tiens à rester pour elle, un bébé ayant besoin de tendresse et de beaucoup de prévenance. Quant au retour, Agnès m'a demandé de l'attendre ici." 0uf ! Une corvée en moins, car je ne voyais pas comment j'aurais pu la ramener chez elle sans attirer l'attention réprobatrice des passants et sans être moi-même incommodé par l'odeur.

La séparation fut moins pénible que je ne le craignais. C'est même avec un petit sourire malicieux qu'elle me lança :

-" Surtout n'oublies pas de parler de moi à ta cousine !" Je rentrai chez moi à pied, prolongeant même la promenade pour remettre de l'ordre dans mes idées. Je passai en revue tous les évènements de ces jours derniers et malgré ma satisfaction de reprendre le cours normal des choses, j'eus un petit pincement au cœur en pensant aux merveilleux moments de plaisir que m'avait donné Sylvia. Toutefois j'avais la conviction que de son coté, cette expérience avait été très enrichissante et que j'avais été involontairement le point de départ d'une source intarissable de plaisirs nouveaux dans lesquels elle n'allait pas tarder, en compagnie d'Hélène, à trouver un épanouissement total.

Cependant, intérieurement, je me faisais une joie de pouvoir la suivre et au besoin la revoir lorsqu'elle serait chez ma cousine Hélène.

Le lendemain fut un jour de liesse et toute la famille fêta joyeusement et dignement le retour de Véronique et l'arrivée de notre petite fille sous le toit familial.

Je n'avais pas eu l'occasion de me trouver seul avec ma femme de tout l'après-midi et j'appréhendais un peu le moment où nous nous retrouverions en têt à tête. Aussi, une fois le dernier invité parti et le bébé toiletté et couché, je tardai à rejoindre Véronique dans notre chambre.

La maternité l'avait rendue encore plus jolie et plus désirable qu'avant et je nie demandais comment allait se passer cette première nuit.

La réponse à cette question me fut fournie par Véronique elle-même.

Elle n'était pas dans la première chambre aux meubles standard comme celle de Madame et Monsieur tout le monde, mais je l'entendais chantonner dans notre chambre aménagée en nursery pour bébés adultes.

Je poussai la porte et restai sans voix, la gorge serrée, un afflux de sang embrasant mon cerveau et mes reins.

Véronique, vêtue de la chemisette de son baby-doll en caoutchouc transparent s'activait auprès de la table à langer.

Le léger voile de caoutchouc s'arrêtant sous la taille, collait à ses petits seins pointus brillant de sueur et mettait en relief la culotte en caoutchouc rose largement matelassée entre ses cuisses et sur ses fesses.

Je m'approchai d'elle par derrière et, me plaquant contre elle pour lui faire sentir mon "émotion", tout en suçant et mordillant le lobe de l'oreille, une de mes mains se glissa sous la chemisette et remonta vers sa poitrine alors que l'autre cherchait à s'infiltrer sous l'élastique serré de sa culotte en caoutchouc.

Je sentis les tressaillements qui parcouraient son corps cambré, offert à mes caresses. Un moment elle sembla succomber à mon désir grandissant et son corps se fit plus pressant contre le mien.

Toutefois ses cuisses serrées empêchaient me main d'aller plus avant et stupéfait je l'entendis dire assez sèchement :

-" Pas touches !", puis écartant les jambes pour repousser ma main, elle se retourna vers moi et comme pour s'excuser de sa brutalité, elle me murmura doucement, sa langue humide jouant dans le creux de mon oreille

-" Pardonnes moi. Ce n'est pas parce que je n'en n'ai pas envie, mais je n'ai pas encore fait ma toilette et je ne voudrais pas montrer dans l'état où je suis actuellement. Tu me comprends, dis ?"

-"Bien sur et c'est moi qui te demande pardon." Comme je la pressais contre moi, par dessus son épaule j'aperçus sur le matelas à langer les affaires qu'elle avait préparées. Il y avait là pour elle, deux grandes serviettes éponge plus une des couches triangulaires que j'avais ramenées de chez la couturière, et une large culotte à pressions en plastique blanc très serrée aux cuisses, qu'elle ne mettait qu'en de rares occasions, pour s'assurer d 'une parfaite étanchéité.

Se détachant de mes bras, elle rafla les affaires de rechange et se dirigea vers la salle de bain, la culotte et son contenu aplati et collé sur son derrière presque jusque la taille ce qui me faisait penser qu'elle avait fait dans ses couches étant assise. Je comprenais son humiliation passagère et je la laissai s'enfermer dans la salle de bain.

Quant à moi, j'avais abandonné pour cette journée passée au milieu de nos invités mes garnitures habituelles, trop épaisses pour être dissimulées sous un pantalon, mais comme je n'étais pas sur non plus de rester debout très longtemps sans me mouiller, même involontairement, j'avais revêtu une simple culotte en caoutchouc très ajustée par dessus un slip en éponge. Par précaution supplémentaire j'avais évité de boire et malgré cela j'étais quand même trempé sans pouvoir me rappeler où, quand et comment.

Cette journée avait été particulièrement éreintante et je me décidai d'aller me coucher pour une fois sans faire de toilette en passant seulement pour la nuit, une couche-culotte en plastique jaune de marque "Septa" par dessus une couche en éponge. Ma surpris fut grande lorsque, après avoir découvert le lit à barreaux, j'aperçus sur le drap du dessous en caoutchouc rouge des bouillottes bien chaudes posées à l'endroit des fesses et du dos.

J'étais très reconnaissante à Véronique d'une si louable intention et je goûtais la chaleur et l'odeur du drap, étendu sur le ventre, le nez dans le caoutchouc lorsque la porte de la salle de bain s'ouvrit.

-" Pas de ça ce soir, mon gros bébé ! " dit une voix douce alors que je recevais une tape sur les fesses rebondies.

-" Pas de couche pour cette nuit sous la culotte en caoutchouc." Etonné, je relevai la tête et je vis devant moi Véronique toute souriante, toujours vêtue de la veste de son baby-doll en caoutchouc transparent, mais qui avait cette fois passée la culotte bouffante de l'ensemble, sous laquelle jouait une deuxième culotte également en caoutchouc transparent. La superposition des deux caoutchoucs rendait les détails de sa peau assez flous, mais ne laissait aucun doute sur l'absence totale de toute garniture absorbante, éponge ou autre.

-" J'ai vu les photos que tu a prises de Sylvia. Tu sembles donc particulièrement apprécié le moment où elle remplissait inconsciemment sa culotte.

Les photos ne disent pas tout mais je sais pertinemment que tu as joui du spectacle. C'est d'ailleurs bien là, le seul avantage du caoutchouc transparent.

Aussi ce soir je vais te faire le même plaisir visuel et tactile." et tout en déboutonnant ma couche-culotte et en défaisant les épingles de sûreté qui attachaient ma couche, elle continue :

- "Mais j'ai aussi pensé à mon plaisir. Tu ne peux pas savoir comme j'ai été privée à la Maternité du plaisir de me sentir mouillée. 0n me changeait mes couches dès qu'elles paraissaient un tant soit peu humides et en plus c'étaient des couches en cellulose. Quelle hérésie ! Aussi ce soir je vais me rattraper. Voilà pour l'absence de couche.

Maintenant il y a encore une chose. Demain matin notre petite Hélène aura le derrière bien mélassé, moi également si je tiens compte des conseils de l'infirmière. Il ne manque donc que toi pour être tous sur un pied

d'égalité si nous voulons rester tous les trois des vrais bébés.

Je t'ai préparé sur la tablette du lavabo deux suppositoires qui devraient faire très vite effet aussi n'oublie pas de pulvériser dans ta culotte le spray anti-odeurs incontinence que j'ai ramené de la clinique.

Il est assez efficace et il faudra penser à en commander pour la pharmacie.

Allongé sur le coté contre ma femme qui semblait assoupie, le dos tournée, les fesses lovées contre mon ventre, j'essayais sans trop bouger de reboutonner ma couche-culotte en plastique jaune pour le moment remplie uniquement de ma semence qui depuis une heure avait jailli à plusieurs reprises soit à la suite de traitement manuel soit résultant d'une savante alternance de pompage buccal et de caresses linguales, ensemble de manipulations auxquelles je n'avais pu à chaque fois résister très longtemps. Satisfaite du bon fonctionnement de la "machine" et de sa production "laitière", Véronique s'était aussitôt retournée sur le coté sans plus s'occuper de moi.

Après m'être assuré que ma culotte imperméable était bien en place à l'entrejambe et aux fesses, prête à recevoir, mais à quel moment, la coulée pâteuse provoquée par les suppositoires, et comme je me penchait au dessus de Véronique pour atteindre la poire et éteindre la lumière, je m'aperçus qu'en fait elle avait les yeux grands ouverts, semblant attendre quelque chose.

Je sus que cette chose arrivait, lorsque je la vis fermer les yeux, son visage se crisper et son buste se redresser dans le lit.

Un large sourire aux lèvres, les yeux fixés entre ses cuisses, elle regardait le flot doré jaillir avec force dont le niveau ne tarda pas à monter dans la culotte le long de ses fesses.

Avec précaution elle se rallongea sur le drap en caoutchouc, poussant un petit cri lorsque le chaud liquide atteignit ses reins. Comme des fuites se formaient sous son dos à la hauteur de la ceinture et se répandaient dans le bermuda en caoutchouc du baby-doll, elle se retourna vivement sur l'autre face afin de faire bénéficier son ventre du bain bienfaisant.

Heureuse, elle remuait dans tous les sens comme une petite folle, agitant la mare qui stagnait dans le fond de sa culotte imperméable pour venir lécher, telle la marée montante et descendante, son sexe imberbe.

Une fois la lumière éteinte, elle devait reprendre sa position initiale, pressée contre moi et c'est alors moi qui, le bras passé au dessus de ses cuisses, jouant au ballon avec le fond de la culotte gonflé de pipi, repris les jeux d'eau, prolongeant ses gémissements de plaisir jusqu'à ce qu'elle s'endorme.

Ne trouvant pas le sommeil, je revécus les heures extraordinaires de ces derniers jours de célibataire, regrettant d'avoir donné "congé" à Sylvia, restant toutefois presque assuré que Véronique ferait encore appel à elle pour la remplacer auprès de moi et me langer les jours du mois où elle ne pourrait pas le faire.

Envisageant également la venue prochaine de ma cousine Hélène comme un divertissement supplémentaire, je trouvai après tout que la vie de bébé qui s'ouvrait à notre petite famille valait vraiment la peine d'être savourée par tous les bouts.

Toute histoire a une fin et je crois qu'il est temps pour le lecteur qui aura pris du plaisir à la lire, de fermer la page, et de se soulager dans sa culotte en caoutchouc, s'il ne l'a déjà fait à plusieurs reprises au cours de la lecture de ce long récit issu d'une imagination fantasmatique.