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Vues: 780 Created: 2016.05.31 Mis à jour: 2016.05.31

Suppo vomitif

Suppo vomitif

Nouvelle histoire sortie de mes brouillons, sur un médicament imaginaire

J'avais quatorze ans. J'étais assis sur un lit à l'hôpital, dans une chambre individuelle. Je me rappelle qu'une infirmière était venu plus tôt dans l'après-midi me donner un médicament en comprimé à avaler. Depuis, j'avais eu de plus en plus mal au ventre. J'avais fini par utiliser la sonnette située au-dessus de mon lit.

Une autre infirmière était d'abord arrivée, à qui j'avais fait part de mes douleurs au ventre. Elle avait vérifié ce qu'on m'avait donné comme traitement, puis avait appelé un médecin.

Une doctoresse arriva peu après dans la chambre, c'était une grande femme de type asiatique, les cheveux en queue de cheval. Elle discuta avec l'infirmière, et même si je ne saisissais pas tout, je compris que c'était grave. Un moment, j'entendis la doctoresse dire à l'infirmière qu'il allait falloir me faire vomir.

Cette dernière s'absenta quelques secondes, puis revint avec une bassine qu'elle plaça devant moi, ainsi qu'un verre d'eau salée.

-Tiens, bois ça, fit-elle. Ce n'est pas très bon, mais il faut que tu vomisses, c'est pour ton bien.

Je ne pris pas le verre tout de suite. Même en ayant mal au ventre, je n'avais aucune envie de vomir.

-Allez, prend-le et bois, m'encouragea-t-elle.

Je pris le verre, bu doucement une gorgée, et recracha immédiatement en toussant, tellement le liquide salée avait mauvais goût.

-Ce n'est pas grave, fit l'infirmière. Réessaye, prend une grande gorgée.

J'essayai à nouveau, mais j'avais à peine repris une gorgée, que j'éloignai aussitôt le verre de ma bouche.

-Je n'y arrive pas, fis-je.

J'entendis la doctoresse parler dans mon dos. Elle s'adressait à l'infirmière.

-Il ne va pas y arriver. On va s'y prendre autrement, vas me chercher un suppositoire vomitif, je vais lui en donner un.

-Oui, j'y vais, fit-elle.

Elle s'est alors absentée de la chambre. Pendant ce temps, la doctoresse m'a "préparé" en me changeant de position : elle me plaça couché sur le côté, la tête au bord du lit. Elle disposa la bassine dessous. Puis je la sentis replier mes genous vers ma poitrine. Là, elle baissa mon pantalon de pyjama que je portais, et me déculotta.

-N'aie pas peur, m'apaisa-t-elle en me voyant m'affoler de son geste. Je vais te donner autre chose pour vomir. Tu n'auras pas besoin d'avaler.

Elle avait posé sa main sur ma taille, et se pencha un peu derrière mes fesses pour regarder. Sa main me les écarta légèrement.

-Je n'ai pas envie de vomir, me plaignis-je.

-Désolée, fit-elle. Ce n'est pas très agréable, mais il va bien falloir. Garde bien la tête au-dessus de la bassine, ça va aller vite.

J'attendis une trentaine de secondes qui me parurent durer une éternité. L'infirmière revint enfin avec le médicament, qu'elle confia à la doctoresse. Je voulus me retourner pour voir, mais elle me stoppa.

-Ne regarde pas par ici, fit-elle. Garde la tête au-dessus de la bassine.

Un nouveau temps interminable passa. Soudain, je sentis le doigt froid de la doctoresse me toucher le trou du cul. Je relevai aussitôt la tête, et compris qu'elle était juste entrain de m'étaler une crème sur l'anus.

La doctoresse s'adressa alors à sa collègue.

-Il est prêt, je vais lui mettre. Tiens-lui bien la tête au-dessus de la bassine, pour qu'il ne bouge pas.

Vu la façon dont elle en parlait, je devinai que l'effet du suppo allait être violent et immédiat.

L'infirmière me pencha la tête en avant vers la bassine, et me maintint en position. C'était très désagréable, mais je n'avais pas vraiment la force de lutter. Tout ce que je fis fut de serrer mes fesses en sentant le suppositoire arriver. Ce n'était pas le fait de recevoir le suppo qui me faisait peur, mais plutôt de son effet, de devoir vomir ensuite.

La doctoresse posa la pointe sur mon anus. Je me crispai, inutilement car elle venait de me mettre une petite couche de lubrifiant.

-Allez, c'est parti, fit-elle simplement.

Et son doigt s'enfonça dans mon intestin, accompagnant le suppositoire dedans, sans que je ne puisse rien faire.

Bizarrement, elle ne retira pas son doigt. Probablement pour ne pas que j'expulse le médicament.

L'infirmière me tenais toujours la tête penchée au-dessus de la bassine.

J'attendis. D'abord, il ne se passa rien. Puis progressivement, secondes à secondes, j'eus de plus en plus la naussée. Je luttai un moment pour ne pas vomir, me concentrant le plus possible, mais cela ne dura qu'un temps. A la fin, j'ouvris la bouche, et laissai le médicament agir.

Je sentis alors enfin la doctoresse retirer son doigt de mon cul, et le suppositoire fut expulsé presque automatiquement.

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clyso Il ya 8 ans