Vues: 779 Created: 2016.05.27 Mis à jour: 2016.05.27

Témoin d'une surveillance médicale

Témoin d'une surveillance médicale

Bonjour, voici une nouvelle petite fiction qui se déroule dans un hôpital

J'étais allongé dans mon lit lorsque l'infirmier est rentré pour venir vérifier les constantes vitales de Magalie, ma voisine de chambre.

-Je viens faire un point de surveillance, lui a-t-il annoncé.

Les premiers gestes ont été tout à fait habituels. Il lui a posé quelques questions pour savoir si elle se sentait bien, lui a pris son pouls, et sa tension. Puis il lui a demandé de se tourner de l'autre côté (vers moi) pour voir son dos, tout en installant un stéthoscope à ses oreilles.

Magalie s'est tournée vers moi, et l'infirmier a relevé sa couverture, puis détaché sa chemise de chambre (une sorte de longue blouse qui s'attache à l'arrière, et qui laisse le dos et les fesses visibles).

Intérieurement, je me suis dit qu'il avait plutôt de la chance de la voir de ce point de vue. Il devait sûrement se rincer l’œil sur quelques unes de ses patientes, de cette façon !

L'infirmier est resté professionnel. Il a prit la sonde du stéthoscope, et l'a placée dans son dos en lui demandant de respirer profondément pour écouter ses poumons.

Puis est venu le moment de vérifier sa température.

A ce moment, je ne m'attendais absolument pas à ce qui allait se passer.

L'infirmier a retiré le stéthoscope de ses oreilles, puis a attrapé sur une table un thermomètre en verre.

-Restes dans cette position, a-t-il demandé à Magalie, je vais prendre ta température.

J'ai mis quelques secondes à comprendre. L'infirmier a porté son regard au niveau de ses fesses, puis ses mains au même endroit. En voyant l'expression un peu gênée de Magalie en face de moi, j'ai compris qu'il était en train de lui écarter les fesses, et de lui planter le thermomètre dans le cul.

Intérieurement, cela m'a terriblement excité ! Il n'y avait aucun doute possible : il était bel et bien en train de lui prendre sa température rectale ! J'ai très vite eu une érection qui heureusement a été cachée par ma couverture. De là où je me trouvais, je ne pouvais rien voir des détails, bien sûr, mais rien que le fait d'assister en vrai à une telle scène m'excitait.

Je me suis dit que l'infirmier avait probablement l'habitude de faire ça, mais qu'il était tout de même chanceux d'avoir un travail permettant d'effectuer ce genre de gestes !

Il est resté là (probablement à maintenir le thermomètre enfoncé) pendant une petite minute, puis il a retiré la tige de verre du derrière de Magalie, et a lu sa température.

-37.9°C, lui a-t-il annoncé. Ta température continue de monter. Je vais devoir te donner quelque chose pour la faire redescendre un peu.

Je croyais que la séance était sur le point de finir, qu'il allait simplement lui donner un comprimé à avaler puis quitter la chambre, mais quelle ne fut pas ma surprise en le voyant sortir le médicament en question, à la forme bien particulière : je reconnus immédiatement à la forme de l'emballage qu'il tenait entre ses doigts un suppositoire !

Il enfila d'ailleurs un gant médical en vue de l'opération. Il ouvrit ensuite délicatement l'emballage, et je le vis en effet sortir une petite ogive blanche de deux ou trois centimètres de long, qu'il dirigea vers les fesses de Magalie.

Celle-ci afficha aussitôt sur son visage un air surpris, probablement en sentant l'infirmier lui écarter les fesses. Ce dernier lui dit, calmement :

-Ne t'inquiètes pas, je vais juste te mettre un petit suppositoire.

Magalie parut tout de même inquiète, mais savait qu'elle ne pouvait rien faire, maintenant que le médicament était probablement en position pour l'introduction.

-Allez, on pousse un p'tit peu maintenant, fit l'infirmier.

Il s'écoula quelques secondes, puis je le devinai faire un petit mouvement du poignet. En suivant l'expression crispée du visage de Magalie, je compris qu'il venait de lui enfoncer le suppositoire.

-Et voilà, c'est fini, fit-il.

Il retira son gant, et remit la couverture sur Magalie en lui indiquant qu'elle pouvait se remettre sur le dos. Je me tournai pour ma part de l'autre côté, pour éviter d'avoir à croiser tout de suite le regard de Magalie. Au niveau de mon entrejambes, mon sexe était à présent tout durci. J'osai à peine penser à ce qui venait de se passer, à l'infirmier qui venait de lui écarter les fesses, viser son petit trou, et y pousser le suppo !

Il fallut une bonne vingtaine de minutes pour que je me calme, et que je commence à penser à autre chose. Magalie de son côté n'avait rien dit non plus, et la chambre était restée silencieuse.

Comments

clyso Il ya 8 ans  
thermophil Il ya 8 ans  
Maec Il ya 8 ans