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Vues: 2509 Created: 2015.12.28 Mis à jour: 2015.12.28

Un petit récit de visite médicale

Un petit récit de visite médicale

À 17 ans, ma mère nous emmena avec ma sœur de 15 ans chez le docteur pour un certificat médical. Nous entrons tous les trois dans le cabinet qui est minuscule avec au centre une table d’auscultation et un bureau juste à côté. Ma mère lui expliqua pourquoi nous étions là et le médecin me proposa de commencer en me demandant de me mettre en slip. Je le fis sans problème ma sœur me voyant tous les étés en maillot de bain comme ma mère cela ne me posait aucun problème.

Il fis les examens d’usage puis me demanda de retirer mon slip, ce qu’il n’avait jamais fait. Je ne bougeais pas attendant que ma mère et ma sœur sortent mais ne bougèrent pas sauf ma sœur qui esquissa un sourire.

-Allez dépêches toi, on va pas rester ici la nuit, commença à s’énerver ma mère.

-Bah, vous pourriez sortir s’il vous plaît, tentais-je timidement.

-Non, non, allez vite, de toutes manières on t’a déjà vu tout nu, répliqua ma mère sur un ton qui n’appelait pas de réponse, et je vis que ce ton avait impressionné ma sœur.

Je me tournais donc et retirais mon slip leur dévoilant mon derrière. Je me rendis compte alors que mon pénis était tout petit, ce qui est toujours le cas au repos mais ici la température très basse de la pièce, ma mère avait même gardé son manteau) l’avait encore rapetissé et il ne dépassait pas les 4 cm.

Le médecin me fis me coucher sur la table d’auscultation et je dus ôter mes mains de devant mon intimité.

-C’est tout, éclata ma mère de rire, c’est pour ce petit machin que tu voulais que l’on sorte.

-Une seule main aurait suffit si tu voulais la cacher, renchérit ma sœur.

-Quand je disais qu’on avait déjà vu petit, je pensais que ça avait évolué depuis, continua ma mère.

J’étais au bord des larmes, mais je me retenais pour en plus ne pas pleurer devant ma petite sœur.

Le médecin se retenait pour ne pas rire de toutes ces remarques et il tenta de prendre ma défense en affirmant que la taille au repos ne voulait rien dire même s’il vrai qu’en l’occurrence ma verge est assez petite.

-Ce qui me surprend plus c’est la taille de ses testicules qui sont petites pour son âge, enfin il en a bien deux apparemment… mais regardez, on dirait qu’il a un problème de peau sur le prépuce essentiellement mais sur l’ensemble du sexe.

Ma mère s’approcha comme l’y invita le docteur et ma sœur la suivit, les deux purent alors regarder de prés mon sexe qui n’avait pas grossit au contraire.

-Il a eu ça comment?, interrogea ma sœur qui continuait à regarder mon sexe avec un léger sourire.

-Surement à la piscine, répondit le docteur, ce n’est pas le premier que je vois mais à cet endroit c’est rare. Je vais vous faire un courrier pour que vous alliez voir un dermatologue et pour ses bourses, vous repasserez après son traitement. C’est bon tu peux te rhabiller, me dit-il. À toi maintenant en sous vêtements s’il te plait.

Ma sœur perdit son sourire aussitôt et commença à retirer sa robe. Elle était donc en collant et t-shirt. Le docteur lui dit qu’elle pouvait rester ainsi pour le moment et elle parut rassurer. Elle eut les mêmes examens que moi et dut retirer son t-shirt pour l’examen de la colonne vertébrale.

-Normalement, je ne fais pas déshabiller totalement les filles mais là si ta mère n’y voit pas d’inconvénient j’aimerai vérifier que tu n’as pas la même chose que ton frère.

-Pas de problème, assura ma mère, j’aime mieux ça, allez retire tout.

J’étais assez excité de voir ma sœur se déshabiller et je commençais à sentir une légère érection, que je regrettais de ne pas avoir eu avant ce qui m‘aurait éviter quelques moqueries. Ma sœur retira donc ses collants, son soutien gorge et enfin sa culotte mais comme moi elle s’était mise de dos et nous ne pûmes voir que ses fesses. Mais une fois qur la table d’auscultation, elle retira ses mains et je découvris qu’elle s’épilait partiellement, ce que ma mère ignorait également, à en voir par son étonnement, mais elle ne dit rien. Le médecin, qui semblait aussi gêné que sa patiente, examina rapidement le corps dénudé de ma sœur, mais s’arrêta sur sa poitrine et y trouva sur le sein gauche, la même chose que moi. Elle avait l’air encore plus honteuse que moi d’être nue devant sa mère mais en plus devant son frère et surtout un inconnu.

Le médecin la fit se rhabiller puis proposa à ma mère de vérifier qu’elle n’avait rien mais elle refusa au prétexte qu’elle n’allait pas à la piscine.

-Très bien, répondit le docteur, de toutes manières ce n’est pas contagieux.

Ma sœur s’étant rhabillée, nous repartîmes.

La semaine suivante, ma mère nous prévint qu’elle avait pris rendez-vous chez le dermatologue pour le lendemain. Je demandais le nom du dermato et elle me donna le nom, que ma sœur et moi redoutions car il avait deux filles qui étaient chacune dans une de nos classes. Ma sœur osa le dit à notre mère, qui nous répliqua que c’était le meilleur dermato de la ville et qu’il était soumis au secret médical, donc on ne risquait rien. Comme toujours son ton ne permettait aucune réponse, et nous n’avons rien ajouté.

En arrivant au cabinet médical, ce fut la femme du dermato qui nous accueillis sans que nous eûmes à dire pourquoi nous ne venions. Nous étions seuls dans la salle d’attente et au bout de cinq minutes arriva le dermato, qui nous reconnu aussitôt. Il nous conduisit dans son cabinet et en entrant je vis sa fille ainée, qui est en classe avec moi en train de changer la housse sur la table d’auscultation:

-Salut Pierre, comment vas-tu?, me demanda-t-elle.

Je balbutiai quelque chose, et le docteur, qui ne savait pas pourquoi nous venions nous demanda si cela nous gênait qu’elle reste pour l’examen, elle faisait son stage avec lui et il était bien qu’elle voit le maximum de choses. Ma mère sans nous laisser le temps de réagir, lui dit que cela ne nous dérangeait pas, tout en lui tendant la lettre du médecin. Le dermato la lit, puis me demanda de me déshabiller.

-Ils a des plaques de (un nom médical) sur le sexe, on va voir de quoi il s’agit, et comment l’enlever.

En entendant cela, sa fille (Agnès) piqua un fard, mais aussitôt ma mère la rassura en rigolant:

-Oh ne t’inquiètes pas, son sexe n’est pas très gros, il doit d’ailleurs retourner voir le médecin une fois ces plaques parties pour cette raison. C’est un peu comme si tu t’occupais d’un enfant.

En entendant, cela je ne savais pas quoi dire. J’étais alors en slip et t-shirt, et je croisai le regard d’Agnès qui me sourit, ce qui me rassura mais j’étais quand même super inquiet que la semaine suivant, après la fin des stages, elle ne raconte cela à tout le lycée. Au moment d’enlever mon slip, je me mis de dos, puis mes mains devant mon sexe, qui cette fois mesurait environ 5cm, je me retournais, et montais sur la table. Le dermato et sa fille se mirent de l’autre côté et je dus leur dévoiler mon intimité, ainsi qu’à ma mère et ma sœur qui s’étaient également rapprochées. Agnès sourit en voyant mon sexe.

-Tu vois, il n’est pas très grand, triompha ma mère.

-Non mais il a quand même pas mal de poil, et en cours on a vu qu’un micro pénis c’était à partir de 3 cm en érection, on en est loin.

Je la remerciai du regard et son père commença à lui expliquer, ce que j’avais.

-Il faut savoir également s’il n’en a pas sur le gland, ce qui pourrait être grave, donc tu vas devoir le décalotter.

Agnès, une fois de plus devint toute rouge et quant à moi je devint immobile, elle prit mon sexe dans sa main droite et de la gauche commença à me décalotter. Le simple contact de sa main et ce mouvement sur ma verge provoqua une érection quasi immédiate et quand je fus décalotté je bandais entièrement et mon sexe mesurait alors 15 cm.

-Je suis désolée, balbutia Agnès qui continuait à garder mon sexe entre ses mains.

-C’est vrai qu’il n’a pas un micro pénis, confirma ma sœur, qui s’était rapprochée et n’arrivait pas à détacher ses yeux de mon sexe.

Quant à ma mère, elle souriait et semblait contente du spectacle. Moi je ne savais pas quoi faire mais je sentis le regard noir que me lança le père d’Agnès. Cette dernière vérifia que je n’avais rien sur le gland, puis me recalotta et je pus me rhabiller.

Ce fut ensuite au tour de ma sœur qui dut se mettre seins-nus mais pas entièrement, ce qui me déçut un peu car j‘avais apprécié de la voir nue chez le médecin mais rien que voir ses seins était déjà un très beau spectacle.

Au final toute cette histoire a eu du bon, car je suis sorti avec Agnès et nous nous sommes mutuellement dépucelés, mais ça n’a duré que six mois.

Comments

Charly75 Il ya 7 mois  
jeancla Il ya 8 ans  
clyso Il ya 8 ans  
dudu Il ya 8 ans