Il n’a pas fallu longtemps après ma seconde visite chez Madame Ahsley, la Maîtresse-Infirmière, pour que je réalise ce qui allait m’arriver durant mon prochain, et troisième rendez-vous avec elle.

Durant le temps qui précéda mon rendez-vous, 90 jours plus tard, j’ai ordonné mes pensées en moi, je les ai couchées sur le papier, et les lui ai envoyées.

Pour la visite suivante je voulais qu’elle me reçoive à la porte, habillé en infirmière, et notre « session » commencerait immédiatement.

Le scénario pour la troisième visite faisait référence a un diagnostic et un traitement de mon extrême obsession pour l’environnement médical.

J’avait préparé une histoire à lui faire lire, un rapport venant d’un « Centre de Dysfonctionnement Sexuel » et un Examen Corporel. , qu’elle compléterait lorsque qu’elle réaliserait son examen.

Il était également prévu qu’elle prenne des photographies durant certaines parties de l’examen.

J’appelait Lady Ashley quelque jours avant et je pris le rendez-vous pour une session de plus de 5 heures ; elle fut d’accord pour commencer dès qu’elle ouvrirait la porte.

*** Je me suis présenté à 16 heure précise, et je fut accueilli par Madame l’Infirmière Ashley.

Elle m’ordonna d’entrer dans son bureau et de lui donner le dossier.

L’uniforme blanc taillé court et les collants sur ses cuisses lui allaient bien, laissant apparaître ses cuisses nues et sa culotte blanche lorsque elle se penchait.

Elle s’assis sur son fauteuil, et je m’assis sur le canapé ; elle lu le dossier et me posa des questions, je lui parlais de mes expériences médicales précédentes, comment je me masturbait, quels étaient mes fantasmes, est-ce que j’avais joué au docteur avec d’autres hommes, etc.

Son interrogatoire dura une heure environ, et il me fut demandé de lui révéler mes désirs intimes et mes expériences.

C’était agréable de parler de cela à quelq’un, et cela me plaisait aussi de la voir sur le fauteuil, me montrant un morceau de ses cuisses.

Elle est cruelle, et veillait soigneusement à garder ses cuisses étroitement croisées.

Afin de ne pas me laisser entrevoir son entrecuisse un instant- Juste assez pour me laisser m’exciter sur ses jambes enrobées par les collant et un peu de cuisses dénudées.

Ensuite elle me dit qu’il était temps de descendre au sous-sol (après les expériences précédentes, je sais que c’est là que ce trouve son cabinet médical, mais dans le scénario, je l’ignore).

Lorsque j’ai atteint la dernière marche, j’ai contemplé avec émerveillement son cabinet médical.

Elle me demanda si j’aimais ce que je voyais et je lui répondit « oui » -

Elle m’ordonna alors d’avancer et de profiter du spectacle pendant qu’elle préparait plusieurs choses. Laissé seul dans la pièce, je caressait les étriers, contemplait les spéculums dans le récipient, le bock à lavement pendu sur le côté de la table d’examen, les thermomètres dans leurs boites. Je prenais plaisir à être dans cette salle.

L’Infirmière Ashley surgit de l’étage, le rapport dans les mains, et m’ordonna de me tenir debout devant la table d’examen pour prendre le premier cliché photographique.

Puis elle me fit asseoir sur la table et me m’inséra un thermomètre dans la bouche.

Il y avait quelque chose de stimulant à me tenir assis sur une table d’examen avec un thermomètre dans la bouche avec l’Infirmière dans la salle.

Pendant que le thermomètre ajustait sa mesure, elle me pris le pouls (en pressant mon bras contre son corps), puis déboutonna ma chemise afin d’entendre battre mon cœur avec le stéthoscope. Elle m’ôta ma chemise également. Le thermomètre avait pris ma température. Elle m’annonça qu’elle était de 100 degré farenheit ( 40°C) – Ce devait être l’excitation puisque je ne me sentait pas du tout fiévreux. Elle me demanda de me lever et d’ôter mon pantalon. Je l’enlevais, ainsi que me chaussures et mes chaussettes, et je me tint debout devant elle en caleçon. Ce n’était pas suffisant et l’Infirmière Ashley exigea que j’enlève également mon caleçon.