NDA Ce chapitre n’a plus grand rapport avec la réalité d’une visite médicale, sautez-le si vous préférez une histoire vraisemblable.

J’étais toujours sur la chaise, les jambes dans des étriers et largement écartées. Le professeur Woyzeck reprit ses explications :

— La doctoresse va maintenant examiner la prostate de ce jeune homme. Celle-ci n’a certainement aucune maladie à son âge. Nous ne faisons normalement pas cet examen qui peut être traumatisant.

— S’agit-il d’un toucher rectal ? s’enquit Mme Dupont.

— Tout à fait. Restez calme, M. A***.

Je sentis alors le doigt de la doctoresse m’enduire l’anus de gel puis s’introduire à l’intérieur de mon corps. J’eus soudain envie d’uriner, mais, comme je bandais toujours, il n’y avait pas de risque. Ce fut rapide.

— Voilà, dit le médecin pervers, c’est terminé.

— Rien de particulier à signaler, dit la doctoresse.

— Pourrais-je vous demander encore quelque chose ? dit la représentante du maire.

— Bien sûr, répondit Woyzeck.

— Euh, je suis confuse. Peut-on faire cet examen pour des raisons, comment dirais-je, érotiques ?

— Évidemment, n’avez-vous jamais caressé ainsi votre amant ?

Mme Dupont rougit.

— Non, je n’ai jamais osé, j’ai peur de ne pas savoir comment m’y prendre.

— Voudriez-vous faire un essai ?

— Avec vous ?

— Non, avec notre cobaye, pardon avec notre patient.

— Il pourrait perdre patience.

— Mais non, regardez son sexe, il est toujours en pleine forme, il a apprécié le toucher rectal.

— Bon, si vous insistez.

— Je vais vous expliquer. Mettez tout d’abord un gant à la main droite. Voilà, c’est bon. Maintenant, comme vous ferez ce toucher rectal dans le but de donner du plaisir et pas dans un but médical, il ne faudra pas être aussi rapide, prenez tout votre temps. Commencez par mettre du gel sur toute la longueur de la raie et étalez-le. Posez votre autre main sur le torse du patient.

C’était la première fois que l’on s’intéressait de si près à cette partie de mon anatomie, je fus surpris par les sensations que cela me procura. J’aurais peut-être préféré une ambiance un peu plus chaleureuse. Je fermai les yeux et je me concentrai sur mon plaisir. Les doigts de la femme se rapprochèrent de mon anus, elle le titilla, en élargit l’ouverture, avec un doigt, puis deux. Elle finit par entrer, resta très longtemps, fit le tour complet de mon sphincter, plusieurs fois, elle stimula longuement ma prostate. Le professeur lui dit quand même d’arrêter, sinon il n’allait pas pouvoir tenir le programme de la journée.

— C’était une expérience très intéressante, dit-elle en enlevant le gant. Merci de me l’avoir proposée. J’ai un peu pitié de notre jeune ami, comment va-t-il faire avec cette.. euh, cette érection qui doit être bien gênante.

— Normalement, répondit le professeur, nous aurions demandé au patient de se retirer dans une autre pièce pour nous fournir un échantillon de sperme. Mais, dans ces circonstances, il serait préférable que vous l’aidiez un peu pour ne pas perdre plus de temps. Vous savez comment faire ?

Mme Dupont rougit.

— Je pense y arriver.

La doctoresse posa un gobelet en plastique sur mon ventre. La femme prit mon pénis dans sa main et fit quelques va-et-vient. J’étais tellement excité que j’éjaculai immédiatement. Le sperme gicla sur mon ventre au lieu de terminer sa course dans le gobelet. La doctoresse se chargea de le récupérer.

— Seriez-vous un éjaculateur précoce ? me demanda le professeur. Bon, c’étaient les circonstances qui étaient un peu inhabituelles. Entraînez-vous à retarder ce moment. Vous pouvez vous lever et vous rhabiller. Nous ne voudrions pas abuser de votre disponibilité.

Mme Dupont demanda :

— Faites-vous aussi des lavements lors de cette visite ? Cela m’intéresserait aussi.

— Non, ce n’est pas prévu, répondit le professeur. Le budget n’est pas suffisant.

— Dommage, j’en parlerai au maire, il pourra peut-être vous accorder un peu plus de ressources.

— Et je pense que vous reviendrez voir comment cela se passe ?

Mme Dupont rougit.