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Vues: 1035 Created: 2010.06.05 Mis à jour: 2010.06.05

Doctoresse à domicile

Chapitre 2

Durant l'après-midi, en allant faire les courses, ma mère en profita pour s'arrêter à la pharmacie avec l'ordonnance. Une fois revenue, elle me signala d'en bas de l'escalier qu'elle avait acheté ce qu'il me fallait et qu'elle posait tout ça sur l'escalier.

Je descendis donc du premier étage un peu après qu'elle soit repartie, et je pris le petit sac vert qui contenait le tube de crème et une boîtes en carton contenant des suppositoires contre la fièvre. Ma mère y avait ajouté sans que je lui demande un thermomètre en verre afin que je vérifie aussi ma température comme on me l'avait demandé. C'était d'ailleurs bientôt l'heure de s'en occuper.

Tout excité de ce que j'allais faire, je fermai la porte de ma chambre et sortit le thermomètre de sa boîte. Je me couchai ensuite sur mon lit, baissai mon pantalon jusqu'aux genoux, et commençai à diriger la pointe vers mon trou de balle. L'introduction se déroula sans problème car mon anus était encore un peu dilaté par la crème apaisante que la doctoresse m'avait mise ce matin. J'essayais d'imaginer qu'elle se tenait derrière moi en tenant fermement l'instrument dans mon cul, le faisant de temps en temps changer de position pour me taquiner.

Après ce petit fantasme personnel, je sortis le thermomètre qui était à présent tout gras pour voir que j'avais une température de 37,9. Comme je ne savais pas si c'était normal, je descendis demander à ma mère en lui annonçant ma température.

-Tu l'as bien prise dans ton derrière ? Me demanda-t-elle.

-Oui.

-Et bien, je pense que c'est quand même un peu élevé comme température. Prends toujours un suppositoire au cas où.

Avant que je quitte la pièce, elle me proposa de venir m'aider ou m'assister comme je n'avais jamais fait ça tout seul, mais je refusai, expliquant que j'étais assez grand pour le faire moi-même.

Finalement après quelques tentatives qui aboutirent à l'expulsion du médicament, je me dis que ce n'était pas si évident que ça et j'abandonnai l'idée. Je descendis voir ma mère, non pas pour lui demander de m'aider à le mettre, mais pour qu'elle appelle à nouveau la doctoresse pour me mettre la crème ce soir.

-Tu as bien pris le suppositoire ? Questionna-t-elle.

-Oui, mentis-je.

-Tu es sur que tu ne veux pas que je le fasse, ou bien ta sœur : elle rentre des cours ce soir, tu peux lui demander d'aller te le faire.

-Non, s'il te plaît, je préfère quelqu'un d'autre.

Ma mère finit par approuver.

-Bon d'accord, tu veux que je l'appelle pour quelle heure ? Tu dois mettre ta crème avant de te coucher.

-Euh..., vers 21h.

-Ok.

Elle décrocha le téléphone et recomposa le même numéro que ce matin. Après le coup de fil, elle m'annonça que le rendez-vous était pris.

-Elle reviendra vers 20h30 à la maison, m'informa ma mère.

-Ok.

Je remontai ensuite dans ma chambre, et attendis impatiemment son arrivée. Ce moment arriva avec dix minutes d'avance, quand j'entendis la sonnette résonner dans la maison. Je tendis l'oreille.

-Re-bonjour, vous m'avez appelée tout à l'heure ?

-Oui, mon fils est en haut dans sa chambre, c'est la porte au fond à droite.

-Il a encore mal ?

-Non, il n'arrive pas à mettre la crème, et ne veut pas que je lui mette.

(Petit rire)

-Ok, je vais aller lui donner son traitement.

-Merci.

J'entendis les pas monter l'escalier puis marcher dans le couloir. La doctoresse toqua à la porte et entra dans ma chambre.

-Salut, me fit-elle avec un sourire.

Je lui rendis son sourire.

-Tu as encore eu des douleurs ?

-Non, ça va.

-Tu as pris ta température, tout à l'heure ?

-Oui, j'ai 37,9.

-Hmm, c'est un peu haut, tu as pris un suppositoire que j'avais prescrit ?

Je baissai la tête.

-J'ai pas réussi à le mettre, avouais-je. Il ressortait.

-Ah..., je vois, fit-elle. Bon je vais reprendre ta température pour voir si tu en as encore besoin, et si tu veux je te le mettrais et je t'expliquerais comment s'y prendre.

Cette discussion me mit dans le même état que ce matin, et lorsque je dus retirer mon pantalon, mon pénis se tendit devant moi. Ce n'était pas la première fois que ça m'arrivait en sa présence, mais j'étais toujours assez gênée qu'elle me voit comme ça.

Elle eut un autre sourire.

-C'est moi qui te mets dans cet état ? Je ne t'ai pas encore touché.

Je rougis jusqu'aux oreilles et ne répondis pas. Elle sortit alors un thermomètre à elle de son sac et s'assit sur le lit juste à côté de moi.

-Allez, t'en fais pas ça arrive, c'est normal. Renverses-toi sur le côté maintenant.

Dans cette nouvelle position où je pouvais la regarder ce qu'elle faisait, je sentis qu'elle m'écartait les fesses et la vis se pencher pour être à bonne hauteur afin de voir mon petit trou. Elle y inséra soigneusement le thermomètre et le maintint enfoncé pendant une bonne minute.

Ce fut ensuite le moment de lire le résultat :

-Tu as 37,5. C'est un peu haut, mais le suppositoire n'est pas obligatoire si tu ne le veux pas.

Elle me fixa pour entendre ma décision.

-Alors tu en veux un ou non ?

-Oui, j'en veux bien un.

-Ok, restes dans cette position alors.

Elle me demanda de lui indiquer où étaient les suppos et revint à côté de moi avec la boîte dans sa main. Elle le déballa et posa le médicament blanc dans ma main.

-Je vais t'expliquer comment il faut faire, dit-elle. Tu restes allongé et tu le pousses avec ton index le plus loin possible.

J'obéis et commença à le mettre sous son regard attentif, mon doigt commença à rentrer aussi.

-Vas-y, encore un peu, fit-elle.

Je continua la progression encore un peu et retira mon doigt.

-C'est bon ? Me demanda-t-elle.

-Non, attendez..., je sens qu'il ressort.

-Oui, je le vois.

Elle le rattrapa avant qu'il ne tombe sur le matelas.

-Tu dois le mettre plus loin et ne pas pousser après, sinon tu l'expulses. Regardes.

Elle sortit un petit miroir de son sac qu'elle disposa de façon à ce que je vois ce qu'elle faisait. Je la vis poser la pointe du suppo sur mon orifice.

-Maintenant tu pousses un bon coup.

Elle enfonça alors son doigt rapidement et beaucoup plus loin que ce que je pensais en ressentant l'insertion. Le suppo ne ressortit plus.

-Voilà, comme ça au moins il est mis.

Elle m'expliqua qu'il fallait attendre une dizaine de minutes pour qu'il fonde avant de mettre la crème. Comme ce matin elle me proposa de me soulager avant de passer à l'opération pour que je sois détendu, ce que j'acceptai volontiers.

-Tu veux qu'on le fasse sur ton lit ou aux WC ? Me demanda-t-elle.

-Ici.

-D'accord.

Elle me renversa en arrière sur le dos et je commença à me masturber. Je n'étais plus du tout gêné par sa présence, maintenant. Elle posa son doigt sur mon trou et le rentra d'un petit centimètre en attendant un peu avant de l'enfoncer plus.

-C'est bon tu es prêt ?

Elle poussa alors son doigt entièrement et me fit aussitôt éjaculer, mouillant mes draps autour de moi.

-Voilà, fit-elle, contente de son geste. Maintenant va vite aux WC faire caca avant que je te mette la crème pour cette nuit.

-C'est obligé ? Demandais-je. Parce que je n'ai pas besoin depuis ce matin.

La doctoresse réfléchit.

-Bon ben on va pas attendre que tu aies besoin d'aller à la selle, je crois qu'un lavement ou un autre petit suppo s'impose.

(troisième partie bientôt je pense)

Comments

Drzakou Il ya 5 ans