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Vues: 919 Created: 2007.07.19 Mis à jour: 2007.07.19

La clinique secrète

Chapitre XII

Laurence Bardon fut raccompagnée à sa chambre par une aide-soignante, l'esprit encore troublé suite à cette première visite chez la sexologue. En guise de déjeuner, elle dut prendre des laxatifs dont le goût artificiel lui donna la nausée. Peu de temps après, elle dut aller se vider à plusieurs reprises aux toilettes, avant que Marie-Augustine, l'aide-soignante antillaise, ne l'emmène à "la toilette du fondement de la madame, oh la la la!".Sa puissante voix de créole raisonna dans le crâne de la blonde, qui s'imagina de nouveaux tourments. Ses craintes se confirmèrent très vite. Arrivée dans une grande salle d'eau, Laurence dut se mettre nue, ce dont elle commençait à avoir l'habitude, puis dut s'installer à quatre pattes sur une petite table en bois, une barre d'écartement fut placée autoritairement entre ses jambes à l'aide de chaînettes de chevilles. Marie-Augustine fit pression de sa puissante main sur les reins de la bourgeoise, afin de l'obliger à se cambrer et relever l'arrière-train. Une canule lubrifiée força l'anus frippé de la blonde et progressa dans le rectum. L'aide-soignante ouvrit le robinet qui libéra l'eau tiède d'une poche suspendue. Environ 1, 5 litre d'eau envahirent le colon de la patiente, mais Laurence, pas du tout habituée, s'imagina qu'une citerne entière se déversait dans son tube digestif. S'efforçant de

négocier au mieux les spasmes qui animaient son gros intestin, elle réussit à se souvenir qu'étant enfant, suite à une longue période de constipation, elle avait subit un lavement, mais c'était un souvenir si lointain...

Passée une quinzaine de minutes de douleurs, spasmes et balonnements de plus en plus difficiles à gérer, la bourgeoise eut le feu vert de l'aide-soignante pour aller expulser cet encombrant liquide. L'ennui, c'est que les toilettes étaient situées en face de la salle d'eau, de l'autre côté du couloir, obligeant la blonde à traverser furtivement et nue ce couloir qui lui sembla immense. Par chance pour elle, personne ne la vit. A son retour à la salle d'eau, elle eut droit à une réflexion de l'antillaise:"Alors la jolie madame, on se sent plus légère, n'est-ce pas?" et elle se mit à ricaner bruyamment. Naivement, la patiente s'imagina que l'épisode "lavement" était terminé;grossière erreur. Elle dut reprendre la pose, la barre d'écartement fut remise en place et un spéculum anal prit place dans son rectum. Si elle avait déjà eu au cours de son existence l'occasion de recevoir un spéculum dans son vagin, cette fois dans le rectum, c'était une première pour elle. Dans un premier temps, par réflexe, son sphincter se contracta pour freiner la progression du spéculum intrusif, mais il finit par se relâcher sous la pression de l'instrument. L'aide-soignante ouvrit raisonnablement les deux mâchoires du spéculum, mais c'était beaucoup trop pour la blonde. Elle sentit distinctement l'air frais dans son orifice béant. Cet air fut vite remplacé par de l'eau tiède, introduite cette fois à la poire. Son anus ne pouvant absolument plus rien retenir, Laurence sentit l'eau ressortir de ses entrailles et couler dans toutes les directions.

Marie-Augustine reprit la parole:"Ah, il faut que ce soit tout propre là-bas dedans, la madame la gynécologue exige un fondement absolument impeccable".Pour s'assurer de cet état de propreté irréprochable, Marie-Augustine observa minutieusement l'intérieur du rectum de la jeune femme blanche à l'aide d'une puissante lampe électrique. Lorsqu'elle s'aperçut qu'elle était observée d'une telle manière, la patiente ressentit un profond sentiment d'humiliation. Elle demanda:"Mais pourquoi la gynécologue?"

"Ah mais, on ne vous a pas informée, Catherine Lepic vous attend dans son cabinet. Je parie qu'elle va s'occuper de votre joli petit fion de blanche! Ah ah ah..."

Laurence aurait voulu disparaitre, se volatiliser sur le champ, tellement elle se sentait méprisée et honteuse.

Puis de nouveau le cérémonial habituel:robe de chambre, chaise roulante et direction le cabinet de la gynécologue. Durant le court trajet à-travers les couloirs de la clinique, la pensionnaire s'imagina ce qu'elle allait devoir endurer et ce qu'il allait advenir à son pauvre petit anus frippé.Les premières paroles de la brune gynécologue donnèrent le ton.

"Bonjour madame Bardon. Comment allez-vous? Je parie que vous devez vous sentir toute fraiche et légère, n'est-ce pas?".Le sourire oh combien charmeur et carnassier sur les lèvres carminées de la gynécologue anéantit le peu de courage qu'il restait à Laurence. Elle se résigna à ôter sa robe de chambre lorsqu'on le lui demanda et à prendre place sur le fauteuil gynéco. Si le fauteuil était semblable à celui de la veille, les étriers avaient été remplacés par des repose-genoux, que la patiente trouva plus confortables. Ses cuisses furent sanglées aux soutien-genoux, une large sangle assura l'immobilisation du tronc et ses poignets furent également sanglés aux bras du fauteuil.

Julien fit son apparition, boîtier de commande en main, pour assurer les réglages du fauteuil. La patiente se retrouva fortement renversée vers l'arrière, ce qui fait que son bassin se situait plus haut que sa tête;bien évidemment, les jambes étaient fléchies suffisamment et les cuisses très largement écartées, rendant on ne peut plus accessible toute la région vulvo-périnéo-anale. Le jeune brancardier s'occupa de braquer les puissants projecteurs articulés du plafond vers la zone d'investigation puis se chargea d'orienter selon les directives de Catherine Lepic deux caméras d'observation. La première caméra était fixée au bout d'un long pied attaché au plafond et autorisait une vue par le haut de l'ensemble du corps de la patiente, visage y compris. L'objectif de cette caméra étant motorisé et télécommandé,il était possible d'effectuer un zoom sur les mamelons par exemple, ou d'avoir un gros plan sur le visage pour observer les expressions du sujet. La seconde caméra était installée au bout d'un support fixé au sol en avant du fauteuil et procurait une très intéressante vue en contre-plongée de toute la zone de l'entrecuisse et fournissait également des plans rapprochés à la demande. Les images étaient à la fois enregistrées mais aussi diffusées sur un écran plat de 32 pouces fixé au mur sur la droite de la salle.

La raison officielle de l'enregistrement des séances de soins était de permettre la comparaison des réactions du patient d'une séance à l'autre et les progrès réalisés. Officieusement, il se murmurait dans les couloirs de la clinique de la Rochegude que les enregistrements étaient dupliqués et distribués par le biais d'un réseau spécialisé...

De toute manière, les patients signaient leur contrat d'admission lors de leur entrée en clinique et acceptaient le fait d'être filmés.

La gynécologue enfila ses gants de latex et lubrifia copieusement la rondelle anale de la blonde. Puis elle introduisit en totalité son majeur droit dans le rectum afin de procéder à une première exploration manuelle.

Laurence Bardon se contracta fortement sur le doigt inquisiteur, ce qui déclencha un commentaire de la brune:"Décidement, ma chère, vous n'êtes pas habituée à vous faire pénétrer par le conduit étroit".

Son sourire était toujours autant séducteur que méprisant, ce qui agaça une fois de plus la patiente.

Ce premier sondage de reconnaissance effectué,la praticienne demanda à Julien de lubrifier l'anuscope. L'instrument en question s'apparentait à un cylindre d'environ 80 millimètres de long et 20 millimètres de diamètre. Son sommet présentait une forme arrondie dans laquelle était enchassé un objectif de caméra miniature, le corps de la caméra prenant place dans le cylindre. Un fil sortait à l'opposé du cylindre. Enfin, pour autoriser la vision d'images de qualité,une couronne de leds à infra-rouge entourait l'objectif de la caméra. La gynécologue plaça le bout de l'anuscope au contact de l'anus de la bourgeoise, qui frémit un peu en sentant la pression de l'instrument forcer sa rondelle délicate. La pénétration se fit tout d'abord sur seulement 2 centimètres, et l'on vit apparaitre sur l'écran de TV une troisième image, sans couleur certes mais de bonne définition. Il s'agissait de l'entrée du conduit rectal de madame Bardon, qui fut invitée à regarder la progression de l'anuscope dans ses entrailles. Bien malgré elle, la patiente blonde offrait un spectacle vidéo à la fois insolite et troublant. Le caractère voyeur du jeune Julien était totalement comblé par ce qu'il voyait sur l'écran plat,à savoir une vue d'ensemble du corps nu d'une ravissante patiente, une image rapprochée de toute son entrecuisse et une vue interne à la caméra infra-rouge.

Au fil des séances d'examen des diverses patientes dans le cabinet de gynécologie, l'intérêt de Julien pour son nouveau métier grandissait en même temps que grossissaient ses érections dans son pantalon...

Une fois l'examen à l'anuscope terminé,l'instrument fut retiré puis la praticienne brune nota dans le dossier médical de sa patiente:"rectum sain, sans lésion ni irritation, prêt à être travaillé".

Catherine Lepic s'adressa alors à Laurence, un léger sourire condescendant au coin des lèvres:"Je vais à présent évaluer la souplesse et l'élasticité de votre anus ainsi que de votre rectum. Le test n'est pas douloureux à la condition que vous vous relâchiez complètement".Elle s'empara d'un gode gonflable à l'aspect caoutchouteux. Ce gode était relié par un tube souple à une pompe à air, sur laquelle on pouvait voir les graduations d'un manomètre. Le gode fut gonflé un minimum afin de lui donner la rigidité nécessaire à l'introduction anale, puis lubrifié,et finalement placé dans le rectum de la patiente.

Lorsque la pompe à air fut remise en marche, Laurence sentit tout d'abord son anus s'étirer puis ensuite son rectum se dilater progressivement. La gynéco demanda à sa patiente de faire part de ce qu'elle ressentait précisément. Laurence expliqua au début qu'elle avait les mêmes sensations que lorsqu'elle était à la selle, puis par la suite lorsque la dilatation fut plus forte, elle évoqua une sensation étrange mais pas désagréable d'être remplie. Et ce n'est que lorsque l'aiguille du manomètre flirta avec la zone rouge qu'elle fit part d'abord de désagréments, puis de douleurs. Catherine Lepic sembla très satisfaite de cette première série de tests, et annonça à la bourgeoise qu'elle avait à priori de bonnes prédispositions pour la pénétration anale. La machine fut alors mise en mode alternatif, c'est à dire alternant en cadence gonflage et dégonflage du gode. La fréquence de la pompe à air fut augmentée progressivement jusqu'à ce que la patiente fasse état de contractions inconnues d'elle jusqu'alors. L'expérience fut poursuivit et déclencha une série de spasmes orgasmiques chez la patiente, confirmés par de faibles gémissements et la complète érection des mamelons, bien visibles à l'écran. Laurence découvrait un plaisir inconnu qu'elle s'était jusqu'alors refusée. On arrêta la machine et le gode de caoutchouc fut retiré,laissant béant l'anus de la bourgeoise, dont le regard était dans le vague. Catherine Lepic saisit sur son ordinateur quelques appréciations destinées au dossier médical de la patiente, avant de lui annoncer qu'elle allait tester sur elle le gode électrique. Ce gode-là était de dimensions voisines à l'anuscope, un fil le reliait à un générateur de courant faible. Laurence prit peur à l'évocation du terme "électrique" mais la gynécologue la rassura. Cette fois-ci, la pénétration fut plus aisée, et la rondelle anale de la bourgeoise avala quasiment le gode qui fut introduit sur toute sa longueur. Ensuite, de ses doigts gantés de latex, la gynécologue plaça dans le vagin une sorte de gros tampon, semblable à un tampon hygiénique mais imbibé d'un réactif chimique. Selon la quantité de liquide absorbé par le tampon, celui-ci variait de coloration sous l'effet du réactif, procédé similaire aux plaquettes utilisées pour les examens d'urine. Pour le compte, Laurence Bardon se retrouvait doublement pénétrée,écartelée et filmée sur son fauteuil gynécologique. Le gode fut placé dans un premier temps en mode vibratoire et l'on vit sur l'écran vidéo une série de contractions envahirent le bas-ventre de la patiente. Puis le gode passa en mode électrique, délivrant de très inoffensives décharges sur les parois rectales de la blonde, qui se mit à haleter de plus en plus bruyamment. C'est alors avec jubilation que Catherine Lepic plaça le contrôleur du gode en mode "duo",combinant vibrations et décharges électriques. La blonde était maintenant bouche ouverte, oscillant de la tête sous les yeux de Julien et de la gynéco, puis finit par laisser échapper de nouveaux gémissements, faibles au début, puis de plus en plus explicites. La brune augmenta les décharges électriques jusqu'à obtention de tremblements saccadés des cuisses et des fesses de la blonde, qui miaulait de plus en plus et explosa dans un cri de jouissance non simulée.

La praticienne arrêta le fonctionnement du gode mais le laissa en place. Elle s'occupa de retirer le tampon, qui visiblement avait changé de couleur. Elle compara la teinte du tampon test avec une palette de couleurs de référence et conclut:"Ah, félicitations madame Bardon, nous avons enfin réussi à vous faire mouiller un peu! Ma collègue Virginie Voyret sera satisfaite d'apprendre cela".

Ce tampon était la preuve irréfutable que la patiente était parvenue à un orgasme par voie anale;c'est ce que recherchait la gynécologue. Avant de quitter son fauteuil, pendant qu'on la désanglait, Laurence se vit sur l'écran vidéo, cuisses ouvertes, fesses relevées et son anus entrouvert par où sortait le fil de commande du gode;elle se sentit extrêmement troublée et honteuse de son sort;elle avait toujours du mal à réaliser ce qui lui arrivait et ne se sentait plus capable de lutter contre qui ou quoi que ce soit...

Avant de quitter le cabinet de gynécologie, la bourgeoise se fit remettre de la part de Catherine Lepic une ordonnance du même style que celle de la sexologue:"obligation chaque soir après diner de vous pénétrer analement, en position accroupie cuisses ouvertes,à l'aide d'un plug qui vous sera remis par l'aide-soignante"...