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Vues: 768 Created: 2007.07.19 Mis à jour: 2007.07.19

La clinique secrète

Chapitre XIV

Pour son troisième jour de pension à la clinique de la Rochegude, l'occupante de la chambre n°14 fut dispensée de soins et autres examens médicaux. Au programme, il était prévu pour la première partie de la journée, une session "Découverte du sexe masculin et initiation à la fellation",et pour la seconde partie de journée, le thème était "Stimulation sexuelle et physiologie de l'orgasme chez l'homme et la femme".Laurence fut emmenée dans une grande salle équipée d'un tableau blanc et d'une toile pour vidéoprojecteur, comme dans une salle de formation.

Elle retrouva un petit groupe de pensionnaires, toutes féminines, installées sur de confortables chaises. C'est le Dr Leduc assisté de l'infirmière Florence qui animaient la formation. Cela débuta par un cours d'anatomie masculine, avec croquis, planches anatomiques et photos explicites qui rappelèrent à Laurence l'ouvrage qu'elle avait feuilleté au hasard dans la bibliothèque. Puis le Dr Leduc expliqua avec détail et emphase le mécanisme de l'érection du pénis tandis que sa collègue Florence projetait simultanément des diapositives de phallus de toutes tailles et formes, ce qui généra des exclamations d'étonnement, d'admiration ou de dégoût parmi les pensionnaires. La partie la plus croustillante de la séance fut réservée pour la fin, avec la présentation des techniques de fellation par l'infirmière, qui capta l'attention de toute l'assistance. Pour certains pensionnaires, dont faisait partie Laurence, l'art de la fellation était quelque chose qu'elle découvrait, bien qu'elle eut su tout de même de quoi il s'agissait. Le point d'orgue de la formation fut atteint lorsque Florence offrit une démonstration de fellation sur un gode qui était la réplique parfaite d'une verge d'homme blanc en pleine érection. Toute la salle fut enthousiasmée par la prestation de l'infirmière,à commencer par le Dr Leduc dont les joues devinrent toutes rouges. Certaines patientes, les plus délurées, se permirent même d'applaudir l'infirmière blonde.

Pour la pause déjeuner, tout le groupe se rendit au réfectoire de la clinique, où un petit nombre de pensionnaires mâles étaient déjà attablés. Laurence se retrouva assise à côté d'un homme qui racontait à sa voisine de table qu'on lui avait diffusé au cours de la matinée une vidéo expliquant la technique du cunnilingus.

La femme ricana en lui répondant vulgairement que pour le groupe des femmes, l'infirmière leur avait fait une démonstration de pipe, en ajoutant qu'elle était une sacrée suceuse...

La fin du repas se fit dans un brouhaha général dans le réfectoire et une distribution de café et thé eut lieu.

L'ensemble des pensionnaires se retrouva dès le début d'après-midi dans une grande salle équipée pour la diffusion de vidéos. C'est la sexologue Virginie Voyret qui était de service pour animer la séance. Elle fit sensation en arrivant en bottes de cuir blanches à talons fins, mini-jupe vraiment mini et veste de tailleur assortie, sa superbe crinière noire et ses lèvres rouge vermillon. Certains pensionnaires la jugèrent class et sexy, d'autres la trouvèrent vulgaire et provocante...

La sexologue débuta son exposé en faisant un bref rappel sur l'anatomie des organes génitaux mâles et femelles et la physiologie des organes érectiles. Son discours prit une tournure plus médicale lorsqu'elle insista sur l'importance de la lubrification au cours de l'excitation sexuelle et en expliquant le rôle des glandes de Cowper chez l'homme, et des glandes de Skene et Bartholin chez la femme. Elle illustra ses propos à l'aide de diapositives montrant où se situaient les glandes en question sur le corps humain. Habilement, elle raviva l'intérêt des patients--qui commençaient à somnoler--en évoquant le sujet de la pénétration de la femme par l'homme, vidéo explicite à l'appui. La sexologue commenta avec brio les diiférentes scènes de pénétration qui furent diffusées,

vantant les avantages de telle ou telle position. Elle termina son exposé par le thème de la stimulation sexuelle et expliqua, avec diapositives, quelles étaient les zones érogènes ultimes,à savoir le frein du gland chez l'homme et le point G chez la femme.

Virginie Voyret annonça alors que la séance était close et qu'elle verrait probablement certains patients présents dans les jours à venir à son cabinet. Elle traversa la salle en faisant claquer ses talons de bottes et en ondulant sensuellement des hanches, ses longues cuisses fuselées joliment mises en valeur par la mini-jupe...