woolmark


Vues: 744 Created: 2007.07.19 Mis à jour: 2007.07.19

La clinique secrète

Chapitre XV

La fin de soirée et la nuit de Laurence Bardon furent particulièrement pénibles pour elle. Pourtant, la soirée débuta paisiblement, son diner lui fut apporté par l'infirmière Françoise, qui était du soir ce jour-là.Son repas ingurgité,Laurence suivit les prescriptions qui lui étaient faites, et commença à jouer avec son plug. Elle repensa à toutes les scènes de sexe qu'elle avait pu voir au cours de sa journée et s'en sentit émoustillée. Elle se surprit même à rechercher le contact intime du plug sur son anus et commença à chevaucher voluptueusement l'ustensile ventousé au sol. Le plaisir s'appretait à venir en elle lorsqu'elle entendit le bruit du pass dans la serrure de sa porte. Françoise entra brusquement pour venir récupérer le plateau. Elle découvrit la pensionnaire blonde cuisses écartées, accroupie sur son plug. Trop tard pour se cacher. L'infirmière brune prit un air faussement offusqué,traitant la patiente de sale petite garce. Laurence protesta en précisant que ce qu'elle était en train de faire rentrait dans le cadre d'une prescription médicale de la gynécologue. Françoise s'exclaffa avec mépris puis décrêta:

"Puisque vous voulez me faire croire qu'il s'agit d'une prescription médicale, en temps qu'infirmière, je me dois de vérifier que le traitement est bien suivi par la patiente. Alors, poursuivez, je veux vous voir vous enculer avec ce plug".

La bourgeoise refusa catégoriquement ce qui lui valut une paire de gifles.

"Ah, vous êtes toujours aussi fière je vois;faut-il que je vous remette les chaînes de chevilles?"

"Non, non, je vous en prie, pas les chaînes".

"Alors, godez-vous avec ce plug devant moi, c'est un ordre!".

Françoise se posta devant la patiente, afin d'avoir une bonne vision sur ce qui se déroulait entre les cuisses. La jeune bourgeoise tenta de reprendre les mouvements qu'elle exerçait avant qu'on ne l'interrompte mais son excitation avait été brutalement coupée et son désir fuyait en même temps que grandissaient sa honte et son malaise en présence de l'infirmière. Son anus se contractait fortement sur le plug et rendait la pénétration douloureuse, presque impossible. Mais la femme en blouse blanche fut intraitable.

"J'exige de voir ce plug pénétrer votre rectum comme stipulé dans votre prescription médicale!".

Laurence eut beau expliquer que cela lui était impossible car elle était trop contractée, la femme brune resta inflexible. Et lorsque la pensionnaire referma ses cuisses en guise de renoncement, une nouvelle valse de gifles claqua sur ses joues. C'est les larmes aux yeux, l'anus en feu et un énorme sentiment de honte à l'esprit que la jeune patiente finit par faire douloureusement pénétrer le plug dans son rectum. Un sadique sourire aux lèvres, l'infirmière s'amusa alors à tirer brutalement les mamelons de la pensionnaire, ce qui faillit la faire tomber en avant. La brune ricana en remportant le plateau-repas et laissa Laurence totalement effondrée. Elle n'eut que la force de retirer le plug qui lui brulait l'anus et s'écroula à même le sol. Après les supplices moraux et physiques qu'elle venait d'endurer, la froidure du carrelage sur son corps nu ne lui paraissait être qu'un faible tourment.

Elle resta ainsi, nue gisante au sol à-moitié endormie, jusqu'au milieu de la nuit. C'est la visite nocturne du brancardier qui lui fit reprendre ses esprits. Dans l'obscurité,elle murmura:

"Julien, c'est vous?"

En guise de réponse, un ricanement grave et puissant la fit sursauter. Pierre actionna l'interrupteur de la lumière,éblouissant momentanément la jeune femme.

"Alors comme ça, ma jolie salope, tu t'attendais à ce que ce soit Julien qui te rejoigne cette nuit. Eh bien, c'est raté!"

Avec son tempérament bourru et macho, Pierre ne s'étonna même pas de trouver la patiente étendue au sol et les yeux rougis par une crise de larmes. Lorsque ses pupilles se furent adaptées à la lumière ambiante, la jeune femme reconnut le brancardier qui l'avait conduite à la bibliothèque la veille. Son visage aux traits épais, son crâne partiellement dégarni et son profil trappu et bedonnant le rendaient repoussant aux yeux de Laurence.

"Ne m'approchez pas!" se mit-elle à crier alors qu'il venait vers elle. Il se remit à ricaner bêtement puis émit un sifflement évocateur en découvrant le plug trainant au sol.

"Eh bien, ma salope, je vois que l'on prend du bon temps par ici!"

La jolie blonde s'empressa de préciser:"Ne vous méprenez pas, j'y suis obligée, cela fait partie d'une prescription médicale, rien de plus".

A nouveau, ricanements du brancardier qui saisit la patiente par les deux poignets, la forçant à se redresser.

"Ne me touchez pas, ne me touchez pas!" hurla-t-elle. Il lâcha un poignet pour tirer violemment sur la chevelure blonde.

"Tais-toi salope, je suis bien certain que tu es beaucoup moins farouche avec le jeune Julien. Je parie même que tu lui fais des petites gâteries la nuit lorsqu'il passe te rendre visite, hein ma jolie pute?".

A présent, en plus de se sentir offusquée et indisposée par la présence de Pierre, Laurence sentait monter en elle une angoisse grandissante. De sa puissante main, il réussit à tenir les deux frêles poignets de la bourgeoise tandis que son autre main commença à se promener sur les seins de la blonde. Elle cria une fois de plus, ce qui lui valut de se faire à nouveau secouer par les cheveux.

"Tu veux crier ma garce, eh bien braille tout ce que tu veux;de toute manière, il n'y aura personne pour venir à ton secours, il n'y a que moi comme personnel de la clinique cette nuit et tous les pensionnaires sont enfermés dans leur chambre".

Laurence, intelligemment, se tut, comprenant très vite qu'il ne lui serait pas possible de négocier quoi que ce soit avec ce brancardier, contrairement à ce qui avait été possible avec Julien. Pierre était bien trop primaire pour cela. De toute manière, c'était lui qui menait les débats par sa domination physique et la bourgeoise n'avait plus qu'à se soumettre. Le brancardier fit jaillir de la poche de sa veste une paire de menottes qu'il plaça d'autorité autour des poignets de la patiente. Il traina alors la blonde au sol jusqu'à pouvoir crocheter la paire de menottes à un barreau du lit, ramenant les poignets de sa victime derrière la nuque. Mais la jeune femme n'était pas immobilisée pour autant, et agitait ses jambes telle une furie. Tant et si bien qu'elle finit par décocher un méchant coup de pied dans la machoire de son tortionnaire. Pierre, tel un boxeur, encaissa le coup en portant sa main à sa machoire endolorie. Il récupéra ensuite les chaînettes de chevilles qui trainaient dans un coin de la chambre, les passa à la blonde en prenant bien soin de lui bloquer les jambes pour éviter un nouveau coup de pied, puis tira les chaînettes qui étaient juste assez longues pour pouvoir être crochetées chacune à un pied du lit. C'est ainsi que la pensionnire se retrouva assise au sol, adossée contre les barreaux du pied de son lit, poignets liés derrière la nuque et les jambes en grand écart, enchaînée par les chevilles.

Tel un fauve narguant sa proie, Pierre resta un moment à observer sa victime, se délectant des courbes gracieuses du corps de la belle blonde, insistant de son regard lubrique sur la poitrine et le V que formaient les cuisses grand ouvertes.

Il finit par se placer debout face à sa proie, pour défaire les boutons de sa braguette et libérer son sexe encore à moitié flasque. La blonde lâcha un cri de dégoût et de stupeur, ce qui généra un rire bestial de la part de l'homme.

"Alors comme ça, j'ai entendu dire que t'avais eu droit ce matin à une formation pour apprendre à sucer. Ca tombe bien, on va pouvoir passer aux travaux pratiques maintenant".

Il empoigna son sexe et se masturba brièvement,à quelques centimètres des yeux de la bourgeoise, dont le visage se trouvait bien malgré elle pile à la hauteur idéale. Ce genre de situation n'était pas faite pour réconcilier madame Bardon avec le sexe masculin mais l'heure n'était pas à la discussion sur ses préférences sexuelles. Pierre s'approcha encore un peu plus de sa victime et plaqua sans ménagement son sexe à moitié érigé contre le visage de la patiente. Elle cria une fois de plus en vain et eut tôt fait d'avoir la nausée, la verge de Pierre libérant une forte odeur incommodante. La jeune femme tenta de se soustraire du contact abominable de ce sexe contre son visage en déplaçant sa tête mais le brancardier colla son bassin contre sa face. Elle crut suffoquer lorsqu'il exigea une fellation de la part de Laurence. Elle osa lui tenir tête en le menaçant de lui sectionner le pénis de ses dents s'il insistait plus. Les yeux de la jeune femme exprimaient la colère, si ce n'est la rage et firent impression sur l'homme trappu qui se retira de quelques centimètres en arrière, libérant le visage de Laurence.

Elle venait de marquer un premier point face à son agresseur. Elle remarqua alors que sa verge manquait notablement de rigidité et que l'angle d'érection ne parvenait pas à dépasser l'horizontale. Avec courage et hardiesse, la belle blonde asséna à Pierre:

"Vous ne vous imaginiez tout de même pas que j'allais pratiquer une fellation sur votre grosse nouille puante et mollassonne!".

Pour le coup, Pierre resta un instant interloqué,ne s'attendant pas à une telle attaque verbale de la part de celle qu'il croyait dominer. Il se remit à l'injurier, masquant de la sorte sa déconvenue. Laurence sentit qu'elle avait frappé là où cela faisait mal, remettant en question la virilité du brancardier. Elle se hasarda à fixer l'homme droit dans les yeux en affichant un sourire méprisant. Plus elle le regardait,

plus elle trouvait cet homme répugnant. Voyant que la situation n'était plus autant à son avantage, le brancardier voulut en finir avec la jeune femme. Il agrippa la belle chevelure blonde d'une main et empoigna son sexe de l'autre pour se masturber frénétiquement. Malgré cela, la jolie blonde put constater que la verge ne se raidissait pas tandis que Pierre se mettait à souffler comme un boeuf épuisé.Il se remit à jurer des obscénités à l'encontre de Laurence en même temps qu'un flot de sperme finissait par baver piteusement de son sexe, souillant ainsi la chevelure blonde. Laurence eut de nouveau la nausée en observant la retraite de son agresseur, essoufflé et le visage empourpré,remballant fébrilement son sexe dans son pantalon.

En guise de vengeance, il laissa sa victime attachée par ses chaînes pour le restant de la nuit...