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Vues: 844 Created: 2007.07.19 Mis à jour: 2007.07.19

La clinique secrète

Chapitre XVIII

Lorsque la patiente et le brancardier arrivèrent au cabinet de sexologie, la pièce était désertée par son occupante attitrée. Julien et Laurence attendirent donc le retour de la maîtresse des lieux, qui fit une entrée façon

"starlette",en ondulant sensuellement des hanches, sourire immense aux lèvres et passant négligemment sa main dans sa superbe chevelure. Elle capta inévitablement le regard et l'attention de la patiente;quant au jeune brancardier, il était carrément hypnotisé par la présence de la belle brune, les yeux exorbités et la bouche entrouverte, tel le loup de Tex Avery, ce qui eut l'air de bien amuser Virginie Voyret. Ce jour-là,elle portait un jean noir ultra moulant et un chemisier de satin vermillon savamment décoletté qui lui allaient à ravir. Faut dire que Virginie Voyret était le genre de femme sur qui n'importe quelle tenue allait à merveille.

Elle savait qu'elle possédait ce genre d'avantage et elle en profitait largement.

"Bonjour chère Laurence, bonjour Julien. Je suis sincèrement navrée de ce retard, j'espère que vous ne m'en voulez pas trop".Son large sourire façon "Hollywood" suffisait à ce qu'on lui pardonne tout.

"Julien, tu peux nous laisser à présent".Le jeune homme se retira, après avoir dévoré des yeux la sexologue.

"Bien Laurence, nous avons bien progressé lors de la précédente séance, je pense que vous êtes d'accord avec moi. J'aimerais progresser encore plus avec vous. Et j'estime que cela serait plus facile si vous acceptiez que je vous tutoie. Cela créera une relation privilégiée entre la praticienne et sa patiente, vous voyez ce que je veux dire;qu'en penses-tu Laurence?"

Madame Bardon, de par son éducation à la fois stricte et bourgeoise, n'avait pas l'habitude de tutoyer les gens, même proches, et encore moins de se laisser tutoyer. Elle réserva sa réponse. Virginie Voyret revint à la charge:"Tu sais Laurence, j'ai vu sur ton dossier médical que nous sommes nées la même année, pour un peu, nous aurions pu être copines de classe, alors ne sois pas si farouche, veux-tu?"

Devant le sourire aguicheur et les arguments de la sexologue, la bourgeoise dut se résoudre à accepter d'être tutoyée par la grande brune. Satisfaite d'avoir convaincue sa patiente, elle poursuivit:

"Tu n'es pas sans savoir, ma chère Laurence, que la qualité et l'intensité du plaisir sexuel sont avant tout conditionnés par la stimulation des zones érogènes. Nous l'avons vu hier lors de la séance en salle de formation. Concernant la stimulation de la zone recto-anale, je me suis entendue avec ma collègue Catherine Lepic qui a déja commencé un programme avec toi. Je vais donc me focaliser sur la stimulation de tes seins et de toute la région vulvo-vaginale. Avant d'aller plus loin, j'ai besoin de savoir si tu as l'habitude de te caresser les seins lorsque tu te masturbes".

La bourgeoise dut admettre que sa technique de masturbation était assez simpliste et se cantonnait à la stimulation du clitoris, ses seins faisaient rarement l'objet de caresses ou de stimulations. Paul, le mari de Laurence, aimait quant à lui caresser et exciter les seins de son épouse mais elle ne lui en laissait que trop rarement l'occasion.

"Bien je vois, je vais te faire découvrir à quel point les seins peuvent être source de plaisir et tu ne pourras plus te passer de les stimuler, tu peux me croire" déclara la grande brune.

Madame bardon dut une fois de plus se plier au rituel du fauteuil gynécologique, mais ses chevilles furent laissées libres, sans attache. Le fauteuil fut basculé vers l'arrière, de sorte que le buste de la jeune femme reposait quasiment à l'horizontale. La praticienne palpa avec délicatesse chaque sein, puis se saisit d'une loupe dans l'armoire médicale vitrée. Elle observa avec le verre grossissant chaque mamelon. Cette façon d'être regardée,

observée, examinée avait pour effet de mettre la patiente dans un état de gêne et de malaise prononcé,bien qu'il ne s'agissait cette fois que de l'observation de ses mamelons. Mademoiselle Voyret sortit ensuite de l'armoire à ustensiles deux demi-sphères en plexiglas surmontées à leur sommet d'un embout et avoisinant la taille d'un sein. La sexologue précisa qu'il s'agissait de globes de Hapstein, que l'on reliait à une pompe à vide et qui étaient destinés à stimuler les seins par un phénomène d'aspiration. La sexologue déposa une noix de gel lubrifiant sur son doigt et le passa ensuite sur le pourtour de chaque sein, sans omettre d'enduire également les aréoles. Puis les globes de Hapstein furent placés chacun sur un sein, formant sur eux comme une coiffe;deux tuyaux souples furent ensuite emmanchés sur les embouts des globes et reliés à un troisième tuyau, lui-même raccordé à la pompe à vide. Avec son sourire hollywoodien, Virginie Voyret annonça avec enthousiasme:

"Tu vas voir ma chère, tu vas a-do-rer".

Laurence, ne sachant pas ce qui allait advenir à ses seins, restait tendue et anxieuse. La jeune femme brune mit en marche la pompe à vide, qui émit un ronronnement sourd. Les flexibles reliant les globes se tendirent et le vide commença à se faire dans les deux sphères, qui se plaquèrent fortement sur l'épiderme du contour des seins.

Au fur et à mesure que la dépression augmentait dans les globes, la blonde voyait ses seins augmenter de volume en même temps que ses aréoles s'élargissaient et ses mamelons pointaient et durcissaient. La sensation était loin d'être désagréable, quoi que nouvelle pour la jeune femme. La sexologue surveilla les aréoles de la bourgeoise, dont le diamètre avait quasiment doublé,et les corpuscules de Montgoméry qui étaient dilatés sous l'effet du vide. Elle décida de stopper la pompe et ôta avec force les deux globes, qui émirent un "chlaaaf" en se décollant brusquement de l'épiderme. La brune se mit à rire en voyant l'air ahuri de sa patiente. Elle saisit une règle graduée pour mesurer le diamètre de chaque aréole et usa d'un pied à coulisse pour mesurer le diamètre des mamelons, avant de consigner les mesures dans le dossier médical. La sexologue se mit ensuite à titiller de ses ongles vernis chaque mamelon dressé en riant. Ce rire parut déplacé au goût de Laurence et l'agaça fortement.

Elle se sentait de plus en plus être comme une poupée entre les mains d'une gamine un brin perverse. Ce qu'elle ignorait, c'est que Virginie Voyret était une femme très intelligente, calculatrice et psychologue. Elle connaissait l'art de mettre ses patients en confiance pour ensuite se jouer d'eux et les conduire là où elle le souhaitait, dans une sorte de perversité savamment organisée. Laurence allait le découvrir à ses dépends.

La grande brune replaça alors les deux globes mammaires sur les seins de sa patiente, actionna le contacteur de la pompe à vide et sélectionna le mode alterné.Des phases d'aspiration succédèrent à des phases de refoulement de l'air, causant le gonflement suivi de la déflation des seins et des mamelons du sujet. La bourgeoise sentit de légers picotements dans ses seins, suivis d'une sensation de chaleur. C'était dû à l'effet d'aspiration, provocant la dilatation des vaisseaux sanguins des tissus mammaires,

favorisant l'irrigation sanguine des seins et par là-même,

en augmentait leur sensibilité.La sexologue augmenta la cadence de la pompe jusqu'à ce que sa patiente commença à manifester les premiers signes de plaisir. Se plaçant entre les cuisses ouvertes, elle posa son index sur le clitoris de la blonde, qui sursauta mais se laissa faire, trop concentrée sur le plaisir nouveau que lui prodiguait la stimulation de ses seins.

"Alors Laurence, tu as l'air d'aimer ça on irait, ton clito parle pour toi, il est dressé sous son capuchon".

La bourgeoise resta silencieuse, savourant les sensations en provenance de ses seins.

"Je n'avais pas raison quand je te disais que tu allais adorer?"

D'une voix un peu helatante, la patiente répondit enfin:"Oui, c'est exact".

Usant d'un ton subitement autoritaire, Virginie Voyret enchaîna:"On répond "Oui maîtresse, vous avez raison!"".Et elle enfonça brutalement son majeur dans le vagin de la pensionnaire qui sursauta sur son fauteuil. Le doigt inquisiteur explora les parois intimes de la blonde en effectuant des mouvements circulaires. La sexologue poursuivit le mouvement rotatif de son doigt jusqu'à ce que le vagin se détende. Lorsqu'un deuxième doigt vint en renfort du premier, la blonde se raidit de plaisir, ses parois vaginales enserrèrent les doigts de la brune qui guettait chacune des réactions intimes de sa patiente. Elle poursuivit les mouvements de ses doigts en augmentant progressivement la pression sur les parois vaginales et stoppa net lorsque Laurence lâcha un premier gémissement de plaisir. Elle retira ses doigts et arrêta la machine, laissant sa patiente au bord de son premier orgasme, dans un état d'excitation intense. La perverse sexologue fixa Laurence droit dans les yeux:"Alors chère amie, quelles sont tes impressions?"

"C'est trop bon, continuez s'il vous plait"

"Ah ah, on en redemande, on commence à y prendre goût. Mais ne t'inquiète pas, je vais faire de toi une accroc du sexe, ton mari ne va pas te reconnaitre. Commence par lécher mes doigts souillés par ta mouille, petite chienne Laurence".

La jeune bourgeoise était totalement déboussolée par les changements imprévisibles d'attitude de la belle brune. Tantôt elle se comportait en amie, tantôt en dominatrice.

"Lêche, c'est un ordre, si tu ne veux pas que je te laisse en plan, dans la plus totale frustration!".

Comme une petite chienne docile, Laurence consentit à lécher les deux doigts de la sexologue. La grande brune afficha alors un large sourire triomphant en agitant sa longue chevelure.

"Bien, puisque tu veux ta dose de plaisir ma petite chienne, je vais te faire jouir comme jamais tu n'as joui dans ta vie, même pas dans tes fantasmes. Tu vas subir le supplice du palmier".

Un éclat de rire sarcastique sortit de la bouche de la belle brune tandis qu'elle allait prendre un nouvel accessoire dans l'armoire médicale.

Le supplice du palmier consistait à placer dans le vagin du sujet un gode vibrant de taille standard. L'embase du gode était dotée d'une sorte de bouchon de liège dans lequel étaient plantées quelques plumes de duvet d'eider.

L'eider est une variété de canard sauvage possédant des plumes de duvet d'une très grande chaleur et d'une douceur incomparable. En positionnant les plumes sur le pourtour du bouchon et en exploitant la courbure naturelle des plumes, l'ensemble faisait penser, avec un brin d'imagination,à un palmier miniature sortant du vagin. En actionnant le mode vibrateur du gode, les plumes oscillaient sans cesse et venaient caresser avec une infinie délicatesse tout le pourtout de la vulve et le clitoris.

Le sujet, en l'occurence madame Bardon,étant déja passablement excité,son vagin accepta sans difficulté de recevoir le gode-palmier. La brune dominatrice actionna le vibrateur du gode, sourire aux lèvres, connaissant par avance les réactions qui allaient s'en suivre. La bourgeoise ressentit tout d'abord d'agréables vibrations sur ses parois intimes et son vagin ne tarda pas à se contracter de façon spasmique sur le gode. Puis, ce sont les caresses multiples et généralisées à toute sa vulve, y compris bien sûr son clitoris, qui furent sources de nouveaux délices. L'infinie douceur des plumes de duvet s'agitant de manière incessante sur le bord des petites lèvres et le clitoris de la blonde exerçait un cocktail de chatouillements, de picotements et de caresses d'un raffinement inoui. La combinaison des vibrations dans le vagin et de la stimulation de la vulve et du clitoris déclencha un orgasme fulgurant de la patiente, qui se mit à gémir et haleter, comme une vraie petite chienne,

confirmant ainsi à ses dépends les qualificatifs humiliants de la sexologue.

Constatant la grande réceptivité de sa patiente au programme de rééducation sexuelle, Virginie Voyret afficha un sourire charmeur doublé de propos inquiétants à l'adresse de la bourgeoise:"Ma chère Laurence, je vais faire de toi une esclave sexuelle. Je déciderai de quelle manière et à quel instant tu jouiras. Et je vais t'en faire la démonstration".

Elle arrêta le fonctionnement du gode-palmier, sans pour autant le retirer, laissa un bref moment la blonde reprendre son souffle après son premier orgasme et actionna la pompe à vide, en mode aspiration continue. Les seins, déja rendus hypersensibles, reprirent leur mouvement de dilatation, enflèrent jusqu'à venir se plaquer contre la paroi de plexiglass des sphères, les aréoles atteignirent une taille démesurée en même temps que leur teinte virait au violacé.Le phénomène de succion continue sur les mamelons de Laurence lui procura des ondes de plaisir croissant, comme si plusieurs bouches lui têtaient ses bouts avec gourmandise. Mais l'action du vide était encore plus efficace sur les corps érectiles et les mamelons de la blonde entraient dans un état d'érection tel qu'ils lui faisaient presque mal, la laissant ainsi aux portes de l'orgasme, sans pour autant l'atteindre.

Virginie Voyret, en grande professionnelle, connaissait par coeur les réactions du corps humain et savait gérer, avec habileté et perversité,la montée du plaisir.

"Alors Laurence, je parie que tu aimerais t'offrir un second orgasme, mais tes mamelons commencent à te faire souffrir, n'est-ce pas?"

"Euh, oui, en effet"

"Oui qui?!!!"

"Oui maîtresse"

"Bien, alors je vais te faire jouir par tes mamelles de petite chienne. Tu vois, c'est moi qui décide de quand et comment".

La longiligne brune était redoutable dans son rôle de dominatrice. Surtout, ce n'était pas du bluf, chacune de ses actions confirmaient ses propos. Elle plaça la pompe à vide en mode alterné,autorisant fugitivement aux seins de la patiente de reprendre leur volume initial, avant d'être à nouveau fortement aspirés, et ainsi de suite de longues minutes durant. Le sujet se mit à gémir à nouveau, en ondulant sur le fauteuil. Cette fois-ci, l'orgasme fut plus lent à venir, plus progressif mais d'une aussi grande intensité que le premier, quoi que de nature différente. Laurence Bardon était en pleine découverte des facultés orgasmiques de son corps de femme. Après avoir joui, elle réalisa qu'elle devenait dépendante de la sexologue et que c'était l'imprévisible grande brune qui maîtrisait son corps et non elle-même. Cela avait quelque chose d'inquiétant.

Après ces deux intenses orgasmes, elle se serait bien vue arrêter là cette drôle de séance, mais c'était la sexologue et elle seule, qui en déciderait. Or, mademoiselle Voyret avait programmé que sa patiente aurait trois orgasmes, et non pas deux au cours de cette séance.

La pompe à vide fut mise à l'arrêt et les globes de Hapstein, ventousés sur le buste de la blonde, nécessitèrent toute la poigne de la grande brune pour être retirés, laissant leur empreinte sur le contour des seins. Ce sont deux pinces crocodiles qui furent ensuite posées chacune sur un mamelon. La morsure des pinces, tolérable en temps normal,était rendue très douloureuse du fait de l'hypersensibilité des mamelons suite à leur érection forcée. Laurence Bardon ne put se retenir d'émettre deux petits cris de douleur qui laissèrent la praticienne perverse totalement impassible. Cette dernière n'en resta pas là.Elle raccorda chaque pince par l'intermédiaire de deux petits fils à un générateur de courant électrique. Avec toute sa science du raffinement pervers, la sexologue laissa le générateur à l'arrêt pour d'abord remettre en action le vibrateur du gode-palmier. Le diabolique instrument ne mit pas longtemps à procurer de voluptueuses sensations au sujet qui retrouvait peu à peu le chemin du plaisir. La sexologue prit soin de sangler les chevilles de sa patiente à l'armature du fauteuil gynécologique et immobilisa sa taille à l'aide d'une sangle, en prévision d'agitations incontrôlées.

Au fil des minutes qui s'écoulèrent, la caresse des plumes de duvet se mua en une volupté presqu'insoutenable;la patiente sentait son clitoris devenir comme électrisé à force d'être stimulé.C'est ce moment que choisit la sexologue pour allumer le générateur de décharges électriques. La blonde ressentit de petits picotements dans ses mamelons endoloris par les pinces, puis progressivement elle sentit l'effet caractéristique du courant électrique traversant ses tétons, les faisant trembloter à chaque décharge. Simultanément, l'action voluptueuse et impitoyable du gode-palmier se poursuivait quelques centimètres plus bas sur son corps. Pour la première fois de sa vie, la jeune bourgeoise expérimentait la dualité plaisir/douleur sous le contrôle de la perverse jeune femme brune. Elle sentit comme une sorte d'immense vague de plaisir monter en elle, son abdomen commença à se contracter de façon incontrôlée, tandis que ses cuisses tremblotaient de plus en plus. La sexologue augmenta encore l'intensité des décharges électriques et se mit à caresser tendrement les cheveux blonds de sa patiente. Laurence sentit que quelque chose de grandiose se préparait de façon imminente dans ses entrailles. Son vagin se mit à se contracter de manière violente et saccadée sur le gode vibrant;en même temps ses mamelons frisaient le seuil d'intolérance aux décharges électriques et devenaient brulants;quant à son clitoris,

il agonisait sous le délicieux supplice des plumes de duvet. Ce ne sont pas des gémissements mais des cris qui ponctuèrent le troisième orgasme de Laurence Bardon, qui ne contrôlait absolument plus ses organes, lâcha un jet d'urine tandis que ses cuisses étaient tétanisées de tremblements.

Virginie Voyret resta maîtresse de la situation durant ce temps-là,se délectant de voir sa patiente agoniser de plaisir. Elle mit fin au supplice de la blonde en arrêtant tous les appareils. La patiente mit de longues minutes avant de retrouver sa lucidité.La sexologue paracheva son oeuvre de déstabilisation en présentant le gode-palmier luisant de cyprine sous le nez de la bourgeoise.

"Pour te punir d'avoir fait pipi par terre, tu vas me nettoyer ce gode avec ta langue".

Le retour à la réalité fut assourdissant pour Laurence.

"Quoi, comment ça, pipi par terre?!!!"

Avec un rire cynique, la grande brune expliqua:

"Eh oui, ma chère Laurence, tu as joui si fort que ta vessie s'est lâchée, comme un chiot, ou plutôt une petite chienne prise de panique".

Pour le coup, la honte et l'humiliation de madame Bardon atteignaient leur paroxysme.

"Ne t'inquiète pas ma petite Laurence, je ne t'en veux pas pour ça. Lèche-moi ce gode que tu as souillé de ta mouille si tu veux que je te détache du fauteuil".

Quelques instants plus tard, la maîtresse des lieux signifia à sa patiente humiliée qu'elle était satisfaite de ses réactions au traitement et déclara la séance clôturée pour ce jour. Elle se colla tout contre Laurence pour lui murmurer à l'oreille d'une voix sensuelle et envoutante:"Bonne soirée ma chérie, et n'oublie pas, je te fais jouir quand je le veux"...