Vues: 846 Created: 2011.04.29 Mis à jour: 2011.04.29

L'infirmière Diane

Chapitre 1

Bonjour,

voici un nouveau récit que je viens de terminer d'écrire, j'espère que vous aimerez 😃

Suite à mon opération du genou, le docteur prit la décision de me garder un peu à l'hôpital, expliquant simplement à ma mère qu'il fallait que je me repose.

-Comme ça il pourra rester couché. Il se rétablira plus vite, ajouta-t-il.

Je fus alors mis en attente dans une salle de repos, où je m'endormis. Un peu plus tard, un bruit me réveilla : une infirmière était entrain d'enlever les freins de mon lit.

-Ah, tu es réveillé. Reste couché, je t'emmène simplement dans ta chambre.

Elle déplaça le lit hors de la pièce, et traversa plusieurs couloirs, avant de prendre l'ascenseur. Arrivé au bon étage, l'infirmière rentra mon lit dans une des premières chambres. Celle-ci était déjà occupée par une personne visiblement endormie, je pus juste distinguer une longue chevelure brune sur l'oreiller.

Mon lit fut installé environ deux mètres à côté de celui de cette patiente. Ensuite, l'infirmière bloqua une par une les roues de mon lit. Je vis qu'elle était assez jeune, et très jolie aussi.

M'arrachant de mes pensées coquines, l'infirmière se pencha au-dessus de moi. Je ne pus m'empêcher de jeter un coup d'œil furtif vers sa poitrine.

-Moi, c'est Diane. J'ai encore pas mal de choses à faire pour l'instant. Je reviendrai m'occuper de vous deux en fin d'après-midi. Reste bien dans ton lit : le docteur à demander que tu restes couché. Si tu as besoin de quelque chose, tu peux appeler avec ce bouton.

Sur ce, elle me laissa et sortit de la chambre. Je ne savais pas quoi faire. Je n'étais plus fatigué et je n'avais aucun livre à lire pour passer le temps. J'attendis donc sagement, jusqu'à ce que ma compagne de chambre se réveille. C'était une fille de mon âge. Elle fut un peu surprise d'avoir de la visite.

-Salut, lança-t-elle dans ma direction.

-Salut, fis-je.

Elle remonta un peu son lit pour s'installer plus confortablement. On se présenta rapidement. Elle s'appelait Élisa, et fréquentait le même lycée que moi. Pourtant on ne s'était jamais croisé.

-Tu es ici depuis longtemps ? Demandai-je.

-Non. On m'a amené ici ce matin, mais je dois rester plusieurs jours. J'ai quelques problèmes de digestion. Et toi ?

-Je suis arrivé il y a une heure, pendant que tu dormais. Je me suis fait opéré du genou, et on me garde ici en observation.

On discuta encore quelques temps, puis Élisa alluma la télévision pour nous distraire.

Vers six heures de l'après-midi, Diane entra dans la chambre, sans bruit, avant de s'apercevoir qu'on ne dormait plus.

-Tout va bien, les jeunes ? Fit-elle en refermant la porte.

Je hochai la tête, et Élisa fit signe que oui.

-Avant de manger, je vais rapidement faire quelques vérifications de routine, expliqua Diane.

Elle se dirigea alors vers Élisa et ouvrit une boîte métallique posée sur une petite table entre nos deux lits.

-Tu as été aux toilettes, aujourd'hui, Élisa ? Demanda-t-elle.

-Euh, non, pas encore, répondit la jeune fille, mal à l'aise.

-Le médecin a dit que tu devais y aller une fois par jour, rappela l'infirmière. On va encore attendre jusqu'à ce soir. Pour l'instant, je vais vérifier ta température.

L'infirmière venait de sortir un thermomètre en verre de la boîte, et l'agita énergiquement de haut en bas. Je vis le visage de ma compagne de chambre virer au blanc, puis au rouge.

-Allez, on fait comme tout à l'heure. Mets-toi de côté, lui dit Diane en rabattant sa couverture au bout du lit.

Élisa portait un pyjama blanc, mais pour l'instant, je m'intéressais à tout autre chose : l'infirmière semblait avoir l'intention de lui mettre le thermomètre dans le derrière, à côté de moi. En plus, de là où je me trouvais, je pourrais voir toute l'opération.

-S'il-vous-plaît, fit Élisa, super gênée. Pas devant lui.

Diane jeta un rapide regard vers moi, par dessus son épaule. Je me sentis rougir instantanément.

Elle reporta ensuite son attention vers sa patiente.

-Désolée, ma grande, mais moi je fais ainsi, pas d'exception. Et puis comme ça il verra comment je procède.

Élisa finit par se retourner, à contre-cœur. La main de Diane attrapa son pantalon de pyjama et le descendit jusqu'aux genoux. Je voyais à présent les fesses nues d'Élisa, je n'en croyais pas mes yeux. Mais je n'étais pas au bout de mes surprises : Diane souleva la fesse de la jeune fille, et je pus distinguer son petit trou rose. Elle y glissa ensuite doucement le thermomètre, puis recouvrit sa patiente avec son drap.

-Garde-le quelques minutes, fit Diane.

Je me repositionnai dans mon lit et fixai le plafond, choqué et fasciné par ce qu'il venait de se passer.

-Tu n'as plus mal au ventre ? Demanda la jeune femme.

-Non.

-Ok. Je t'apporterai ton médicament pendant le repas, ajouta-t-elle.

Je n'osais plus regarder du côté d'Élisa. Une bonne minute s'écoula. Après, je vis Diane passer devant mon lit. Elle lisait le thermomètre qu'elle venait de retirer du cul de sa patiente. Celle-ci se pressait maintenant de se recouvrir pour s'installer comme avant, et n'osa pas regarder dans ma direction.

-Tu as encore de la température, je vais t'apporter aussi un comprimé pour faire baisser cette fièvre, pendant le repas.

Diane, qui s'était diriger dans la salle de bain, ouvrit l'eau du robinet et nettoya le thermomètre, puis revint entre les deux lits, regardant à présent de mon côté.

-Toi aussi, tu as droit au même traitement que ta collègue, fit-elle en agitant à nouveau le thermomètre. Couche-toi sur le côté.

J'étais également gêné par cette pratique, mais j'obéis. Diane baissa ma couverture, puis mon pantalon de pyjama. Je trouvais quand même cela excitant : se faire planter un thermomètre dans le cul par une jolie jeune femme. Et je n'avais pas non plus peur d'avoir mal.

Une main souleva ma fesse, et quelques secondes après, je sentis la tige s'enfoncer dans mon trou de balle, puis s'arrêter. Diane me couvrit pour cacher mon derrière et me demanda aussi de garder l'instrument plusieurs minutes.

-Comme tu ne peux pas sortir de ton lit tout seul, tu dois m'appeler pour aller aux toilettes, m'expliqua-t-elle. Tu as déjà été aujourd'hui ?

-Non, répondis-je.

-Alors, je te fais la même remarque que ta collègue : essaye de bien y aller ce soir. Toi tu n'es pas obligé, mais c'est mieux.

Elle attendit un petit peu, puis sa main glissa sous mon drap, et retira la tige du thermomètre.

Je me dépêchai à mon tour de remonter mon pantalon.

-Pas de température, parfait, commenta Diane. Je reviens dans vingt minutes avec vos repas.

Elle passa le thermomètre sous l'eau et sortit de la chambre.

On resta d'abord plusieurs minutes sans se parler, devant la télévision. Élisa se doutait que je l'avais regardée, et se sentais trop gênée pour me parler. De mon côté, je ne savais pas si elle avait été aussi curieuse que moi, mais je gardais un souvenir agréable de cette prise de température.

Finalement, Élisa se décida à reprendre la conversation avec moi.

-Désolée, fit-elle. Je ne pensais pas qu'elle ferait ça.

-C'est pas grave, tu n'y es pour rien, fis-je. Elle m'a fait la même chose, à moi aussi.

-C'est dégoûtant, fit-elle en faisant la grimace.

On s'arrêta là sur ce sujet car Élisa préférait parler d'autres choses.

Diane ne tarda d'ailleurs pas à arriver en poussant deux plateaux repas près de chacun de nous. Elle posa également deux comprimés à côté de l'assiette d'Élisa. Celle-ci avait droit à un autre menu que le mien, sûrement à cause de ses problèmes de digestion.

-Prends tes médicaments au milieu du repas, fit-elle en quittant à nouveau la chambre.

La présence de Diane ne me laissait pas indifférent. Après ce qu'elle m'avait fait, je la voyais d'une autre façon. Je percevais une certaine attirance sexuelle envers elle maintenant, et n'arrivait pas à défaire mon regard de son corps. Ceci ne passa d'ailleurs pas inaperçu aux yeux d'Élisa.

-Et bien ! Tu as flashé sur l'infirmière ou quoi ? Fit-elle d'un ton drôle quand Diane fut partie.

Mal à l'aise par sa remarque, je rougis, ne sachant pas quoi répondre à cela. Inutile de nier l'évidence.

-Désolé, répondis-je simplement. J'ai pas pu m'en empêcher.

Quand le repas fut terminé, une autre femme, plus âgée, vint chercher nos plateaux vides. Diane arriva environ une heure plus tard. Élisa était entrain de prendre sa douche à la salle de bain.

-Est-ce qu'elle a été aux toilettes ? Demanda-t-elle.

-Non.

-Et toi, tu ne dois toujours pas y aller ?

-Euh, si, je veux bien.

-Ok, je vais t'accompagner dans les toilettes du couloir.

Elle m'aida à me relever, et me guida hors de la chambre. Une fois arrivés aux toilettes, elle s'accroupi face à moi, tira sur mon pantalon, et m'assit sur la cuvette.

-Je vais t'attendre dehors. Tu m'appelle quand tu as terminé, ok ? Il ne faut pas que tu fasses d'efforts.

Elle ferma la porte pour m'attendre derrière. J'avais l'impression d'être retombé en enfance, obligé d'appeler quelqu'un après avoir été aux toilettes.

Finalement, parce que je ne me sentais pas assez prêt pour cela, je me retins, ça pouvais attendre. J'appelai Diane et lui expliquai que je n'avais plus envie finalement.

-C'est sûr ? Tu n'as plus besoin ?

-Oui, c'est passé.

-Tu n'es pas constipé, au moins ? Si c'est ça je peux te donner quelque chose pour te soigner.

Quand j'étais petit, ma mère me mettait un suppositoire quand j'étais constipé. Peut-être que Diane envisageait cette solution. C'était tentant d'accepter, après le thermomètre de tout à l'heure, mais je préférai me taire, pour le moment.

-Non, je n'ai juste plus envie, expliquai-je.

-D'accord.

On marchait dans le couloir, en direction de la chambre. Soudain, Diane bifurqua dans une chambre vide, m'entraînant à l'écart avec elle. Elle se baissa à ma hauteur.

-Tu sais, j'ai bien vu tout à l'heure que tu as aimé recevoir le thermomètre.

-Euh, non... Je...

-Ne t'inquiète pas, je ne dirai rien à personne. C'était pour te dire, si tu as besoin d'un coup de main pour aller aux toilettes, je peux te mettre un suppositoire, je pense que tu aimeras bien aussi.

-Non, ça ira, je vais attendre, fis-je.

Diane me mettait mal à l'aise, avec ses propositions, tout à coup. Elle insista :

-Je peux aussi t'en mettre de force, si tu préfères, c'est très facile et ça va très vite. Si tu veux, tu peux te retenir jusqu'à demain matin. Si tu n'as toujours pas besoin à ce moment-là, je te mettrai un suppo, ok ?

Elle ne me laissa pas le temps de répondre, et me guida vers la sortie de la chambre, pour regagner la mienne.

-Je te laisse y réfléchir cette nuit, fit-elle.

Rentrant comme si de rien n'était, elle m'aida à grimper dans mon lit et m'installa confortablement. Élisa était dans son lit, les cheveux encore humides. Elle lisait tranquillement une bande dessinée.

Diane vint la voir.

-Il va falloir aller aux toilettes, maintenant, Élisa. Tu n'as pas encore été aujourd'hui, tu dois faire avant d'aller te coucher.

Je connaissais le traitement que lui réservait Diane si elle n'y allait pas, ça ne lui plairait sûrement pas. Intérieurement, j'avais envie que la jeune infirmière lui mette un suppositoire. Rien que l'idée m'excitait déjà beaucoup. En plus, avec un peu de chance, tout se passerait dans la chambre, sous mes yeux, comme tout à l'heure.

Élisa, elle, ne savait rien de ce qui l'attendait, et expliqua donc simplement qu'elle n'avait toujours pas besoin, mais qu'elle essayerait d'y aller le lendemain matin.

-Je suis désolée, répondit gentiment Diane, mais tu es obligée d'y aller, c'est pour que ton traitement fonctionne. Attends-moi ici, je vais aller te chercher un suppositoire.

Élisa n'osa rien dire, laissant notre infirmière quitter la chambre. Je voyais qu'elle se sentait terriblement gênée.

-S'il-te-plaît, ne regarde pas, me fit-elle. Je n'ai pas reçu de suppo depuis des années.

-Ne t'en fais pas, la rassurai-je, ça va juste t'aider un peu, je suis sûr que ça va très bien se passer.

Déjà Diane revint dans la chambre, tenant entre ses doigt le médicament jaunâtre destiné à être introduit dans le derrière de sa patiente.

-Installe-toi comme pour la prise de température, fit-elle.

Ne résistant pas à l'envie de regarder, je tournai la tête vers Élisa. Celle-ci était couchée sur le côté, et Diane dévoila ses fesses en baissant son pantalon.

Mon sexe était à présent tout dur.

Une main dégagea le petit orifice d'Élisa, et l'autre posa le médicament dessus.

-Pousses, s'il-te-plaît.

L'espace d'une seconde, l'anus se décontracta, et Diane en profita pour pousser le suppositoire, puis elle ressortit son doigt rapidement et vérifia que sa patiente n'expulsait rien.

-C'est bon, tu n'as plus qu'à attendre, fit-elle en recouvrant la jeune fille.

Elle quitta la chambre et nous souhaita une bonne nuit à tout les deux. Un quart d'heure après, j'entendis le ventre de ma collègue émettre des gargouillis. Elle ne se retint pas longtemps et se dirigea rapidement aux toilettes.

Pendant ce temps, je me masturbai en silence, content du déroulement des évènements, et avec une seule idée en tête : celle que demain matin, ce serait mon tour.

La lumière du plafond m'éblouit.

-Salut, les jeunes ! Fit Diane, de bonne humeur. Bien dormi.

-Oui, répondis-je, encore à moitié endormi. Il est quelle heure ?

-Sept heure et demi. L'heure de prendre votre petit déjeuner.

Dans son lit, Élisa aussi émergeait de son sommeil. Diane lui indiqua qu'elle pouvait se rendre au réfectoire dès qu'elle serait prête, puis se tourna vers moi :

-Toi mon grand, il faut aller te doucher, tu vas venir avec moi.

Je ne bronchai pas, me contentant de hocher la tête. Diane attendit qu'on soit seuls et m'aida à me déplacer dans la salle de bain de la chambre. Cette petite pièce comportait un placard, un évier, un wc et une douche.

Je me souvins que la veille, elle m'avait proposé de me mettre un suppositoire. Cette pensée relança le désir que je ressentais par rapport à elle.

-Tiens-toi à moi, je vais enlever tes vêtements.

En enlevant mon pantalon de pyjama, elle remarqua tout de suite mon sexe tendu. Elle releva la tête vers moi, un petit sourire aux lèvres, puis retira aussi mon haut.

Ensuite, je la vis fouiller quelques secondes dans une de ses poches, et en sortir une boîte que je reconnus immédiatement : elle contenait une dizaine de ces médicaments jaunâtres, à effets laxatifs.

-Alors, tu as réfléchi si tu voulais un suppo ? Demanda-t-elle en posant la boîte sur l'évier.

Ne sachant pas comment lui dire que sa proposition m'excitait, je décidai de rester simplement réaliste.

-Oui, je pense que ça va m'aider, en effet, fis-je.

Voilà, je venais de rassembler tout mon courage pour accepter le traitement, je n'avais plus qu'à attendre que Diane fasse son travail.

Celle-ci attrapa la boîte, l'ouvrit, et en sortit un des suppositoires qu'elle passa rapidement sous l'eau. Je me retournai pour lui montrer mes fesses, et sentis ses doigts m'écarter et poser le suppo sur mon petit trou. Elle introduisit ensuite son doigt entièrement dans mon derrière, resta plusieurs secondes, et ressortit.

Malgré le plaisir, je trouvai que l'opération n'avait duré qu'un moment très court.

-Voilà, tu as ton suppo, fit-elle. Maintenant vas dans la douche, je vais te laver. Tu iras aux toilettes après.

Je me mis dans la petite baignoire, me maintenant debout en m'accrochant à une barre prévue pour ça, et Diane commença par régler la température de l'eau. Déjà, avant même d'avoir commencé, je ressentis les premières contractions au ventre.

Diane me passa ensuite de l'eau tiède sur tout le corps, et me savonna. Mon sexe était toujours en érection.

-Et bien, je ne savais pas qu'un petit suppositoire pouvait provoquer autant de plaisir chez un homme, fit-elle.

Avant de me faire rincer, j'eus une autre contraction. Un réflexe instinctif me fit pousser, et j'expulsai le suppositoire qui tomba dans l'eau, il était déjà un peu fondu.

Automatiquement, Diane le ramassa, écarta mes fesses d'une main, et enfonça de nouveau le médicament dans mon derrière. Cette fois, elle laissa son doigt un long moment, continuant de me rincer tout en me taquinant la prostate du doigt.

On croisa nos regards, et on comprit qu'on était tout les deux consentants à pratiquer ce petit jeux anal. Elle rentra et ressortit alors plusieurs fois son index, jouant avec mon anus jusqu'à la fin de la douche, avant de m'autoriser à aller enfin m'asseoir sur la cuvette. J'évacuai rapidement grâce au suppo, puis Diane me sécha, me rhabilla et me remit au lit.

fin.

PS : Ici aussi une suite est prévue, avec au programme une scène de lavement 😉

Thermophil

Comments

patou39 Il ya 13 ans  
omega44 Il ya 13 ans  
patou39 Il ya 13 ans  
n/a Il ya 13 ans  
dudu Il ya 13 ans  
clyso Il ya 13 ans  
omega44 Il ya 13 ans