Et voici la suite de cette histoire.

Bonne lecture.

Après ce qui venait de se passer entre nous, j'étais beaucoup plus à l'aise avec Diane. Elle m'apporta un petit-déjeuner, puis Élisa ne tarda pas à revenir elle aussi de la cantine.

Cette fois, on ne mit pas la télé pour passer le temps, mais on discuta de tout et rien, pour un peu mieux se connaître. La matinée passa très vite.

Un peu avant midi, Élisa regarda sa montre.

-Ah, c'est bientôt l'heure de la température, fit-elle. Diane va revenir avec le thermomètre rectal !

Elle fit une légère grimace en prononçant ce mot.

-On va finir par s'y habituer, plaisantai-je.

-Oui. En plus, Diane est venue me voir tout à l'heure à la cantine : elle veut me redonner un suppositoire ce midi pour continuer à me faire aller aux toilettes.

Élisa paraissait vraiment embarrassée par son traitement.

-Elle fait ça pour te soigner, la rassurai-je.

Justement, notre infirmière ouvrit la porte et pénétra dans la chambre.

-Je viens faire les petites vérifications de routine, expliqua-t-elle avec le sourire. Je commence par qui ?

Comme aucun de nous deux ne répondit, elle vint vers moi.

Comme la veille, elle baissa la couverture et mon pantalon, puis glissa le thermomètre dans mon derrière.

-Élisa, je vais aussi te mettre un suppo pour que tu ailles aux toilettes avant le repas, fit-elle.

-C'est vraiment obligatoire ? demanda celle-ci.

-Oui, répondit Diane naturellement. Pourquoi, ça te pose un problème ?

-Non, répondit Élisa, n'osant pas protester.

Ma couverture se souleva, et Diane tira le thermomètre de mon cul pour aller le laver dans la salle de bain. J'attendis qu'Élisa se retourne, et me préparai à assister au spectacle.

Diane ôta sa couverture, lui écarta les fesses, puis commença par lui mettre le suppositoire. Elle enfonça juste après le thermomètre dans son petit trou, le laissant dépasser de moitié.

Regarder l'anus de cette jeune fille m'excitait toujours autant que la première fois. Cela ne durait malheureusement qu'une vingtaine de secondes avant que Diane ne remonte la couverture.

Quand elle lui retira l'instrument, elle lui demanda d'attendre au moins dix minutes avant d'aller à la selle, pour laisser le temps au suppo de fondre entièrement.

"Diane quitta la chambre et parcouru vingt mètre dans le couloir avant de croiser le médecin en charge d'Élisa.

-Alors, comment se porte ma patiente ? Demanda-t-il.

-Pas trop mal. Je viens de lui remettre un suppositoire à la glycérine, pour qu'elle aille à la selle régulièrement.

-Ok. En fait, je venais vous annoncer un changement de planning. Nous allons lui faire sa coloscopie ce soir. Mettez-la à jeun, et préparez-la pour dix-neuf heure. Il lui faut un lavement complet, plus un léger sédatif pour qu'elle s'endorme rapidement.

Il fit venir l'infirmière à son bureau pour lui prescrire les doses sur un papiers."

Élisa venait de revenir des toilettes depuis un petit temps, quand Diane arriva. Celle-ci lui expliqua que sa coloscopie était avancée à ce soir, et qu'elle n'avait plus le droit de manger avant.

-Je vais revenir dans l'après-midi pour te faire un lavement, ajouta-t-elle avant de quitter la pièce. Je suis désolée, je sais que tu viens d'aller aux toilettes.

Quand elle fut partie depuis un bon moment, Élisa me demandant si j'avais déjà reçu un lavement.

-Oui, fis-je. Quand j'étais petit. Et toi ?

Elle secoua la tête.

-Moi non. En fait dans ma famille on m'a rarement mis des thermomètres ou des suppositoires quand j'étais petite. C'est pour ça que je suis un peu stressée.

-Avec le lavement, tu auras eu la totale, ces jours-ci, plaisantai-je. Mais ne t'inquiète pas, ça ne fait pas mal.

"Dans la pharmacie, Diane préparait le lavement de sa patiente. Une autre infirmière, collègue à elle, arriva à ce moment-là.

-Tiens, tu vas donner un lavement, remarqua-t-elle.

-Oui, répondit Diane, c'est pour ma jeune patiente, elle va avoir une coloscopie tout à l'heure.

Sa collègue jeta un coup d'œil sur le matériel médical.

-Tu prépares un autre lavement ? Questionna-t-elle en voyant une deuxième poche plastique.

-Oui, c'est pour le garçon qui est dans la même chambre, celui-ci. Il est constipé le petit. Je vais en profiter pour les soigner tout les deux.

Saluant ensuite sa collègue, Diane continua ses préparatifs : deux poches d'eau, deux tubes avec embout, deux bassines en plastique, puis un pot de vaseline, une boîte de gants et un petit écarteur.

Une fois que tout fut prêt, elle quitta la pharmacie, en direction de la chambre de ses deux patients."