Vues: 814 Created: 2010.03.21 Mis à jour: 2010.03.21

Histoires de visites médicales

Chapitre 5

Ma première journée de travail à l'hôpital...

Pour mon premier jour en tant que stagiaire à l'hôpital, on m'avait confié ainsi qu'à une stagiaire infirmière de la même école que moi, la surveillance des patients qui passaient leur journée ici.

Nous devions nous occupé d'un couloir de dix chambres individuelles, que l'on s'est réparties en cinq chacun.

Vers 7 heure, un premier appel retentit. Ma collègue regarda de quelle chambre il s'agissait et m'indiqua que c'était à mon tour.

-Je reste ici si tu as besoin, me fit-elle pendant que je quittais le bureau.

-D'accord.

Je pris la direction du couloir et me dirigea directement vers la chambre en question, où je découvris une jeune femme, du même âge que moi probablement, qui attendait dans son lit.

Elle leva des yeux étonnés vers mon visage qui lui était inconnu.

-Bonjour, pouvez-vous faire venir la doctoresse, j'ai encore les mêmes douleurs qu'hier.

Je lui expliqua alors qu'aujourd'hui, on m'avait confié la surveillance de ce couloir, et que c'était à moi de m'occuper d'elle.

-Tu as des douleurs où ? Ajoutais-je.

Elle paru très gênée en m'indiquant qu'elle avait mal aux fesses, et attendit ma réaction.

Je fus tout d'abord surpris, puis un sentiment d'excitation m'envahit, n'ayant jamais eu de copine et m'étant entraîné uniquement sur des modèles plastiques à l'école, je n'avais jamais vu les fesses d'une fille. Mais bon, il fallait bien commencer un jour.

J'essayais de cacher ma surprise et lui demanda de me laisser regarder. Elle accepta et replia sa couverture avant de se retourner sur le ventre, la tête sur son oreiller. Elle portait avec sa chemise un pantalon de pyjama blanc à pois roses.

J'avais du mal à croire ce que je m'apprêtais à faire. Rien qu'à cette vue, mon pantalon avec déjà une bosse sous la ceinture. J'ai essayé de reprendre mes esprits et je suis allé vers son lit pour tirer son pantalon, mes doigts effleurant la peau de ses fesses qui se découvraient petit à petit.

Je lâchais son pantalon au niveau du milieu des cuisses et constata qu'il n'y avait aucun signe extérieur qui pouvais indiquer la provenance de sa douleur.

-Tu as mal dedans ? Lui demandais-je.

-Oui.

-Ok, attends deux secondes, s'il te plaît.

Je pris sa fiche de suivi accroché à son lit et vit qu'elle avait subi une endoscopie la veille.

-C'est depuis ton opération que tu as mal ?

-Oui, la doctoresse à demandé que je reste ici quelques jours pour que ça passe.

-Tu as été aux toilettes depuis ?

-Non, pas encore.

Je réfléchis un moment à ce qu'elle pouvais avoir et décida de commencer par la solution la plus simple.

-Bon, on va commencer par te donner quelque chose pour te faire aller aux toilettes, après on verra.

Je sortis de sa chambre en la laissant les fesses à l'air et me dirigea vers le local à pharmacie pour commencer mes recherches parmi les nombreuses boîtes.

à ce moment-là la porte du local s'ouvrit et ma collègue entra.

-J'ai été appelé dans une autre chambre pendant que tu étais parti, me dit-elle pour justifier sa présence.

Elle se dirigea d'un pas vers une étagère, et après un regard rapide, attrapa une boîte d'aspirine.

Puis elle me demanda :

-Je peux t'aider, tu cherches quoi ?

Je baissa un peu les yeux et lui répondit :

-Les suppositoires.

Elle me toisa d'un air surpris, et me ajouta :

-Des suppositoires pour aller aux toilettes ou pour autre chose ?

-Pour aller aux toilettes.

Elle me dépassa et ouvrit un petit placard qui était en fait un frigo, puis me montra du doigt plusieurs boîtes transparentes de suppos jaunâtres.

-Pour adultes ou enfant ?

-Adultes.

Elle me tendit une des boîtes qu'elle posa dans ma main et fila sans poser plus de question, car elle avait dû constater mon embarrassement.

à suivre...

Comments

clyso Il ya 14 ans  
omega44 Il ya 14 ans