Vues: 1225 Created: 2010.07.18 Mis à jour: 2010.07.18

Histoires de visites médicales

Chapitre 8

Bonjour,

voici une nouvelle histoire de visite médicale :

Aujourd'hui je me rends directement à l'infirmerie, toute ma classe à reçu une convocation pour se rendre à la visite médicale ce matin.

Je suis d'abord accueillie dans une première salle avec plusieurs autres élèves de terminale, deux filles et quatre garçons. On passe par groupe de sept ou huit pour cette première partie de la visite, nous explique-t-on. L'infirmière qui nous accueille dans la pièce est une grande femme mince, blonde, avec une petite paire de lunettes. Elle porte un chemisier et une jupe blanche, et de petites chaussures aux pieds.

-Bonjour, nous dit-elle à haute voix. On va bientôt commencer la visite médicale. Veuillez vous mettre en tenue : caleçon uniquement pour les garçons, et sous-vêtements pour les filles.

On s'exécute face à ce ton autoritaire et professionnel. J'ôte tous mes vêtements à part ma culotte et mon soutient-gorge pendant que les autres font de même. Je surprend même les garçons en train de nous mater, nous les filles, en petite tenue, mais ils baissent rapidement la tête, gênés eux aussi par nos regards.

-Ok, fait l'infirmière. Asseyez-vous chacun sur une chaise. Des assistants vont venir commencer à vous poser des question et à vous examiner individuellement.

Elle va vers une autre porte que celle d'où nous sommes arrivés pendant que nous nous installons et fait entrer dans la salle deux jeunes filles et un jeune garçon, tout trois plus âgés que nous de trois ou quatre ans facilement.

-Voici des nouveaux ici, présente la grande femme blonde. Ce sont des stagiaires de la faculté de médecine, ils vont vous faire passer avec moi cette visite médicale.

Les deux filles commencent par les quatre garçons tandis que l'infirmière responsable se dirige vers nous, les trois filles. L'infirmier stagiaire vient aussi vers nous, et vers moi en particulier. Il s'accroupit à ma hauteur :

-Bonjour, moi c'est Pierre, se présente-t-il. Et toi ?

-Moi c'est Léa.

-Ok Léa, on va commencer.

Il saisit le stéthoscope qu'il porte autour du coup et le place sur ses oreilles, puis me contourne et place la sonde sur mon dos. Je sursaute légèrement, surprise par ce contact froid dans mon dos.

-Respires bien fort, me dit Pierre en déplaçant la sonde de place.

J'intensifie ma respiration et me concentre sur ses gestes. Il a l'air sûr de lui, il déplace de temps à autre la sonde de place, la descendant petit à petit jusqu'à mes reins.

Dans la pièce, les autres reçoivent le même examen que moi, pendant que d'autres attendent leur tour tranquillement en nous observant.

Pierre se replace en face de moi et recommence avec mon ventre, puis sans me prévenir il tire légèrement sur mon soutient-gorge et y place la sonde dessous, sur mon sein. Plusieurs des garçons ont remarqué ce geste et sont tout émus, mais j'essaye de ne pas y penser et attend que ça passe. Bientôt, les autres filles reçoivent aussi la sonde sur leurs seins, Pierre lui, recommence de l'autre côté, puis retire le stéthoscope de mon sous-vêtement et de ses oreilles pour m'annoncer que tout va bien.

-Allonges-toi sur la table maintenant, me demande-t-il. Sur le dos.

Je me met en place, et il commence à se pencher sur mon visage. Un à un, il observe chaque détail : mes oreilles, mes yeux et ma bouche. Il y met également un bâtonnet et appuie sur ma langue pendant que je dois dire A.

-Voilà, c'est très bien. Je vais regarder ton ventre maintenant, dis-moi si tu as mal, ok ?

-Oui.

Il place alors ses mains sur ma gorge et la masse doucement. Ce geste m'est plutôt agréable et commence même à m'assoupir. Il passe ensuite directement au bas du ventre, et me chatouille légèrement par endroit en appuyant dessus.

-ça va ? Me demande-t-il.

-Oui, bien.

-Ok.

Il relève alors ses mains, et glisse un doigt sous ma culotte, puis la baisse assez pour voir mon sexe.

-Hé, fis-je de surprise.

-Ne t'inquiètes pas, ça fait partie de l'examen.

Il rajoute plus bas :

-Je dois vérifier que ton sexe se porte bien, c'est important.

Il se place alors entre les autres et moi et de l'autre main, me touche les lèvres vaginale, les écartant un peu pendant un court moment. Il retire ensuite ses doigts et remonte ma culotte, puis m'agrippe par la taille pour me faire pivoter sur la table, mes jambes vers lui.

-Relèves bien tes jambes, maintenant, Léa, me fait-il tout bas.

-Qu'est-ce que vous faîtes, fis-je, inquiète, en sentant ses doigts glisser sous mes fesses.

-Un petit contrôle aussi, mais pour l'anus.

Je me sens complètement honteuse, humiliée. Je ferme les yeux et sens Pierre qui tire ma culotte vers le haut, l'arrêtant au niveau de mes genoux. Là il peut de nouveau voir mon sexe, mais comme il l'a dit, c'est l'autre trou qu'il contrôle. Je sens alors ses mains m'écarter les fesses et ressent l'air froid me frôler la rondelle, ceci confirmant qu'il voyait tout à présent. J'avais l'impression d'être un bébé, situation très humiliante pour moi qui était en terminale, surtout devant mes collègues de classe.

-Tu as quelques rougeurs, remarque-t-il. Tu as mal ?

-Non, dis-je précipitamment.

Il relâche enfin mes fesses et me remet ma culotte en place.

-Désolé, s'excuse-t-il en voyant mes joues toutes rouges. Je sais que c'est gênant, mais c'est obligatoire pour la visite médicale, c'est juste un petit moment dur à passer, mais tout le monde y a droit, tu n'est pas la seule, ajoute-t-il avec le sourire.

Laissant la gêne passer, il me demande de m'asseoir à nouveau et observe cette fois mes jambes.

Autour de moi dans la salle, ceux qui attendaient ont la tête baissée, et je vois que mes camarades subissent le même traitement que moi : un des garçons est couché et une des jeunes infirmières lui soulève le pénis légèrement, un autre est couché sur le ventre et se fait écarter les fesses pour l'examen de l'anus. Je me sens subitement moins gênée en les regardant se faire examiner.

-Voilà, c'est terminé pour toi, pour le moment, tu peux te reposer un peu, me dit Pierre en se dirigeant vers un garçons assis sur sa chaise.

Je continue pendant un petit moment à observer les autres, mais finis par baisser moi aussi la tête par respect pour leurs pudeurs.

Quand cette première partie de diagnostic est achevée, le personnel soignant se regroupe dans un coin pour un bilan général de chacun. Les stagiaires expliquent en chuchotant leurs remarques et l'infirmière adulte semble leur donner la marche à suivre. Quand c'est au tour de Pierre de s'expliquer, je le vois parler en rougissant un peu et les autres jettent un coups d'oeil discret dans ma direction. Puis l'infirmière lui montre la porte du doigt et Pierre hoche la tête. La discussion continue encore quelques minutes.

-Bon, annonce bien fort l'infirmière. Le temps de s'occuper de certains d'entre vous, les autres peuvent aller patienter dans le hall d'accueil.

Elle lit rapidement une liste de noms et prénoms : les intéressés se rendent hors de la pièce. N'en faisant pas partie, je reste assise là avec deux autres garçons et l'équipe soignante.

Pierre revient vers moi et me fixe dans les yeux.

-Suis-moi dans la salle d'à côté, dit-il.

Je l'accompagne jusqu'à une espèce de réserve : un petit local plein de médicaments, et il attrape un bassin sur une étagère qu'il pose au sol.

-Voilà Léa, je dois voir si tu vas à la selle normalement. Il faut que tu t'assois sur le pot et que tu fasses caca dedans. Je te laisse dix minutes, puis je reviens quand tu auras finis.

Il me pose également des mouchoirs pour m'essuyer après, et regagne la salle principale en prenant soin de refermer la porte.

Je me sentais embêtée car je n'avais pas du tout besoin de faire. Même en essayant, je bloquais psychologiquement car je n'arrivais pas à faire dans un pot.

Au bout de quelques temps, on frappe à la porte :

-Tu as fini, Léa ? Interroge la voix de Pierre.

-Non, pas encore.

-Tout se passe bien au moins ?

-Oui oui, fis-je en essayant de cacher mon stress.

N'y arrivant pas, je me lève, remets ma culotte et écoute ce qu'il se passe dans la salle, par curiosité.

-...Ok, vas-y alors...

-Mais ... vous ne préfèrez pas y aller à ma place ... C'est une fille ...

-... Non, fais-le rapidement ce sera ...

-C'est bon pour vous les garçons, vous pouvez y aller, leur dit la voix portante de l'infirmière.

On retoque encore une fois à la porte.

-Je vais entrer, me dit Pierre en poussant doucement la porte, avant de s'engouffrer dans le local.

-Je n'ai pas réussi, dis-je. Je peux pas aller aux vraie toilettes à la place ?

Il me fixe d'un regard presque désolé.

-C'est pas grave, je vais t'aider un peu. On a comprit que tu n'y arrivais pas.

"Comment ça, m'aider un peu ?" pensais-je en m'affolant intérieurement.

-Retire complètement ta culotte, me dit Pierre en refermant bien la porte.

Je le vois fouiller dans un boîte, et il en retire une petite poire à lavement.

-Oh non ! S'il te palît ! Je ne veux pas de ça, l'implorais-je.

-Désolé, je suis obligé.

-Non, Pierre, s'il te plaît... ça fait mal.

Il se penche à mon niveau, et pose sa main sur mon épaule.

-Mais non, ne t'inquiètes pas, tu ne sentiras presque rien, je vais utiliser de la vaseline et ça entrera tout seul.

Me laissant un peu seule le temps de réaliser ce qu'il allait me faire, Pierre s'occupe de remplir un bac d'une solution d'eau salée. Je finis par retirer ma culotte et la pose sur une chaise, cachant maintenant mon sexe avec mes mains.

Il revient assez vite, avec une main gantée et un pot de vaseline ouvert.

-Allez, c'est bien. Montres-moi tes fesses maintenant.

Je me retourne et attends, anxieuse. Il m'écarte les fesses, comme avant, et je serre mes fesses par réflexe. Son doigt ganté vient se poser sur mon trou serré, et commence à forcer le passage, mais sans que ce soit douloureux grâce à la vaseline. Il ne fait qu'un seul aller retour rapidement, mais qui me paraît long : à peine son doigt rentré de force, je cherche à le faire sortir en poussant mais il ressort de lui-même.

Il relâche mon derrière et applique maintenant un peu de vaseline sur le long canule blanc.

-Je vais te mettre un demi litre, ça devrait faire l'affaire, me dit-il.

-J'ai vraiment pas envie..., répétais-je encore une fois.

Il termine de remplir la poire et pose la main sur mon dos.

-Je sais. Mais c'est pour ton bien que je te fais ça. Je vais mettre l'eau dans ton derrière maintenant, essayes de te relaxer pendant le lavement.

Il presse un peu mon dos pour me faire pencher, et je l'entends s'accroupir derrière moi, puis je sens la canule se placer entre mes fesses, devant mon trou de balle. Il pousse et fait rentrer délicatement toute la canule, et je sens ensuite le liquide qui arrive.

En jetant un regard par dessus mon épaule, je vois la poire plantée dans mon cul, Pierre la compresse de ses deux mains, et se concentre attentivement sur mon derrière.

Je me replace en position penchée et attends. L'eau inonde mon rectum, puis je sens la poire se retirer : le lavement s'est déroulé plus vite que prévu.

-Voilà, c'est fait, m'annonce Pierre. Tu as eu mal ?

Je me sens soulagée, et secoue la tête avec un sourire.

-Bon, je te laisse faire le reste, le pot est toujours là, rajoute-t-il.

Une fois la porte fermée, je m'assois sur le récipient et fais sortir l'eau, puis bientôt les selles suivent.

Je m'essuie le derrière, jette la papier dans le pot et rejoint timidement la salle. Seule l'équipe soignante est présente, et L'infirmière adulte se dirige dans le local.

-Voilà, c'est tout pour le moment, me dit Pierre en me tendant la main. Tu peux aller rejoindre les autres.

Je lui serre la main et me dirige dans le hall d'accueil, où les six autres m'attendent.

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clyso Il ya 13 ans  
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jean ailair Il ya 13 ans  
thermophil Il ya 13 ans  
helene Il ya 13 ans  
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